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[RP] Et Slamjack défia le Pouvoir en Place

Seblebeau
seb qui faisait son tour sur les remparts entendit crier : ah la gaaaaarde......aussitot il sut qu'il se passait quelquechose de pas normal dans les geoles...il se precipita pour aller voir ce qu'il s'y passait dans un elan de courage... il ne prenait pas son poste à la legere!!

tout d'un coup il s'arreta au milieu des marches qui le menaient vers le bas des remparts....les geoles...il n'y avait qu'un prisonnier...cet homme lui avait demandé de l'aide et il l'avait pris à la legere malgré son envie de l'epauler...cet homme avait tout de meme enlevé un homme qui se prenait pour comte et qui profitait trop de la situation selon son gout...

c'est donc avec un leger sourire qu'il fit demi tour et s'en alla faire sa ronde du coté de la plage ...par là bas c'etait deja un peu plus calme et il ne risquait pas d'etre obligé de faire le rapport de ce qu'il avait entendu puisqu'il n'entendrait rien d'autre que le bruit des embruns...

il vit bien des ombres roder par endroit mais cela ne lui enleva meme pas un seul petit remord... s'ils voulaient prendre la mairie et bien pourquoi pas...elle etait aussi bien gerée que l'comté ces derniers temps... il s'en vint à se demander ce qu'il faisait vraiment là à cette heure au lieu d'etre aupres de sa femme et de ses enfants...

ou est ma vie insouciante ou j'passais mon temps en taverne et pres de ma belle... ... sa reflexion lui fit oublier tout ce qu'il avait suspecté et il s'en alla voir si la mer etait toujours au meme endroit pour en faire le rapport le lendemain matin
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Louis_mandrin
Louis devale les escaliers, cours dans les couloirs, l'masqué sur ses talons. Encore quelques marches, où est ce ? Les cris d'Ambly provenaient t'ils d'ici ,ou de là ? Comment savoir... l'autre derriere s'impatiente, l'Artiste le sent à son air, son souffle de plus en plus court. On ne peut pas appeller, faire du bruit...

Au detour d'un couloir, Louis vois les gardes immobilisés par 2 femmes dans le noir. Il ne peut voir leur visages mais comprend leur menace. Se depecher, rapidement, tout va devoir aller très vite maintenant.

Mais où est Main Tranchante ? Pourquoi ne se montre t'il pas... Combien y a t'il de monde impliqué dans cette evasion ? Ambly et lui.. petits artisans de l'arnaque sont au milieu d'une tornade qui risque de tout devaster en Flandres.

Louis reconnait enfin un passage et fonce sans penser à rien d'autres qu'à la Jolie.
La cellule est vite ouverte et l'maqsqué lui intime de l'aider à se relever. Ce masque ne cache pas Main Tranchante c'est certain. Mais que veulent t'il ?

Louis s'approche de la Jolie au fond de la geöle. elle est couchée sur le coté. Il lui ecarte les cheveux delicatement et lui baise la joue. Moment tant attendu.
Il la prend dans ses bras, la secoue un peu pour la reveiller mais rien ne se passe. Est elle déjà morte ? non pourtant elle respire. De l'eau peut etre. Louis se tourne vers l'homme en se demandant si celui ci comprendra.


De l'eau... vous n'en auriez point de l'eau, l'masqué ?


Une main sur le front d'Ambly, il se demande, inquiet, ce qu'il va se passer ensuite...
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--La_silencieuse
Au bruit des sons qu'elle entendait, la Silencieuse savait que les choses ne s'étaient pas passées comme elles auraient du.

Elle avait entendu un cri, un souffle, puis le silence qu'elle chérissait tant était revenu.
Elle était désormais seule dehors, elle les attendait et pourtant la patience n'était pas sont fort.

Des pas... Elle se retroune en direction des remparts, quelqu'un arrive et ce quelqu'un dévale les marches à toute vitesse.
Sûrement un garde qui aura entendu les cris des deux cupides hommes de gardes.

Juste le temps de se glisser dans une ruelle sombre et d'attendre. Elle est prête à bondir au premier mouvement d'un éventuel ennemi.

Puis, les pas s'arrêtent, elle ne comprend pas. Le sens du devoir se serait-il heurté à une quelconque barrière chez cet homme ? Quelle peut en être la raison ?
Elle l'ignore mais cela l'arrange bien car l'issue de cette histoire aurait été plus délicate avec les hommes de la garde aux trousses.
Mais heureusement, loin d'être impossible...
Ils avaient toute confiance en elle et elle ne les décevraient pas, elle les sortirait de là... si seulement ils voulaient bien sortir de ce maudit bâtiment.
--Bonhomme
Il a trop bu c'pas Dieu possib'...La dalle glacée le paralyse.. Il a du s'endormir et tomber de sa chaise, tiens.

Sa tête va exploser, jamais il aura eu la gueule de bois comme ça.... Ah, les copains vont ben s'fiche de lui, tiens...

Il se redresse péniblement, faudrait pas qu'le chef le trouve comme ça...Et l'prisonnier a du bin s'marrer à l'voir s'écrouler...

Mais non, la douleur est... plus aigüe.. Il porte la main à son crâne... Poisseux... collant...


SacreDieu !

Du sang presque séché sur ses doigts... Il plisse les yeux dans l'obscurité, tend l'oreille... Des bruits de pas précipités...

Bonhomme grogne... S'avance dans le couloir humide pour récupérer une torche, puis revient sur ses pas. Et comprend pourquoi il faisait noir. Comme dans un cachot, songe-t-il avec un sourire amer.

Le cachot est vide, la torche gît parterre, éteinte.


Eh m... ! Ah ben sa femme va être ben contente, tiens, quand il va lui annoncer qu'il a perdu son travail. Vaudrait mieux pas y dire qu'il s'est endormi... Avec un peu d'chance, bobonne le plaindra de set' fait assommé.

Pis y zont fait quoi, les deux zautres, hein ? Trop occupé à troncher les donzelles qu'ils ont ramenés de taverne pour remarquer quoi que ce soit, y a fort à parier !

Se grattant la bedaine, il monte les marches menant à la salle des gardes en grommelant.


La chair fraîche, c'est jamais pour Bonhomme, oh non ! Bonhomme, y reste en bas, pendant qu'les jeunots, eux... y tripotent de la donzelle ben consentante, en plus ! Pfff, toujours les zautres qui jettent leur gourme.... marmonne-t-il, approchant de la salle de garde.

Alors, les feignasses, z'avez fini vot' affaire ? Parce que les prionniers ont bien du s'amuser à vous passer sous l'n......

Bonhomme s'arrête net. Ses collègues ne lui répondront pas.
--Destinee
L’homme s’agite sous elle, elle le maintient fermement, il sent que sa vie le quitte, ses yeux fixent alors les siens, mais c est dejà trop tard, Destinée ne reculera pas, elle detourne un instant les yeux, a du mal à supporter ce regard, elle n est pas encore rompue à ce genre de chose, elle est encore bien jeune et c est la premiere fois qu’elle prends la vie d’un homme…

Elle sent le corps de l’homme ne plus offrir aucune résistance, il n’est plus, c est fini pour lui, elle regarde alors vers l’Obscure, elle a du sang sur les mains, l’autre garde git maintenant sur le sol dans une marre de sang….

Elle se dirige alors vers la porte, Le Masque est long à revenir avec les prisonniers, ils n’ont plus beaucoup de temps, elle découvre alors derrière la porte LeSouffle, accroupit un jeune homme, qui le regarde les yeux hagards, une pomme dans la bouche…

« enfermons le avec les deux autres, il faut les cacher et vite, je crains que d’autres n’arrivent à la rescousse »

Elle s’accroupit pres du jeune homme, approche alors son visage pres du sien et lui chuchote doucement au creux de l’oreille

« ecoute, tu tiens à la vie j’en suis persuadée, nous ne te ferons pas de mal si tu coopère, tu ne tiens pas à finir comme tes deux collègues, alors un conseil tu n’as rien vu tu n’as rien entendu, si jamais tu parles, je reviendrais m’occuper personnellement de toi »

Elle se releve alors lance un regard complice vers LeSouffle et sans que le jeune gardien ait eu le temps de reagir, lui assene un violent coup sur la tête avec le manche de sa dague….
--L_obscure


Dans la salle des gardes.

Le garde est mort, et le sang finit lentement de s'écouler de sa gorge. Aucune espression ne transparaît sur le visage de l'Obscrure qui se redresse et essuie la lame de sa dague sur sa cape, sans plus se préocupper du cadavre gisant à ses pieds. Un souffle entre alors avec un troisième garde, au même moment que la victime de Destinée rend son dernier soupir. Cela se corse, mais le troisième larron semble maîtrisé également, Destinée se chargeant de l'assommer. Un sourire, sa comparse n'a pas le gout de tuer comme elle.
Soudain :


Alors, les feignasses, z'avez fini vot' affaire ? Parce que les prionniers ont bien du s'amuser à vous passer sous l'n......

Tous sursautent à l'arrivée d'un quatrième homme qui se tient sur le seuil de la porte, les yeux écarquillés devant la scène de ses deux collègues morts.

Restez là vous deux, je m'en charge !!

L'Obscure se précipite vers lui alors qu'il s'enfuit déjà dans les couloirs de la mairie. Elle doit le rattraper et vite. Pourvu que Le Masque et La Silencieuse en ait bientôt terminé avec les prisonniers en bas.
--Le_masque
Dans le cachot d'Ambly

Le Louis embrasse sa jolie, tente de la réveiller... en vain! Elle est plus faible que lui. Puis il se tourne vers Le Masque.

De l'eau... vous n'en auriez point de l'eau, l'masqué ?

Des bruits venant d'en haut on déjà rendu le Masque plus nerveux. Il va répondre au Louis lorsque de nouveaux bruits se font entendre, des bruits de bagarres, de courses dans la pièce du dessus.

- Foutredieu! Désolé on n'a plus le temps de finasser!

Et en se dépéchant, il détache les chaînes des poignets et des chevilles d'Ambly, pendant que Louis tente de la réveiller. Elle semble émerger doucement, mais le Masque n'a plus le temps d'attendre, il ne sait pas ce qui se passe en haut. Il bouscule un peu Louis, et porte la femme à même ses bras.

- Toi t'es trop faible pour la porter. Passe devant, direction la salle des gardes. Mes compères nous y attendent. Là il doit y avoir du vin pour la réveiller.

Le situation se complique, et le masque n'aime pas ça. Il porte la femme, ce qui restreignait ses mouvements. Mais il n'avait pas le choix. Ils n'ont plus de temps à perdre. Et si les choses devenaient vraiment difficile, il devait tout faire pour qu'au moins le Louis puisse s'enfuire avec la Silencieuse. Il fit un signe de tête au Louis pour qu'il se mette en route...
--Ardrouin
Le jeune garde croque dans la pomme comme on lui a demandé.

« ecoute, tu tiens à la vie j’en suis persuadée, nous ne te ferons pas de mal si tu coopère, tu ne tiens pas à finir comme tes deux collègues, alors un conseil tu n’as rien vu tu n’as rien entendu, si jamais tu parles, je reviendrais m’occuper personnellement de toi »

Il hoche la tête et n'ose rien dire et préfère oublier tout ce qu'il a vu. Il tient à la vie. Un coup derrière la tête, il pense à son fils nouveau né, à son épouse, puis plus rien ...
--Un_souffle
Déjà deux cadavres gisaient sur le sol, tout ne c’était pas passé comme prévu, il ne devait pas y avoir de morts mais ces gardes …têtus de gardes, bons qu’à se saouler et à beugler.
Le souffle voulait éviter d’autres morts inutiles et s’apprêtait à attacher son jeune garde, qui ressemblait plus à une tête de veau avec sa pomme dans la bouche, lors que Destinée s’approcha et murmura quelque chose au jeune garde avant de l’assommer.

Le souffle lui sourit, ce serait ça de moins qu’il aurait à faire et du coup, il serait plus facile à attacher. En voilà un autre qui arrivait, pas d’une grande discrétion d’ailleurs, pas le temps de dire quoi que ce soit que L’Obscure lui court après, et bien, ce qui devait être une affaire bien rodée semblait être un vrai festival … Le souffle déchira deux morceaux de tissus au garde évanoui et lui lia pieds et poings avec.

Se relevant, il regarda destinée :



Il faut se tenir prêt, nous ne devons plus traîner. Dès que le masque et l’obscure sont de retour nous rejoignons la silencieuse qui doit nous attendre.
--Bonhomme
Les yeux ecarquillés d'horreur, Bonhomme se fige.

Du sang. Des ombres penchées sur les corps de ses amis. L'une des ombres bouge, s'elance vers lui. Il a juste le temps de tourner les talons.

Courrir, courrir.... Mais ou ? Sa vie ou son devoir ?

Bonhomme, il aime la vie. Pis il a perdu son emploi de toute façon... La Mère à la maison avec les enfançons...

Décision, prise, le lourdaud retourne au cachot du Louis qu'il vient de quitter, des pas légers sur les talons. L'une des filles ... ?

Il s'engouffre dans le cachot et en referme la lourde porte au moment même ou un petit pied se glisse dans l'ouverture.

Bonhomme met tout son poids sur la porte. Pis c'est qu'il en a, du poids, La Mère dit toujours qu'il l'étouffe quand il veut l'honorer.


Ecoute Donzelle, j'ai pas vu ta tête, et je tiens à la vie. Alors si tu promets de partir en me laissant enfermé dans mon cachot ben tranquille.. Je te laisse retirer ton pied.

Sinon, je l'ecrase. Un joli petit pied, en plus...
Amblypyge
Ambly se sentit ballotter de gauche a droite. Elle emergea doucement mais ne comprenait pas ce qui etait en train de se passer.
Un visage masqué, ce fut sa premiere vision.
C'etait sur, on l'emmenait pour la torturer. La peur lui fit recouvrir tout ses moyens l'espace d'un instant et elle se debattit pour poser pieds a terre. Elle realisa alors qu'elle n'avais plus de chaines. Elle observa le masque se demmandant qui pouvait bien se cacher derriere.
Et puis... elle vit son Louis, libre... elle avait compris, c'etait leur seule chance. Elle le serra dans ses bras a peine quelques secondes se doutant qu'il ne fallait pas perdre de temps et se retourna vers le masque qui lui fit signe d'avancer vers la salle des gardes.
Arrivée dans la salle elle vit les trois gardes gisant au sol, l'un deux baignant dans une marre de sang. Deux autres personnes etaient la, se tenant debout l'air de les attendre. Mais qui etaient donc ces personnes pretent a tuer pour les delivrer?

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--L_obscure


Dans les geôles.

Toujours sur les talons du garde elle gagne du terrain. L'homme est gras et s'essouffle rapidement, en temps normal l'Obscure l'aurait déjà rattrapé. Mais le coup qu'elle a pris dans le flanc dans la salle des gardes la gêne dans ses mouvements, et la douleur la ralentit. Mais elle serre les dents et s'engouffre dans les dédales des corridors des geôles vers lesquels l'entraîne le garde. Le voilà qui rentre dans un cachot et tente de refermer la porte. Dans un réflexe elle glisse la pointe de sa botte dans le chambranle de la porte pour l'empêcher de se refermer.


Ecoute Donzelle, j'ai pas vu ta tête, et je tiens à la vie. Alors si tu promets de partir en me laissant enfermé dans mon cachot ben tranquille.. Je te laisse retirer ton pied.
Sinon, je l'écrase. Un joli petit pied, en plus...


Piégée, elle est piégée ... L"homme es bien plus fort qu'elle et dans cette posture elle ne peut rien faire. Elle ne parviendrai jamais seule à tirer la porte vers elle, et les autres qui l'attendent. Il commence à pousser la porte sur son pied, l'Obscure étouffe un cri où se mêle rage et douleur. Réfléchir, vite, si elle lui promet de partir il pourra donner l'alerte, mais que peut elle faire d'autre. Soudain du bruit à l'étage... Le Masque. Au diable cet homme, L'Obscure siffle entre ses dents, les poings serrés de dépit et de rage..

C'est bon ... Je m'en vais.

L'homme relâche un peu la porte et la femme ne demande pas son reste, elle refait le chemin en sens inverse et retrouve ses comparses. Les deux brigands sont là, avec Le Masque, Destinée et Un Souffle.

On doit filer et vite, je n'ai pas réussit à neutraliser le garde en bas. Nous n'avons plus une minute à perdre. On sort de là et ensuite on récupère ce pourquoi on a fait tout cela.

Si l'homme en bas sort des geôles, la Silencieuse s'en occupera, songe t-elle.
--Bonhomme
C'est bon ... Je m'en vais.

Bonté Divine, elle lui laissait sa chance. Il ne l'avait pas vue, et la devinait plutot menue, vu la taille du pied qui dépassait de la porte... Mais il n'oubliait pas la gorge béante de son collègue.

Priant Aristote pour qu'elle ne lui fasse pas de coup bas, bonhomme relâcha très légèrement sa pression sur la porte, juste assez pour que la donzelle retire son pied, puis claqua la porte close et la verrouilla de l'intérieur.

Il entendit ses pas précipités s'éloigner et s'adossa au mur, en nage.

Il devait maintenant sortir du cachot et avertir... n'importe qui voudrait bien l'entendre.

Oui, il devait. Mais ses membres n'obéissaient pas. Prostré contre la porte, la tête pleine d'images, Bonhomme ne bougeait pas.

Une gorge tranchée, le rire de son petit dernier, les larges hanches de la mère et son regard rieur...

Au diable le devoir, il choisirait la vie. Et puis, il vivrait pour raconter, se justifia-t-il.

L'humidité du cachot lui semblait, à cette heure, le plus accueuillant des refuges.
--Le_masque
Le Masque était finalement arrivé dans la salle des gardes avec Louis et Amblypyge, qui avait finalement retrouvée assez de force pour marcher.

Il embrassa la pièce d'un regard, vit les deux corps sans vie, un jeunot assommé, et Destinée et Un Souffle qui attendait.


- Où est L'Obscure ?

Déstinée n'eut pas le temps de répondre que L'Obscure entrait dans la pièce, venant des geoles.

On doit filer et vite, je n'ai pas réussit à neutraliser le garde en bas. Nous n'avons plus une minute à perdre. On sort de là et ensuite on récupère ce pourquoi on a fait tout cela.

Le Masque approuva

- Oui, dépèchons, en plus la relève ne va pas tarder... On va retrouver la Silencieuse dehors, elle sait où nous devons nous rendre. Louis et Ambly, nous vous donnerons de quoi vous sustenter lorsque nous serons en sécurité. Allons!

Il ouvrit la porte pour que ses compères sortent. Il devait être le dernier à sortir, s'assurer que les autres soient sauf. Et que les deux ex-prisonniers arrivent à bon port. Avant de sortir, il vit sur la table la bouteille de vin utilisée pour droguer les gardes. A moitié pleine. Le Masque se dit qu'elle pourrait encore être utile. Il la prit, et la cacha dans son manteau. Puis il sortit à la suite de ses compères. L'obscure l'attendait près de la porte.

- Allons-y, La Silencieuse doit nous attendre par là, dans la ruelle.
Louis_mandrin
Les questions se bousculent dans la tête de Louis, il reflechit aussi vite qu'il peut. Ces rebelles sont arrivés à point nommé mais il va falloir qu'il avertisse Main Tranchante si il n'est pas dans l'coup. Un pigeon fera l'affaire.
Dès qu'il aura l'occasion il se promet d'envoyer ce pigeon rapidement. Les autres doivent être prevenus.
L'Artiste chancelle de temps en temps, ses muscles reprennent leur force et de voir Ambly debout et éveillée, il sourit et lui passe la main dans l'dos.

Les autres encapuchonnés les presse d'avancer et Louis obéi, trop heureux de quitter ces geôles, libre et sans avoir subi de torture ou de procès.

Les questions viendront en temps voulu quand il seront en securité... plus ou moins. Louis comprend très bien le devoir de silence et de discretion pour l'instant et ne demande pas son reste.

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