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[RP] Et Slamjack défia le Pouvoir en Place

--Destinee
L' attente devient longue, trop longue pense Destinée, qu'est ce qu'ils foutent bon sang!
Des bruits de pas dans le couloir, elle passe sa cape sur ses epaules, remonte sa capuche, méfiance peut être d'autres gardes, elle tient dejà sa dague bien en main....mais non leMasque et les deux prisonniers apparaissent, ils vont pouvoir sortir d'ici.. manque l'Obscure...

Où est L'obscure!

Soulagement elle vient d'entrer, il faut s'enfuir et vite, le temps presse, il ne faut pas laisser d'indices elle sort en premier....

Elle passe la porte se faufile le long des murs, personne en vue, elle fait un signe aux autres qu'ils peuvent sortir,la petite troupe sort discretement et va rejoindre non loin de là LaSilencieuse qui les attends au coin de la rue...
--La_silencieuse
La Silencieuse n'est pas patiente et pourtant cet exercice lui en demande.
Elle s'interroge et s'inquiète : mais que font-ils ?

Non définitivement, finir cette mission seule serait pour elle un échec cuisant, une preuve de leur manque d'organisation et ça elle ne peut l'admettre.

C'est qu'elle est fière La Silencieuse, au moins autant qu'elle est discrète.

Les voilà qui sortent... enfin.

Elle adresse un regard interrogateur à ses accolytes tout en sachant bien qu'elle n'obtiendra pas de réponse tant que les deux anciens prisonniers seront à leur écoute.


Un signe de tête et le convoi se met en marche le plus dicrètement possible dans les rues de la ville.
--Le_masque
La Silencieuse est là, au rendez-vous.

Un signe de tête échangé et elle les guide dans le dédale des rues de la ville. L'opération est une réussite. Elle aura pris juste un peu plus de temps que prévu, mais c'est une réussite. Avec quelques dommages collatéraux. Mais Le Masque ne les regrette pas. Bien sûr il aurait préféré que les gardes s'en tirent vivant. Ils n'avaient rien à voir dans ce plan, ils étaient juste au mauvais endroit au mauvais moment... Mais chacun à un moment le choix... ils pouvaient se taire et faire semblant de dormir, et vivre... mais en jouant les bravaches ils avaient eux-même choisit leurs morts... Amen et ite missa est, comme on dit... enfin, pour eux!

Une légère brume se lève, annonçant une aube qui poindrait bientôt... mais lorsque le jour se léverait ils seraient déjà hors de la ville!

Le Masque se décida de fermer la marche. Laissant La Silencieuse les guider...
--La_silencieuse
La Silencieuse avançait en aveugle car la brume s'était levée, elle était la bienvenue car pour un oeil non averti il serait plus difficile de les voir.

En son for intérieur, elle bénit le jour où sa soeur Mys lui avait enseigné ce qu'elle avait du apprendre sur le tas suite à son accident.
Depuis ce jour, la Silencieuse s'entrainait souvent les yeux bandés à sentir ou plutôt ressentir les choses, c'est grâce à cela qu'aujourd'hui elle pouvait les mener hors de la ville sans craindre de les égarer.

Au loin, elle sentait l'odeur peu famillière du port mais avant ils leur faudrait franchir les ruelles qui contournaient les échoppes tisserandes là aussi très odorantes.

Pour le groupe qui la suivait, il aurait été quelque peu déroutant de savoir que leur guide avançait les yeux fermés aussi elle ne leur dit pas et masqua le haut de son visage en rabattant sa capuche.

Les anciens prisonniers ne semblaient pas poser de problème, ils avançaient derrière elle comme tous les autres. Ils n'avaient pas l'air au mieux de leur forme mais qui l'aurait été suite à un séjour dans ces geôles... dont même les rats ne voulaient pas.

Un mouvement... Quelqu'un se trouve au croisement un peu plus loin. Si elle ne peut le voir ça pour sur elle peut le sentir ! Il doit tout juste sortir d'une taverne car il pue la vinasse.
Elle fait signe à ses compagnons de s'arrêter se retourne et leur fait signe de se taire et de se cacher dans un impasse sombre non loin.

Si l'homme est trop saoul, il ne pourra les y voir, s'il ne l'est pas, il leur faudra agir et vite...
--Un_souffle
Tout le monde était là, enfin, il était temps de partir, la silencieuse attendait dehors. Le masque ferme la marche pour assurer leurs arrières, les évadés suivent en silence, une bonne chose que celle-ci. Le souffle n’avait pas confiance, il faut dire qu’il ne faisait confiance qu’a peu de personnes mais il savait que ces deux la avaient intérêt à suivre sans broncher, non pas par ce que le petit groupe risquait de les égorger mais par ce qu’ils les mèneraient loin des geôles insalubres.

Toujours à l’affût du moindre danger, le souffle scrutait chaque ruelle perpendiculaires à celle qu’ils empruntèrent, même si la brume était épaisse, le moindre bruit suspect, la moindre ombre menaçante et il donnerait l’alerte.

La silencieuse avait l’air de savoir où elle allait, elle avait été choisit pour ce rôle grâce à ses grandes capacités d’orientation, quoiqu’il arrive, elle trouverait le bon chemin pour les mener à destination. Tout à coup, un signe, il fallait se mettre rapidement à couvert et en silence. Etait ce un garde, une patrouille de la maréchaussée ou l’armée qui croisait leur chemin … vu la démarche de l’homme, on dirait plutôt un poivrot sûrement trop ivre pour se souvenir de son propre nom…
Il fallait rester sur ses gardes, le danger pouvait venir même du plus inattendu. Le souffle se plaça au coin de la ruelle, poignard à, la main, prêt à agir au cas ou …
--Destinee
Se faufilant telles des ombres dans les ruelles embrumées de cette nuit qui n'en finit pas, le petit groupe suivait aveuglement leur guide..
Destinée gardait pres d'elle Louis-Mandrin, laissant la compagne de ce dernier sour l'oeil aguerri de l'Obscure, toujours les avoir sous surveillance, eviter qu'ils ne puissent communiquer, leurs ordres étaient de les emmener dans un lieu secret....et ensuite....

Le groupe de tête avait fait halte, un signe, et tous se mirent à couvert, Destinée entraina Louis à l'abri d'une porte cochère...

Un homme venait de sortir d'une taverne et titubait dans la rue, il s'arrete juste à l'angle duquel se trouvait LeSouffle, tout monde retient sa respiration et observe silencieusement, l'homme tripote alors dans ses braies et se met à uriner....Elle reprime un sourire, s'imaginant alors le Souffle s'occuper du dit poivrot à ce moment precis...Mourrir en se tripotant, belle fin pour un homme!
--Un_souffle
L’alcoolique s’approche en titubant, le souffle serra le poignard, se reculant un peu plus dans l’ombre pour être certain de ne pas être vu. L’homme était maintenant tout prêt de lui, marmonnant quelques mots incompréhensibles. C’est alors qu’il s’arrêta, détachant son manteau et enfournant ses mains au niveau du bas ventre…le souffle baissa les yeux afin de voir si une arme était dissimulée à cette endroit lorsqu’il le vit sortir son artillerie.

Situation improbable dans laquelle il se trouvait, dans d’autres occasions, il aurait pu en rire mais la … Que devait il faire ? Frapper ce poivrot pour lui apprendre les bonnes manières ? Le tuer afin de pouvoir avancer sans perdre plus de temps ? Le temps de se poser ces questions que l’homme se soulagea sur ses chausses, ne se gênant pas pour accompagner sa purge de quelques éructations à l’odeur du mélange bu durant la soirée …

Afin de ne pas succomber un accès de colère, le souffle se répétait sans cesse « pas de morts inutiles ! Pas de morts inutiles ! ». C’est alors qu’il regarda le poivrot se rhabiller et continuer son chemin toujours en titubant et marmonnant quelques inepties.
Le souffle, légèrement agacé, fit signe aux autres qu’ils pouvaient continuer leur route.
--L_obscure


Dans les rues de Dunkerque.

L'Obscure suit le mouvement, et la petite troupe se faufile derrière la silencieuse dans les ruelles sombres de la ville. Le temps leur est compté, et le jour se lève dans quelques heures à peine. Ils doivent à tout pris sortir de la ville et rejoindre leur lieu de retraite.
Elle ne quitte pas la brigande des yeux, l'aidant parfois à avancer plus vite quand celle ci ralentit ou manque de trébucher.

Après l'interruption de l'ivrogne, pendant laquelle L'Obscure est restée sur ses gardes, prête à intervenir s'il le fallait, les fuyards atteignent la plage de la cité portuaire. C'est par là qu'ils vont partir, évitant ainsi les portes gardés des remparts. Il y a déjà eu assez de gardes neutralisés et les encapuchonnés doivent rester le plus discret possible, ce qui n'a pas vraiment été le cas dans les geôles.

Maintenant, leur seule issue pour ne pas se faire remarquer, les barques qui les attendent et qui vont leur permettre de rejoindre leur cache, et commencer à interroger Louis et sa compagne.
--La_silencieuse
Le Souffle et la Silencieuse tous les deux l'arme à la main attendaient l'arrivée de l'ivrogne auprès deux.
Chacun à son angle de rue, leurs accolytes derrière eux et l'homme qui s'approche en titubant du Souffle qui recule encore plus à l'abri de la lumière... trop peut être car l'ivrogne s'approche de lui et sans aucune hésitation se soulage sur ses chausses.

A cet instant, elle imagine la colère qui bout dans le corps de son frère d'arme.
Un regard, une fois cette interruption passée, vers le Souffle, un regard qui en dit long, un merci pour s'être contenu et pour ne pas avoir versé de sang...

Puis, elle lève la tête vers la lune qui transperce les nuages, vite ils doivent se presser de rejoindre le port.

Ainsi, ils font tours et détours et c'est sans s'en apercevoir qu'ils se retrouvent à la sortie d'une ruelle peu fréquentée en bordure du port où une petite embarcation les attendaient.

Ils longèrent le rivage quelques temps avant de débarquer à couvert des arbes.

Voici comment ils sortirent de la ville.
Louis_mandrin
La marche n'en fini pas. Louis titube presque à chaque pas. Dans la ville, un bref coup d'adrénaline lorsqu'un soulard sort d'une taverne sous leur yeux. Mais le groupe avance maintenant sur le sable. Le brouillard est bien trop épais pour y voir autre chose que celui qui ouvre la marche à l'avant.

Cette ville n'a pas âme qui vive. Les rencontres se font rares sorti de taverne. Louis sourit en pensant à cette bonne époque.

Maintranchante devrais maintenant se manifester. Cette expédition ne ressemble pas du tout à sa façon de procéder, bien plus expéditive. L'Artiste essaye de réfléchir entre chaque pas pour prévoir un peu la suite des événements. Mais une masse de forgeron cogne sur sa tête régulièrement. Est ce qu'il couvrirait une maladie ? Lui force tranquille sur les chemins aurait t'il mal supporté cette longue détention ?

L'Artiste observe son propre garde du corps masqué et se rappelle ses propres méfaits. Ils ont l'air de professionnel à coups sûr mais ce ne sont pas des manières de brigands. Quelque chose cloche à coup sûr. Des coupe jarrets les auraient déjà depecer sur place. L'Artiste a l'impression de faire partie d'un plan plus vaste et ça le met mal à l'aise. Cette situation ne lui plait pas du tout du tout.
Il se retourne pour regarder brièvement Ambly et se dit qu'ils n'ont pas le choix finalement. Secrètement il se jure de sortir de ce guepier au plus vite avant que tout tourne mal.

Et Maintranchante qui n'arrive point... mais qu'est ce qu'il fout bon sang ?

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--Le_masque
Comme prévu, Le Masque embarque en dernier. Tout le monde est là, c'est une réussite totale. Du port, ils ont suivis la côte jusqu'à un endroit bien précis, que la silencieuse connaissait. L'embarcation est échouée près de la plage, et ils doivent mettre les pieds à l'eau pour la rejoindre...

"C'est bien, comme ça Un Souffle pourra rincer ses chausses" fait une voix dans la troupe, suivit de quelques rires contenus. L'ambiance se détresse, ils sont hors de danger maintenant.

Tandis que Ambly et Louis attendent sur la plage, sous la surveillance de ces dames, Le Masque et Un Souffle, après avoir fait des trous dans la coque, repoussent l'embarcation à la mer, le courant la portera vers le large, où elle coulera corps et bien. Ainsi pas de trace.

Ils marchent un peu vers l'intérieur des terres et arrivent à une ferme en ruine, éloignée des chemins et routes. Seul le bâtiment principal est plus ou moins debout. Et avec un cellier qui ferme à clés, au cas où Louis et Ambly ne coopéreraient pas. Au loin, un campement se devine, mais de qui ? De quoi ? Les compères n'y prennent pas garde, ils savent. Enfin ils entrent dans le bâtiment de la ferme, où brûle un brasero et où des vivres les attendent. Maintenant, se restaurer... car après ils avaient des questions à poser à leurs "invités"
--Destinee
Destinée observait de pres chaques faits et gestes qu'aurait pu faire Louis, elle gardait l'oeil sur lui à tous les instants,elle le surveillait comme le lait sur le feu, même si l'homme lui semblait de plus en plus fatigué, son sejour en cellule, la marche dans les rues de Dunkerque et maintenant....elle pensa au fond d'elle même qu'il sera plus facile de l'interroger dans ces conditions.

Le petit groupe s'installe dans la ferme abandonnée, des vivres sont dejà là à leur disposition, tout finalement se déroule presque comme prévu, la suite leur donnera ou non raison de tout celà.

Destinée attache les mains de son prisonnier et le force à s'asseoir à même le sol, elle lui presente un peu d'eau et le fait boire, mais pas trop. Car il à soif et il à faim, mais il faut le tenir en haleine dans un premier temps, d'abord il doit parler.

"nous avons besoin de quelque chose de précis"

se decide t elle enfin à dire, car depuis que le groupe les avait libéré aucune parole n'avait été prononcé à leur intention!

"tu n as rien à craindre de nous, enfin seulement si tu nous dit ce que nous voulons savoir!"

"où se trouve le sceau comtal! parle et ensuite on te donne à boire et a manger, puis ta liberté loin des Flandres....mais pas t'entourloupe tu n es pas en position de negocier quoi que ce soit!"

Elle croise alors le regard de l'Obscure qui a sous sa garde l'amie de Louis, Ambly...
--Un_souffle
Enfin arrivé à bon port ou plutôt à bonne cabane délabrée … mais le principal est qu’ils y étaient sans trop d’encombres. Le souffle avait pu se rincer les bottes à l’eau fraîche en allant chercher l’embarcation avec le masque, l’odeur d’urine ne lui piquait plus le nez et il serait moins facilement repérable …

Prisonniers installés, peut être avaient ils cru retrouver leur liberté mais ce n’était pas le cas, ils étaient toujours prisonniers et leur libération ne se fit que dans un seul but.
Destinée et l’obscure se chargeraient de questionner les prisonniers, le souffle se demandait quand même si c’était une bonne idée de les laisser entre leurs mains, c’est qu’elles risquaient de les tuer avant d’obtenir ce qu’ils voulaient…

Le souffle, pendant ce temps, surveillait les alentours au cas ou un imprudent viendrait rôder dans les parages. Après avoir installer quelques pièges à certains endroits stratégiques, il s’installa un peu plus loin, dans un endroit où il aurait une vue imprenable sur les accès à ce lieu …
--Le_masque
Alors qu'un Souffle et La Silencieuse surveillent les alentours, L'Obscure se tient près d'Ambly, tandis que Destinée est debout près de Louis.

Le Masque s'assied calmement face à eux, et se sert un verre de vin. Après les dernières paroles de Destinée, le silence emplit la pièce, juste brisé par les glouglou du liquide remplissant le verre. Puis, Le Masque en boit une gorgée, lentement, il sent le vin descendre en lui, réchauffant ses entrailles. Ce n'est pas un bon cru, mais avec ce froid, ça fait du bien. Puis il repose son verre et plonge son regard dans celui de Louis.


- Tu vois Louis, on a mis de gros moyens, on a pris de gros risques pour vous libérer. Vous êtes presque libre. Presque. En échange de votre liberté totale nous ne demandons qu'une chose, le sceau comtal. Mais il nous le faut maintenant. Comme l'a dit destinée, vous n'êtes pas en position de négocier... je pense que vous avez pu voir que nous sommes prêt à tout pour le récupérer...
Louis_mandrin
Louis a mal aux fesses.
Mais c'est pas maintenant qu'il se plaindra d'être loin d'une prison. Il regarde d'un air sombre les 2 personnes qui lui font face en se frottant les poignets endoloris. Ces gens l'appelle Louis, ils ne les a donc pas rencontré en taverne, sinon ils l'appelleraient l'Artiste, tel qu'il se présente. C'est qu'ils ont dut trouver son nom au tribunal. Il pense en son dedans de la tête qu'Ambly et lui font maintenant partie d'un complot quelconque qui profite de la faiblesse du comte après l'enlèvement.

Maintenant il comprend mieux, même s'ils ne se devoilent pas. Ces gens sont donc là pour le sceau comtal et uniquement pour cela. Louis ferme les yeux et prie pour que Maintranchante vienne les tirer de ce mauvais pas une fois de plus. Quand il rouvre les yeux, il sait que la nuit va être longue... très longue.


Nous n'avons plus le sceau... Depuis longtemps, nous l'avons envoyé à Maintranchante, mon maître et complice.
La chose que vous cherchez est très loin d'ici, et ni moi ni Ambly ne saurions vous dire où... ni même si cela est encore vrai.

Torturez nous mais vous ne saurez rien de plus. Il s'agit de la vérité.


Louis regarde ailleurs et attend l'inevitable torture qui va tout de même s'ensuivre. Ce sont des pros à ne pas en douter. Et il lui faut tenir le coups le plus longtemps possible pour qu'ils ne prennent pas le temps de s'occuper d'Ambly. Le pire serait à redouter sinon.

Un moment il pense et imagine un tas de mensonges probables et crédibles, mais il se souvient que les bourreaux ne cherchent jamais vraiment la vérité plus que la douleur. L'Artiste n'a jamais été en si mauvaise position. La fois où il avait perdu une dent, ou celle où il avait été pendu par les pieds seraient de la rigolade à côté de ce qu'il l'attend et il le sent tout aussi surement que le sol glacial de cette cabane.

Une vieille comptine lui revient à la tête. Celle du petit zoizeau qui piaille dans son nid et tombe sur la route. Le petit zoizeau a froid et piaille encore plus fort sur la route. Une vache passe et voit le petit zoizeau. Elle le prend en pitié et lui lache une énorme bouse bien chaude par dessus. Mais le petit zoizeau continue à piailler... Là dessus arrive un renard, qui entend les cris du pauvre zoizeau, il s'approche, le sort de la bouse... et croc le mange.... (*)

Seul un miracle pourrait les sauver vraiment de ce bourbier sans nom dans lequel ils s'agitent tous depuis quelques temps. L'Artiste, découragé, laisse échapper un long soupir et regarde par la fenêtre, de dépit. Il voit alors quelque chose s'agiter sur le bord de la fenêtre à l'extérieur. Fasciné, il regarde la chose puis reconnait enfin. Il se redresse et s'ecrie :


Mince c'est un pigeon !! Ya un de mes pigeons sur le bord de la fenêtre ! Laissez moi l'attraper... il m'a retrouvé, il doit forcement avoir un message à la patte.


Louis prie intérieurement que ce soit enfin la réponse qu'il attendait depuis le début de sa détention. Il se lève pour aller à la fenêtre.










(*)
http://fr.youtube.com/watch?v=MFkpWECLW3c&feature=related
Si vous avez un peu de temps, voyez ou revoyez ce moment d'antologie^^
En tout cas, Terence Hill la raconte bien mieux que moi...

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