Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8   >>

[RP] Et Slamjack défia le Pouvoir en Place

--Le_masque
Tandis qu'Ambly et Louis se restauraient rapidement, Le Masque était perdu dans ses pensées. Quelle étrange chose que le destin. La politique change, les alléas de la destinée aussi... Un bruyant rot de Louis amena le regard bleu du masque sur les deux ex-prisonniers. Il y a moins d'une heure ils étaient si près de la souffrance et de la mort... et maintenant tout à fait sauvé... ou presque...

Et L'Obscure... combien de chance aurait-il eu de la rencontrer sans cette histoire ? Etrange destin...

Destinée partit en claquant la porte, et Le Masque comprenait sa frustration. Elle avait décidé de poursuivre son chemin vers Brugge... Lui devait aider à mettre les deux ex-prisonniers hors de danger. Ensuite il reprendrait sa vie plus ou moins normalement. Plus ou moins.

Il lança des vêtements sur la table. Des uniformes.


- Allez, enfilez ça, et en vitesse. On est pas à l'auberge! Et pour vos chevaux, désolé... sont toujours à Dunkerke. Mais vous n'en aurez pas besoin. Merci de ta proposition d'aide Ambly... mais... restez vivant, et surtout parlez en mal du Comte Doudou où que vous alliez!

Un Souffle et La Silencieuse allait venir chercher Louis et Ambly. Il entraîna L'Obscure à l'écart, près de la porte, afin de règler certaines choses, notemment faire disparaître toute trace de leur passage ici. Et permettre ainsi à Louis et Ambly de se changer rapidement...
--L_obscure



La fin est proche, bientôt les prisonnier seront loin et cette histoire oubliée. L'Obscure a fait ce qu'elle avait à faire, le reste ne dépend plus d'elle. Elle sait qu'elle fait partie du même monde que ses deux prisonniers, qui ne le sont plus et qui sait, l'avenir les amènera peut être à se recroiser.

Destinée semble aussi en colère que la mercenaire, elle la comprend. Le Masque lui, fidèle à lui même est plus serein. Il donne des uniformes à l'homme et la femme, les enjoignant à se changer, puis entraîne la jeune femme à l'écart.

C'est alors que l'Obscure laisse tomber la capuche et lui sourit.


...
Felina
La Féline, le sourire aux lèvres n'a plus à se cacher. Si tant est que l'on apprenne un jour qu'elle faisait partie de ceux qui ont libéré les brigands des geôles de Dunkerque, elle en assumera les conséquences et la tête haute.

Jamais elle n'a fait preuve de lâcheté, et elle ne s'est encapuchonnée que pour la réussite de la mission. Désormais, elle veut retrouver sa liberté, et personne la forcera à se dissimuler encore plus longtemps. Elle doit retourner à Dunkerque avec son frère, prendre des nouvelles de sa nièce. La vie continue, elle va comme elle l'avait décidé passer l'hiver ici avec les autres Rastignac et qui sait, peut-être verra t-elle ce comté revivre et sortir de sa léthargie. Sinon, elle repartira, sans oublier tous ceux qui l'ont accompagné dans cette aventure et qui resteront avec elle, dans son souvenir, où que les chemins la mènent à l'avenir.

Elle prononce quelques mots à l'intention du Masque, lui promettant de ne pas révéler qui il est puis s'adresse à Louis et Ambly.


Ce fût un plaisir de vous rencontrer tous des deux. Sans rancune jolie brune mais s'il avait fallu que je te tue pour obtenir ce que je voulais, sache que je l'aurai fait.
Bonne chance à vous pour la suite. Partez loin de ce comté et n'y revenez pas ... On se reverra peut être, ailleurs, un jour ... Le monde des Brigands est petit.


Un clin d'œil et Félina entreprend de nettoyer toute trace de leur passage icelieu avant qu'ils ne partent.
_________________

Les Rastignac -------- RPartage
--Destinee
Bruges avant les resultats des elections

Destinée était arrivée au petit matin dans la capitale, elle avait descendue sur ses epaules sa capuche, et entrouvert sa cape noire, elle deambulait ainsi comme n’importe quelle jeune femme qui s’affairait en ville.

De rues en ruelles elle arrivait aux abords du château, il y avait beaucoup d’effervescence, comme chaque jour de nombreuses allées et venues, des enseignants, des soldats, des pretres, des nobles ….sans compter les representants du peuple ; les conseillers elus qui se rendaient eux aussi au château pour y sieger…Elle n’eut donc aucune difficulté pour se faire passer pour l’un d’entre eux, et pénétra de cette façon dans l’enceinte du château, ne lui restait qu’à trouver le bureau du comte, surveiller les entrées et sorties, le nombre de gardes, les rondes…..et attendre la nuit, bien cachée dans un recoin.

Elle avait trouvé un endroit parfait, de là où elle était elle avait une vue imprenable sur le bureau du comte, il venait justement de s’absenter, les gardes etaient au bout du couloir et l’accompagnait, elle pénétra dans la pièce et se cacha à l’abri d’une tenture, qui ornait une des fenetres juste derriere la table de travail du comte, plus qu’à attendre à nouveau, aucune importance, elle avait tout son temps, et bien plus encore.

Du bruit dans le couloir, ils revenaient, les gardes resterent a l’exterieur, et sa grandeur Doudou faisait son apparition, elle ne l’avait jamais vu de si pres, il ne pouvait se douter de sa présence, il s’installa alors sur son fauteuil, derriere sa table de travail….il était là devant elle à sa portée enfin….il était penché et s’amusait avec de la cire, son cou nu s’offrait à elle.
Mais ce serait une mort trop douce, elle lui sauta dessus et l’assoma legerement avec le manche de sa dague, juste pourqu’il perde connaissance le temps qu’elle l’attache, sa tête tomba lourdement sur son bureau sans bruit, ce qui n’alerta pas les gardes.
Elle s’empressa de lui attacher les mains dans le dos, et le baillonna.
Doucement Doudou se reveillait, elle se tenait devant lui, elle avait prit soins de masquer son visage, et avait relevé sa capuche, elle pouvait lire la peur dans on regard, enfin dans le seul œil qu il avait encore….Une idée ça lui crever! Elle approcha la lame de sa dague et la fit glisser sur sa joue, lentement contournant l’ovale de son visage descendant le long de sa jugulaire, elle enfonça la lame legerement et lui chuchota
« ça serait tellement facile de t’egorger là maintenant comme un poulet »….Mais elle n’en fit rien, non pas tout de suite….la lame continua son chemin,d’un geste sec elle lui lacéra sa chemise et lui degagea le torse, la pointe de sa lame glissant sur son ventre…. le regard de Doudou changea subitement, son œil se fit gauguenard, sans doute s’imagina t il se faisant violer" à moins que je ne t’étripe tel un goret " . Mais Destinée avait une toute autre idée, elle se saisit du baton de cire avec lequel le comte s’amusait… « tiens tiens….de la cire, et oh un sceau….quelle coïncidence j’en cherchais un justement, on va jouer a un petit jeu tous les deux, ça te dit ? » elle commença a faire fondre la cire à l’aide d’une bougie et la fit couler sur les seins du comte, goutte à goutte prenant un plaisir sadique de voir Doudou grimacer sous la chaleur de la cire brulante ….puis y apposa le sceau tant convoité !
Mais soudain, un conseiller fit irruption dans la pièce sans prevenir, voyant la scene il hurla à la garde qui fit irruption immediatement, Destinée n’eut que le temps de se jeter sur la fenetre et de l’ouvrir, elle était debout sur le rebord lança un dernier regard derriere elle une fraction de seconde,les gardes accourraient pour se saisir d’elle, sans hesiter elle se jeta dans le vide, son corps s’ecrasa dans un bruit sourd plusieurs dizaines de mètres plus bas, de la fenetre les gardes ne voyaient plus qu’une masse sombre, lorsqu’ils se rendirent sous les fenetres du bureau du comte, ils s’empressèrent de soulever la cape mais le corps avait disparu…..Il faisait nuit noire et une epaisse brume enveloppait alors le château, la seule chose que les gardes entendirent alors fut un rire à vous glacer le sang
…..wouhahahahaha…….
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)