---fromFRpatience
déplacé de la gargote par ~*souricette*~
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Merci aux censeurs de supprimer les posts incohérents, le flood ainsi que les photos.
Merci de respecter ce RP.
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Depuis plusieurs jours, la salle pavée du petit château inhabité de Varesnes sétait soudainement animée du va-et-vient de domestiques et de livreurs. De magnifiques tapisseries rouges et or avaient été suspendues aux murs fraîchement repeints, et le blason des Richebourg était désormais mêlé à celui du domaine de Varesnes. Ariane vint voir si tout était en ordre ; elle parsema le sol de quelques roses roses fraîchement coupées. Les tables serviraient à recevoir les cadeaux des invités ; le banquet naurait pas lieu dans cette salle mais sous de grandes tentes, dans la prairie. Elle jeta un dernier coup dil tout en se demandant si un jour elle devrait vivre ici avec sa maîtresse et son nouveau maître. Patience ne lui ayant pas donné de consignes à ce sujet, toutes les malles étaient restées en ville, au Parangon. La jeune fille soupira et ferma doucement la porte. Dans les jardins, elle coupa autant de bouquets de roses et de lilas que de tablées, tout en se disant quil nétait point convenable pour la noblesse de persister à vivre dans une auberge peuplée de troubadours ripailleurs et de poètes rêveurs, chose quelle ne se permettrait jamais de faire remarquer bien-sûr puis elle rejoint les tentes.
Lair frais de la mer venait atténuer la douce chaleur printanière. Ariane disposa avec goût les fleurs sur les nappes de lin blanc. Au loin, des cloches sonnèrent. Les convives allaient arriver ! Elle se dépêcha daller donner les directives en cuisine.
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Depuis plusieurs jours, la salle pavée du petit château inhabité de Varesnes sétait soudainement animée du va-et-vient de domestiques et de livreurs. De magnifiques tapisseries rouges et or avaient été suspendues aux murs fraîchement repeints, et le blason des Richebourg était désormais mêlé à celui du domaine de Varesnes. Ariane vint voir si tout était en ordre ; elle parsema le sol de quelques roses roses fraîchement coupées. Les tables serviraient à recevoir les cadeaux des invités ; le banquet naurait pas lieu dans cette salle mais sous de grandes tentes, dans la prairie. Elle jeta un dernier coup dil tout en se demandant si un jour elle devrait vivre ici avec sa maîtresse et son nouveau maître. Patience ne lui ayant pas donné de consignes à ce sujet, toutes les malles étaient restées en ville, au Parangon. La jeune fille soupira et ferma doucement la porte. Dans les jardins, elle coupa autant de bouquets de roses et de lilas que de tablées, tout en se disant quil nétait point convenable pour la noblesse de persister à vivre dans une auberge peuplée de troubadours ripailleurs et de poètes rêveurs, chose quelle ne se permettrait jamais de faire remarquer bien-sûr puis elle rejoint les tentes.
Lair frais de la mer venait atténuer la douce chaleur printanière. Ariane disposa avec goût les fleurs sur les nappes de lin blanc. Au loin, des cloches sonnèrent. Les convives allaient arriver ! Elle se dépêcha daller donner les directives en cuisine.
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