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[RP] Domaine de Varesnes

---fromFRAnonymous
Après ce recueillement Tenebrae quitta comme elle était venue le Chateau de Varesenes emportant avec elle cet aurevoir qu'elle venait de faire à son parrain.

Il était bien inutile d'avoir des remords maintenant pour ne point avoir chercher à mieux le connaitre de son vivant. Peut-être par orgueil de la présence de la Baronne.

Quoiqu'il en était, elle garderait au moins d'un homme, un souvenir merveilleux.

Elle secoua vivement la tete lorsqu'une larme voulu poindre et rouler sur sa joue.

Elle ne pleurerait pas. C'était inutile. Cela ne fait pas revenir les morts.


Au revoir Parrain murmura-t-elle lorsqu'elle fut hors portée de voix. Et le vent, le ciel emportèrent avec eux cet hommage fait a cet homme.
---fromFRhyihyil
Un sourire naquit aussitot sur les lèvres de l'homme austère lorsque la jeune Ariane courut pour le stopper sur son départ. Il l'écouta avec attention et accepta son présent avec beaucoup de plaisir.

"Merci beaucoup ma petite Ariane pour cette attention qui me va droit au coeur. Tu pourras dire à ta Maîtresse que je vais attendre sa missive avec impatience et que je suis prêt à accomplir toutes missions qu'elle aurait à me confier. Allez, Ariane, la Baronne a besoin que tu sois forte pour elle. Nous nous reverrons bientot."

Et c'est le coeur moins lourd qu'il s'en fut par les chemins vers d'autres horizons...
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Visitez La "Tannière de l'Ork Bourré", la seule, la vraie !
---fromFRAriane.
Ariane le regarda partir, quelques instants. Un vent glacial soulevait les quelques mèches blondes qui s'étaient échappées de son capuchon rouge. Elle sourit et se détourna bien vite. Qu'Aristote prenne soin de lui, pensa-t-elle. Et elle rentra bien vite pour accueillir Alazaïs et la guider dans le château.
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Kolmar
Kolmar souri tristement a la jeune femme .

Je ne sais ma fille , je ne sais quand et pourquoi notre Seigneur rapelle a lui des hommes aussi sage qu'Olivier... je ne sais qu'el sont ses dessein mais ce que je sais m fille c'est que notre seigneur est amour et qu'il sait le chagrin que nous cause la perte d'Olivier. Je reste convaincu qu'il vous donnera par quelque moyens que je ne connais pas encore du bonheur et de la jois de vivre . Ne serait ce que par respect pour votre epoux , nous devons tous avoir le coeur triste et meurtri mais egalement la tete haute et fier d'avoir croisé un homme tels que lui. Peu de gens ont peu avoir cette chance ma fille et nous devons en rendre grace a Dieu. Je reste convaincu que de la ou il est Olivier continura a veiller sur vous a vous apportez son soutiens et son amour. Il nous reste ses merveilleux ecrits, ses poemes et sa plus belle realisation que vous avez creer tous les deux ses enfants.

Ma fille je ne sais pourquoi il nous a quitter mais je sais pourquoi nous l'avons rencontrer . Pour nous montrer le chemin de l'honneteté de l'amour du respect et de l'amitié. Alors ma fille essayons tout au long de ce qu'il nous reste a passeren ce bas monde a l'image que ce qu'il etait....

Ma fille il faut que je vous quitte je par pour un monastere des ce soir mais je vous promet de revenir rapidement vous voir et vous ecouter...

Kolmar serra tres fort la jeune femme et tourna les talons pour aller priez une semaine durant. Il savait maintenant qui allait etre le sujet de toutes ses prieres....
---fromFRpatience
Kolmar, si fort devant l'adversité, si doux, avait trouvé les mots pour atténuer le feu qui la ravageait depuis des jours. Ils avaient longuement parlé, main dans la main, et une vision plus sereine de la mort s'était peu à peu insinuée en elle ...

Après son départ, elle avait rejoint la chapelle et avait prié pour Olivier, avait remercié le sort de lui avoir donné cette joie de l'avoir cotoyé, d'avoir lu ses oeuvres, d'avoir vécu à ses côtés, d'avoir été aimée de lui. En sortant, sa peine la suivait encore, tenace et noire, mais une lueur avait été ravivée au fond de son coeur.

Elle s'installa à son bureau, lut les dizaines de missives reçues, pleura beaucoup, mais prit la plume avec courage pour rédiger une à une les réponses et pour prévenir les amis éloignés qui n'auraient pas encore appris la funeste nouvelle.

Puis elle se changea, s'habilla de blanc, couleur du deuil, coiffa ses cheveux avec élégance, et décida de recevoir elle-même les prochains visiteurs. Romarin qui avait tant fait, avait besoin de repos.

Pour la première fois, elle demanda à voir son enfant. Plus tard, elle déciderait d'un prénom. Plus tard, il serait baptisé.

Plus tard, elle quitterait Varesnes.

Mais pour l'heure, elle était dans la grand salle et attendait, le regard perdu dans les flammes de la cheminée. Elle devait être forte ... pour lui.

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---fromFRAlix_nourrice
Au petit matin, à Varesnes


Alix s'etait habituée au petit, enfin, c"'etait plutot lui qui s'etait habitué à elle. Elle n'avait croisé la Baronne que quelques jours apres son arrivée au domaine de Varesnes.
La Baronne etait froid, distante, peu bavarde mais si triste et digne.

Alix aurait voulu lui addresser quelques mots, mais la Mere Superieur lui avait bien dit de ne jamais engager la conversation...

Citation:

Tu obéis et seulement lorsque la parole te sera addressée, alors tu repondras, compris?
lui aboyait-elle sans cesse


Alix n'etait pas choquée par le silence omnipresent au domaine, cela ressemblait-tant à son souvent! les servantes allaient et venaient rapidement, sans se regarder dans les yeux... tous avaient l'air triste... oui, c'est sur, ça ressemblait etrangement au couvent de Sainte Marie!

Alix avait bien aimé sa rencontre avec Romarin et avait croisé Ariane aussi.

Elle regarda le petit qui gigotait..


Alors petit prince, c'est l'heure de manger? elle lui souria et le pris tendrement dans ses bras pour lui chanter une comptine et lui donner le sein.
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Alazaïs
La jeune servante s'approcha d'elle et lui conduisit dans le Chateau...

Alazaïs refusa la collation qu'elle lui proposait sauf si celà pouvait permettre à sa maitresse de s'alimenter. Elle connaissait la Baronne et savait qu'elle se laisserait dépérir avant de reprendre le dessus. C'est en c'est moment là qu'une présence est nécessaire.

Certes, Alazaïs et Patience n'avaient jamais été amie, mais elle s'étaient si souvent croisées dans les couloirs du Chateau, qu'elle se respectaient. Du moins, Alazaïs, de nature optimiste, le pensait.

Et puis, Alazaïs aussi avait autrefois perdu l'être aimé... Une triste période qui avait changé le cours de sa vie... Sa souffrance avait laissé place à un besoin spirituel... Mais, elle n'était pas là pou celà: elle voulait juste montrer sa sympathie et assurer la famille de Richebourg de son soutien.

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En cours
---fromFRpatience
Patience reçut la visiteuse avec un faible sourire. Elle la regarda dans les yeux, un instant. C'était étrange de se trouver là, à Varesnes, avec Alazaïs. Etrange mais réconfortant. A Arras, toutes deux se donnaient pour le conseil, allaient de l'avant, défendaient leurs opinions à grands renforts d'arguments, divergeaient sur le sujet de la religion, tombaient parfois d'accord en un sourire entendu, mais rarement se confiaient. Depuis combien de temps se cotoyaient-elles ... Patience n'aurait su le dire. Depuis toujours certainement. Elle prit ses mains et la remercia sincèrement d'être venue.

Une faible éclaircie passa sur le Domaine. Patience proposa d'aller marcher dans le jardin. Elle étouffait dans le château.

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Lisonlune
*Lisonlune avait été informe de la peine qu'avait reçu dame Patience, elles n'étaient pas vraiment amis, Lison connaissait un peu Olivier de nom. Lison savait la peine qu'il en était de perdre son bien aimé, vu que Duffal était parti ya peu de temps elle écriva une missive à dame Patience et cirleh le valet de Lison l'apporta*


*Cirleh arriva au domaine de dame Patience avec une missive*



Bonjour, je suis un messager, je viens de la part de Dame Lisonlune, j'apporte une missive pour dame Patience de sa part.


Citation:
*Chere dame Patience, vous devez être surprise de ma missive, je tenais à vous dire combien je comprends votre souffrance, que je vous donne mes sinceres condoleances vis à vis de Olivier que je connaissais peu. Aristote a vu sa fatigue sans guérison possible. Il l'a entouré de ses bras, en lui disant de le rejoindre. Un proche vous quitte chere Dame Patience mais n'oubliez pas qu'il ne vous quittera jamais, son esprit serra toujours pret de vous. Imaginez vous qu'il vous dise "Il ne faut pas que je te manque, la vie est belle la où je suis, prend soin de toi et souviens toi des jours heureux que nous avons vécu ensemble". Je passerais bientot à bertincourt et je viendrais vous voir si vous me l'accorder.
Je pense fort a vous dans de tels moments difficiles.


Lisonlune de Penthièvre

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Alazaïs
Alazaïs cru apercevoir un sourire, ce qui la rassura sur sa visite impromptue...
Et quand Patience prit ses mains, Alazaïs fut surprise (car elles n'étaient ni l'une, ni l'autre, adeptes des effusions de sentiments) mais totalement apaisée...

La Baronne proposa de sortir. A l'extérieur, il faisait frais, mais pas froid. L'hiver était relativement doux et un châle suffisait.
Le jardin était magnifique: il était flagrant qu'un jardinier se démenait pour son entretien... Alazaïs pensa à Ambricourt, qui faisait bien pâle figure à côté.

Elles se promenaient en silence; Alazaïs ne savait comment le rompre...

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En cours
---fromFRChbod
Chbod, sur le chemin du retour, passa devant la grande demeure dans laquelle il avait de si bons souvenirs... Il se rappelait le festin qui avait suivi la terrible frousse qu'ils avaient tous eue, lorsqu'ils étaient perdus dans la combes.

Une envie presque irrésistible de frapper à la porte du château s'empara de Chbod. Il hésita quelques secondes, puis son bras en suspension retomba le long de son corps. Au lieu de ça, il sortit de sa poche une plume et un morceau de parchemin...


Chère Patience,
juste quelques mots, en ce cruel instant,
mes prières sont toutes à vous et aux vôtres.
Du fils et du père, il en était un de trop,
trop de pureté pour un seul et même monde.
J'espère que vous surmonterez vos chagrins
et qu'ils n'auront raison ni de vous ni de votre joie de vivre.
A défaut de vous voir, je pense à vous souvent,
et à Olivier, qui sut apporter tant de bonté dans nos coeurs.

Avec toute mon amitié,

Chbod.
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Rapporteur de la Grande Pistache à Bertincourt;)
Ecuyer de feu Patience, Baronne de Richebourg
Moine copiste à l'Académie Royale des Belles Lettres
---fromFRErg
[RP en accord avec Patience]

Erg avait facilement effectué le trajet de Arras jusqu’à Varesnes. Il était passé au galop devant la propriété, le temps d’estimer la hauteur des murs et de voir le gardien se réveiller en sursaut au bruit du cheval. Il s’arrêta une lieue plus loin, attacha son cheval dans un petit bois puis revint à pieds jusqu’à la propriété dont il fit le tour. Le plan sommaire qui se trouvait dans le sac qu’on lui avait remis lui permit de déterminer le meilleur endroit où passer le mur pour rester caché dans le sous-bois. De là, il put à loisir observer la bâtisse, ainsi que les allers et venues du personnel et des quelques visiteurs venant rendre un dernier hommage au propriétaire des lieux et rencontrer son héritier.

La petite servante semblait perdue dans ses pensées, visiblement amoureuse d’un homme dont elle murmurait le nom régulièrement… « iiiiiil »… La nourrice avait de son côté fort à faire avec le nouveau-né qui occupait toute son attention. Le palefrenier était parti le matin pour le village et avait vraisemblablement trouvé une taverne pour l’accueillir. Le garde dans la cabane…ne valait même pas la peine d’être mentionné. Il n’était pas question pour Erg de tuer qui que ce soit ici, sauf cas d’urgence. Il lui fallait juste tout incendier. Il passa le temps en planifiant la suite de sa longue journée.

En fin d’après-midi, alors que les ombres commençaient à s’allonger, un créneau s’ouvrit enfin. La gouvernante sortit en effet avec l’enfant pour sa promenade, laissant Ariane seule dans la maison. Erg sortit alors à son tour de sa cachette et avança de recoin sombre en recoin sombre vers la porte de service. Un rapide coup d’œil à l’intérieur de la maison lui permit de voir la brave Ariane occupée à astiquer l’argenterie. Elle en aurait pour un long moment, et ses ahanements couvriraient ses éventuels bruits. Il ouvrir la porte et se glissa dans l’ombre des lourdes tentures noires qui décoraient la maison en deuil. Il sortit de la cuisine et se dirigea sans un son vers le hall d’entrée, richement décoré. Il gravit une à une les marches de l’escalier et arriva dans le bureau du domaine. Ses suppositions étaient justes : parquet en bois, lourdes tentures aux fenêtres, l’ensemble brûlerait sans que l’on puisse l’en empêcher.

Il sortit de son sac des petites flasques d’huile et commença à en répandre autour du bureau, en direction des rideaux. Une fois le bureau préparé, il passa dans le boudoir et versa quelques flasques pour être sûr que l’incendie se répandrait bien. Il fit pareil dans la chambre. Puis il revint dans le bureau, renversa par terre une lanterne éteinte, vérifia qu’il n’avait rien oublié et alluma une mèche. Il sortit sur le palier et la lança. Il descendit l’escalier alors que les premiers crépitements se faisaient entendre. Il entra dans le salon vide, ouvrit une fenêtre puis partit. Il traversa la pelouse en courant et se retourna une dernière fois vers la demeure pour voir de grandes flammes s’échapper du premier étage. Quelques instants après, il avait déjà franchi le mur et s’éloignait dans la nuit tombante.
---fromFRAnonymous
La nuit était presque tombée.

Assise sur un banc de bois au village, Tenebrae admirait simplement le paysage tout en respirant l'air vévifiant de l'hiver qui s'adoucissait.

Son verre de vin chaud presque vide, elle ouvrit les yeux.

Son regard, perplexe, s'accrocha a une lueur étrange qui se profilait dans le lointain.

Plus cette lueur progressait, plus Tenebrae sentit son coeur s'emballer dans sa poitrine. Lui rappelant un moment bien pénible de sa vie.

Elle ne s'y arrêta pas, cette lueur, lui faisait peur sans savoir où elle se situait exactement.

Se levant d'un geste brusque, son verre s'écroulant sur le sol en brisant de plusieurs éclats, Tenebrae loin de s'en préoccuper comme du vin sur son mantel, Dit dans un cri, pour faire réagir les gens qui circulaient,


AU FEU.....

Mais où était donc ce feu?
---fromFRaristochate
En route vers Varesnes


Aristochate avait preparé son retour à Varesnes pour rendre visite à Romarin et Ariane, et voir si le petit avait été laissé à Varesnes. Son cheval Poivre avançait vite, et petit à petit, Aristocghate aperçu une fumée au loin.

Elle etait loin de se douter que Varesnes etait en feu, mais c'est en etendant un cri familier qu'elle pris peur et que son sang se glaça

Téné.... feu.... Varesnes...
murmura-t-elle, et instinctivement, elle donna un coup de pied au cheval pour qu'il galope....


Quelque chose n'allait pas bien, et il s'agissait de Varesnes....

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---fromFRAnonymous
Elle ne pouvait rien faire de plus. Ce feu semblait si loin, que seule, avec ses pieds elle ne pourrait rien vaincre.

Tenebrae bredouille, déçue et la conscience déchirée, faisait demi tour au moment où un cheval passait, elle n'eut pas le temps de remarquer qui cela pouvait bien être. Soudain, a brides abbatues, par des coups dans les flans, le cheval s'en alla en direction du feu.

Elle espérait que c'en était vraiment le cas. Pouvoir sauver ceux qui se trouvaient dans ce lieu serait tout de meme une réussite. Avant que le feu les consummat.

Hooooooooooooooooooooooooo

Elle secoua la tete. NON! Ne pas se souvenir de ce feu! Surtout pas. Pas celui où pour la premiere fois il............

Vivement elle se détourna pour s'en aller a sens inverse.

Elle vit ses amis plus loin qui prenaient place pour le jeu, elle s'y rendit, après tout, si en tant que Soldate on avait besoin d'elle, on viendrait bien la chercher.

Mais LUI ne surtout pas y penser.
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