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[RP] La forêt

Frodon_de_la_cours
attrapa sa main et la suivi en la serrant contre lui
Catyline_de_la_rose
Après avoir passé la journée en forêt à faire des ricochets sur la marre et à méditer, Catyline prit son baluchon et reprit sa route vers les tavernes.
Poum
Une nuit à rien faire quelle perte de temps.
Au soleil levant elle enfile sa cape, le matinées commencent a être fraiches, on sent l'automne qui s'avance dans son manteau de feu.
Elle arrive à l’orée du bois, dans un galop ventre à terre.
La peau de Sugar son cheval fume en une vapeur chaude et humide, les volutes montent vers le ciel matinal.
Mettant pied à terre, elle flatte son ami, le prend par le bride et s'avance dans la forêt.

La fraiche obscurité des bois attire à la réflexion, elle chemine sous la canopée, le soleil jouant avec les interstices des feuilles légèrement bercées par le vent.
Elle souffle un peu, seule, heureuse de ce moment de misanthropie.

_________________
Amaliya
Amaliya, chef de groupe, quoi qu'on en dise, était arrivée a Chalon la veille. Son maïs vendu, il ne manquait plus qu'a finir son regime de fruits et légumes pour ouvrir une échoppe et repartir sur les routes.

Pendant qu'elle allait rester ici, elle eut l'idée d'aller en forêt avec le ptit loup des prairies, pour s'entrainer a leur travail.
Enceinte de six mois, elle se mouvait encore facilement, meme si elle n'allait pas se tapir dans l'ombre, ni meme s'accroupir.

Avec le ptit loup, un peu plus tot en taverne, ils discuterent et finirent par vouloir aller faire un tour en forêt.
Amaliya allait-elle perdre ce ptit loup de clairiere..

Bras dessus, bras dessous, ils allèrent traverser la ville pour atteindre la forêt. A la lisière, deja on pouvait sentir l'odeur des cyprès et quelques autres arbres.
Un peu humide par endroit, ils s'enfonçerent lentement mais surement au coeur de la forêt.

Petit poucet devrait semer des cailloux...
Amaliya avait gardé son épée on ne sait jamais ce qu'on pouvait trouver en forêt.


Bon ici c'est bien.

Elle s'arrêta mettant ces mains sur ces hanches, surtout qu'elle était fatiguée de marcher de part la grossesse.
La place était grande et decouverte. On pouvait sentir les rayons du soleil caresser la peau nue.

En regardant le ptit loup, elle lui dit:


Bon imaginons que je sois une damoiselle esseulée et toi bha un loup feroce et avide de bourses.

Elle lui sourit, il avait plus l'air d'un bébé chat mais bon passons.

Montre moi comment tu ferais.

Amaliya faisait semblant de marcher insouciante en pleine nuit. Se baissant par moment ou trebuchant a cause d'une fausse pierre.

Bon, tu te bouges ptit loup de prairie!!

Amaliya se mit a rire un instant.. pouvait pas rester sérieuse deux minutes celle la,, puis en prenant une grande inspiration elle continua sa fausse ballade la bourse pleine.. vraiment pleine d'ailleurs...
Baswiz
Baswiz accompagné d'Amaliya s'enfonce au cœur de la forêt de Châlon.
En plein milieu de la forêt, Amaliya s'arrête et décide de commencer l'entrainement ici.


Cet endroit me convient !

Il regarde Amaliya jouer son rôle de demoiselle en détresse et se prépare à attaquer.
Se cachant derrière un arbre Amaliya ne cesse de le chercher mais en vain. Elle regarde devant derrière, mais rien, il avait disparu...


Bouuuh ! Je t'ai bien eu !

Baswiz éclate de rire tandis qu'Amalya reprend ses esprits dû à la peur bleue qu'elle venait de subir...
Amaliya
Amaliya marchait et commençait surtout a s'impatienter, quand elle se retourna voir ce qu'il faisait.
Le ptit loup avait disparu, non mais franchement, c'était l'heure de jouer a cache a cache.

Un regard par ci, par la, rien de rien, erf il l'avait semer si ça strouve et vu son sens de l'orientation, Amaliya risquait de rester la des jours entiers.
En pleine réflexion, voir un leger vent, bon une toute petite brise de panique l'envahissait quand un individu de caractere idiot sorti de nul part et criait:


Baswiz a écrit:
Bouuuh ! Je t'ai bien eu !


Amaliya eut le coeur qui parti dans des contrées inconnus pour se cacher tant elle eut peur. La main sur la poitrine, elle essayait de retrouver son souffle et le ptit loup de ferme était plié de rire.

Après quelques minutes, elle put enfin parler:


Mais jt'ai pas demandé de me tuer ou de me faire accoucher sur place!!

L'autre main sur le ventre, elle le regarda en secouant la tete

Ca va pas bien dans ta tite tête

Indiscipliné ce ptit loup sorti du nid. Lui faut une leçon en plus. Amaliya sortie son épée de son fourreau, aussi rapidement qu'inattendu et la tendit entre les jambes du ptit loup, magnant agilité et précision. Elle faisait remonter la lame dangereusement vers le précieux des hommes.

Me refait pu jamais ça, ou ça sera la dernière fois que tu parles avec une voix d'homme.

Amaliya le regarda droit dans les yeux, c'était qu'elle était devenue rebelle maintenant, mais surtout, telle une louve qui protègeait son bébé encore chaud dans son ventre.
Un coup a la faire accoucher sur place. Il réfléchissait pas çui la.
Nilia
La brune venait tout juste de rencontrer une nouvelle arrivante à Chalon. Celle-ci se nommait Alienor Marguerite et était vraisemblablement d'une amabilité et d'une gentillesse à toute épreuve. Owen l'avait bien appréciée et elles avaient discuté simplement et tranquillement dans une ville de Chalon, redevenue calme.
Alienor lui avait d'ailleurs demandé où loger et où elle pourrait laver son linge. La jeune maman lui avait indiquée la rivière pour le linge et avait proposé de l'y conduire.

C'est ainsi qu'elle attendit l'arrivée d la brunette, là, à la lisière de la forêt, portant son bébé dans les bras.
Il faisait un peu gris et une petite brise soufflait en faisant bouger les feuilles des arbres.
Owen patientait tranquillement, debout près d'un arbre.
Alienormarguerite
Aliénor-Marguerite,était arrivée a Chalon la veille au soir,avait rencontré de charmantes personnes,puis s'était retirer pour trouver un abri pour la nuit dans une grange. Le lendemain elle retira la paille dans ses cheveux noir se peigna et se rendit en taverne où elle fit la connaissance d'une charmante jeune femme,mère d'un petit Adrian.
Les jeunes femmes bavardèrent et Owenra lui offrit sa première chope de la journée. Owenra conseilla la rivière a la brune afin de laver son linge et de s'y rafraîchir.
La tavernière passa la première et guida Aliénor Marguerite jusqu'a la foret,mais la jeune fille ne marchait pas vite n'était point habituée aux forêts et se faisait attention de ne point s'écorcher avec les ronces ou les pierres. Enfin elle vit le cours d'eau et sa guide appuyer contre un arbre. La brune lâcha son baluchon et reprit ses esprits


Veuillez m'excuser,je ne marche point aussi vite que vous Owenra voici donc l'endroit où vous lavez votre linge ? Je vais d'abord me rafraîchir quelque peu dit elle en souriant doucement.

Elle sortit un grand linge blanc un pain de savon,transforma son linge en paravent en s'aidant des branches d'arbres et passant derrière se dévêtit et entra dans l'eau froide son pain de savon en main. Sa peau si blanche telle la nacre devint légèrement rosée.
Posant le pain de savon elle plongea dans l'eau afin de se rincer. Puis sortant des ondes,elle reprit son paravent et le noua autour d'elle a la manière des femmes Grecques. Rangeant ses effets elle sortit une brosse un peigne et une houppelande bien chaude d'hiver elle s'habilla la hâte tournant le dos a Owenra puis une fois vêtue entreprit de se coiffer,une fois fait,elle mit sa coiffe très simple de tous les jours. Enfin prête elle sortit son linge sale et plongeant ses prunelles émeraude dans celle de sa guide


Bien a présent j'ai plus a laver mon linge

Joignant le geste a la parole elle reprit le pain de savon et s'accroupissant prés de l'eau se mit a laver ses toilettes tout en discutant avec la jeune maman

Vous venez souvent icelieu afin de laver vos effets ? Comment faites vous lorsque la rivière est gelée ?
Nilia
Owenra sourit à Aliénor lorsqu'elle arriva à sa hauteur, la rassurant.

Pardonnez-moi, je n'ai pas mesuré ma cadence. Oui c'est souvent ici que je viens. Mais faites donc.

Elle se détourna afin qu'Aliénor ne soit pas gênée. Non pas que la brune était pudique mais elle avait remarqué que la jeune femme paraissait gênée lorsque la maman donnait son sein en taverne.
De ce fait, elle ne se retourna que lorsqu'elle entendit la jeune femme annoncer qu'elle allait laver son linge.

La regardant faire, la brune s'assit sur un rocher et laissa ses pieds nus tremper dans l'eau froide. Tournant le regard vers Aliénor, elle lui sourit avant de répondre :


Oh oui, j'y viens assez régulièrement, surtout ses derniers temps pour laver les langes d'Adrian. Quand elle gèle... Eh bien... on lave avec l'eau du puits ou on casse la glace, au choix.

Elle rit doucement et la regarda laver son linge.
Alienormarguerite
Aliénor Marguerite était contente de pouvoir se reposer un moment,elle n'avait pas cessé de voyager de contrées en contrées. Mais elle savait qu'il lui faudrait reprendre la route. En attendant elle lavait son linge en discutant avec Owenra. Elle frotta énergiquement ses toilettes afin de les rendre a nouveau propre et belles,tout en travaillant elle écouta la brune

Citation:
Oh oui, j'y viens assez régulièrement, surtout ses derniers temps pour laver les langes d'Adrian. Quand elle gèle... Eh bien... on lave avec l'eau du puits ou on casse la glace, au choix.


Ohh oui je comprends,ce doit être plus rude en hiver j'imagine

La fille de l'Archiduc de Transylvanie termina de nettoyer ses effet, elle les plia dans son baluchon en ajoutant : je les ferai sécher dans la chambre

La jeune fille de seize ans s'assit a coté d'Owenra en faisant attention de ne pas glisser a nouveau et lui sourit

Merci Owenra je n'aurai pas pu trouver sans vous,a présent je saurai y aller pour une prochaine fois....
Ysiphride
Ysiphride, d'un pas discret, s'approche de la rivière. Elle y voit sa sœur, au loin, s'appliquer dans ses langes.

Elle regarde le sol un peu humide, puis s’assoit. Elle rapproche ses genoux de sa poitrine et les enveloppe de ses bras menus. Son visage se fixe sur sa sœur, ses yeux ne laissent entrevoir aucune émotion. Impassible, elle reste là, sans bouger, le regard posé sur cette femme calme et aux gestes d'une extrême douceur.

Le temps s'écoule, les minutes se succèdent, une atmosphère paisible et silencieuse demeure.

Avant que la femme ne finisse son ouvrage, Ysiphride se lève sans bruit et, dans une démarche tranquille, s'enfonce dans la forêt.
Alienormarguerite

Aliénor Marguerite,se releva elle avait fini de laver son ligne,elle prit son baluchon remplit de linges et souriant a Owenra

Rentrons a présent,le linge sentira mauvais si je le laisse ainsi,joignant le geste a la parole,elle s'avança lentement faisant quelques pas,reprenant le chemin dans l'autre sens. Se retournant


Venez vous ?
Nilia
Owen porta son regard sur Aliénor, s'apprêta à la suivre quand une odeur alléchante vint lui rappeler qu'elle n'avait pas chasser aujourd'hui. Offrant un sourire aimable, elle répondit à la jeune femme :

Le merci mais je vais encore rester encore un peu, vous arriverez à trouver le chemin ?
Daniella_00
Daniella était arrivée a Chalon depuis peu. Elle avait fait quelques rencontres bien sympathique et dans un conversation, elle entendit qu'il y avait une forêt pas très loin de là.
Elle aime la nature, le bruit des oiseaux, le vent frolant les feuilles des arbres etc... Donc, elle decida de s'y rendre, seule, et en pleine nuit d'insomnie.
Le temps était clair, une belle Lune faisait brillait la rosée sur l'herbe...
Un magnifique paysage s'ouvrait à ses yeux.
Tans bien que mal, elle trouva un tronc scié et s'assit dessus pour contempler les étoiles...mais avec ce froid d'hiver, Daniella pensait que la cape de messire Solidusrex serait la bienvenue sur ses épaules..
Le regarde fixé sur les cieux, elle vit quelques étoiles filantes et sourit.
Elle se mît a rêver...
Claireuh
Comme presque tous les matins, je m'étais levé très tôt, avant même qu'Emile ne crie famine. Alors que mes deux hommes dormaient encore, je profitais de manger, de m'habiller et de préparer mes affaires pour ma sortie du matin.
J'étais en train de nettoyer mon épée quand Emile se réveilla enfin et qu'il se mit à pleurer, réclamant sa tètée; l'entendre pleurer était à chaque fois une déchirement. Je me hatai alors rapidement à son berceau et je le pris dans mes bras, bisouillai son visage et le berçai. Je m'installai sur la chaise à bascule, comme j'en avais pris l'habitude et donnai le sein à mon fils. Chaque fois que nous vivions cet instant lui et moi, mon coeur se remplissait d'amour et de bonheur. Je caressais le front de mon bébé, lui chantais de douces mélodies alors que lui me regardait avec ses grands yeux bleus émerveillés. Je n'arrivais pas à expliquer tout ce que je ressentais dans ces instants là, c'était tellement magique, c'était notre lien, notre moment; j'avais l'impression qu'il me racontait tout et moi je l'écoutais.

Une fois que le bébé avait bien mangé et que je m'étais assurée qu'il était propre, qu'il ne manquait de rien et qu'il était bien emmitouflé dans son couffin. J'allai embrasser Ambroise avant de partir. Emile avec moi, je pris alors la direction de la forêt.

Depuis que j'avais enfin donné naissance à mon fils, j'avais repris quelques habitudes, dont celle d'aller en forêt ou aux bois pour aller m'entrainer, faire de l'exercice. Cela m'avait énormément manqué. Je dis pas, être enceinte avait été merveilleux, sentir la vie grandir en soi, établir un lien unique, mais en même temps... C'est vrai quoi! Tout ce que j'aimais faire, je ne pouvais plus le faire. Fallait tout le temps faire attention à tout; fini les bagarres, fini de grimper aux arbres, fini les entrainements en forêt, les baignades de minuit et Ambroise me faisait même les grands yeux quand je buvais un verre de trop. Finalement j'étais là et je devais attendre qu'il arrive. Et bien le temps, comme ça, il passe LONG! Enfin, maintenant tout avait repris son cours normal, enfin presque, et je débordais d'énergie. Et je souriais d'avoir enfin pu reprendre l'exercice et d'emmener avec moi Emile.

Arrivée à la forêt, je me hâtai à l'endroit tranquille que j'avais déniché. Il y avait un grand espace et personne n'était encore venu me déranger, si ce n'est que quelques animaux, certainement surpris de me voir là. Je déposai le couffin d'Emile sur le gros tronc d'abre enraciné au sol, il était un peu abrité c'était donc parfait. Je vérifiai qu'il n'ait pas froid; il s'était rendormi. Ce gamin il avait une chance incroyable, il faisait que de roupiller. Il mangeait, dormait et était étouffé d'amour. Moué, pauvre enfant.
Une fois que je m'étais assurée qu'il allait bien et ne risquait rien, je commençai mes exercices.
Je sortis mon épée de son fourreau, le sourire aux lèvres, elle m'avait manqué celle-là. J'entrepris alors les différents exercices que m'avait appris le Faucheur. A chaque fois, j'avais une pensée pour lui; les souvenirs remontaient à la surface.
Au fil des exercices, de l'effort et la concentration, mon corps retrouva sa souplesse, sa grâce; je le sentais, c'était bon, une sensation agréable, je ne faisais plus qu'un avec mon épée, comme autrefois. Un coup d'oeil à Emile et me voilà repartis dans une danse diabolique et envoûteuse, avec comme alliée rien que mon épée.

Je m'arrêtai un instant, Emile s'était réveillé, il me regardait avec ses grands yeux. J'avais envie de le bouffer, mais bon il restait tranquille donc je continuai. Une petite pensée pour Trystan que j'avais rencontré, il y a peu de temps mais déjà qui avait osé me défier. Aucune chance! J'en souriais.
Puis je regardai cet arbre là, qui me défiait lui aussi, je voyais bien. Je n'étais pas du genre à me laisser narguer comme ça, donc ni une ni deux, j'essayai de le grimper. Mais ma première fut mauvaise et je tombai lourdement au sol, m'écrasant sur les fesses.

Bordel de m... !!!
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