[RP] Jeux - Le livre des quatrains

Chivas agitant ses jupons bleus de gitane arrive le regard pétillant de bonne humeur. Plume en main, se met alors à faire danser les quatre mots donnés.
gourgandine - muse - mutine - abuse

Qui suis-je? Une gourgandine?
Est ce que j'inspire? telle une muse?
Et mon comportement est il celui d'une mutine?
Hum..... PACHI.... tu abuse(s).

Un peu d'humour dans ce monde de fous. Tous je vous aime sans exception.


NEIGE - ARPEGE - BONHEUR - HEURE
_________________

Le vent d'ici roulait son âpre haleine dans les grands arbres gelés de cristal .

Lady se rendait dans le lieu de la rimaille elle chipa un autre mot a Chivas et elle composa son Haïku de la nuit .

" Neige unit au ciel
aux grands nuages de soie
les jardins dorment "

En sortant elle reposa les quatre jolis mots , pour les poètes suivant

Neige , Arpège , Bonheur , Heure
_________________

Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

La pluie entonnait sa jolie chanson , avec le vent d'ici qui râlait dans le chemin qui menait dans le lieu des muses causantes .

Lady chipa un mot et composa son Haïku du dimanche

" Parchemin d'amour
dort contre mon petit coeur
tendres souvenirs "

Lady partit et posa les quatre jolis mots choisis pour les muses causantes

Messagère , Bergère , jasmin Parchemin
_________________

Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Le ciel s'était enluminer de rose en ce matin frisquet ,Lady qui était de retour en BA vint faire un petit tour au lieu des muses causantes .
la rimaille était toujours éblouissantes , le temps n'avait pas engloutis , la plume et son encrier , elle chipa un mot au poète précédent .

elle composa son Haïku de retour de voyage .

" Volupté des heures
en longs accords lumineux
le vent nous sourit "

et avant de partir elle reposa les quatre jolis mots du poète pour les suivants

Sensualité - Volupté - Flagrance - Fragrance
_________________

Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

HO HO ho.... bien longtemps que je ne m'étais posée dans la prose... je reluque les mots donnés par Eudoxie, hum je suis blonde bordel!!!! Obligée de prendre un Dico avant de glisser quoi que ce soit... je grogne cherchant la définition de chaque mot enfin non pas tous chui pas NEUNEU à c'point hein!

Qu'elles sont jolies ces maisons au toit d'ARDOISE!
Je me sens dans cette ville comme un vrai COLIBRI!
Chanter!!! je ne l'avais fait depuis des lustres!J'en suis PANTOISE!
Tout cela grâce à quiqui? A un AMI.

Je me relis, hum.... avec toute la modestie qui me caractérise, je trouve que c'est sublime! Toujours Laisser Lucie Faire....

Odeur, sueur, pique nique, nique! *raye le dernier mot et réajuste voudrait pas déjà choquer les habitants, met un PA avant le NIQUE.
_________________

De retour dans le lieu des muse causantes , Lady écoutait le vent d'ici lui murmurait des complaintes loufoques .

la rimaille n'était pas pour ce soir , mais un Haïku oui , elle chipa un mot a Chivas et composa son petit poème de nuit .

" Message reçue
pour fêter les noces à venir
mariage heureux "

Avant d'aller poser ses yeux sur l'oreiller de plumes , Lady reposa les quatre jolis mots pour les poètes suivants


MARIAGE - IMAGE - CORSAGE - MESSAGE
_________________

Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Sa belle Chivas laissa 4 mots en -age ; elle devait être en plein voyAGE, dans ses rêves sur un nuAGE. Pachi prend la plume, et tranquillement réfléchit, tout en regardant les jolis haikus de Lady.

Du jour où ils se promirent en mariage,
La nuit, leurs rêves étaient peuplées d'images
Tendres ou osées, comme entrouvert un corsage,
L'imaginaire fécond, et deux simples mots pour un message.

*Ca recommence*

BONJOUR - PARCOURS - AURÉE - DORÉ
_________________

Toujours le coeur aux humeurs sombres , malgré le vent d'ici tout guilleret , Lady vint au lieu des muses causantes , dans la soirée qui s'éveillait .

elle chipa un mot a Chivas et elle composa son Haïku du soir .

" Parcours bien Longué
pour un petit coeur en peine
soupir de printemps "

Avant de quitter le lieu de la rimaille , Lady remit les quatre jolis mots

BONJOUR - PARCOURS - AURÉE - DORÉ
_________________

Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

hum hum parrain.....on se calme, on prends ses gouttes.....la....hein....hou la la....

se dit :
il est temps que je revienne moi surveiller tout ça hein.....mouais mouais....

Et meme si tu entrais dans la ronde
De celle qui ferait le tour du monde....
De dessein ne te trompe de caresse
Car c'est du cœur que ne vient la richesse.....


non mais.....

erreur, aventure, peur, imposture

gnapapotip ça non mais hé ho...allo quoi.....

De passage dans le coin, Dorofeï entendit du bruit, et s’intéressant à la scène, tendit une oreille discrète pour écouter.

Il prit part a la scène qui se déroula sous ses yeux, son grand jeu de mots favori.

Que ta vie ne soit tristesse,
qu'elle ne soit pas emplie de colère
et mauvaise sera la détresse
car tout ceci n'est qu' éphémère...

bonheur, sentiments, cœur, événement

Il était enfin arrivés à Clermont. Le voyage n'était celui escompté et voir leur amie ainsi considérée leur avait mis la bile en effervescence. Il avait donc été décidé de poursuivre mais d'être de retour ici même pour l'ouverture du bal. pas question pour la Lorraine d'échapper à l’aplatissement de ses petons. Donc le bal ils y seront, vaille que vaille. Il avait laisser son épouse dormir dans le coche, un petit billet à ses côtés avant de partir déambuler en ville à la recherche d'une tenue pour la guinche. Le lieu était plaisant et après avoir parcouru les quelques vers qui étaient couchés sur le vélin il rédigea à son tour non sans avoir mâchouillé, comme à l'accoutumé, la plume qui allait courir sur le cuir. Voilà fort longtemps qu'il n'avait rédigé et l'inspiration se fit quelque peu attendre. Pas de niaiserie, mais simplement écrire ce qu'il pensait et ce qu'il avait sur le coeur.


Après son acrostiche conquis de haute lutte il rédigea le quatrain avant de laisser ses quatre mots. Les événements de la veille lui avaient laissé un gout amer dans la bouche et c'est en pensant à leur amie qu'il écrivit.

Il est de ces gens qui ne demeurent que trahison
Des comportements qui ne suscitent qu'émotion
Tout se paie un jour, inutile de se demander pourquoi
L'amitié est un diamant que l'on perd de vu parfois

Endiablé, volonté, conquête, socquette
_________________

Il avait laissé le temps aux écrivains en herbe comme lui de se lancer dans la rédaction de quatrains. il était passé, avait reconnu l'écriture et le style de son épouse. Il lui en avait parlé et lui avait dit combien il était heureux de la voir reprendre la plume pour rédiger ses quatrains. Bref, le reste est entre eux deux. Mais elle y retournerait, foi de de Reudi. Il sourit aux mots qu'elle avait laissés avec l'idée d'en trouver quelques uns bien sentis pour le ou la suivante.

Admirer les courbes de ton corps allongé sur ce lit
Avoir envie à cet instant de ne faire que des folies
Chérie, faisons trembler les murs de notre bicoque
Ma belle, ce soir ton époux se sent l'âme loufoque

Il laissa ses quatre mots avant de retourner à ses occupations.

Poupée, Édenter, Cramoisie, Travesti
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Quelques heures à flâner en ville avant de retrouver son épouse ce soir en taverne, le Balafré passa à la cabane aux quatrains pour voir si l'on était passé après lui. Il lu avec plaisir qu'un écrivain avait laissé sa marque. Il rédigea avec les mots laissés, avant de déposer les siens et de repartir en ville.

Il faudra un jour que nous pensions à quitter le soleil
Flâner sur ses plages, où le sable se joue de nos orteils
Partirons nous dans le nord, où en août commence l'hiver
Rêves-tu d'Italie et des dents blanches de ses condottières
Là où les hommes sont tous de beaux et grands séducteurs
Eux qui savent flatter les femmes et les couvrir de fleurs
J'ai peur de sentir en toi une bien trop grande tristesse
Où que soit notre vie, je te la promets enchanteresse.

Il laissa les siens.

Druidique, Pudique, Lèvres, Fièvre
_________________

Quelques heures à déambuler dans les rues de Clermont. Le départ était proche, ill voulait une nouvelle fois laisser son empreinte, comme il l'avait déjà fait à plusieurs reprises dans d'autres villes du sud du Royaume.

Il lut avec plaisir un nouveau passage, et laissa le sien sans aucun sens d’ailleurs avant de repartir.

Il est des moments où le passé fait son retour
Quel qu'il fut il ne faut retenir que ses amours
Nous regardons devant, pensant à notre demain
Je ne sais ce qu'il sera, mais il sera c’est certain

Galopin, Airain, Succès, Excès
_________________

Et l'Althiesse en question d'aller voir dans la maison des quatrains.
Des quatre hun ?
Des qua tre un ?
Bref... La maison de la poésie du matin, du midi et du soir.
Lui poète ? Autant que ses pieds, mais il fallait essayer.
L'avantage ?
7 ans révolu, sur le chemin des huit ans !
Pas franchement doué en littérature et alors ?
Un enfant qu'il était et en enfant, il serait excusé.

QUOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ?
REMPLACER ALTHIESSE PAR ALTESSE MAIS QUEL CRIME DE LESE ALTHIESSE !!!

Alexandre mit les mains sur les hanches !
Encore heureux que l'histoire était belle, nan parce que remplacer un mot comme ça alors que c'était l'ami Martin qui l'avait mis !

SCROGNEUGNEU !!!



Et de mettre des nouveaux mot.

Dragon, Estragon, Marmotte, Golmotte (c'est un champignon !!)
_________________

Et d'arriver en chantonnant, voilà que la messe était dite !
Le vin d'messe bu avec le plus grand des plaisir, sauf quand il descendit le long de l’œsophage, quelle piquette !
Il sautillait.

En avant Alexou, c'est parti les amis!
Allez ma chère, suivez mon feu arrière
On va vous y conduire
On va vous y conduire
On va vous y conduire les amis

On va vous y conduire
On va vous y conduire
On va vous conduire les amis

A travers Clermont
A travers Clermont
A travers Clermont
On va vous y conduire

Et toute la famille est là pour ça!
Gypsie, le cousin Jazon, Isabella! T'as éteint trop tôt!

Il poussa la porte de la cabane des poètes.
Il venait juste voir si nouveau mot il y avait et il en y avait des nouveaux.
Il y avait de la lecture, mais pas de mot ?
Alexandre regarda sous la table des fois que le parchemin soit tombé.

Bein !

Il écrivit quand même un petit mot.



Et sur le parchemin glissa de nouveaux mots.

Souris / ahuris / chimère / éphémère
_________________

Alexandre avait l'âme poète en ce mardi, c'est ainsi que ses pieds le guidèrent jusqu'à la maison des poètes.
il trouva les mots de Fantou et commença à réfléchir en souriant.



Et de laisser des nouveaux mots, avant d'aller Aristote savait trop où, faire il ne savait trop quoi.

Arbalète, Belette, Oiseaux, Chevaux.
_________________

Elle avait décidé de se promener en ce samedi matin, le soleil dispensait une chaleur plus qu'honorable en ce début d'automne. Les arbres n'avaient pas encore revêtu leur parure dorée. Bercée par la douceur, elle marchait, trouva un ouvrage et comme la veille, décida de s'adonner aux joies de mettre en valeur son absence totale de talents poétique.
D'abord, il fallait lire les mots laissés... partir l'inspirait particulièrement.
Elle se munit de la plume et de l'encre violette, sa préférée.



A son tour, elle laissa quelques mots pour l'apprenti poète ou l'écrivain avisé qui voudrait bien prendre la suite.


Charme, Larme, Ailleurs, Bonheur.
_________________

Merci à JD Lou Audrea

Cela faisait un moment qu'il ne s'était pas adonné à un petit essai...

Son humeur du jour fit qu'il avait décidé qu'aujourd'hui serait le jour d'une nouvelle tentative ! Qui sait ? Peut-être quand dans l'entourage du Roy quelqu'un le remarquerait... Il sourit à cette pensée. Boudiou, fichtre non espéra-t-il, on en a occis pour moins que ça !



oui, ce n'était pas du Meschinot mais ça irait pour aujourd'hui! Son humeur donc était particulière aujourd'hui, et c'est avec taquinerie qu'il glissa les mots suivants, bien en évidence !

Corsage, volage, cieux, heureux

Le mystérieux encapuchonné s'avança jusqu'au livre, à la fois surpris et intrigué. Il parcourait les contrées depuis fort longtemps, et trouvait ce petit divertissement fort original et amusant. Attrapant la plume posée à côté du manuscrit, il prit le temps de réfléchir quelques instants, avant d'y coucher ces mots :


Puis il s'en fut dans l'obscurité, laissant sous son texte une inscription.
"Lune - Dune - Adage - Page"
_________________
Arkanis, dont c'est bien sûr un pseudonyme, est un homme d'une trentaine d'années, le visage intégralement dissimulé sous la longue capuche de son manteau. Mystérieux et insondable, la superstition lui prête toutes sortes de réputation, de druide, de sorcier ou même de vampire. Mais c'est avant tout un joueur professionnel qui écume les tripots dans le seul plaisir de s'inviter à un maximum de tables.

Tel est le quatrain qui fut déposé furtivement derrière celui de Lamoth, ombre venue des ombres, accompagné de ces quatre mots :
"Loyauté - Envolé - Unir - Désir"
_________________
Arkanis, dont c'est bien sûr un pseudonyme, est un homme d'une trentaine d'années, le visage intégralement dissimulé sous la longue capuche de son manteau. Mystérieux et insondable, la superstition lui prête toutes sortes de réputation, de druide, de sorcier ou même de vampire. Mais c'est avant tout un joueur professionnel qui écume les tripots dans le seul plaisir de s'inviter à un maximum de tables.

Presque une semaine s'était écoulée, et pourtant personne n'était passé, et aucun mot n'avait été laissé sous le dernier poème. Arkanis hésita, il ne savait que faire. Devait-il suivre les rimes qu'il avait lui-même laissé, ou écrire un poème libre ? Finalement, il se contenta de griffonner quatre nouveau mots sous le quatrain de Lamoth :
"Peine - Reine - Détour - Amour"
_________________
Arkanis, dont c'est bien sûr un pseudonyme, est un homme d'une trentaine d'années, le visage intégralement dissimulé sous la longue capuche de son manteau. Mystérieux et insondable, la superstition lui prête toutes sortes de réputation, de druide, de sorcier ou même de vampire. Mais c'est avant tout un joueur professionnel qui écume les tripots dans le seul plaisir de s'inviter à un maximum de tables.

Caché dans l'ombre, Arkanis observa le maire de la ville quitter la salle après avoir transcrit son poème. Il devait reconnaître que ce petit divertissement l'amusait au plus haut point, ce qui s'avérait somme toute de plus en plus rare. Une fois certain d'être de nouveau seul, il s'avança jusqu'au manuscrit et s'employa à poursuivre le continuum des quatrains, y laissant de nouvelles rimes à la fin.


"Apparat - Chocolat - Folie - Nostalgie"
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Arkanis, dont c'est bien sûr un pseudonyme, est un homme d'une trentaine d'années, le visage intégralement dissimulé sous la longue capuche de son manteau. Mystérieux et insondable, la superstition lui prête toutes sortes de réputation, de druide, de sorcier ou même de vampire. Mais c'est avant tout un joueur professionnel qui écume les tripots dans le seul plaisir de s'inviter à un maximum de tables.

Il ne s'était jamais réellement essayé à la poésie jusqu'à présent, laissant le soin de cet art aux bardes et aux aèdes. Pourtant sa plume allait et venait sur le papier comme tant d'autres s'épanouissaient avec les femmes, et il était lui-même surpris de l'aisance avec laquelle il couchait les mots sur le vélin. Aussi, si dame Valtesse avait osé réciter son poème, voici ce qu'il aurait écrit à sa suite :


Mais comme elle ne fit rien, c'est ceci qu'il laissa à la place :


Et dans tous les cas de figure, il laissa quatre mots identiques à la suite pour le prochain poète qui se présenterait.
"Miroir - Échoir - Santé - Beauté"
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Arkanis, dont c'est bien sûr un pseudonyme, est un homme d'une trentaine d'années, le visage intégralement dissimulé sous la longue capuche de son manteau. Mystérieux et insondable, la superstition lui prête toutes sortes de réputation, de druide, de sorcier ou même de vampire. Mais c'est avant tout un joueur professionnel qui écume les tripots dans le seul plaisir de s'inviter à un maximum de tables.

Il guettait, oh oui il guettait, caché derrière une colonne, le passage des écrivains en herbe. Et il observa, dissimulé à son regard, la jeune femme qui semblait s'être abonnée au lieu. Un petit sourire sur ses lèvres invisibles dans l'ombre de la capuche, et alors qu'elle s'enfuyait ingénument dans le soir tombant, il se faufila jusqu'au livre ouvert pour y griffonner de nouveau.


Et de s'enfoncer de nouveau dans l'obscurité en laissant quatre marques de son passage, comme une signature codée.
"Fureur - Ardeur - Duel - Sensuel"
_________________
Arkanis, dont c'est bien sûr un pseudonyme, est un homme d'une trentaine d'années, le visage intégralement dissimulé sous la longue capuche de son manteau. Mystérieux et insondable, la superstition lui prête toutes sortes de réputation, de druide, de sorcier ou même de vampire. Mais c'est avant tout un joueur professionnel qui écume les tripots dans le seul plaisir de s'inviter à un maximum de tables.

La promenade passait souvent à cet endroit, c'était devenu presque incontournable....
elle regardait les mots laissés...et cherchait un sens à leur donner



c'est vrai qu'une famille, je n'en avais point et que parfois ca me manquait un peu et déposa un peu de ses pensées en les matérialisant

sentiment/ solitude/soulagement/quiétude
_________________

Charles-Edouard de la Binocle



La poésie ?
Hum !
Charles-Edouard de la Binocle ne connaissait pas trop à vrai dire.
Jamais il n'avait essayé, mais il se dirigea quand même vers le petit cabanon, il avait préparé un panier de provision avec des pommes, du pain et du fromage.
Disposant le tout sur la grande table de bois de la cabane, il ouvrit grand les fenêtres ensuite pour aérer.
Et secoua le grimoire pour retirer la poussière et commença à se concentrer sur les mots pour essayer de trouver quelque chose.



Charles-Edouard n'était pas très convaincu, mais avec des mots de fille, difficile d'être inspiré.
Il en écrivit d'autres.

Dragon / Estragon et Griffon / Bouffon

Le saltimbanque qui passez par là, voie avec plaisir , le coin des poètes , avec le sourire, Brhume prend sa plume



Lumière Chaumière Pâquerette Gazette

Le vent lui avait soufflé des paroles au cours de sa promenade
et elle fut bien étonnée de constater que les mots correspondaient à ceux laissés ici
Ce fut donc avec une grande surprise et un petit air de connivence
qu'elle mit le quatrain que quelqu'un lui avait mit en tète, sachant bien que cela ne venait pas vraiment d'elle...



Satisfaite d'avoir sorti intacte le contenu de ce qu'on lui avait glissé
laissa tomber nonchalamment quelques petites graines pour de futures grandes pensées, sans doute


connivance, durée, patience, aimer
_________________

Une fois encore......J'entrais ! Que voulez-vous, on s'refait pas....
Des poèmes, des je t'aime, j'en avais une malle pleine....Je repris donc la plume, et la trempais dans l'eau......

"Mon avenir, ma raison d'être, c'est partir !
Partir, pour ne pas mourir, être aimé, pour rester...
Connaitre la joie suprême, et inventer, mon devenir,
Tout est là, pour la belle hirondelle, c'est de rêver..."

Pas trop mécontente, du résultat, elle posa la plume, mais avant cela,
elle écrivit quatre autres mots....

Survivre - Combattre - enivre - Débattre....
_________________

Encore une fois, avant de reprendre la route....

" Ô, mon cœur, fallait- il savoir résister?
A ce trouble envahissant, mais surtout,
Ne pas une seule seconde, même briser, hésiter...
Ô mon cœur, seule j'attends et j'espère....Beaucoup ! "

Elle griffonne vite fait.....

Malchance - Espoir - Nonchalance - Manoir...
_________________

En découvrant les 4 mots laissés, la blondinette se gratte la tête en se demandant comment diantre, on avait pu avoir l'idée de les choisir. Elle soupire et caresse son molosse afin de trouver l'inspiration.

Oui oui oui c'est du haut de son ponton
Qu'elle admire de nouveau la ville de Clermont
Oui oui oui, elle repart en voyage
Les yeux plein d'étoiles après avoir bu son breuvage...

comprendra qui pourra ! Les yeux plein de malice, elle laisse ces 4 mots : soule roucoule ami ravi

...A mon tour s'est dit Sandino en voyant ses intimes se prêter au jeu du quatrain, ni une ni deux il fait siennes les formules laissées par son fils et laisse sa participation à la suite des autres.

Ho la la !! quel paris stupide que celui de boire à la suite quatre breuvages
je le devais au passage de joueurs qui n'étaient rien de moins que trois de mes cousins
l'escroquerie était simple je devais vite boire, puis jouer le devin devant les deux témoins
bien trop ivre j'insultais les deux hommes et dans l'année promettais au banc un mariage


féroce découverte écorce ouverte
_________________

Jazon qui passait par là, jeta un regard sur les derniers mots laissés.

* C'est pour moi * se dit il en les lisant avec un petit sourire.
Il prit la plume, se chatouilla un instant le nez avec, tout en réfléchissant.
Puis il trempa la plume dans l'encrier et écrivit...



Puis il écrivit à son tour quatre autres mots.

Nejma passe et salut Gaby :

A mon tour Messire Maire , ces quelques mots raviront peut être ta filleule



Et sortant en riant elle laisse quatre nouveaux mots

Chaleur , Bonheur , Soirée , Aimée

Un corbeau qui s'envole déposant quelques graines
Se prenant au jeu, cherche et se démène



voila se dit elle et dans le vent
envoyant ces mors charmants


voyage, route, partage, écoute
_________________

bien longtemps qu'elle n'était venu chanter les mots
jonglant avec, les alignant, leur donnant de l'echo



puis réfléchissant à ce qu'elle a écrit
laisse sa pensée vagabonder plus loin
laissant quelques mots s'envoler[ aussi et retomber

douceur/paix/bonheur/sérénité
_________________

Arkanis était de retour après une longue absence, le visage toujours dissimulé sous sa capuche, lui-même toujours dissimulé aux autres. Et comme tout bon joueur qui se respecte, il ne pouvait laisser un tel divertissement tomber dans l'oubli, alors il se glissa près du livre, ombre parmi les ombres, et griffonna un quatrain à la suite de celui d'Elysandre, ainsi que quatre nouveaux mots pour le suivant.


"Ciel - Éveil - Déchirure - Parure"
_________________
Arkanis, dont c'est bien sûr un pseudonyme, est un homme d'une trentaine d'années, le visage intégralement dissimulé sous la longue capuche de son manteau. Mystérieux et insondable, la superstition lui prête toutes sortes de réputation, de druide, de sorcier ou même de vampire. Mais c'est avant tout un joueur professionnel qui écume les tripots dans le seul plaisir de s'inviter à un maximum de tables.

Chivas aimait jouer avec les mots et les faire valser, alors, le lieu était propice pour y laisser trace.


Depuis vous, il ne m'a fallu que quelques regards,
Pour m'apercevoir que dans ce monde, ne régnaient pas que des cafard(s)
Je n'ai jamais rêvé de drap de soie,
Juste une humble place autour de votre feu accordant mes cordes vocales à vos voix.

JOIE - POIDS - COEUR - HONNEUR
_________________

Le vent d'ici murmurer les complaintes des gens vivant dans la solitude extrême, Lady qui avait vécu cela écoutait ,et comprenez très bien cela , en ce matin toujours grisou ,elle était repasser au boutsbouts rimés , rien ne l'inspirer , mais l' Haïku de son ami Paim oui !

se lissant ses sourcils elle composa le sien .

" Les fûts et fagots
câlinent les bouteilles
vieillies de fil d'or "

Avant de repartir elle laissa les quatre jolis mots pour les poètes suivant


Cervoise – Ardoise – Solitaire - Élémentaire
_________________

Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

La chevelure rousse comme les arbres d'automne et les mots que laissa Belt, inspirèrent Paimbohé qui se fendit d'un quatrain forestier.


Par fortes gelées ou par grande chaleur
Le bûcheron, courageux, marche en silence
Tailler, à la forêt, en plein cœur
Chênes ou bouleaux, il fera le plein d'essences 

Mouai ! Bof !

Le bonhomme laissa, à son tour, ses quatre mots


Prudence-Cadence-Chapeau-Troupeau
_________________

...Chivas a du potentiel, avait laissé entendre celui qui l'avait recommandé à la Kumpania.

Force était de constater qu'il ne s'était pas trompé jugeait le patriarche depuis l'arrivée dans la troupe de celle qu'il appelait affectueusement "la gamine".

Faisant fi des règles imposées qui veulent que l'on ne laisse à lire que des quatrains, Sandino laisse sa participation et glisse à la suite le texte qui a motivé sa venue, certain que les derniers participants tous issus de sa famille comprendront son geste.

"en un mot
c'est dans les vieux pots
qu'en hiver
on fait les meilleures chaumières.


A Ceriera


Les abysses

dans les profondeurs de l'être
où rien ne cède au paraître
n'hésitez pas à descendre
sous peine de finir en cendres
sans avoir compris qui vous étiez

Dans ces oubliettes obscures
vous trouverez les épures
d'autres vous mêmes cachés
vêtus des horripaux tachés
d'ancêtres surgissant des millénaires

contraints par ce passé invisible
nous agissons de façon risible
sans jamais entrevoir l'imposture
de cet héritage qui perdure
attaché à nous tel un boulet

de ces scories de la vieille humanité
fondations anciennes de notre identité
ne gardez rien tout est à défaire
détricottez cette maille qui vous enserre
avant de penser pouvoir vous réaliser

être ou ne pas être telle est la question
rester en surface et demeurer un pion
ou plonger comme un triton dans l'eau grasse
pour ôter de nos marais la moindre trace
de cette vase mère où nous traînons les pieds

au plongeur en eau trouble rien ne sera épargné
il va rencontrer ses doubles du plus sale au plus niais
va voir faner son audace, peiner son courage
jusqu'à de lui-même faire naufrage
avant de renaître au rivage ruisselant de vérité

remontée du couvert millénaire des abysses
transfigurée, débarrassée des artifices
l'âme alors accepte et s'abandonne
en instrument de la nouvelle donne
qui annonce l'aube d'une nouvelle humanité.





aube robe artifice maléfice
_________________

Passant devant le panneau des quatrains, Cerièra eut la curiosité de jeter un œil aux poèmes. L'un d'entre eux était à son attention. Touchée, elle le lut, et osa le décrocher et l'emporter avec elle. Pour faire pardonner son geste, elle posa sa participation

Contre notre amour le Très-Haut formenta-t-il un complot ?
Sans toi je ne suis plus que prisonnière dans le cachot
De ce vide. Aurai-je le courage de célébrer la Saint-Noël
Avec au fond du cœur ce manque de toi, mon merveilleux, mon éternel…

et de griffonner juste dessous : IM†AdOdL

Quatre mots pour les autres :

Gratitude, attitude, sérénité, amitié

En espérant un poème éclairant à sa suite… 
_________________
• •

...A mi-journée, un soleil radieux fanfaronne dans l'azur vierge de nuage. Décidé à profiter de l'aubaine, c'est en plein soleil devant la salle des quatrains où il a déposé sa participation, que Sandino s'est installé pour ronger un quignon de pain et un morceau de Cantal.

Pour tout dire, je ne suis pas né d'hier
Que je compte en printemps, automne, été ou hiver
J'ai passé bien des années à me battre et autant à me laisser vivre
Coquelicot à la belle saison, me voilà perce-neige à l'assaut du givre.


Ponton Mouton Belvédère Bayadère
_________________

Hohoho, mais ce sont un appel que ces mots !

Qui est ce drôle de Profit-Troll
Qui foutant le binz, se croit drôle ?
Au moins il décore le sapin
Pendant que moi, je bois du vin…

Blanc, Ardent, Lueur, Pâleur
_________________
• •

Paimbohé se laissait allé sur les haïkus pour répondre à son amie.
Sa muse devait rester sous la couverture près du feu, craignant sans soute, les premiers frimas.
Alors, le gros alla la secouer un peu et elle lui inspira ceci :

Gardé, le bois sec,
Rempli, le garde manger,
L'hiver, peut venir.

Du coup, comme la muse était sortie de sa léthargie elle lui souffla aussi des rimes pour le quatrain.

Donnez moi dix amis en cadeaux,
Je ne sais vraiment rien de plus beau.
Nous tenant la main pour former une guirlande,
Nous partirions, dansant, en une folle sarabande.

Et les quatre mots, faut que je te les écrive aussi ? Ralala !!! Faut que j'fasse tout, ici !!! Gronda la muse.

Seuil_Chevreuil_Fauteuil_Demi-deuil
_________________

Le vent d'ici s'était tu aujourd'hui aucun murmures froufroutant .

Ce lissant ses sourcils , Lady fut soulagé de voir que Tony était sortit des brumes du silence .

la rimaille continuer , mais les mots de Tony n'était point rimant , alors elle prit tout ses mots et les transforma en un Haïku .....

" Tableaux inspirés
l'hiver se vêt de neige
brume de silence "

Tony , cher Tony , vos quatre joli mots ,doivent toujours rimés , et si possible finir en dernier votre phrase !!


avant de partir lady laissa quatre jolis mots

Tendreté
Dureté

Solitude
Servitude
_________________

Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

A chaque jour suffit sa peine...

Comme un oiseau à tire d'Ailes
Je regarde s'éloigner Noel
N'attendrais pas la nouvelle Année,
Pour te couvrir de mille Baisers

mais quels mots laisser pour celui qui allait arriver?

Grenouille, chatouille, étang, printemps
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Pour Toi, vous...For You...

Impolitesse - Défavorable - Orientation - Lamentable -

Lysi regarda les mots donnés et se dit qu'elle allait devoir en rajouter un afin que cela fonctionne. Sourit et écrit.

Quel vilain!! il venait de lui mettre la main aux fesses
De sa part comportement totalement lamentable
Qui fit changer son choix d’orientation de oui à défavorable.
Elle ne saurait lui pardonner ce geste et son impolitesse.

Mélancolie - Panoplie - Solitude - Attitude -
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Pour Toi, vous...For You...

Voilà, voilà, de retour dans ce coin que j 'affectionne.

Le livre est ouvert, quelques mots d 'écrits par le prédécesseur.

Sage Vole au vent avec tes champignons
Te poursuivront ses amants avec pignons
Entre vouloir et pouvoir deux potirons
Sans regret j 'avance avec mes oignons

Le tout mélange de saveurs, pour la soupe au dispensaire, elle est populaire parait il. Venez donc chez ma soeur Patou, vous serez les bienvenus.

Voici le chemin

Pose un plan sur la table et quelques mots.

Certitude - Amplitude - Change - Mange -
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🌺¸.•*¨) ¸.•*¨,¨ Vita brevis ,¸.•*¨) ¸.•*¨,¨🌺

De retour au livre des quatrains après une nonchalance cérébrale, Paimbohé se saisit d'une plume et grava quelques mots.

N'est-il pas dans un bien grand pétrin 
Celui qui se noie dans son chagrin 
De ne pas, par son âme sœur, se sentir aimé ?
Mais, la solitude, c'est peut-être çà, la Liberté .

Le gros bonhomme n'en pensait pas un mot, mais, bon, ça rimait !

Et pour faire avancer le livre des mots, il en laissa quatre pour la plume suivante.

Lorgnon_Mignon_Entrave_Esclave
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Chivas malgré la froideur de l'hiver sort le bout de son nez histoire de rassurer le padré et la mama!!!!


Encore bien jeune, je ne pense aux épousailles,
Mais ce jour je serai l'amour comme un passe murailles
Je ne ferai pas de collection!
La passion me fera manquer de munitions...

éternelles - flanel - blanc - ornement
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et que je m'entraîne encore,


Jadis dans un trou de souris,
aujourd'hui je vis dans un océan d'amour de.... paradis!
Même le pire rat
n'oubliant pas la tolérance, je ne traiterai de scelérat


paix terre aimer mer
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D'une première rencontre avec un de ses frères, spéciale dédicace de Chivas :


Wallas, mon "petit" frère, quand je t'ai vu c'était un tourbillon de bonheur,
Eh oui, malgré ta ferveur intention de me transformer en bouillon ,
tu as du renoncer et hisser les voiles de ta chaloupe
Tasse tu serais, alors je serai ta soucoupe

Chivas fait au mieux....

FRATERNITE AUTHENTICITE FAVEUR SOEUR
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La rimaille n'était pas son fort , à Lady ,elle , elle exilait dans la prose , mais comme Tony était sortit des bois , elle s'accrocha à ses pas .



" Nous avions tout deux pénétrés dans la majestueuse forêt
recouvertes d'oiseaux du ciel et de vilain genêts
tout près de nous apparut solitaire un grand et tout fatigué loup
nos yeux dans les siens disaient " ne craint rien on est pas des fous "

et puis avant de partir elle ajouta quatre autres jolis mots .

Oiseaux , Berceau , Mémoire , Histoire
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Mh! Pas facile ce matin se dit Haura' suis mal réveillée ! Qu'allons nous laisser ? Tire la langue, réfléchit, prend la plume, l'encre et le vélin pour un quatrain.

Je voulais pleins de Réponses,
En retour des longs Silences,
Je n'en peux plus de ses Absences,
Qui nous apportent que des Nuisances

De passage depuis bien longtemps, elle avait presque oublié ce lieu...
comme la belle au bois dormant, elle dut en couper quelques ronces afin de pouvoir y accéder, depuis le temps, ; mais arrivée sur l'estrade ramassa les quelques mots qu'elle tenta de joindre pour faire un tout


A trop regarder les minois
Arrivera le loup sournois
Eprouvant sa fertilité
Dans toute son infinité....

puis négligemment laisse tomber quatre mots également :

printemps valeur époustouflant pécheur
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Je me souviens de vous, Messire, comme quelqu'un d'Amusant,
Quand vous m'avez menée vers la fontaine, vous étiez Charmant.
Nous y avons passés des moments Magiques.
Cela restera en ma mémoire comme un rêve Idyllique.


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En cours de réfection

Tiens le livre de nouveau ouvert
vit-elle en passant la ruelle
s'empressa de renouer
en jouant des mots


Vient le printemps affolant
Qui réunit les amants
Ils en sont aux baisers
Et bien loin d'abdiquer....

puis laissa des mots egalement

graine, moisson, peine, chanson
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...Retour aux quatrains pour le vieux gitan qui prend la suite de sa cousine brodeuse de mots.

Germez ! croissez ! donnez vous à moi mauvaise graine
Que de vos interdites visions je fasse grande moisson
Qui demain donneront pâte et levain à mes chansons
Pour qu'au coeur de l'homme s'allège le poids de sa peine

Girolles corolles dessin essaim
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on était dimanche , Lady passa au lieu des muses de la rimaille causante ,et elle chipa un mot a Nannou , pour composer son Haïku du jour .

" Nuit d'épousailles
s'étirent sur nos heures
regards amoureux "

et avant de partir elle posa de nouveau les quatre jolis mots de Nannou , pour les poètes suivants

Nuit , Puits , Couloir , émouvoir .
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Ce qu'il y a de bien dans la folie. C'est que l'on ne rend pas compte de cette folie. L'irlandais en voyant la neige tomber sur sa tête est donc pris de crise passagère et c'est comme ça qu'avec son ange, ils conviennent d'un pari . Courir en halle nu comme un premier né. La récompense? Un petit ourson de compagnie. Pari fut fait et voisci l'irlandais sillonnant les rues de Clermont dans le plus simple appareil. Il arrive devant des poèmes et se met à écrire en prenant les mots proposés.

Pour avoir mon ourson, je saisi la brèches
Les deux mains claquent pour un pari qu'on valide
Et me voilà donc à courir nu, mais fier et Intrépide
Mon amour criant au fou mais étant de mèche.

Je rajoutais 4 mots comme le veut la coutume

-Folie, Amour, Détour, amis-

Puis enfin je repartais serein, en courrant et en criant ce qu'il était convenu.

"Je suis Fouuuuuuuu et je suis tout nuuuuuuu, mais j'aurais mon ourson!!!! Mouhahahahahahaaha."
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...C'est avec un plaisir non dissimulé que la vieux gitan prend la suite de Chivas, et s'il ne la voit que très peu c'est toujours à ses yeux un éclat d'azur que lui procure la présence de la plus jeune de ses filles .

Pour un voyage à Cythère ma fille, nul besoin de boussole
l'amour ne connait du monde terrestre que cette destination
que seule indique aux amoureux sincères l'aiguille de la passion
qui fait que leurs coeur s'élèvent et que leurs pieds quittent le sol.

trace garance bombance grâce
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Grands Dieux !
La populace se regroupe et s'essaye à l'art NOBLE de la poésie.
Je n'en peux plus, des rimes bancales me heurtent les tympans et la moutarde me monte au nez. Ca-ta-strophe-ique.

Je pique au vol les derniers mots lancés par l'ancêtre, que la rumeur qualifie d'expert. La rumeur a bien mauvais goût, je joue :

F..A..B..U..L..E..U..S..E..,
Oui je suis fabuleuse,
Mes mots-diamants perlent mes rimes vaporeuses.

Feignez vos affabulations fugaces en face à face,
Ameutez vos rimes, futiles, nos mémoires n'en garderont trace.
Bientôt votre public à l'esprit rouillé et la priapée crasse
Uniera ses vociférations, d'une huée vous portera le coup de grâce.
Les planches saignent de vos assonances dissonantes, rouge garance,
Enveloppées de syllabes entrechoquées, de mauvais goût vous faites bombance.
Une princesse, apitoyée, s'empare de vos mots et règne sur leur Empire,
Syntaxe, lyrisme et inspiration sont de vos ennemis les pires,
Encore un essai, écrivaillon, et vos mots échoueront dans l'Enfer des soupirs.

Sur ce, elle envoya un baiser ailé en direction dudit Sandino, sans chaleur, sans émotion : le baiser du dédain. Puis elle laissa quatre mots à son attention :

Honte / Géronte / Soumission / Abdication

Le vent d'ici houspillait le chahut des colombes nichaient dans les branches des arbres de l'hiver .

Lady passa au lieu des muses causantes de la rimaille , elle égaya son visage d'un sourire en lisant l'acrostiche du poétereau passer par là , la suite du patriarche là fit sourire aussi .

Aujourd'hui on était lundi Aristote clamait souvent pas trop de rimaille le lundi , ça épuise les sens , et comme Lady aimait de tout son coeur Aristote qu'elle priait fervemment, elle chipa un mot au patriarche et elle composa son Haïku du lundi .

" Arbre aux serments
le prince et sa belle
se baisent les doigts "

Et avant de partir elle posa les quatre jolis mots pour les poètes suivant

Pierre Arbre , Sabre , Bréviaire
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Arrêt sur image, trouver l'instant propice...propice a la réflexion...puis écrire se laisser aller
à la nostalgie même si cela fait mal, tant pis!


Fuir, mon âme voyage loin de cette incendie,
Qui ravage mon cœur et m'éloigne de cette prison...
Retrouver sur les chemins, cette belle nostalgie,
Qui fait chavirer mes sens a la belle saison,
Et que mon corps, mon âme réclame et mendie!

Avant de sortir elle laisse les quatre autres mots....

Azur-Ciel-Aventure-Vermeil
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Le vent d'ici claironnait fortement des romances loufoques dans les branches des grands arbres dénudés ,par le Dieu hiver .

Et dehors l'immensité glacée souriait au silence des herbes floconneuses .

Lady passa au lieu des muses causantes , lisant et découvrant tout les jolis mots proposés .


elle chipa trois jolis mots pour ses Haïkus du samedi .

" Saison en amour
rosit les joues des amoureux
hiver froufroutant "

" Ciel en soierie bleu
sur une nuit de songe
souvenir de vous "

émaux à mon cou
frisson d'un soir parfumé
tendresse offerte "


Avant de partir lady reposa les quatre jolis mots pour les poètes suivant

GÂTEAU / ÉMAUX / RETRAITE / GUETTE

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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

On était dimanche ,et le vent d'ici qui pleurnichait guida les pas de Lady dans le lieu des muses .

le patriarche était passé et voyant ces mots jolis , elle se lissa ses sourcils en réfléchissant à la rimaille proposé , elle allait se laisser tentait .

" Donatien était un pouilleux sentinelle
faisant les cent pas dans la gadoue qui habillait ses semelles
il maudissait ce satané climat de torpeur
et surtout ce sale pays qu'était l' équateur ."

Lady laissa quatre jolis mots pour la rimaille suivantes .

Clavecin , Sein , Petitesse ,
Enchanteresse
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Le vent d'ici ronchonnait la bise était glacée , le temps se vautrer , il filait comme un songe que le lac reflétait .

lady passa au lieu des muses causantes en coup de vent , le temps lui manquait ces jours ci , et cela la faisait caguer .....
Elle chipa un mot a Morty et composa un Haïku de soir .

" Vert de gris vers de beau
les ailes blanches de l'hiver
écoutent nos mots "

Avant de repartir elle posa les quatre jolis mots de morty ,pour les poètes suivants

Changeant, ouvert, vert, argent
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Clermont, enfin !
Le jour tant attendu (et un peu appréhendé, cependant) était enfin arrivé 
Le conteur était bien trop fébrile pour goûter à un repos bien mérité, après une dernière étape sous la neige et le vent glacial.
Après avoir traîné dans les rues de la ville, il tomba, presque par hasard, sur le lieu où se trouvait le recueil des rimes imposées.
Coup d'oeil rapide sur les précédentes contributions, avant de reconnaître une plume au style fleuri et virevoltant qu'il avait déjà rencontrée et appréciée.
Où était ce donc, déjà ?
Le temps de la réflexion et le regard du passeur d'histoires tomba sur les quatre mots laissés, qui avaient une résonance particulière pour lui, en ce moment :




L'image du sourire de sa Fée Lune s'interposa un instant entre ses yeux et le grimoire aux quatrains, puis quatre nouveaux mots furent ajoutés, témoin tendu à quiconque voudrait prendre le relais :


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Le vent d'ici contait des plaintes chagrines , emmitouflée dans sa cape de laine , Lady passa au lieu des muses causantes .

Elle chipa un autre mot a Dom , et composa son Haïku du soir .

" Hiver racontant
les chemins de vos rêves
Magie romantique "

Demain on saurait samedi , elle reposa les quatre jolis mots du poète .

Hiver , Fête Revers , Quête
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Prenant l'air pour faire s'évader les effluves indisciplinées de son crâne quelque peu aviné, la brunette passa par la cabane aux quatrains se faisant un malin plaisir d'y assouvir un petit désir lyrique les mots lui inspirant tout de suite quelques vers.

Il en est qui se disent au paradis
Dans ce qu'on nomme le rôle de fée du logis
Je préfères pour ma part être une femme
Qui profite de tous les plaisirs sans états d'âme

Petit sourire en coin, la brunette se rendit compte qu'il lui faudrait laisser à son tour quatre mots

Fête - Gambette - Chouette - Carpette

Et voilà, quatre mots laissés par Eudoxie aussi !!!
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“…Leaving today behind to be with you again…”
C’est ce doux air aux lèvres, qui refusait de les quitter depuis plusieurs jours déjà, que le grand brun pointa son museau devant le recueil des quatrains.
C’est qu’il avait hâte de retrouver son Ame, après plusieurs jours de séparation, le conteur !
Coup d’œil sur les derniers ajouts, toujours charmé par la légèreté  de certaines guirlandes de mots, qui semblaient s’envoler au vent , avant de laisser sa plume s’exprimer:




Ca ressemblait plutôt à une affiche pour quelque réjouissance quelconque, mais en cette période de solstice d’hiver , le grand brun avait plutôt la tête à l’esbaudissement .
Il fallait maintenant trouver quatre nouveaux mots, ce qui ne fut pas trop difficile avec la chanson qu’il avait en tête:


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Le vent d'ici fredonnait des mélodies chagrines , les oiseaux du royaume l'imitaient en pauvres gazouillis frissonnant .

Lady passa a la rimaille causante et elle chipa un mot a la poétesse .

" Ritournelle aux pas
tarentelle en vos mots
doux moments exquis "

la bise gelait le cou , Lady s'en repartit très vite en reposant les quatre jolis mots pour les poètes suivants .


quenelle – ritournelle – gabelle – poutrelle
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Aujourd'hui vendredi , point de rigolades avec le vent d'ici recouvert de brouillard .

Donc maison opaque , chemin opaque et les yeux gris tourterelle de Lady aussi .

La rimaille était là et Lady chipa un mot a Dom et composa son Haïku du vendredi .

" Message d'amour
au delà des royaumes
loin s'en va l'an vieux ."


Lady repartit en couchant les quatre jolis mots de Domdom le poète

bavardages –messages – vagabondages – volages
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Le vent d'ici chantait l'an neuf , le lieu des muses causantes s'enrichissaient de poètes brillants à l'âme charmante .
On était dimanche Lady irait prier Aristote , mais avant elle chipa un mot au poète précédent et elle composa son tout premier Haïku du jour de l'an nouveau .

" Muse inspiration
au creux de mes nuits sourit
sur ma vie d'ici "

Lady sortit et déposa les quatre jolis mots pour les rimailleurs suivants


gourgandine - muse - mutine - abuse

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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Le vent d'ici se faisait ronchonneur en ce tôt matin brouillard , Lady avant d'aller au marché , passa au lieu des muses causantes de la rimaille .

Elle chipa un mot a Chivas et elle composa son Haïku du samedi de l'an neuf .

" Heures de nos vies
l'horloge fragmente
nos sommeils chéris "

Et bien sur elle reposa les quatre jolis mots pour les poètes suivants


NEIGE - ARPEGE - BONHEUR - HEURE
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Le vent d'ici s'ennuyait dans le lieu des muses , il était devenu muet de froidure , Lady vint à la rimaille et composa son histoire .

aujourd'hui il n'y aurait pas de Haïku , c'était pas un bon jour pour composer l'art Japonais des poètes .

" Il tombait une tempête de neige
qui roulait sur les toits comme le son des arpèges
la femme finissait de ourler un drap sans compter les heures
l'homme du logis songeait en là regardant qu'il était temps , d'aller dormir dans ces draps de bonheur ."

En partant Lady déposa ses quatre jolis mots pour les poètes suivants

Messagère , Bergère , jasmin Parchemin
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

Et hop. En glissades de bottes, soudain, Shame quitte le lieu. Son gagne pain, la mine d'or, il va piocher quelques heures. Qu'il songe à l'Université, s'il peut.
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Large sourire aux lèvres, heureuse de son retour sur Clermont, l'inénarrable se pointa vers la cabane aux quatrains, parcourant les quelques proses laissées depuis son départ.
Les haïkus fleuris étaient encore là et d'autres plus amusants ou poétiques, l'usage de ses quatre mots laissés étira davantage ses lippes si tant est que cela fussent possible tant le plaisir d'être ici était grand, retrouver des personnes très chères à son coeur et revoir la joyeuse Kumpania.

Plume, encore, reprendre l'exercice des mots volubiles.

Inénarrable sensualité
Indicible volupté
Absolue flagrance
Que l'essence d'une fragrance

Et bah le moins qu'on pouvait dire c'est que l'inspiration du matin était concise, et pourtant ce petit quatrain lui faisait indubitablement penser à quelqu'un, sensualité, volupté, flagrance et fragrance, qui d'autre qu'elle...
Sourire aux coins des lèvres, la petite brune griffonna en bas de parchemin un petit mot supplémentaire.

Dédié à une nymphe blonde

Maintenant fini la poésie, relais il fallait passer et quatres mots jeter.

Ardoise - colibri - pantoise - ami

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Chivas attendait Pachillou, elle s'attarda sur les quatrains, la plume bleue de la petite gitane était prête à glisser de nouveau mais les quatre mots étaient surprenants. Amusée par cette femme blonde rencontrée il y a quelques semaines, elle décida de relever le challenge espérant la recroiser de nouveau avec une meilleure forme, lui redonner tout le bleu d'un ciel bleu sans nuage.


Le printemps arrive, j'adore son odeur.
O mon adoré, le travail te fait perler de sueur,
Aussi, je te réserve un délicieux pique-nique.
et bien des surprises, pas de panique.



Encore amusée, souffle sur l'encre pour qu'elle sèche et dresse quatre nouveaux mots.

MARIAGE - IMAGE - CORSAGE - MESSAGE
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Dans le tout noir de la nuitée , le vent d'ici s'était coucher derrière un nuage bleuté.

Lady vint au lieu de la rimaille et a la lueur d'une chandelle elle chipa un autre mot a Chivas , et elle composa son Haïku de nuit bien douce .

" Corsage froufrou
tout doux velours d'envie
la nuit nous maries "

Lady partit avec sa chandelle dans la main sans oublier de reposer les quatre jolis mots

Mariage , Image , Corsage , Message
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le vent d'ici fredonnait les coeurs amoureux , lady elle , qui avait toujours le coeur sombre souriait malgré tout elle chipa un mot a Pachilloulou son ami et elle composa son Haïku du soir .,

" bonjour le printemps
offrandes de fleurs au vent
amourette vient "

Lady reposa les quatre jolis mots pour les poètes du printemps

BONJOUR - PARCOURS - AURÉE - DORÉ
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

La rimaille était toujours ouverte , Lady y vint sous les hennissements du vent d'ici qui meurtrissait les feuillages des arbres .

Elle chipa un autre mot à Chivas et se lissant ses sourcils pour réfléchir , elle composa son Haïku du soir .

" Dorés sont vos mots
qu’effleure l'écritoire
rêverie de papier "

Lady reposa les quatre jolis mots pour les poètes suivant .


BONJOUR - PARCOURS - ORÉE - DORÉ
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la gitane bleue passe par ici, découvre les quatre mots donnés, rougissante, hésite puis tout en prose les glisse.



Avouer qu'il me tarde de découvrir tes caresses,
Espérer que tu ne sois pas déçu de mon manque d'hardiesse.
Dans cet acte, nouveau pour moi, te donner beaucoup d'amour et de tendresse,
Parce que je ne suis pas une tigresse.


Confidence intime pour son pachilou.

TIMIDITE - VIRGINITE - PREMIERE - FIER
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La pluie gifler les carreaux du lieu des muses causantes , le vent d'ici se terrait entre les interstices des volets ,et Lady habillait de sa cape de pluie , était là à réfléchir sur la rimaille .

finalement au bout d'un brin de secondes , elle chipa un mot a Eudoxie , et elle composa son Haïku de la nuitée .

" Plaisir susurrer
dans les draps de satins blancs
confidence d'or "

Lady reposa les quatre jolis mots pour les poètes du soir .

Désir - Viscéral - Plaisir - Abyssal
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

il était tant de passer à la rimaille , aujourd'hui avec le vent d'ici qui chantait autour des fleurs dont les pétales prenait l’aspect de tutus de ballerine , Lady décida de rimailler .

tout les mots étaient difficiles elle fit ce qu'elle pouvait pour tout changer .

" j 'ai soudain eut une peur viscérale
surtout quand j'ai vue cette bizarre poulpe sortant des fonds abyssales
d'être près de ce lac je ne ressentais aucun plaisir
pour moi s'en était aller le désir ! "

C 'était mauvais elle le ressentais ,elle se dépêcha de laissait quatre jolis mots pour les poète suivants

Gazouillis , Pluie , Oiseaux , Roseaux .
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Un fil , deux fils ,trois fils brodeuse de mots ...et confiturière

...Sandino s'est décidé à faire un petit tour aux quatrains, histoire de laisser les muses se dégourdir les rimes.







gravure serrure tapis fourmis
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