Catelyne
Tout comme La mer, qu'on voit danser le long des golfes clairs a des reflets..... changeants, mon esprit en avait tout autant. Seul mon coeur bien que tiraillé restait égal à lui même sans changer l'objet de son émoi.
Hélas sans doute aurait ce été le mieux, mais je n'étais guère une femme versatile. Sans doute était ce là mon plus grand défaut. Aussi, sans que je puisse y changer quelque chose, Il ne quittait que fort rarement mes pensées.
Au sortir de la taverne, où encore j'avais fini par me sentir au plus mal à cause de Ses propos, mes pas me menèrent vers cette Mer qui toujours savait m'apaiser.
Arrivée sur la plage, sans me soucier des gens qui ne manqueraient sans doute pas de s'y promener, je quittais mes chausses et mes bas, les laissant près de ma besace. Puis petit à petit, je quittais le reste de mes vêtements, avant de courir vers les flots, où je plongeais.
Nulle vague ici, ne venaient frapper mon corps, et la température de l'eau était si douce que je pensais à une ancien compagnon de route qui préférait les baquets en compagnie dès qu'il le pouvait d'une baigneuse....
Cette pensée me fit sourire quelque peu, alors que j'allais plus loin délaissant le bord de mer pour me laisser happer par le large.
Je plongeais alors dans l'onde pour découvrir les fonds qui ne manquaient pas de couleurs.
Je fus assez émerveillée par ce spectacle et me dis qu'au final cette ville, et surtout sa mer, valait peut être que je m'y attarde encore un peu, même s'il me fallait souffrir encore.....
Hélas sans doute aurait ce été le mieux, mais je n'étais guère une femme versatile. Sans doute était ce là mon plus grand défaut. Aussi, sans que je puisse y changer quelque chose, Il ne quittait que fort rarement mes pensées.
Au sortir de la taverne, où encore j'avais fini par me sentir au plus mal à cause de Ses propos, mes pas me menèrent vers cette Mer qui toujours savait m'apaiser.
Arrivée sur la plage, sans me soucier des gens qui ne manqueraient sans doute pas de s'y promener, je quittais mes chausses et mes bas, les laissant près de ma besace. Puis petit à petit, je quittais le reste de mes vêtements, avant de courir vers les flots, où je plongeais.
Nulle vague ici, ne venaient frapper mon corps, et la température de l'eau était si douce que je pensais à une ancien compagnon de route qui préférait les baquets en compagnie dès qu'il le pouvait d'une baigneuse....
Cette pensée me fit sourire quelque peu, alors que j'allais plus loin délaissant le bord de mer pour me laisser happer par le large.
Je plongeais alors dans l'onde pour découvrir les fonds qui ne manquaient pas de couleurs.
Je fus assez émerveillée par ce spectacle et me dis qu'au final cette ville, et surtout sa mer, valait peut être que je m'y attarde encore un peu, même s'il me fallait souffrir encore.....