Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

Jenifaelr
    Ce RP est ouvert ;)


    [ Le 19 juin 1465]

    Est-ce que tu vivrais pour moi ? Une question, que l'on ne pose pas assez et Corleone, yeux fermés y songe ce matin, avant d'être réveillée et d'attaquer une journée qui ne sera pas douce. Est-ce qu'elle accepterait de vivre, pour quelqu'un autre que ses enfants ? La moue qui trouve les miellées est catégorique : elle ne sait pas. Jusqu'à présent, ses rêves, ses hallucinations dues aux diverses substances qu'elle prenait l'avaient mené à imaginer fantômes, morts, et surtout la Veuve noire, mais voilà, il y a quelques mois, c'est la Vita qui la rejoint. Créature solaire, qui devient l'aspiration de la jolie blonde maintenant, alors qu'elle se pensait condamner à être la Mortelle.

    [ Le 21 juin 1465]

    Après avoir quitté la table du repas, la Vénitienne est allé se perdre dans ses pensées dans la ville. Rapidement, ses pas la conduise jusqu'à ces rues crasseuses aux réputations mauvaises, là où chaque ville possédée son propre roi. Qu'il soit mercenaire, brigand de grand chemin, pirate d'eau douce ou non, avec ou sans bateau, qu'il soit empoisonneur ou voleur, qu'importe, chaque ville possédée ce genre de quartier et chaque roi de ce quartier étaient différents, on les réputer sans cesse toujours plus violent, mais l'important été de semer la terreur parmi leurs opposants.
    Cela importe peut, elle est armée, sous ses longues manches pâles, deux dagues, dans sa botte, une dague ... Et à la hanche, l'épée. Ils sont prévenus, elle a de l'allure, dans sa jolie robe et semble jolie fifille prête à se faire attaquer, mais la bourse à la hanche est pleine de graviers et sous la peau dorée la tension et présente, sur le qui-vive. Prête. Ils sont prévenus oui.

    Les heures s'écoulent sans encombre, elle rentre alors, dans la fin d'après-midi pour boire un peu, après la journée chaude passé dehors. Table est prise, bière fraîche commandée et l'aigue-marine se promène sur le groupe masculin qui lui fait face. Ils semblent harceler la petite serveuse de commentaires à sous-entendu si mal exprimés, qu'ils en tirent un sourire amusé à la blonde. Franchement, on fait plus fins comme types. Elle tourne la tête, regarde ailleurs, ici, un rassemblement d'hommes et de femmes, qui affiches différentes cicatrices, telles que les siennes, mais semblent bien moins doux qu'elle et pour finir quelques hommes au comptoir, un éclopé et quelques ivrognes notoires.
    La serveuse, lui apporte une chope, elle l'observe, sans comprendre, puis voilà que le groupe du fond, celui à l'air aussi intelligent qu'un balais, rit sonorement en voyant le regard de la Corleone qui se pose sur eux. Le poing se serre, mais elle ne dit rien. Se contente de boire la chope à sa place.

    Grossière erreur, voilà que l'un d'eux, massif et borgne s'approche, le poil crasseux laissé libre au vent derrière lui. Il vient s'installer face à elle, sans même qu'elle ne l'invite. Immédiatement, Corleone se tend, se méfie.

    « - T'voudrais pas v'nir avec nous? »

    Il affiche un sourire malsain et ajoute.

    « - T''sais, on t'payeras à boire et tu t'amuseras. »

    Haussement de sourcil. Elle s’affaisse contre le dossier de sa chaise sans un mot.

    « - No, ça ira. Retourne avec tes amis, je n'ai pas b'soin de compagnie. »

    Et il y retourna, oui. Le pas lourd laissant la belle replonger dans sa chope ... Enfin presque. D'un coup, elle entend les rire arriver vers elle et les trois hommes s'installent sans demander, une nouvelle fois sur les chaises présentes autour de la table. La voilà cernée, elle veut se lever, mais elle sait très bien que ça pourrait tout aussi bien servir à rien, si celui à côté d'elle lui attrape le bras. La fierté est mise eu placard, elle reste silencieuse, se sentant presque comme une petite souris, prise au piège pendant qu'ils rient bruyamment de la voir ainsi.

_________________
Stain.
    [Le 21 juin 1465]

    Depuis que Jurgen et Corbeau avait disparu Stain s’était rapprocher d’Audric et le considérer à présent comme un frère. Longtemps rester à l’écart du Clan, la Cigogne venait de comprendre qu’il était l’un des leur. Qu’il l’avait toujours était, mais que c’était lui qui se mettait à l’écart des autres.
    Les trompes la mort n’était plus.
    Il devait se faire une raison, et les Italiens lui avaient ouvert les bras. Ils étaient sa nouvelle famille et Stain avait fini par baisser la barrière qu’il avait érigée entre eux pour découvrir de vrai amis.
    La soirée avait était agréable, Audric et Stain se diriger vers les quartiers sombre de la ville. Rien de mieux pour se désaltérer et profiter des différentes joies que la vie offrée, catins, jeux, bagarres…

    Le marin avait troqué sa lourde chemise de toile contre un linge plus fin en cette période estival. Le tissus lui colle légèrement à la peau tandis que la sueur perle dans son dos. Ces long cheveux gris sont attaché en une élégante queue de cheval, on aurait presque put le prendre pour un gentleman si son visage balafré n’était pas recouvert d’une barbe broussailleuse. Malgré son âge avancé le Marin avait gardé la carrure musclé de sa jeunesse et une peau halé par le soleil.
    Il remonta les manches de sa tunique avant de pousser la lourde porte de la taverne. Un sourire se dessine sur le coin des lèvres en voyant les jeunes femmes se retourner sur les deux hommes. Il faut dire qu’ils avaient de l’allure nos deux amis. Une allure de Bad boys certes mais on ne devient pas mercenaires en récoltant du blé…

    Parfaitement à l’aise dans ce genre d’établissement Stain se dirigea directement vers le comptoir pour commander de quoi se désaltérer sous cette chaleur.
    Accoudé au bar il regarde autour de lui, cherchant une femme désirable à se mettre sous la dent pour la soirée, quand son regard se pose sur l’italienne.
    Son italienne.
    Ces sourcils se froncent.
    Trois hommes sont attablés autour d’elle et Stain reconnaît rapidement la lueur lubrique qu’il voit dans leurs yeux. Ses doigts se serrent sur la chope et ces phalanges blanchissent. Il donne un coup de coude à son ami et désigne Jeni du menton.
    Pas besoin de causer, Rick comprendra.
    Stain pose sa chope sur le comptoir sans la boire et se dirige vers la table de Jeni.
    Il tapote l’épaule de l’homme à droite de son amie et lui adresse son plus beau sourire malgré le feu qui le brûle à l’intérieur.


    - Vous permettez Messieurs ?

_________________
Jenifaelr
    Celui qui s'était approché le premier, voyant la petite souris s'écraser, à la droite de la Corleone, posa la main sur l'épaule de celle-ci, sous le doigt, il sent la nervosité, la musculature de l'épaule et la serre un peu.

    "- Allons mes amis. Notre p'tit souris à peur. "

    Et quelques rires gras accompagnent la remarque, les chopes se lèvent et l'aigue-marine féminine reste perdue, baisser avec soin sur le fond de sa chope. Oui, ça rit, oui, il y a cette lueur dans l’œil des trois hommes, qui imagine déjà les courbes de l'Italienne nue ou presque, sous leurs doigts. La main Corleone se lève, pour passer sa main dans ses cheveux, les attirants vers l'arrière, ajoutant du volume, nerveuse. Puis on les dérange.

    Lorsqu'elle entend la voix, le regard se lève, suppliante vers le pirate. Elle oscille, entre supplications envers lui et le pardon. Elle veut lui demander pardon, de s'être mis dans cette situation, ce n'est pas le moment, elle reste simplement silencieuse.

    L'homme, lui, n'est pas ravi et chasse celui qui le dérange d'un geste ample de la main, avant de se tourner vers lui et de lui lancer.


    "- Casse-toi, l'vieux. Trouve-toi une donzelle. "

    Et les rires qui s'élèvent ne sont pas les plus silencieux qui soit. La main quitte l'épaule de la Corleone, pour se poser sur la cuisse de la proie. Le poing de la blonde se serre, elle pose sa main sur celle sur sa cuisse, pour la retirer, sans succès, la cuisse est serrer. Elle murmure :

    "- Lâchez-moi, s'il vous plaît. Signore. "

    C'est un sourire qui lui offre, avant de renforcer sa prise, décidée à ne pas la laisser.

    "- Et, tu crois vraiment, qu'un débris, d'son âge, peut trouver une donzelle, qui veux d'lui? Faut pas rêver. "

    Nouveau ricanement.

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)