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[RP FERMÉ] NOCES de Léana et d'Ancelin 18 juin 1465

Teia_de_jerez
Peu à peu du monde arrivait dans la cathédrale dont le marié qui était superbe. Il avait une magnifique tenue dans les tons rouges et Or qui lui allait à merveille. Ce serait sûrement le plus bel homme de la soirée ce qui était normal vu que c'était sa grande journée. Elle aperçut l'autre vassale de Leana, dans une robe très belle, qui s'avançait. Elles ne c'étaient pas revue depuis leur anoblissement et Teia était très heureuse de la revoir.

Bonjour dame Teia, je suis ravie de vous revoir, comment allez vous ?

Bonjour Monseigneur Helena, je suis très heureuse de vous revoir pour une si jolie occasion. je vais très bien depuis notre dernière rencontre. Vous aussi j'espère ?

Puis son œil vit arriver sa fille qui remontait la travée. Celle-ci paraissait épuisée par son voyage. Heureusement, elle avait amené une robe qu'elle avait faite faire. Elles allaient donc pouvoir s'éclipser quelques minutes le temps que celle-ci soit présentable et surtout avant que sa suzeraine d'amour n'arrive.

Monseigneur, permettez-moi de vous présenter ma fille Hope de Jerez et mon amie Shakya. Ma chérie, Shakya, voici une des vassales de ma suzeraine Leana, Monseigneur Helena Bellcastell de Plantagenêt Bonnemaison, Vicomtesse de Paulain, Dame de Miremont et de Bergonne.

Sa fille qui se penche a son oreille et lui murmure quelque chose. Elle en profite pour l'embrasser car elle ne la pas encore fait.

Maman... dis, tu n'aurais pas une jolie robe à me prêter, parce que là je fais vraiment souillon et ta suzeraine mérite probablement mieux que cela... Puis, je ne voudrais pas te faire honte.

Je suis si heureuse que tu sois arrivée ma chérie ! Viens nous allons jusqu'à l'auberge en face. J'ai réservé une chambre et je t'ai amené une robe exprès pour toi. Tu vas être fabuleuse.

D'autres personnes continuaient d'arriver mais heureusement toujours pas de mariée.

Allez viens ma chérie ! Vous m"excusez, nous revenons. Shakya, tu nous gardes la place.

Une demi heure plus tard, la mère et la fille revenaient toutes belles toutes les deux, prête à attendre l'arrivée de la reine de la journée..
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Mael_
Chez nous

J’étais tout content aujourd'hui à tel point que j'étais partie réveiller Liane alors que le soleil n'était même pas dans le ciel. Maman disait toujours que la vie appartenait à ceux qui se levaient tôt et ce matin j'avais l'impression être le roy du monde. En tout cas de mon petit monde à moi, car ce n’est pas avec mes quatorze années de vie que j'avais conquis beaucoup de territoire. Quoique, ma chambre, les écuries, la rivière et le grand parc du domaine s'n’était déjà pas mal en soi. En tout cas moi j'en étais fière et ma soeur, cette fidèle complice l'était surement autant que moi.

Liane s'était une fille et je savais que je n'avais pas le droit d'entrer dans sa chambre sans frapper alors mon point s'écrasa sur la porte plus doucement que je ne l'aurais espéré, mais assez fort pour la réveiller tout de même. A ma grande peine, je fus déçu de l'entendre me répondre d'une voix en pleine forme. Serait-elle comme moi tombée du lit? Possible, après tout s'était le mariage de notre mère aujourd'hui. J'entre dans la chambrée et ce n'est pas liane que je découvris, mais ma fratrie entière. Emma, Audrick et Tara-Lylla étaient là. Mince me dis-je, Liane à déjà fait le tour des chambres avant moi.


Mais vous auriez pu venir me chercher quand même ! Teia sait que vous êtes debout et tous ici?

En grand frère, je m'approche des plus jeunes et les prends par le bras

En route, faut que l'on mange un morceau avant de mettre nos beaux...

Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase qu'Agathe fit son apparition

Oups, s'est foutu pour jouer les chefs soufflais-je à Liane

Bonjour Agathe, on allait prendre le déjeuner. Vous avez vu maman ou Armand ou Ancelin ou Teia ou le Dragon?

Mon estomac faisait des bons, il réclamait sa pitance matinale comme chaque jour. En pleine croissance, jamais je n'oubliais mon petit déjeuner sinon j'étais grognon toute la matinée. L'estomac vide, cela ne me réussissait jamais. Accompagné de la petite bande d'affamés tout comme moi, nous primes d'assaut la cuisine. Gertrude, drageonnait tout en cuisinant et nous nous en mettions partout. Ma faim rassasiée, je repartis dans ma chambre me faire tout beau. Ma mère m'avait fait faire une tenue par sa couturière et je la trouvais très belle. Ni une ni deux, me voilà tout prêt. Je passai un coup de peigne dans mes cheveux et m'empressa d'aller rejoindre ma frangine Liane.

T'es prête Lily? Dis tu es prête ou tu vas encore faire traîner tout le monde?

Ah ça y était, j'étais arrivée à faire rager ma soeur derrière sa porte. Victoire !!!!! la journée s'annonçait mal si elle ne pestait pas. Furieuse contre moi, elle ouvrit la porte à la volée et je vis ma soeurette vêtue d'une très belle robe.

Wahoooo, t'es belle Lily comme ça. Maman elle à bien choisi. Regarde-moi, comme cela me va bien.



Bon bon, j'arrêtais mes enfantillages après tout j'étais plus un enfant, mais un jeune homme même si en présence de ma soeur s'était tout autre, je devais jouer les grands aujourd'hui.

Aller vient Lily, on va rejoindre Agathe et les autres. J'ai entendu les voitures s'avancer, je crois que c'est l'heure de partir.



Devant la Basilique

Maman n'avait pas fait la route avec nous. Je fus alors, mise à part Agathe et nos gardes le seul grand dans la voiture. Une fois devant la Basilique, je descendis le premier. Privilège de l'âge voyez-vous. Suivi de près par mes soeurs et mon frère. J'avançais tenant la main de Tara-Lylla, pendant qu'Emma restait avec Liane et que Audrick ne quittait pas Agathe.

Tara, tu restes près de moi jusqu'à ce que nous soyons avec Teia.

Arrivée à hauteur d'Ancelin, je viens lui faire un bisou. Après tout il allait être notre père puisse qu'il épousait notre mère aujourd'hui.

Bonjour Ancelin,
Maman n'est pas encore arrivée? Et Teia tu l'as vu?


Bavard moi ! pfff n'importe quoi, juste ce qu'il fallait. Un gros bisou à Jason aussi au passage et je pris la direction de Teia que je venais de voir entrée dans la Basilique en compagnie d'une dame que je ne connaissais pas encore.

Tati Teia, tu es belle dans cette robe.

Je lâche la main de Tara qui fila dans les bras de sa nourrice



Édition pour rajout du lien de la tenue que j'avais oublié de mettre

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Tatou_de_la_calonne
Tatou avait quitter momentanément le campement de son armée pour se rendre en Alençon au mariage de Leana.

Il avait délaissé son armure pour une tenue plus en adéquation avec l'évènement du jour.




Arrivant devant la Basilique, il attendit de l'autre coté de la place adossé à un arbre.
Il n'y avait pas encore grand monde d'arrivé mais il put apercevoir Jason parler à un autre homme. Ne voulant pas le déranger, il resta sur place

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Guillon
    Le trublion poète gesticula son papelard tout en freinant sa course devant les hommes d’armes en faction devant les lieux.

    Pas sur la liste.

    Secouant à nouveau le papier devant le pif de l’homme, le brun visiteur roulait des yeux.

    Maistre Guillon. Ou Auguste Guillon. Poète. Regardez à nouveau, là, en bas, avec le bétail.

    De quelques gestes vifs, il désigna le bas du parchemin que vérifiait son interlocuteur. Roulements de yeux, tapage de pied… Le temps est long quand on attend, surtout après c’être pressé. Il n’avait pas eut besoin, il n’était pas en retard, mais c’était plus fort que lui. Il avait eut ce besoin pressent de la revoir. De les revoir. Car s’il y avait elle, il y en avait aussi une autre qui serait assurément là. Pour se donner bonne conscience, il en profita pour jeter un discret coup d’œil en coin à la liste… Pour sûr que sa sœur de cœur allait être là elle aussi, quelle idée d’en douter. Terminant sa vérification, le garde relève les yeux, geste imité immédiatement par le poète qui feint alors de regarder ailleurs, à deux doigts de siffloter pour se montrer plus convaincant dans son acte.

    Ah, c’est bon, vous pouv-

    L'invité l’interrompe d’un geste de la main impérieux. Pas qu’il puisse se le permettre en réalité, c’était surtout des airs qu’il se donnait parfois, adepte de comédie, car sans son jeu d’acteur, jamais il n’arriverait à s’approcher de tout ce beau monde. Savoir rimer et bien écrire ne suffisait pas aux yeux de tous.

    Pénétrant sur les lieux réservés, il en profita pour remettre en place son col. Pour une fois, l’insignifiant roturier aurait pu se confondre avec la noblesse, avec ses beaux habits. Pas qu’il aurait un jour pu se les offrir lui-même, son apparence était totalement trompeuse sur sa condition de vie. Et bien que la confusion que cela aurait pu crée amusait notre trublion, il n’était pas venu ici pour semer le désordre par ses facéties. Il était bel et bien sérieux dans sa démarche et ses intentions, à la hauteur de tout le respect qu’il avait pour sa très chère amie Léana.

    Où était-elle d’ailleurs ? Plus tard, il lui faudrait se montrer patient. Paaaaatient. Quand il s’agissait de certaines personnes qui lui étaient chères, cette vertu était rapidement enterrée vivante.
    Cherchant quelqu’un de familier qui pourrait l’aider à passer le temps et faire calmer sa hâte, il tomba sur la première personne connue qu’il voyait dans le bain de foule : Jason. Ironie du sort, Ancelin est à côté de lui, mais l’Auguste invité ne l’ayant jamais rencontré, n’avait alors pas la moindre idée de ce qui l’attendait.


    Ah, bonjour Jason ! Ravi de vous revoir en ce jour si spécial…

    L’artiste faite sa plus belle révérence, adepte de l’étiquette, mais avec une petite touche d’exagération théâtrale qui illustrait si bien le personnage. En se redressant, lui vient à l’idée qu’il devrait quand même se renseigner sur qui était ce chanceux époux… Il n’avait qu’à espérer que Jason lui file un coup de main.

    Et maintenant qu'il avait trouvé quelqu'un, subitement son esprit l'autorisa à apporter un regard frais sur l'ensemble des personnes présentes. Les jolies dames... Et aussi, admettons, leurs jolis compagnons. Puis enfin son regard retomba sur Jason, et le doute lui vint quand à la figure droite et studieux du solitaire à ses côtés. Forcément que ce personnage devait être "lui"... Ce qui valu une petite grimace de malaise difficilement dissimulable sur la face du Guillon.


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Cerise
Ca faisait bien longtemps que la Griotte n'était pas sortie, elle ne prenait plus l'air depuis la mort de son époux, un rien la plongeait sans cesse dans cette douleur insurmontable qui au lieu de s'atténuer au fil des moys ne faisait que s'accroitre.

Mais la Pair de France ne pouvait pas louper ce mariage, la vicomtesse avait toujours été là pour sa fille et ô combien on savait que certains Auvergnats ne l'avaient pas épargné. Elle partit donc de ses terres parisiennes pour l'Alençon, elle avait dit à ses filles qu'elle n'aurait pas la force d'aller à Chateauneuf, là où elle vivait avec son chaton, là où il reposait à tout jamais, elle y irait mais après les réjouissances afin de tenir le coup.

Après une bonne nuit de sommeil dans une auberge non loin de la réception, elle se prépara pour ne pas arriver en retard, c'est qu'elle était toujours à la bourre la Griotte. Quand elle descendit de sa voiture elle put voir l'une de ses filles, la charbon en peine discussion, elle s'approcha sans faire de bruit, sans oublier de saluer quelques personnes connues par une inclinaison de ses prunelles. Elle passa ses mains autour de la taille de Léna et....


- Bouh ! Encore en train de jacasser ma chère fille.

Elle ne put s'empêcher d'en rire, bien amusée de son sale coup, elle déposa un baiser sur son front comme à son habitude..

- Bien le bonjorn dame Teia, comment vous portez vous ?

Cerise l'avait déjà croisé à la Grande Prévôté de France, cela remontait un peu et pourtant elle se souvenait bien d'elle. A cela, elle regarda partout si la tornade blonde était arrivée, ça ne semblait pas être le cas.
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Jason_ludgaresvissac
Les invités arrivaient et Ancelin restait perdu dans ses pensées, quand le fils de Léana l'embrassa, il fit de même puis s'excusant il rejoignit tatou, un visage connu ne faisait pas de mal.

Alors Matou tu cherche un pilier pour te planquer ?

Souvenir d'un temps passé qu'il préférait oublier désormais

Dis donc te voilà drôlement élégant, pour un peu je ne te reconnaissais pas

Puis le poète vint le saluer, il l'avait croisé au mariage d'Elsa, même s'il avaient peu discuté il l'avait trouvé fort sympathique. D'un regard il chercha So se demandant si elle était invitée.

Auguste comment allez vous ? Sophélia est elle avec vous aujourd'hui ? Je suis moi aussi ravi de vous revoir


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LUDGARES de VISSAC et pas L. VISSAC
Peryl
[A l'auberge]

Peryl s'était laissée embarquer par sa mère dans cette auberge au charme cossu, à la décoration raffinée. Arrivées dans la chambre, Teia lui tendit une robe absolument magnifique, au tons verts, gris foncé et dorés qui s'harmonisaient à merveille, faite de taffetas et soieries d'une très belle facture, qu'elle en resta un instant bouche bée.

Hop ! Hop ! Vite fait bien fait, car pas le temps de s'extasier devant cette œuvre, elle se débarbouilla, enfila la tenue, non sans se tortiller en tous sens tout en soupirant et se disant que la journée allait être longue. Sa mère lui peigna les cheveux et attacha une grosse partie de la masse tout en laissant quelques mèches rebelles prendre sur les côtés de son visage. Puis sans tarder, elles filèrent toutes deux à la cathédrale, Peryl trébuchant parfois dans les pans de sa robe et grommelant des propos pas très jolis jolis de la part d'une jeune demoiselle.







[ Retour à la Cathédrale ]

Elle prirent place et les invités commencèrent à affluer. Tout d'abord un charmant jeune garçon qui complimenta sa mère sur sa beauté, l'air sincèrement ravi de la voir, et une petite fille jolie comme une poupée qui se jeta à son cou. Puis un homme qui gesticulait en tous sens, faisant des courbettes devant le marié et l'Adonis à ses côtés. Peryl posa ses yeux sur ce dernier, puis sur sa mère, sur lui, et sa mère et leva un sourcil, sans piper mot. Enfin, une jeune femme vint saluer également sa mère, ce qui la poussa à se pencher vers elle et lui murmurer à l'oreille :

Dis donc, tu es connue comme le loup blanc, toi.

C'est à cet instant qu'elle entendit le beau brun à la classe folle, parler au pantin d'une certaine... Sophelia. Ah mince, râté ! Evidemment, superbe comme il était, cet homme appartenait déjà à une autre. La brunette fît la moue tout en haussant les épaules, mais resta malgré tout en éveil, sait-on jamais, Teia pourrait bien trouver chaussure à son pied, surtout en pareil occasion.[/img]
Garsande.lucile
[Dans les appartements de la mariée en devenir]



Elle était arrivée voilà déjà quelques jours en Alençon pour y retrouver sa cousine, laissant sa marraine adorée et son parrain venir plus tard. La France était tellement différente de sa chère Franche Comté, en plus elle ne connaissait personne. Non pas qu'elle soit timide , loin de là mais elle aimait bien être avec ses amis plutôt q'avec des inconnus à qui en général elle n'avait rien à dire.
Elle s'était réveillée aux aurores afin d'avoir le temps de se préparer avant d'aller rejoindre Léana.



Elle arriva dans les appartements privés de sa blonde cousine en même temps qu'elle. Pour une fois elle pourrait profiter de sa seule présence sans avoir la sapritchisme dame de compagnie dans les pattes.

Sans se faire prier elle attrapa la brosse et commença à démêler les boucles blondes tout en prenant garde de ne pas tirer dessus bien que l'envie de faire bisquer la future mariée la tenaillait, mais elle avait promis à Elsa d'être raisonnable, enfin d'essayer fallait pas pousser non plus. Et puis elle était loin d'être une camériste. Elle s'appliqua ensuite à bien former la tresse ni trop lâche , ni trop serrée, arranger les mèches ici et puis là. Puis il fallut fixer l'ornement et pour cela elle dut s'y reprendre à deux fois pour qu'il soit bien comme il faut.

Elle se recula un peu pour juger de l'harmonie et sourit fière d'elle.


    Ecoute si ton promis ne te trouve pas la plus belle c'est qu'il a un soucis de vue et si j'étais toi je ne l'épouserais pas, mais bon après hein c'est toi qui voit.


Elle patienta le temps qu'elle donner différentes instructions à son ... en fait elle ne savait pas quelle était la fonction de l'homme et cela lui importait peu après tout. Elle en profita pour remettre en place une mèche qui s'était échappée de sa coiffure.



    Je ne penses pas qu'il viendra, mais bon avec lui on ne sait jamais, mais tu as raison ma place est désormais avec les invités



[Basilique d'Alençon]


Elle rejoignit la basilique à pied se demandant si elle allait pouvoir croiser des personnes connues. A son arrivée elle vit le futur marié en compagnie de l'ami de sa marraine puis au miracle Auguste. Elle s'approcha de lui et passa son bras sous le sien en souriant


    Auguste, tu me sauves j'avais peur de me sentir un peu seule, je ne sais pas si le blond sera là. Tu veux bien que je reste avec toi au cas où ?


Elle salua d'un signe de tête le cousin en devenir et son témoin

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*Hommage
Lyline
ENCORE en train de travailler ! Tu...... n'aurais pas oublié que nous fêtions quelque chose à tout hasard ?? Mmmm ??? Comme le mariage de ma cousine par exemple. Moi je dis ça, je ne dis rien hein.

Un maire qui travaille même le dimanche cela n'avait rien d'étonnant et pour Éva acharnée de travail s'était encore moins étrange. Aux aurores, comme tous les matins, elle s'était rendue dans son bureau pour y travailler au calme. Elle aimait travailler très tôt le matin, car non seulement il faisait encore frais de la nuit et puis surtout personne dans les pattes pour l'interrompre. Plongée dans ses documents, rapports, bilans, cahiers de gestion et mandat, la mairesse de Mortagne n'avait pas fait attention à l'heure qui s'était profilée.

Oublié ??? Mais absolument pas voyons. J'allais justement partir d'ici quelques minutes pour venir me préparer. On n’est pas en retard, je n’ai même pas entendu les cloches de la Basilique tinter.

Prenant le baiser que son épouse lui offrit, elle partit d'un petit rire à ses paroles. Des trucs de femmes qui se pouponnent, cela était drôle quand on sait qu'Evalyne bien que coquettement habillée tout le temps, ne se pouponne que très rarement. Quoi cinq minutes???? Mais c'est impossible ça en cinq minutes !!!! Dans le miroir, elle s'observe quelques secondes et se dit que se rendre présentable en cinq minutes cela allait relever de l'exploit. Bouarf, elle fera au mieux du coup.

Oui oui oui oui, je ne traîne pas, mais je donne pas cher du résultat.

Enfilage de robe, ajustage de l'ensemble, une brosse attraper et ses cheveux lissés laissé libre pour le coup pas le temps de faire une coiffure aux petits oignons. Un peu d'eau fraîche passée sur son visage et elle regarde une fois de plus le miroir. Ce n’était pas parfait, mais elle ressemble à quelque chose de bien quand même. Lisant une dernière fois les plis de sa robe aux couleurs fleuris, elle rejoint Emmery dans le bureau.

Me voilà, nous pouvons y aller. Tu vois je n’ai pas traîné à faire mes trucs de femmes qui se pouponnent.

Elle rit doucement un clin d'oeil au coin du regard en prenant son bras. La route de Mortagne à Alençon ne fut guère longue. La Capitale n'était qu'à quelques lieues de chez eux et ils ne prirent que peu de temps pour se rendre à la Basilique. Quand ils arrivent sur place, elle vit qu'il y avait déjà du monde et s'inquiète un petit peu.

Mais en faite, tu aurais du venir me sortir de mon bureau plus tôt. Regarde, il y à déjà tout plein de monde et même Ancelin est déjà arrivé. Par contre je ne vois pas encore ta cousine. Aller vient, allons saluer Ancelin.

Le couple s'avance jusqu'au futur marié et d'un sourire accompagné d'une révérence digne de ce nom, Éva se présente à Ancelin.

Votre Grandeur, c'est un honneur de vous rencontrer enfin. Je suis Evalyne de Cassel-Hainaut, la femme d'Emmery le cousin de vôtre promise et la mairesse de Mortagne. Comment vous portez-vous? Pas trop stressé ou impatient?

Un signe de salut au nouveau Recteur, un autre aux personnes présente quand ils passent à côté d'eux et elle observe les alentours pour apercevoir la future mariée.
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Liane_
Le mariage, le mariage, le mariage ! Depuis la veille Lily ne tenait plus en place. Pas moyen de s'endormir de bonne heure, pas moyen de faire la grâce matinée non plus. Et au lieu de tourner en rond dans sa chambre que le soleil se lève, elle avait fait le tour des chambres comme tout les jours et réveiller ses petits frères et soeur. Pas les grands frères, elle n'avait pas envie de se faire enguirlandé Lily. Le tour achevé, tous dans sa chambre ils jouèrent à celui qui faisait la plus belle grimace. Liane était doué pour ça et les rires fusaient dans la pièce. Mince moins fort, ils allaient finir par se faire repérer à force. Soudain un bruit sec cogna à sa porte et plus un son sortit de sa bouche. À tous les coups, ils s'étaient fait griller et elle répondit calmement.

Oui qui est-ce?

Soufflement de soulagement en voyant Mael entrer dans sa chambre

Arrête Mael, t'es pas papa et encore moins m'man. Pis si j'étais v'nu te réveiller tu m'aurais engueuler alors v'là quoi.

Nouveau silence, même pas eu le temps d'entendre la fin de la phrase de son frère qu'Agathe débarquait maintenant.

Hey, mais c'est ma chambre là, c'est pas l'lieux de rendez-vous du manoir non plus.
L'dragon doit être déjà dans la cuisine, tu n'sens pas l'odeur des madeleines toi et du lait chaud?


Carrément plus rapide que son grand frère, Liane débaroula dans les cuisines, s'installa et attendit que la Gertrude la serve. Elle dévora son petit déjeuner comme tous les jours d'ailleurs. Liane au réveille s'était une affamée qui aurait pu avaler l'équivalent de deux petits déjeuners en un si le Dragon la laissait faire. Une fois repue, elle sauta de sa chaise et déclara qu'elle allait mettre sa belle robe et partit en courant dans sa chambre. Elle avait piqué un peu de maquillage à sa mère, l'avait regardé faire des centaines de fois et fit tout pareil. Évidement cela ne se voyait pas trop, elle n'avait surement pas du en mettre assez, mais casse là ne tienne cela irait ainsi. Déballant sa robe, elle eut du mal à la mettre toute seule, mais finit par y arriver.

Agatheeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, venez j'ai b'soin d'vous pour me coiffer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Agatheeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, dépêchez-vous où j'vais être en retard et m'faire disputer !!!!!!!!!!!!


La gouvernante arrivée à la hâte coiffa Lyli qui grimaçait à chaque fois que le peigne tirait sur ses cheveux. Fallait souffrir pour être belle qu'elle disait la gouvernante. J'vais t'en donner moi du faut souffrir et pis quoi encore.

Aieeeeee ! c'est bon c'est fini là? J'a plus avoir d'cheveux à force qu'tu tires dessus Agathe.

La gourvenante avait fini de torturer la demoiselle qui se leva et se regarda dans le miroir.



Ça lui tirait la tête, mais elle se trouvait belle, très belle même.

T'es prête Lily? Dis tu es prête ou tu vas encore faire traîner tout le monde?

Et v'là qu'elle grognait la petite miss en allant ouvrir sa porte à la volée

T'as fini oui? J'suis là et pis c'est rarement moi qu'on attend j'te signale d'abord. M'en fou j'vais dire à m'man et à Teia qu't'es insupportable quand tu joues les grands.

Sourire en grand sur son visage au compliment de son grand frère

Merci Mael, t'es très beau toi aussi. Oui, allons-y j'suis pressée d'voir m'man dans sa belle robe. J'ai voulu faire ma curieuse hier soir, mais m'man l'avait accroché la robe trop haute et j'pouvais pas l'atteindre du coup j'a rien vu.

Sur fois devant la Basilique, elle descendit de la voiture et avec la main de sa petite soeur Emma, elle suivit Mael vers l'amoureux de sa maman à qui elle fit un bisou enfantin tout gentil. Liane la grande bavarde qui ne se laissait jamais marché sur les pieds et avait tout le temps quelque chose à répliquait restait toute sage et muette quand elle était devant Ancelin. Elle vit Jason et lui sauta presque au cou.

Jasonnnnnnnnnnn, t'es beau comme ça.

Liane adorait Jason, comme un tonton pour elle !

Rose l'est avec toi? Et Léo aussi?

À peine eut-elle ses réponses que son grand frère partait déjà rejoindre l'intérieur de la Basilique. Liane qui avait promis de rester avec son grand frère et Teia suivi le mouvement tenant toujours fermement la main d'Emma. Elle alla embrasser Teia quand elle là vit.

Bonjour tata, l'est où Armand? J'aime bien quand il est là, car Mael l'est pas gentil quand il joue les grands. Au moins Armand l'est vraiment le grand frère lui.

Elle s'assit ensuite avec sa petite soeur sur le tout premier banc pour bien voir et se tordit le cou vers l'entrée. Mais elle était où sa mère?

Mael? m'man l'est en retard

Pouffa-t-elle à son frère.
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Guillon
    Comment je vais ?

    Le brun marque une pause à la question de Jason. Ce n’était pas de tout repos ce qui se passait sous la caboche du poète en ce moment, mais il avait mis tout cela de côté en arrivant ici. Simplement le constater lui déroba une seconde d’attention avant qu’il ne complète sa réponse.

    Je suis en un morceau, c’est tout ce qui compte non ? Ah pour Sophélia et bien, non, elle n’est cachée nulle part ; comme vous pouvez le constater, je suis non accompagné cette fois-ci !

    Déclaration qui perdit rapidement tout son sens à la soudaine apparition de Garsande qui vint s’enrouler autour de son bras. Légèrement ému par l’attention, d’avantage de surprise car il eut cet instant de doute autant que d’attente quand à qui viendrait prendre une telle liberté, sa tête pivota à la rencontre de sa blonde amie à qui il vint déposer une bise amicale et quelque peu familière sur sa joue.

    Bonjour Garsande ! Quand à ta question, bien sûr. Tu vois bien que je suis seul. Ha ! Le destin nous remet à nouveau ensemble pour un mariage, cela serait le comble qu’un blond ne te dérobe une seconde fois.

    Riant avec légèreté, il vit ensuite arriver quelques invités saluer le future marié et blêmit à la réalisation que celui-ci était bel et bien celui qu’il craignait. Il lui faudrait alors le saluer, mais il attendit un peu, voyant ensuite débarquer en trombe une poignée d’enfants. A leurs propos et attitude, il cru comprendre qu'ils étaient ceux de Léana, et prit un instant pour les observer, attendri par cette découverte, un sourire bienveillant aux lèvres.
    Mais le constat resta le même, fixant Ancelin, n’osant pas trop l’interrompre. Peut-être aurait-il l’occasion plus tard. D’ailleurs, se trouvant un peu trop prêt des personnes d’importance, il fit un léger pas de côté pour prendre du recul, pour peu que la blonde qui l’avait agrippé suive son impulsion. Il crut remarquer quelques regards dans la foule, ce qui le convainquait d’autant plus qu’il avait probablement fait une bourde en s’empressant autant.


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Ancelin_herbst
Ancelin était plongé dans ses pensées quand il vit Jason le rejoindre

La corde ? oui, mais je n'ai pas encore installé la potence !

Mais tu sais, j'ai hâte qu'elle me dise oui et que nous convolions en noce


Sourit

Se tournant vers Mael,

Non elle n'est pas encore arrivée à mon grand dam. J'ai aperçu Teia de loin, je n'ai pas encore eu le temps de la saluer.

Il lui posa la main sur l'épaule pour lui faire comprendre que dorénavant, il pourrait compter au quotidien sur lui.

il vit une femme s'avancer avec un homme. Il écouta et sourit

je suis ravi de faire enfin vous rencontrer également. Léa ma beaucoup parlé de vous. c'est un réel plaisir de pouvoir poser un visage sur un nom. il me tarde qu'elle arrive je vous l'accorde

Ancelin sourit de voir que beaucoup de monde était arrivé, mais il attendait avec impatience ses propres invités, qui ne devraient plus trop tarder.


peu dispo jusqu'a dimanche soir

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Elsa.d.asceline
    J'étais arrivée en Alençon assez tard la veille au soir, seule. Sans enfant et sans époux. Je n'avais pas eu le courage de le lui rappeler et pour mon petit bout, il faisait bien trop chaud pour l'embarquer sur les routes, Louis était bien mieux auprès de sa nurse,au seins des murs frais du château de Dole qu'ici avec moi. Je n'avais de toutes manières pas prévue de m'attarder trop longtemps pour le retrouver au plus tôt, Ce soir même.

    Les mariages se succédaient ces derniers mois, d'abord le notre, puis Aimeryc et maintenant Leana.

    Le voyage s'était dérouler tranquillement, après quelques heures de repos , j'avais enfiler la robe que j'avais prévue pour cette journée, faite d'un tissu léger afin de ne pas trop souffrir de la chaleur.




    A mon arrivée il y avait déjà du monde présents dans l'édifice. Mon regard bleuté avait prit quelques instants pour vagabonder ci et là, à la recherche de quelques visages familiers.

    J'avais légèrement sourit, repérant sans mal le petit groupe un peu plus loin, nullement étonnée d'y trouver Jason et Garsande au contraire de Auguste. Lentement, saluant d'un signe de tête poli les quelques visages croisés, je les avaient donc rejoins, me frayant un chemin entre toutes les petites têtes pour aller claquer une bise sur la joue de Jason et de ma filleule, puis de saluer le poète.


    Bonjour vous, vous allez tous bien?

    Admirant la robe de garsande au passage.

    Tu es magnifique Garsande, ton tendre n'est pas là?


    Puis de sourire en apercevant Helena et cerise plus loin, leur adressant un petit signe de la main, j'irais les saluées après.

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Brunehaut_
- La Rochelle, en Poitou -

CaCounet? Auriez-vu Hoel traîner dans les parages? Je le cherche depuis une éternité, pas moyen de mettre la main dessus!

Brune est inquiète, les malles sont bouclées, la voiture comtale prête, l'escorte harnachée et armée, les Ponsay Navarot n'ont qu'à s'installer dans l'habitacle pour que le voyage commence.
C'était sans compter les facéties du jeune vicomte versé dans l'art de faire tourner bourrique sa mère.


Hooooeeellll? Hooooeeellll? Trésor, il est temps de partir en voyage! Sortez de votre cachette immédiatement avant que je ne me fâche rouge!

Brunehaut est chapeautée, voilée, bottée, élégante dans sa tenue de voyage, celle qu'elle portait lors du Grand Voyage sur l'Espérance. Elle est impatiente de mettre les voiles sur Alençon car assister au mariage du Ancelin vaut tous les détours du monde.
Elle a une pensée pour Lhouise, sa chère Lhouise qui lui manque terriblement.


CaCounet? Etes-vous prêt? Entre Hoel et vous, il y a de quoi écrire un roman! Et dire que ce sont les Dames qui mettent tout le monde en retard, j'ai la preuve du contraire.

Elle rit, gaie comme un pinson: la famille est réunie et fera une sortie au grand complet.
Le départ est sur le point d'être donné, les auberges relais ont été averties pour qu'un minimum de confort attende les poitevins.


- Auberge, à Alençon, veille du mariage -

Est-il utile de relater le voyage? Chacun sait que voyager en famille avec un jeune enfant est parsemé de rebondissements, d'arrêts pipi, de petites jambes à dégourdir, de maux de transport et caetera.
Le père, la mère et le fils, trinité poitevine, arrivent bien fatigués à la dernière étape du voyage. Les cadeaux pour les mariés sont entiers, le bric à brac du Comte aussi.
Demain viendra bien assez tôt, trop tôt au goût de la Comtesse épuisée.

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Jason_ludgaresvissac
«Que diable allait-il faire dans cette galère?»


les invités se pressaient de plus en plus, il se pencha pour embrasser Liane, il appréciait l'enfant et son franc parler.

Non elle n'est pas venue, je l'ai laissée au Havre elle n'était pas invitée que je sache.

Ancelin semblait sortir de sa rêverie

Je te comprends oui quand tu dis vouloir qu'elle dise oui, mais elle ne devrait pas tarder

Il le laisse à ses invités et reporte son attention sur Auguste

Dommage je l'aurais revue avec plaisir. Bonjour Damoiselle Garsande votre marraine n'est...


Pas le temps de finir sa phrase qu'une femme s'approche et l'embrasse

Elsa c'est un plaisir de te revoir, ton époux t'accompagne ? Et ton fils , quand est ce que je vais le voir ?



Il aimait cette jeune femme pétillante d'une amitié sincère et désintéressée, cela lui faisait du bien. Il l'enviait même d'avoir eu le courage de partir même s'il avait regretté ce départ. Il est des amitiés qui sont précieuses car bienveillantes et discrètes comme savait l'être la jeune femme.

Ses glaces parcoururent les personnes arrivées, et sa mâchoire se crispe l'espace d'un instant, il fallait faire bonne figure et accepter même si la réciproque n'était pas vrai.

Le soleil tapait et il commençait à faire soif

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LUDGARES de VISSAC et pas L. VISSAC
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