Theodrik
Citation:
Dukke,
Vous me connaissez si bien. Vous devinez que mon absence nest pas volontaire mais parce que mes poings ont encore failli finir sur la pommette dun imbécile. Apprenez pourtant que cest votre fils, notre précieux, qui a semé la zizanie. Voilà quelques minutes que je lui faisais côtoyer les étoiles (il adore quand je le fais voler, il a toujours sa petite gueule de trouillard alarmé quand il voit se rapprocher le sol mais que mes bras le rattrapent, au dernier moment). Bref on samusait bien, moi lui faisant regretter ses nuits à beugler, lui se pissant sûrement dessus, de joie. Sauf que pendant la brève pause que je lui accordais, Poisson Rouge na eu de meilleure idée que de régurgiter sur le passant le plus hormoné qui venait. Là, labruti hurle à en déclencher les pleurs de Brynjar, ce que je ne permets évidemment pas, quon na jamais vu père plus inconscient que moi. Et au mécontent dajouter que le petit pleure sûrement davoir à côtoyer de si près mon hure boursouflée. En bon professeur, je lui propose une étude rapprochée de sa propre carne, lui détaillant en haussant légèrement la voix mes savoirs en la matière et les options envisageables pour la morphologie de sa poire. Je nallais évidemment pas me souiller les pognes, mouflet au bras. Les deux gens darmes qui passaient ne firent cette conclusion et me retinrent dinjonctions tandis que vous partiez, mabandonnant à la compagnie migraineuse de deux types mieux dotés en armature quen méninges.
Vous retrouverez fils et loque épousée dès demain, à Thouars, sans amende ni égratignures. La diplomatie est ma nouvelle procédure face à labrutissement. Ou est-ce le peu denthousiasme à lidée de prendre une lame dans les tripes ? Veillez à ce que Beaumont ne déprime pas trop, en mon absence, et évitez la méprise de ce sot dCharles : je ne vous quitterai plus dun talon nu. Pas même à Limoges.
T.
Vous me connaissez si bien. Vous devinez que mon absence nest pas volontaire mais parce que mes poings ont encore failli finir sur la pommette dun imbécile. Apprenez pourtant que cest votre fils, notre précieux, qui a semé la zizanie. Voilà quelques minutes que je lui faisais côtoyer les étoiles (il adore quand je le fais voler, il a toujours sa petite gueule de trouillard alarmé quand il voit se rapprocher le sol mais que mes bras le rattrapent, au dernier moment). Bref on samusait bien, moi lui faisant regretter ses nuits à beugler, lui se pissant sûrement dessus, de joie. Sauf que pendant la brève pause que je lui accordais, Poisson Rouge na eu de meilleure idée que de régurgiter sur le passant le plus hormoné qui venait. Là, labruti hurle à en déclencher les pleurs de Brynjar, ce que je ne permets évidemment pas, quon na jamais vu père plus inconscient que moi. Et au mécontent dajouter que le petit pleure sûrement davoir à côtoyer de si près mon hure boursouflée. En bon professeur, je lui propose une étude rapprochée de sa propre carne, lui détaillant en haussant légèrement la voix mes savoirs en la matière et les options envisageables pour la morphologie de sa poire. Je nallais évidemment pas me souiller les pognes, mouflet au bras. Les deux gens darmes qui passaient ne firent cette conclusion et me retinrent dinjonctions tandis que vous partiez, mabandonnant à la compagnie migraineuse de deux types mieux dotés en armature quen méninges.
Vous retrouverez fils et loque épousée dès demain, à Thouars, sans amende ni égratignures. La diplomatie est ma nouvelle procédure face à labrutissement. Ou est-ce le peu denthousiasme à lidée de prendre une lame dans les tripes ? Veillez à ce que Beaumont ne déprime pas trop, en mon absence, et évitez la méprise de ce sot dCharles : je ne vous quitterai plus dun talon nu. Pas même à Limoges.
T.
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By JD Dôn.