Edward
Le Duc d'Orléans de passage à Gien avait eu le souhait de faire monter les récentes rénovations du château de Gien longtemps oublié par ses prédécesseurs. Le Colleville y séjournait à chacun de ses passages alors les rénovations avaient été entamé dès le début de son règne, en commençant par la Grand'salle qui venait tout juste d'être finie.
La Grand'salle choisie accueillait alors une large âtre bien évidemment inutilisée par cette période ainsi que deux longues tables centrales où un buffet était étalé sur son dessus. Oui, c'était une cérémonie, mais il fallait bien se nourrir aussi, Sur une extrémité de la pièce, une estrade fut élevée, sans trône, rien, ce jour ce n'était la Duc qui allait être à l'honneur mais les cinq récipiendaires du collier de l'ordre du mérite Orléanais nommés sous le règne de Léanore Giboint de Dampyerre et approuvé par la CdE d'alors puis le Duc d'Orléans d'aujourd'hui. La cérémonie avait traîné oui, et pour cause qu'un règne n'est pas de tout repos et son organisation encore moins.
Le Duc avait donné l'ordre d'autoriser toute entrée dans le château, autant la noblesse que la roture, que l'orléanais ou l'étranger. Les armes étaient juste proscrites sauf pour la noblesse du Royaume qui avait l'entière liberté de porter les armes. L'heure donnée, le Duc se retira dans ses appartements ducaux pour laisser les premiers convives entrer dans le château, accompagnés des servants castraux.
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La Grand'salle choisie accueillait alors une large âtre bien évidemment inutilisée par cette période ainsi que deux longues tables centrales où un buffet était étalé sur son dessus. Oui, c'était une cérémonie, mais il fallait bien se nourrir aussi, Sur une extrémité de la pièce, une estrade fut élevée, sans trône, rien, ce jour ce n'était la Duc qui allait être à l'honneur mais les cinq récipiendaires du collier de l'ordre du mérite Orléanais nommés sous le règne de Léanore Giboint de Dampyerre et approuvé par la CdE d'alors puis le Duc d'Orléans d'aujourd'hui. La cérémonie avait traîné oui, et pour cause qu'un règne n'est pas de tout repos et son organisation encore moins.
Le Duc avait donné l'ordre d'autoriser toute entrée dans le château, autant la noblesse que la roture, que l'orléanais ou l'étranger. Les armes étaient juste proscrites sauf pour la noblesse du Royaume qui avait l'entière liberté de porter les armes. L'heure donnée, le Duc se retira dans ses appartements ducaux pour laisser les premiers convives entrer dans le château, accompagnés des servants castraux.
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