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[RP Ouvert] Le Duc de Touraine en tournée sur ses terres

Tilouis
Citation:


De nous, Godeffroi d'Abryani, Duc de Touraine,
À l'ensemble du Peuple de Touraine,
À tous ceux qui liront ou se feront lire,

De la tournée du Duc et de son Conseil en Touraine


Par la présente, je m'adresse à vous pour la première fois en tant que Duc de Touraine reconnu par le Grand Chambellan de France, car oui, il est chose malheureuse à vous rappeler que le Royaume est en deuil de Son Roy.

Le Conseil Ducal et moi-même allons venir dans vos villes très prochainement. Il est grand temps de resserrer les liens, de renouer le dialogue, de se rencontrer et de tirer un trait sur les divisions du passé.
Venez à notre rencontre dans vos mairies, tous et chacun auront la possibilité de s'exprimer. Vous pourrez poser vos questions, nous exposer vos soucis, vos idées, vos suggestions et en prime peut-être, vous faire payer un verre en taverne.

Nos dates de visite sont les suivantes :
Lundi 17 février : Tours
Mardi 18 et Mercredi 19 février : Vendôme
Vendredi 21 et samedi 22 février :Loches
Dimanche 23 et lundi 24 février: Chinon
Mardi 25 février :Tours

L'Armée Tourangelle escortera le cortège Ducal, si vous souhaitez vous enrôler, prenez contact avec le Capitaine Linexiv.
Nous espérons vous voir nombreux pour ces échanges, que nous souhaitons cordiaux et surtout conviviaux.


Fait au Château de Tours
le XVe jour du mois de Février de l'an de Grasce MCDLXII




Godeffroi d'Abryani
Duc de Touraine






Le Duc est un homme clément, mais sa clémence a des limites. Je me dois de partir cette nuit si je ne veux pas rater notre entretien demain matin, furent les dernières paroles de Tilouis à son intendant.


[Une fôret entre Chinon et Tours - Nuit du 15 au 16 février - J-1 avant la tournée Ducale]


Les routes de Touraine ne sont plus sures.

Par le le froid mordant d'une nuit d'hiver, une monture et son cavalier percèrent à travers les ténèbres.
Cape et cheveux au vent, Tilouis battait la campagne en direction de la capitale.
Comme à l'accoutumée, le jeune noble faisait cavalier seul, de son domaine il refusait toujours quelconque escorte ou compagnie, car à chaque chevauchée, sa fougueuse jeunesse lui demandait un peu de liberté. "C'est là signer sa mort" s'obstinait à lui répéter son vieil intendant avec son ancestrale sagesse, mais il n'en avait cure ; vétéran de nombreux conflits, héros de guerre en Berry, son orgueil et son épée lui donnaient en tout lieu un semblant de sécurité lui laissant imaginer qu'il était hors de dangers, de tous sans doute, sauf de l’ingéniosité.

Bercé par le souffle du vent, l'imberbe éperonna sa bête dans une silencieuse forêt de chênes, qui de leurs yeux de marbre épiaient l'insouciant intrus tout en pointant vers lui leurs branches menaçantes semblables à des piques lui refusant l'entrée en ces lieux.
Le regard fixé sur le chemin faiblement éclairé par la lueur de la lune, l'imberbe ne prit pas en considération leur avertissement, jamais un arbre n'a fait le
moindre mal à un homme, encore moins à un homme comme lui.

Divaguant sereinement dans ses rêveries en dépit du froid hivernal qui sévissait dans les bois, Tilouis ne vit pas le danger tendu entre deux colosses de bois se rapprocher.
Son corps et son orgueil furent d'un coup violent abattus.
Désarçonné, jeté dans la boue, il perdit un instant le fil de ses pensées.
Ouvrant de nouveau les yeux, il comprit trop tard le traquenard. Il vit tout d'abord son haleine fumer dans l'air froid, puis la corde suspendue au dessus de lui se balançant d'avant en arrière sous la récente puissance du choc. Il n'était pas seul à courir ces bois.
Se redressant douloureusement, il eut l'effroyable vision d'une ombre sortant d'entre les arbres et s'approchant de lui à vive allure, comme un prédateur fondant sur sa proie.
Instinct de soldat ou tout simplement humain, il chercha en vain à tirer au clair son épée restée enfaites sur son destrier, tandis que l'ombre à la crinière rousse était sur lui plus vite qu'il n'eut cru.
Le premier coup vint frapper le haut de son crâne et le renvoya au sol dans un éclair de douleur, le second le fit perdre conscience, il ne sentit jamais le troisième.

L'orgueil du jeune noble gisait inerte dans la flaque de boue, au même titre que lui. Dans la lutte s'était échappé de son manteau un parchemin sur lequel était apposé le sceau ducal, porté par le vent un peu plus loin. Un dindon passant par là, ne manqua pas de s'en gausser, répandant dans l'air ses petits gloussements insolents.

Les routes de Touraine ne sont plus sures.


16/02/1462 04:08 : Vous avez été racketté par Valentina. .
Gatimasse
[Dimanche 16 février au soir, à Tours, les préparatifs]

Gati voyait que les affiches pour la tournée étaient posées. Elle s'étonna cependant de ne pas voir revenir Tilouis dans ses locaux. Etrange, d'habitude, il vient confirmer que c'est fait et ranger son bureau... Il a du rester en taverne profiter du chaud et d'une bière bien méritée, chose qu'elle s’apprêtait à faire en bonne compagnie.
Gati avait deja proposé un pareil tour il y a deux mandats de cela, et ça avait marché, chaque villes avaient vu le nombre de ses habitants augmenter. Voir le cortège ducal ça attire apparemment.
Mais il fallait aussi de la sécurité. Line avait prévenu les soldats, ils étaient en route pour Tours, lieu de la première rencontre. Mais Gati préférait avoir une escorte en plus, et pas des moindres, une Lame d'Amahir, c'est toujours utile à ses côtés. C'est donc naturellement qu'elle demanda à Feodor de préparer un groupe attelé, ça le connaissait, encore fallait-il l'en convaincre, mais elle ne se faisait pas de soucis là dessus...


Mon aimé, vous nous accompagnerez sur les routes pour cette semaine de voyage ? J'ai grand besoin de vous à mes côtés...

Et aussi pour bien le surveiller, c'était SON Feodor après tout...


Il y a aura bien évidemment le duc, mais aussi le connétable Joachim, la procureur Blanche de Valten et aussi ma bailli, qu'il me tarde de te présenter. Nous irons sur Vendôme dans la nuit de lundi à mardi

Alors...?


Elle lui fit des yeux de biche, connaissant la réponse bien avant qu'il la prononce, mais elle se préparait aux coutumes du mariage, faut proposer, dialoguer et pas imposer, ce qui lui était assez étranger...
_________________
Valentina.
[Une fôret entre Chinon et Tours - Journée et nuit du 15 au 16 février - Je t'aime Mélancolie *]

Son Mentor lui avait dit entre Chinon et Saumur mais la Rouquine au moment du départ s'était gratouillée la chevelure pas certaine du tout de la direction à prendre. Nord ? Ouest ? Sud ? Le résultat avait été fâcheux puisqu'au petit matin, la Caprese s'était retrouvée seule sur les chemins entre Chinon et Tours. Dépitée, elle l'était... Un peu plus encore que ces derniers mois où la joie qui l'animait habituellement s'était peu à peu éteinte. Pour qui pour quoi, la petite rousse apprentie voleuse s'ennuyait ferme désormais. Pourtant, elle avait toujours ses amis chers, un Mentor délicieux, un faux-frère ingénieux et un papi pas si vieux, entre autres... Mais... Mais elle s'ennuyait malgré tout ! Etait-il possible de vivre toute une vie sur les chemins, à visiter, à déambuler, à commercer - plus ou moins légalement ! -, à rencontrer vaguement des gens, sans jamais se poser, s'arrêter et tisser des liens ?

C'est ce questionnement qui chahutait dans l'esprit de la petite rousse tandis qu'elle traquait son déjeuner, tapie derrière un arbre, une bonne grosse pierre dans la main. Valentina plissa les yeux alors que le bout de sa langue caressait ses lèvres fines et que le caillou qu'elle tenait dans la main s'abattit sur la tête du garenne imprudent qui s'était un peu trop éloigné de son terrier.

En plein dans le mille !

L'apprentie se redressa d'un bond récupéra l'animal assommé, qu'elle rapporta à son campement de fortune - préparé à son arrivée. Rassasiée, elle fit ensuite une petite sieste attendant que la journée se termine inlassablement. Buzz - son merle - était blotti contre elle et l'apaisait. Mireille, sa dinde de compagnie nouvellement acquise retournait la terre un peu plus loin à la recherche de vers tapis dans la chaleur de la terre nourricière. Elle ne se releva que pour mettre en place un piège tout simple histoire de ne pas perdre sa journée sur le chemin... ou plutôt sa nuit.

Les heures s'égrainèrent lentement mais sûrement et à la nuit tombée, alors que Val sombrait peu à peu dans les limbes du sommeil, des bruits de sabots la firent sursauter. Sa respiration se fit plus haletante... Ce bruit... Elle se remémora l'épisode triste de sa jeunesse qui avait fait basculer sa vie, lorsque les maréchaux d'un village voisin l'avait intercepté sur le bord d'une route et malmenée. Le froid était identique, la lune se cachait pareillement derrière les nuages, les sabots claquaient sur le sol gelé de la même manière. La Caprese frissonna. Ce souvenir, lointain pourtant, la hantait toujours et ce malgré la mort d'un de ses bourreaux.

Buzz fut déposé à terre, et la main de la petite rousse s'empara de son bâton puisque sa superbe épée séleucide lui avait été dérobée par un "collègue" dernièrement ! Puis elle s'approcha, à pas feutré, des bruits de sabots. Un rais de lune laissa apparaître un homme perché sur une monture.

Un client ! Et de surcroît un homme... Ses clients préférés. En plus celui-ci semblait plutôt beau garçon, jeune comme elle et sa chevelure était aussi noire que la sienne était rousse. La déshabilleuse - surnommée ainsi en raison de son addiction à déshabiller ses victimes - se mordilla la lèvre puis glissa son index entre ses dents. La soirée promettait d'être bonne. Et c'est d'un sourire que l'on ne voyait plus souvent que se para le visage de Valentina. Le piège - préparé plutôt dans la journée, c'est dingue ce que l'on peut faire avec un bout de corde et quelques banches - se referma sur l'homme qui ne tarda pas à choir. Valentina rejoignit le maladroit en quelques enjambées. Elle vit ce dernier tâtonner à la recherche de quelque chose. Un oeil sur la monture et la rousse devina qu'il s'agissait du fourreau d'épée.

Aïe, un homme d'arme... Il va falloir remettre tous tes bons principes de côté, ma belle si tu ne veux pas y laisser des plumes, pensa-t-elle.

Et oui, car pour ceux qui ne la connaissent pas, Valentina Squilacci n'use jamais de la force - ou seulement en cas d'extrême nécessité -, comment le pourrait-elle de toute façon. Elle n'est pas bien grande et pas bien forte non plus.


Pardon mon beau, mais tu ne me laisses pas d'autres choix, lâcha-t-elle lorsque le bout du bâton s'abattit sur le cou de l'homme. Mais je préfère que ce soit ta frimousse qui soit abîmée, plutôt que la mienne. Un second cou fut asséné sur le cou également. Elle n'allait quand même pas abîmer un joli visage. Il n'y eut pas de troisième coup, nul besoin et la rouquine n'était pas adepte de la violence gratuite de toute façon.

Sa victime au sol, elle l'inspecta plus en détail, glissant ses mains le long de son corps à la recherche de quelque chose. Les mains de la voleuse s'arrêtèrent à la ceinture de l'inconnu pour y délier la petite bourse en cuir qui s'y trouvait.

Une moue boudeuse anima la peau laiteuse de la Caprese. Elle ne pouvait pas le laisser comme cela et encore moins sans emporter avec elle un trophée, sans laisser SA marque de fabrique... Elle le tira un peu en dehors de la boue pour éviter qu'il ne s'étouffe la tête dedans et lui subtilisa son col. Il faisait froid après tout, il n'attraperait pas froid et elle, la Déshabilleuse, avait son trophée...

Non... Les routes de Tourraine n'étaient plus sûres... Mais l'espace de quelques instants, la mélancolie de Valentina s'était faite oubliée.



Citation:
16/02/1462 04:08 : Vous avez racketté Tilouis qui possédait 162,72 écus et des objets.

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Linexiv
[Choux-blanc à Tours]

Au petit matin découvert, Line appréciait toujours de voir peu à peu se dessiner les contours des remparts d’une cité-forte. Cela permettait de contrebalancer la vision des faubourgs, quoiqu’en cette fin d’hiver, le froid dispensait toujours de croiser des ivrognes au milieu des flaques. Son humeur, cette fois-ci pourtant, frisait la colère sèche, non pas tant en raison des évènements à venir, après tout, escorter le duc de Touraine en visite sur ses terres lorgnait plutôt du côté de la balade champêtre. Mais plutôt en raison d’une nouvelle apprise tardivement et qui, loin d’avoir entraînée la réparation nécessaire débouchait sur un échec complet.

« Foutu brouillard ! On a eu de la chance de ne pas manquer la route de Tours mais…. Personne n’a même pas relevé l’ombre d’une trace suspecte ? »

Restait à savoir si l’un de ses soldats serait en mesure de rassurer le Capitaine alors que la lance ducale s’apprêtait à venir à leur rencontre. Elle se demandait bien qui serait en charge de cette dernière.
_________________
Feodor
[Dimanche 16 février au soir, à Tours, les préparatifs]

L'hivers était bien rude et Feodor s'était installé au coin d'un feu. Il profitait du temps que le Prince lui accordait pour être aux côtés de Gatimasse et de quelques proches. Ce temps imparti semblait sourire à la lame et il se réjouissait des événements à venir.
Elle entra ensuite dans la pièce, et fidèle à elle même, allant droit au but, il se vit octroyer une mission. La réponse ? Légèrement tardive mais uniquement par jeu. Comment pouvait-il en être autrement d'ailleurs ? Et puis ses yeux là il ne pouvait y résister. Et tout en lui souriant ...


Je ne te quitterai pas c'est évident.

Puis en considérant l'importance des propos tenus.

De toute manière, au regard des noms qui vont se joindre à toi je t'aurai proposé mon aide. Dans ce genre de déplacement mieux vaut de trop que pas assez.

Facile, finalement. Mais à ce jeu il aimait perdre même s'il ne lui avouerai jamais.
Godeffroi
[Dimanche 16 Février ]

La journée était passée bien vite. Le Duc voulait que tout soit en ordre avant qu'il prenne les chemins de Touraine. En ce début de second mandat, il souhaitait être visible aux yeux peuple qui souffrait du manque d'exposition du Régnant.
Il est vrai qu'il était fort peu sorti de par le passé et les appels de celui-ci n'étaient pas passés inaperçus.

Une grande partie de son conseil serait présente à ses côtés pour visiter chaque ville du Duché. Ainsi, le Régnant et ses conseillers pourraient réellement juger de la situation.

Ces temps-ci, certaines langues perfides rependaient moult calomnies dans le but de semer la discorde et passer pour des sauveurs. Ces vipères envoyées du sans nom jubilaient sans vergognes, mais à force de trop parler, elles allaient être châtiées...

Pour l'heure, il était temps de dormir. En pleine forme, il voulait paraître. Un régnant affichant une forme peu gratifiante n'aura pas l'effet escompté à savoir rassurer.

Vivement demain pensait-il. Il se savait prêt, avait hâte que son escorte et ses conseillers arrivent afin que débute cette grande tournée .

Première sortie à Tours, ils devenaient passer en mairie puis faire halte dans quelques tavernes afin de se mêler au peuple. Il est certain que cela lui rappellera bien des souvenirs...

C'est ainsi que le Duc s’endormit sereinement.

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Duc de Fréteval,
Seigneur de Nazelles, Seigneur de Nyollet.
Gatimasse
[Mercredi 19 février à Vendôme]

Gati avait passé une bonne partie de la journée à réfléchir aux énigmes de Sofy et son fils... Comme si elle ne se prenait deja pas assez la tête avec les stocks... D'ailleurs, le duché avait bien du mal à se procurer des viandes.. Elle commençait à être désemparée... Ces énigmes l'aidaient à penser à autre chose au moins!
Gati trouvait que Vendôme était devenue agréable, Sofy y était pour beaucoup. Le marché était pas trop mal, en comparaison de son état d'il y a quelques semaines.
La population n'était pour l'instant pas au rendez-vous, Gati espérait pouvoir en conclure que tout allait bien à Vendôme ? Nous verrons bien ce soir...
Direction la Tomate Bleue pour décompresser de cette journée...

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Aemilia
[Jeudi 20 février, Tours]


C'est mon tour! C'est mon tour! C'est moi que j'vais avoir de la visite même que d'abord!

Mais non. Aemilia ne s'ennuie pas à Tours et ne réagit jamais comme ça. Voyons.

Mine de rien, ce matin, elle attend le reste des élus devant sa petite mais charmante mairie. Un pot à la main. Mais ça, elle expliquera après pourquoi. Il fait froid, aussi s'emmitoufle-t-elle dans son jeté de cape en gros vair qu'elle porte constamment quand elle travaille. Au loin, elle voit le convoi arriver. Un sourire quand sa procureuse à la peau si blanche et les cheveux si noirs apparaît dans sa ligne de mire. Derrière, Feodor et Gatimasse roucoulent toujours comme deux tourtereaux, aussi la blondinette les laisse-t-elle tranquilles.

Une révérence, puis elle attend que tout ce petit monde descende.

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Manoir des Artistes, Comptoir Parisien, Vernou
Princedusud
[Un Aigle porteur d'une Missive de l'Abbaye de la Virginité]






Tous les Chinonais fûrent informer du passage du Duc dans les villages de Touraine par un crieur,c'est donc tambour battant que le Seigneur de la Virginité prit sa plume:





Citation:



















A Sa Grâce,Godeffroi d'Abryani,Duc de Touraine,



C'est avec enthousiasme que l'on m'a informé de vostre visite en nostre cité de Chinon les dimanche 23 et lundi 24 Février MCDLXII.


Je veux vous faire savoir que je m'entretiendrais avec vous de toutes mes préoccupations si cela vous plaît de l'entendre en la taverne de la Chopinette tenue par ma compagne Furette.


Recevez,Vostre Grasce,mes sentiments aristotéliciens les plus purs.



En ce jour du 20 Février, Saint Olcovidius



Princedusud,Seigneur de l'Abbaye de la Virginité,













_________________
Godeffroi
Une missive arriva sur le trajet. Le Seigneur Prince espérait voir le Duc et celui-ci allait bien évidemment se rendre à Chinon.
Une fois sur place, après avoir rencontré des gens du peuple, le maire et quelques voyageurs, le Duc apprit qu'il ne pourrait voir Prince.
Après quelques tournées en taverne, moult discussion il prit plume.


Citation:
De nous Godeffroi d'Abryani, Duc de Touraine
À vous Princedusud,Seigneur de l'Abbaye de la Virginité,

Nous avons bien reçu votre invitation en la belle ville Chinon et nous nous faisions joie de vous rencontrer.

Nous avons rencontré votre compagne Dame Furette et son accueil fut des plus chaleureux. Nous avons discuté de choses et d'autres tout en prenant bien soin de déguster du bon vin. Elle nous a faits part que vous ne pourriez malheureusement pas être là mais sachez que si vous souhaitez nous parler et nous exposer griefs ou idées vous êtes le bienvenu en notre castel à Tours.

Nous avons grandement aimé traverser nos terres, rencontrer le peuple et nous pensons peut être le refaire d'ici peu. Rien de mieux pour connaitre davantage son duché ses gens et les tracas et soucis.

Au plaisir d'une prochaine rencontre
Puisse le Très Haut veiller sur vous

Fait de notre main à Chinon
le XXIVe jour du mois de Févriere l'an de Grasce MCDLXII


Godeffroi d'Abryani
Duc de Touraine


_________________

Duc de Fréteval,
Seigneur de Nazelles, Seigneur de Nyollet.
Gatimasse
[à Chinon le dimanche 23 février 1462]

Peu de monde en taverne à part quelques irréductibles. Contente de voir Furette et Huberte, toujours prêtes! Faire vivre Chinon est leur leitmotiv, et ça la rassurait de voir qu'on pouvait toujours compter sur quelques personnes.
Leinad était aussi sortit de sa chaumière pour nous accueillir. Mais surtout, elle voulait rencontrer le maire...

Dès son arrivée dans la ville au lac, elle scruta les étales du marché et les prix. Gati en fut choquée et compris très vite pourquoi elle avait du mal à être fournie par Chinon : le maire est emprisonné par les prix excessifs et ferait des pertes monstrueuses en achetant pour le duché.
Ni une ni deux, elle alla à sa rencontre pour démêler tout ça. Elle alla à son bureau, y vit d'abord le panneau d'annonces.
Un arrêté sur les prix était apparemment en vigueur, mais non respecté, et ce depuis des mois...

La conversation s'engagea et Gati compris que le maire était désemparé et avait de gros soucis de communication. Voulant d'abord l'engueuler sur son laxisme, elle se laisse attendrir par le bonhomme, pour le conseiller comme il se doit. Elle se renseigna sur cet arrêté qui s'avérait être caduque! Elle se dit que dès son retour à Tours, elle prendrait la chose en main.
La blonde conseilla également au maire d'impliquer son conseil, de se faire un feuille de route, et surtout, communiquer avec sa population.

Une fois la conversation terminée, le petit remontage de bretelles effectué, elle se rendit à nouveau au marché, pour connaitre l'identité des mauvais vendeurs.


Citation:
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Theking5 1 quintal de carcasse de vache pour 32,41 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Petitfrerekoala 1 miche de pain pour 6,93 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à M@rmotte 1 sac de maïs pour 3,32 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Petitfrerekoala 1 sac de maïs pour 3,92 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Essai 1 sac de farine pour 14,77 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Adenot 1 morceau de viande pour 22,11 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Man49 1 sac de blé pour 13,87 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Man49 1 sac de blé pour 14,02 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Lemaitre 1 demi-quintal de carcasse de cochon pour 16,08 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Rustique 1 sac de blé pour 15,08 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Seigneur_doctor 1 poisson pour 30,15 écus.
23/02/1462 15:40 : Vous avez acheté à Alkolyk 1 sac de blé pour 14,87 écus.


Theking5... pas étonnant, toujours aussi égoïste...
Petifrerekoala ? encore ? il refait la même chose à Tours, à Chinon, surement ailleurs... Elle lui avait deja expliqué par a+b que son comportement n'aidait en rien la ville. Cette fois-ci, elle ne dit rien directement au concerné. Elle informa directement le duc et les feudataires.
Vendre a ces prix étaient honteux pour un noble et mettait de ce fait en porte a faux toute la noblesse.
Et cette fois-ci, le bougre semblait avoir compris. Chinon rencontrait des problèmes d'approvisionnement, Rogal revendit donc 50 pains et 150maïs à Chinon, à bons prix. Gati fut satisfaite de cette action et mandata rapidement le maire de Chinon, qui en avait grandement besoin.

Pour les autres, elle espérait que l'arrêté municipal allait être revu rapidement pour que Ballian ait un appui légal pour éviter ces prix, qui affament les nécessiteux...

Comme quoi, se balader dans les villes n'était pas inutile, on se rend compte de choses qu'on ne voit pas dans nos bureaux...
Expérience à refaire, sans nul doute.

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Paysans01
{Le 17 Février 1462 dans la taverne municipal de tours }

Paysans va à la taverne pour voir du monde et bois une eaux de vie pars ses temps hivernal et croise le duc et son conseille qui vont faires le Toure de l’Touraine je leurs propose de les accompagnée le duc accepte avec plaisir
Paysans faire un jolis sourire a dame gatimasse, et a dame liona pars que paysans ses a quelle point ses 2 dame le méprise et reste mes 1 seconde avec lui les insupporte mais bon il est soldat sont devoirs est de protège le duc

En plus paysans a dit ses 2 dame que ses pas bien de parler dans dos d’autrui

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