Milly.
Le visage du cap qui se change pour afficher un sourire, c'était déjà nettement plus rassurant.
Je le regarde s'approcher et écoute ces paroles. Evidemment pas moyen qu'il passe sous silence ma tenue spéciale-malade, mais c'est pas ma faute . C'est la faute au gars qu'il a envoyé me kidnapper !
Mais la suite des mots me fait écarquiller les yeux.
Forcément je m'agite un peu sur ma chaise quand il s'approche de plus près pour me mouiller le front.
Voila que je dégouline en plus, au point ou j'en suis, il me semble que je manque un ptit peu de dignité. Surtout que remontent en moi des souvenirs lointains, j'avais déjà vu maintes fois mes parents lors de ce genre de cérémonies.
Ne devrais je pas ployer le genou devant lui ?
Impossibilité technique , je me contentais donc de demeurer sur mon siège rembourré et plongeais mon regard , pour une fois, sérieux dans celui de Namaycush
Moi, Emilie Bourgon Condia, celle que tu appelle Milly. la petite, j'accepte cet honneur. Bien que tu le sache déjà , je te promet d'être fidèle, de te conseiller en tout et dans la mesure de mes humbles moyens et connaissances , de continuer a être bras armé aux cotés de nos frères et soeurs d'armes quand tu en a besoin , enfin quand je tiendrais debout. Et surtout de continuer de t'aimer , même si tu grognes, comme une amie, une complice , même une peste si ça peut te faire sourire et je promet aussi d'avoir tenue moins négligée .
Mon sourire s'étira alors que je louchais un peu sur la perle d'eau qui glissait vers le bout de mon nez. Je clignais des yeux avant de les relever vers le Carmin.
Et puis spontanément je lui tend ma main, un peu comme celle qu'il a mentionné , aussi un peu parce que faute de lui sauter au cou, j'avais envie de touché sa main.
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Je le regarde s'approcher et écoute ces paroles. Evidemment pas moyen qu'il passe sous silence ma tenue spéciale-malade, mais c'est pas ma faute . C'est la faute au gars qu'il a envoyé me kidnapper !
Mais la suite des mots me fait écarquiller les yeux.
Forcément je m'agite un peu sur ma chaise quand il s'approche de plus près pour me mouiller le front.
Voila que je dégouline en plus, au point ou j'en suis, il me semble que je manque un ptit peu de dignité. Surtout que remontent en moi des souvenirs lointains, j'avais déjà vu maintes fois mes parents lors de ce genre de cérémonies.
Ne devrais je pas ployer le genou devant lui ?
Impossibilité technique , je me contentais donc de demeurer sur mon siège rembourré et plongeais mon regard , pour une fois, sérieux dans celui de Namaycush
Moi, Emilie Bourgon Condia, celle que tu appelle Milly. la petite, j'accepte cet honneur. Bien que tu le sache déjà , je te promet d'être fidèle, de te conseiller en tout et dans la mesure de mes humbles moyens et connaissances , de continuer a être bras armé aux cotés de nos frères et soeurs d'armes quand tu en a besoin , enfin quand je tiendrais debout. Et surtout de continuer de t'aimer , même si tu grognes, comme une amie, une complice , même une peste si ça peut te faire sourire et je promet aussi d'avoir tenue moins négligée .
Mon sourire s'étira alors que je louchais un peu sur la perle d'eau qui glissait vers le bout de mon nez. Je clignais des yeux avant de les relever vers le Carmin.
Et puis spontanément je lui tend ma main, un peu comme celle qu'il a mentionné , aussi un peu parce que faute de lui sauter au cou, j'avais envie de touché sa main.
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