Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>

[RP] Des désignés volontaires...

Tyranertus
Tyra venant de se faire acter seigneur il retourne reprendre sa place et remercie la dame Blanche qui lui tend son rouleau de tissu de son armoire qu'il prend.
Merci Madame !

Alors qu'il croise Ernesto prêt à s’avancer à qui c'était son tour il lui dit avant qu'il aille à sont tout à la rencontre du capitaine.
Tu vas voir Ernesto avec ce titre tu vas pouvoir encore plus articliers tout ce qui a un brin de féminité. Il ne voulait pas être trop direct pour dire les femmes, il y avait Milly à côté et c'était une conversation entre hommes que les femmes n’ont pas besoin d'entendre, surtout quand on parle d'elle. Si si tu vas voir tu en auras encore plus, moi je te le dis.
Finissant sa tirade par un sourire et un clin d’œil.

Étant bien à sa place, il s'imagine déjà les gueuses prêtes à lui courir autour avec lesquelles il pourrait s'amuser. Il ne pouvait pas rêver déjà de comtesses ou autres plus styler fallait être réaliste. Quoique l'espoir et le rêve sont un bon but dans la vie.

Se tournant ensuite vers Milly lui disant.

Ma gente dame Milly Seigneur de Mery sur Oise c'est une très bonne journée aujourd'hui.
Ongwhu



Mine de rien la ptiote Milly s'en était bien sortie, Ernesto observait la cérémonie , une bien belle journée..................

Les paroles de Tyra le fit sourire, avoir plus ,c'était entrer dans des problèmes sans équations , un autre genre de guerre en somme...................


Il écouta le Cap, puis il s'avança , un genou a terre, il prit le pommeau de son sabre a deux mains


Moi , Ernesto de Vandimion dict Ongwhu, artilleur en chef de la Memento Mori, jure de rester fidèle au Carmin ,a la Memento Mori , et a mes frères et sœurs d'armes, jusqu’à la mort..................

_________________
Namaycush
A s'écouter, il se dit qu'il fut redondant. Peut-être l'émotion, allez savoir mais les mots furent si vrais qu'il en était bien fier et que cette redondance appuyée amplifiait la vérité sans pourtant la transgresser.

Si la petite s'en était bien sortie, l'artilleur s'en était mal entré.

Modeste, à la présence toujours discrète, Ernesto faisait parti de ces hommes prêts à servir sans s'arroger aucun mérite, dans le sentiment de bien faire, adoublé d'une volonté de tout simplement essayer de faire juste.

En clignement de cils, il le regardait et s'agenouilla devant lui, battant en revers de droite par le pommeau l'arme qui les séparait à présent...



    Ne mets jamais une lame entre nous sans me donner un denier, cela couperait l'amitié !

    Je te fais à présent, pour tout ce que je te dois, pour tout ce que notre royaume te doit, Seigneur d'Osny, fief mouvant de Pontoise, Comté d'Ile de France.



Alors qu'il enserre son visage de ses mains avec la douceur des ailes d'un papillon de nuit, il lui donne le baiser vassalique de la même violence qu'aux autres, lui tranchant la lèvre inférieure d'une canine, se repassant de son sang.



    Tu es moi et je suis toi à l'instant. N'oublie pas que à présent tu devras des comptes à la Couronne également.

    Levons-nous mon frère !



Il le soulève par les aisselles, lui donne une bonne claque sans violence, lui sourit encore...



    Blanche, actez !



Décidément, Namay aimait ordonner alors qu'il érigeait toute sa large carcasse, apposant sa couronne comtale sur le front bien vers l'avant...



    Compagnie, Arrivez !

    Vous m'avez tous ri au nez quand je demandais à vassalisser. Vous m'avez tous dit que vous n'aviez pas besoin de celà. Aussi, vous m'avez forcé à nommer des volontaires. Ce dont je n'ai pas l'habitude faire, tant pour une mission périlleuse, vous vous portez tous au portillon.

    Vous êtes donc une bande de "Schlêtres" et je vous laisse trouver la signification de ce mot. Beaucoup d'entre vous ont essayé, aucun n'a réussi. Celui qui trouvera sera vassalissé à son tour.



Eclate d'un rire si sincère sur son visage.


    Je regrette sincèrement que je n'ai pu porter Bret sur cette liste de volontaires, parce qu'il ne m'a jamais répondu. C'est un sauvage, un poil taciturne, mais qui me ressemble beaucoup.

    Compagnie, je vous aime. Tous.

    Quand je dit je t'aime. c'est que j'aime ! ainsi je n'aime pas bien, ni j'aime beaucoup, j'aime ou déteste. Je suis franc comme le vin que je bois, blanc ou rouge, jamais rosé !
    Que l'on fasse péter mes réserves, surtout les vieilles de Bourgogne et surtout, enivrez-vous, festoyez à ce que nous sommes, à cet étendard à la tête de lynx qui fut de tous les combats les plus rudes !

    Compagnie, Santat !



Alors que la musique emplissait les lieux, il se tourna vers la Blanche, la laissant se mêler ou pas aux festivités, mais lui glissant sérieusement un mot...


    J'aimerais t'entretenir de certaines choses.



Pour un temps il se mêla à la liesse, prenant Caro à la danse, heureux du moment...

_________________
Caro
Qui l’eut cru ? Fichtre que ces anoblissements m’avaient touchés. Bien plus que je ne l’aurai pensé. Sans compter qu’ils m’avaient fait prendre conscience à quel point je les aimais tous, à quel point ils comptaient. Quant au mot « Schlêtres », sourire en coin, regard plissé, je n’allais rien dire. Car malgré les mots de Namay, il avait peut-être voire sans doute oublié qu’un soir il m’en avait donné la signification. Chtttt

Observant à présent les tous jeunes vassaux, ayant en plus rejoints le clan des lèvres fendues, un léger sourire naissait dans une quiétude envahissante que je n’avais plus ressentie depuis longtemps. Et puis me sortant de mes ressentis … j’allais les féliciter tour à tour en leur déposant une bise sur la joue.

….

Musique… A la Fête

….

Une mélodie que je connaissais et aimais beaucoup au point de tourner le museau en direction des musiciens et de taper du pied les mesures, quand soudain je me sentais entrainée. Minois dans la direction opposée et surprise de mise que je ne pouvais cacher alors que j’arborais un large sourire.

Azur dans Emeraude, je me laissais entrainer dans la danse avec grand plaisir, appréciant, heureuse du moment...

_________________
Bretsinclair
De les apercevoir passé un par un avec plus ou moins d’appréhension devant le Carmin .La jeune pleine de spontanéité Milly Seigneur de Méry sur sur Oise , le cul nu Seigneur d'Herouville et notre artificier maître en la matière pour défoncer les murailles maintenant Seigneur d' Osny. Heureux il était pour eux , c'est avec un large sourire qu'il alla les féliciter comme il se devait .Devant tous trois grande courbette ou sa main d'un geste lent et de délicatesse venait frôler le sol .Puis se relever et leur faire une bonne accolade .

" soupirer un instant " aux paroles du Cap
Citation:
Je regrette sincèrement que je n'ai pu porter Bret sur cette liste de volontaires, parce qu'il ne m'a jamais répondu. C'est un sauvage, un poil taciturne, mais qui me ressemble beaucoup.


Et de penser qu'il me sait sauvage , un poil taciturne , mais que je le lui ressemble beaucoup
." sourire " Le vieux loup solitaire n'aime point les titres et ne cherche pas a en avoir, les médailles il adore ça normal il peut au moins comme avant les croquer pour savoir si elles ont de la valeur ah on ne le refera donc pas de son passé.Mais il aime les causes justes et Memento le lui rend bien .

Place a la fête , aussi va t'il prendre le bras de Milly et lui demandait de danser.

_________________
Milly.
J'avais observer la suite avec intérêt, pas que l'action, les mots aussi.
Toujours bien choisis, toujours visant la bonne cible.
Qu'est-ce que je les aimais tous !
Bien sur , je n'étais pas de grande ancienneté dans le campement, mais j'avais toujours les oreilles grandes ouvertes, les yeux aussi d'ailleurs pour entendre les récits souvent épiques.
Un ptit peu plus de fierté m'avait gagné en écoutant le cap parler de tonton Nesto.
Vrai qu'il était solide celui là même si j'aimais bien le taquiner sur son grand âge.
Je pouffais en lui lançant un coup d'oeil.
Moment également d'émotion à la mention sur Bretchouchou.

Je tapais des mains lorsqu'on lança les festivités et observais avec intérêt du fond de mon fauteuil , l'allégresse qui se propagait.
Distribution a qui mieux mieux de bisous calins, que je rendais avec joie d'ailleurs jusqu'a ce que je sente une main sur mon bras.
Je tournais d'abord un museau étonné vers chouchou puis lui sourit a pleine dent, l'oeil taquin.


Bretchouchou, j'accepte avec joie, sachant ton bras solide pour me soutenir malgré mes jambes vacillantes en ce moment. Toujours prêt a prendre ce risque ?

Hilare, je me soulevais de mon fauteuil en m'accrochant a lui, attendant de voir sa réaction
_________________
Bretsinclair
L' espiégle accepta son invitation .
Ne t'inquiéte donc pas jolie frimousse , mes bras te porteront et puis si tu te sent fatigué je te remettrai sur ton fauteuil n'aie crainte .

Puis avec douceur , la soutenant par la taille pas trop mais juste ce qu'il faut .Corps contre corps , ils se mirent a faire les premiers pas .Tout en tournoyant avec légèreté il plongeait ses yeux dans les siens.Tout en lui chuchotant " ça va "
_________________
Milly.
Dans un éclat de rire, je le laissais nous entrainer dans la danse.
A vrai dire, c'était facile, ces bras solides me tenaient juste comme il le fallait.
Accrocher à ces épaules, je tournoyais en riant doucement. Malhabile ,sur mes jambes flagollantes , mais en sécurité. Il s'inquiéta en chuchottant, ce qui me fit sourire.


Ca va chouchou, bien que je sois en ce moment piètre partenaire mais je suis ravie, vraiment.

Mes ébènes remplies d'étoiles plongaient dans ces prunelles.
_________________
Perrinne
Un nouvel étendard en main, elle le glissa discretement au dernier seigneur à l'honneur du jour avec un petit mot de félicitation toujours.


Tandis qu'après un retrait, elle mettait un dernier coup d'encre au document sous ces yeux, retentit alors les premieres notes d'une musique enjouée. Soigneusement elle replia le tout dans sa besace, copies seraient fournies ultérieurement, après les réjouissances, tandis que les originaux iraient à Paris pour confirmer que tout était bel et bien dorénavant.

L'esprit de la compagnie se montrait clairement dans ce qui suivi et elle l'observa en silence, un pied battant légèrement la mesure, un sourire léger. Les feux de camps, elle en avait vu quelques uns déjà... trop.

Le Carmin la surprit alors. Tout juste le temps de lui répondre d'un :


Pourquoi pas, ici ou alors avant mon départ à l'aube si c'est du sérieux. Rien à cacher à la compagnie je pense.


Perplexe sur l'instant, puis chassant l'interrogation, tandis que s'éloignait le général vers un pas de deux avec la femme qui l'avait accueillie à son arrivée, elle se mela au groupe. Un moment, l'officier héraldique pouvait baisser casaque et n'etre que la femme d'armes. Reviendrait le protocole bien assez tot. Bien vite un huchet trouva sa main qu'elle leva à la santé des 3 nouveaux seigneurs.
_________________
Ongwhu
L'artilleur retira sa lame, il l'a rangea dans son fourreau.............


Laissant faire le cptain, Ongwhu senti sa lèvre inférieur se déchirée, le sang coulait, puis se levant.............


Une récompense, et pas n'importe laquelle a ses yeux, dont il était fier, aprés "Schlêtres " là du coup il ne savait pas trop ce que cela était, il pouvait en être un ,ou ..............pas


Une pensée au vieux loup, lui aussi aurait bien mérité cela, mais peut être trop sauvage...........


Memento restera une famille..............

_________________
Namaycush
Alors on danse et l’on heureux en la Memento. Heureux du moment, heureux du prétexte et heureux tout simplement.

Quelques pas de tarentelle avec Caro, doublés d’un baiser sur son front et d’attirer dans cette tarentelle Perrinne, l’accrochant par la main, lui souriant de ses yeux tout à fait en vert d’ambre en l’instant…



    Blanche, quelques questions entre deux pas de danse. La première, voulez-vous m’épouser ? Vous me répondrez non, parce que vous êtes déjà mariée, taratati et taratata…

    Je reformule, ne voudrais-tu pas être notre héraut à nous à Memento ? On t’apprécie beaucoup parce que tu es gentille avec nous. Et nous, on a pas l’habitude qu’on soit gentil avec nous. Alors si on t’adoptait, on serait bien contents.



Il lui sourit souriant entre deux battements de cils, ayant alterné le vous et le tu sciemment...
_________________
Perrinne
Rha, voilà que ca recause boulot tout de suite ! Han mais pas de répis là....

Eh, ca ! Oui, ma fidélité est à mon époux. Au moins, pas d'risques de creer la zizanie nulle part. Quant à etre "votre" héraut à tous, ca s'rait amusant de répondre à un cry comme "Memento" plutot que "Blanche". Mais je doute que certains goutent la chose.

Une virevolte et une reprise de souffle avant que de conclure.


Je ne peux pas officiellement, mais je peux etre votre intermediaire à tous si besoin est. De toutes manières, pour toi Carmin, jusqu'à nouvel ordre, je le suis déjà pour Pontoise. Et pour les autres, je peux entremettre mes collègues. Quant à etre gentille, d'aucun te diraient que je ne le suis pas forcément.


Un clin d'oeil ponctua ses derniers mots. Vrai que la franchise et le parler vrai déconcertaientt et était parfois prise pour attaque ou malveillance.

Spoiler:
Citation:

A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte Blanche, Prime maréchal d'armes plenipotentiaire de la marche d'Ile de France, en vertu du Blancseing délivré par Montjoie, faisons savoir,

    Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de Messire Namaycush Salmo Salar *, Comte de Pontoise, quant à l'octroi de la seigneurie issue de mérite de Mery sur Oise sise sur les terres de Pontoise à Dame Emilie Bourgon Condia*.

    Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief de Mery sur Oise est bien fief mouvant du comté de Pontoise.

    Qu'après consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit, d'azur au dextrochère drapé d'or tenant un épi de blé tigé et feuillé du même, le tout mouvant du flanc senestre, soit après dessin :



    Qu'ont été remplies les préalables et nécessaires conditions stipulées dans les lois héraldiques concernant le cas particulier des octrois de seigneuries issues de mérite en Ile de France.

    Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyant et l'octroyée.

    En conséquence, Dame Emilie Bourgon Condia devient Dame de Mery sur Oise.
    Elle peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.


Ainsi validons et contresignons le 6e jour de février de l'an de grasce mil quatre cent soixante cinq.






[*IG : Namaycush & Milly.]


Citation:
A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte Blanche, Prime maréchal d'armes plenipotentiaire de la marche d'Ile de France, en vertu du Blancseing délivré par Montjoie, faisons savoir,

    Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de Messire Namaycush Salmo Salar *, Comte de Pontoise, quant à l'octroi de la seigneurie issue de mérite de Osny sise sur les terres de Pontoise à Messire Ernesto de Vandimion*.

    Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief d'Osny est bien fief mouvant du comté de Pontoise.

    Qu'après consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit, d'azur à l'aulne fruité d'or issant d'un nid du même posé sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, soit après dessin :



    Qu'ont été remplies les préalables et nécessaires conditions stipulées dans les lois héraldiques concernant le cas particulier des octrois de seigneuries issues de mérite en Ile de France.

    Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyant et l'octroyé.

    En conséquence, Messire Ernesto de Vandimion devient Seigneur d'Osny.
    Il peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.


Ainsi validons et contresignons le 6e jour de février de l'an de grasce mil quatre cent soixante cinq.





[*IG : Namaycush & Ongwhu]


Citation:
A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, dicte Blanche, Prime maréchal d'armes plenipotentiaire de la marche d'Ile de France, en vertu du Blancseing délivré par Montjoie, faisons savoir,

    Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, faisons acte de la demande de Messire Namaycush Salmo Salar *, Comte de Pontoise, quant à l'octroi de la seigneurie issue de mérite de Hérouville sise sur les terres de Pontoise à Messire Tyranertus*.

    Qu'après recherches héraldiques dûment entérinées, le fief de Hérouville est bien fief mouvant du comté de Pontoise.

    Qu'après consultation d'armoriaux, l'écu se référant au dict fief est ainsi décrit, d'or à deux alérions d'azur, soit après dessin :



    Qu'ont été remplies les préalables et nécessaires conditions stipulées dans les lois héraldiques concernant le cas particulier des octrois de seigneuries issues de mérite en Ile de France.

    Que nous attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyant et l'octroyé.

    En conséquence, Messire Tyranertus devient seigneur de Hérouville.
    Il peut dès à présent en arborer les armes et se prévaloir du rang et titre.


Ainsi validons et contresignons le 6e jour de février de l'an de grasce mil quatre cent soixante cinq.





[*IG : Namaycush & Tyranertus]




Citation:


Demande d’octroi de fiefs mouvants de Pontoise


A Madame le Roi d’Armes de France
Agnès de St Just
Chapelle St Antoine
En Paris la Belle


Madame,

Le temps court et nous ne le rattrapons jamais, aussi avons-nous décidé de nous doter de dignes vassaux en ce qui concerne notre fief de Pontoise sis en Ile de France.

Nous avons pris bonne note des conditions inhérentes à la demande d’octroi.

Ainsi nous désirons attribuer la seigneurie de Mery sur Oise à demoiselle Milly., la Seigneurie d’Osny au dénommé Ongwhu et la seigneurie de Hérouville au sieur Tyranertus.

Aucun des trois ne possède un casier judiciaire dans le domaine royal ni casier pour haute-trahison, trahison ou félonie dans le Royaume de France.

Ces trois impétrants ont combattu au sein du Corps expéditionnaire de France, sous notre commandement, durant plus de six mois, sous le règne des Reines Angelyque, Zelha et sous la Régence de Deedlitt de Cassel, engageant sous les couleurs de France en Empire, démontrant ainsi leur prédilection à la sauvegarde et au développement des intérêts de la Couronne.

Nous avons pris contact avec le Surintendant des Finances, Acrisius de Beauharnais, afin que celui-ci déduise de la dette que nous doit la Couronne de France la somme de trois cent écus.

Nous vous remercions, Madame, de l’attention que vous porterez à notre requête et vous adressons nos hommages.

Ainsi rédigé, en pleine âme et conscience, ce dimanche XXIV Juillet 1464.

Namaycush Salvelinus Salmo Salar, Comte de Pontoise.


Carmin.


_________________
Namaycush
Encore quelques pas de danse et il fait le petit garçon tout mignon, si si il sait bien le faire. Surtout des yeux.


    Oh mais je ne suis pas jaloux, voyons. C’est vrai que un héraut de l’appellation Memento, cela aurait de la gueule, pour rester dans le terme héraldique. Un jour, quand je serai Roi !



Il rit sincèrement et enchaîne les pas de danse, tâchant d’essouffler sa partenaire, tant s’il était à l’automne de son existence, il était toujours fait de bois vert.


    Ah mon héraut à moi. Auquel je peux tout dire, mais pas me confesser.



Quelques virevoltes encore, moments de plaisir, avant qu’il ne la plaque contre lui par l’arrière, une main à lui sur son ventre à elle et l’autre enlaçant ses doigts dans les siens, tandis que son visage est dans sa gorge au début de sa nuque. Aucune brutalité dans le geste, seulement de la fermeté. Elle peut se désengager quand elle veut. Elle doit sentir son souffle lorsqu’il lui souffle…


    Et si une de tes gentilles collègues héraut avait oublié sciemment une demande d’un duc sortant concernant un fief de retraite, bien qu’elle l’ait lue et réceptionnée, je pourrais la pendre bientôt ?



Si Namay n’était pas méchant de nature, il savait l’être. Vraiment et cela pouvait le rendre dangereux.
_________________
Perrinne
Rha ces soldats !

La manoeuvre est audacieuse par la suite, la verdeur du Carmin, de rumeur à concrete elle la sent, au figuré, au propre. Nameh Namay ! Coup de flute plus aigu, un mouvement qui éloigne.


Confesser, je ne suis pas curé. Fesser par contre, je puis de mes caducées ! Surtout si on veut foutre le bringue à l'Herauderie, car pour le moment, en l'absence de Montjoie, c'est pour ma pomme les cheveux blancs.

Et de lui tourner autour et alentour, au rythme des notes et des étincelles. Arriver derriere lui et lui souffler, sur la pointe des pied.

Ca serait dommage de me vieillir le minois, n'est-il pas ?


Et d'un rire léger, elle fit un pas de coté, quand percute la derniere remarquer.


Bon, tu souffles chaud et froid, c'est penible, Carmin. Sciemment me semble un grand mot. Mais si telle est la situation, c'est au maréchal - que je soupconne etre la meme personne - et ensuite à Montjoie, ou moi en son absence, qu'il faut porter par le velin la plainte et les éléments. Néanmoins, je suis un peu surprise. Si la demande est arrivée dans les temps impartis, je ne vois pas pourquoi mes collègues auraient occultés la demande.

Froncement de sourcils et moue vinrent plisser son visage, une furieuse envie de se cogner la tete du poing en se demandant quel sac de noeuds peut bien se cacher là derriere d'autant que la situation au sud de la Loire, elle n'y regarde que lorsqu'on la sollicite explicitement dans une province, comme au Rouergue qui suivra dans son périple.
_________________
Namaycush
Les soldats ne changeaient jamais. Belliqueux par définition, s’ils n’attaquaient pas d’un côté, ils le faisaient de l’autre. En fin de compte, qu’ils soient officiers ou troupiers, tout était histoire de stratégie.

Bien malin qui pourrait lire et comprendre l’étincelle dans le vert des yeux du Carmin, vert en pointe d’ambre, encore, accentuée, alors qu’il est contre elle, tout contre, en pointe de verdeur…



    Les caducées se croquent, mais tu ne sais sans doute pas que mon premier bure fut un cardinal, aujourd’hui procureur héraldique… La pastorale et confesse fut très sympathique… Comme quoi, à deviner ce qui se passe derrière la façade d’un héraut… sans cheveux blancs mais si blonds que l’on se croirait en fin d’été…



Alors il s’éloigne sans lâcher sa main en pas de danse léger mais assuré. Il la plaque contre lui de face et lui dépose un baiser sur ses lèvres. Baiser qui sans être charnel est un baiser osé. Il sourit…


    Je n’ai jamais pu résister à une moue. Je ne suis pas un voleur, je le rendrai avec intérêt. Même devant un tribunal héraldique s’il le fallait.



Riant de bon cœur, il l’entraîne dans une danse plus sensuelle, moins endiablée, fourrant son museau dans ses cheveux et lui soufflant…


    Tu es mon héraut à présent. Cela va venir et je suis beau joueur, tant le sud est un sac de nœuds.



Aucune référence ne pointait là-dedans au sujet du tribunal héraldique qui viendrait prochainement. Absolument aucune.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)