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[RP] Des désignés volontaires...

Caro
Rire de l’entendre dire « Papy-carmin », pour sûr que s’il l’entendait ça lui ferait plaisir.

Papy-Carmin rien que ça ? … Ben il ne dira rien t’es là pour un octroi. Donc si on est rondes et bien on le sera et puis cela mettra de l’ambiance à l’anoblissement. Ca sortira des sentiers battus et en plus ça sera à marquer dans les annales de Memento. Donc de bons souvenirs en perspectives. Et si besoin, je t’aiderai à poser le cachet de cire. A deux on y arrivera bien.

Rapide réflexion en même temps que je parlais prenant aussi ce fameux Calva tout juste tiré du tonnelet

Alors on va boire à… à…. ben à nous tient, tout simplement. Pourquoi toujours boire en l’honneur des autres ou pour quelque chose ?

Levant le hanap

Santat ! Et à nous !

En boire une petite gorgée et …

Hmm ah oui c’est du bon ça

Sinon tu disais quoi déjà de ta fonction ?

Lâcher un petit rire

Ah oui ! Alors comme ça ta fonction est d’enquiquiner les nobles ? En voilà un résumé, je saurai m’en souvenir. Preuve en est le contraire vu que tu es là ce jour pour un octroi.

Sinon en ce qui me concerne, en tant que prévôt de Gascogne on pourrait donc dire aussi que je suis à même d’enquiquiner tout le monde alors. Mais heureusement et comme pour toi, il n’en est rien. Donc comme je viens de le dire je suis Prévôt, donc forcément conseiller ducal. Ca c’est pour le côté fonction ducale, mais ici en Memento, je suis intendante.

Petit regard et sourire en coin

Des questions ?
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Perrinne
Et de réfléchir à la proposition, avant d'esquisser un sourire.

Moué, à deux, on doit pouvoir ecraser la cire. Si ca bave un peu, ce n'est pas trop grave non plus. Je retiens la proposition, tiens toi prete ! Parce que le Calva, meme si j'ai été élevée avec, ca fait un moment que je n'ai plus éclusé un tonnelet. Les hérauts ne sont pas très festifs ces derniers temps.

Vint alors le ban, ah mais c'était une bonne idée.

Mais oui, bien vu ! Pourquoi toujours les autres ?

Oui oui, elle aurait pu ajouter un "parce qu'on le vaut bien mais ca aurait fait bien trop cliché.

Après tout on trime autant que les autres. Autant profiter quelques fois des benefices de tout ce travail. Tant pis si c'est egoiste.

Alors, il est bon ce Calva ? Autant que les domaines de mon époux servent à quelque chose,

A son tour, elle leva son verre, huma l'alcool puis prenant une large goulée, la laissa carresser sa langue et son palais, lui emplir la bouche avant de laisser l'ensemble rejoindre son gosier. Une fois aérée, la boisson révéla sa richesse et sa rondeur. Après un hochement de tete appréciateur, elle reprit le fil de la conversation.

Oui, j'empeche les nobles de tourner en rond et faire ce qu'ils veulent il parait. On n'est que des tyrans et patati et patata.... des enquiquineurs en somme. Et oui, je suis là et les délais n'étaient pas les miens, comme quoi ... y a des miracles.

Ecoutant ensuite la description de Caro, elle réfléchit un instant puis reprit.

Bien sur des questions !
Ca se passe comment prévot d'une province totalement entourée d'autre province ? En Normandie on est coincé entre Artois et Bretagne , donc vigilance permanente mais les mers sont traitées autrements. Et chez vous ?
Mais donc c'est aussi toi qui tient les cordons de la bourse de papy-carmin ?
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Namaycush
Il arrive le « papy », aux talons qui claquent, dans un grand nuage de fumée toute blanche entonnant une chanson…


    J’ai tout fumé le pavot, j’ai tout bu l’armagnac … dirlidirladada…



Regardant Montjoie, tête penchée…


    Ah mais Perrine, nous avons failli t’attendre.
Lui tend le pétard…
    goûte-moi cela, pavot blanc, c’est du 11,75, pour le prestige c’est top la classe, tu vois les cinq étoiles d’un coup. Bon après c’est un peu compliqué à s’en remettre, cela donne soif et faut de la verveine et du tilleul.



Sourit à la malice, reprenant l’air entonné…


    J’ai tout bu euh l’armagnac, et maintenant je vais boire le calva ! Ahahahaha !



Se sert une rasade, mais une rasade de compétition, une rasade à te faire tomber Fatum et tous les ordres royaux d’un coup, raides secs. Et défouraille sa lame, exécutant quelques moulinets avec…


    Paysan, arrive, il est ton heur e ! Que je fasse de toi un seigneur de France, un seigneur féodal, qui n’aura jamais peur ni de roi ni de reine et encore moins des dieux.

    Il est l’heure mon Paysan ! Arrive !



L’était en forme le Carmin, s’étant sacrifié à la cause pavot blanc pour faire atteindre le sommet des étoiles au prestige gascon…
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Paysans01
Paysans arriva et vois son amis namuy de très bonne humeurs

Paysan, arrive, il est ton heur e ! Que je fasse de toi un seigneur de France, un seigneur féodal, qui n’aura jamais peur ni de roi ni de reine et encore moins des dieux.

Il est l’heure mon Paysan ! Arrive !

Vous mavais apeller mon capitaine et ami Namaycush Salvelinus Salmo Salar, Duc de Gascogne ?? Ses met au grade a vous devant lui
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Perrinne
Bordel meme pas le temps de finir le Calva et trinquer peinard qu'arrive le braillard. Ca doit etre le "papy" qui l'a fait rappliquer surement. Faudrait s'en souvenir pour le futur, question d'utilité publique.

Son regard dubitatif se fixa tour a tour sur le machin entre ses doigts, le papy et Caro. Mais voyant paraitre celui qui devait surement etre le futur seigneur, elle retrouva - en partie - ses esprits.

Fourrant le "11.75" - beau chiffre d'ailleurs - dans les pattes de Caro, elle s'approcha du General et saisit l'épée, jouant de surprise.

Je te prends ca.... tu l'auras au moment voulu. Tu connais ton role du jour et les paroles ou en tous les cas, les fondements de ce que tu engageras aujourd'hui.

Et dans une tentative de sourire gracieux, elle se tourna vers Paysan, faisant au plus vite.

Bonjour.
Je suis Perrinne.
Accessoirement héraut d'armes et meme un petit peu Roy d'armes.
Vous devez etre Paysan.
Je suis ici pour valider l'engagement qui fera de vous un seigneur.
D'ailleurs, en cet instant, c'est au comte de Pontoise que vous vous adressez car c'est à ce titre et pour un fief sur Pointoise que je suis là.
Désolée pour cette introduction, mais je suis obligée de faire ce genre de rappel avant un serment pour que vous sachiez à quoi vous attendre.

Et un peu plus bas, en montrant à demi l'autre homme sous la tente du bout de l'épée.

Puis je pense que le General ne devrait pas tenir très longtemps entre fumée blanche et alcool blanc.

Reprenant plus clairement.

Donc à un moment, il vous sera demandé de prononcer votre serment. Vous tournez les mots comme vous voulez, mais il faudra a minima vous engager à aider sous toutes ses formes, conseiller et etre fidèle à pap... euh... au ... Carmin. Voilà.

Et cette mise en bouche entamée, l'épée toujours à la main, elle fronca les sourcils à la recherche de la besace qu'elle avait apportée et qui contenait armes et parchemins utiles pour la suite. A voir si elle aurait besoin d'aide ou pas pour la cire !
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Namaycush
Non mais elle lui a piqué sa lame. Une Licorne tenant en main une épée Memento. L’union du bleu et du rouge, ou allait le monde^^.


    Bien, Paysan, avance-toi devant moi !



Lève un index docte…


    D’abord n’oublie jamais que si l’amour est dans le pré, la vache aussi !

    Paysan tu es un vaillant soldat de France, tu l’as toujours défendue depuis les temps immémoriaux des débuts de la guerre du Ponant. Tu fus un de ces fidèles soldats de Touraine, engagés dans les troupes qui attaquèrent le Ponant et déclenchèrent cette guerre. Il fallut un certain courage pour oser le faire.

    Tu as fait parties des mesnies tourangelles, servi sous les couleurs de Pierre du Val de Loire, engagé dans les maîtres d’armes de France au côté de mes frères d’armes Fingolfin, Burin Khazad, Elzebur, Lekaiser et tant d’autres aujourd’hui disparus. Cela je ne l’oublierai jamais.

    Par la suite, sous l’impulsion de Line, tu as rejoint les rangs de la Memento Mori et ne les a plus jamais quittés, répondant toujours présent à l’appel de ton général, même dans les moments les plus durs de la guerre d’Empire.

    Ce jour encore, tu patrouilles avec nous aux frontières de Gascogne, bénévolement, te contentant de la ration journalière, sans jamais te plaindre, ni réclamer.

    Ce jour, je te fais Seigneur de Auvers-sur-Oise, par ma volonté de récompenser un homme méritant.



Il reprend la jarre emplie d’eau de l’Oise, en verse sur son front…


    Paysan, je t’écoute.



Nous y arrivions, enfin…
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Robbin.
Robbin arrivait juste à point. A peine de retour, il assistait à la récompense de Paysan. Il était heureux pour lui et il méritait cette nomination. Il se tut et regardait son père lui mouiller le front. Ce n'était pas rien tout de même. Il ne broncha pas, ne voulant pas déranger la cérémonie, mais mourrait d'envie de courir saluer son père.
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Paysans01
Paysans écoute et il alla devenirs noble il est en est fier

Et je vais commencer pars sers que vous m’inspire mon capitaine et ami Namaycush Salvelinus Salmo Salar, Duc de Gascogne

Je vous considère comme un ami comme un général de France et capitaine de France et fidèle parmi les fidèles

La premier fois que je vous croisée citais en 1457 a la caserne tourangelle ou le Pierre VAL DE LOIRS vous sa convier à ses appartements on ses croiser dans les couloirs
La 2ème fois on nous sa mi procée au fessier pars le petite compagnon du poilu allume qui n’a pas la lumière a tous les étage le peurs bougre tien j’ai une anecdote vous saviez que le poussin et son compagnon ne vive plus au Berry ??
Et après je vous sais croiser sur tous les champs de bataille que la France et la Touraine ses engager
Et en 1463 j’ai région vos troupes et jui suis encore

Donc avec tout ça vous cette pour moi un ami, un général de France et capitaine de France et fidèle parmi les fidèles

Moi Paysans PETITE COURS dit Paysans01 né le 4 avril 1432 A Bazas au du duché de Guyenne né de Charles PETITE COURS et de Marie PETITE COURS
Jure sur ma vie, réputation, mon honneurs, mes ancêtre, mes descendant et tous mes bien que ma fidélité, mon aide, est mes conseille et que vous disposer comme vous le voulez et quand vous le voulez soit respecter jusqu’à la fin de ses de ma vie (militaire, politique, amitié, enverrez tous les causses juste)
Paysans PETITE COURS
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Namaycush
Alors il est là, le Paysan, celui qui ne sait pas trop parler parfois, celui que l’on n’ invite jamais dans les réceptions de cour, celui auquel on demande souvent, celui auquel on donne peu. Sauf ici, parce qu’on l’aime, tout simplement, ce camarade toujours présent, l’ami toujours prêt à rendre le service, charmant et gentil.


    J’entends ton serment et le considère sincère comme valide.

    Approche que nous scellions par le baiser, le sang et la trinque le pacte ancestral qui fait de nous des hommes fiers.



Bras ouverts, incisives en feule…
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Perrinne
Du vert en fait, pas du bleu. Elle pourrait certes jouer avec les cornes comme ses freres d'armes, mais c'est plutot chez les Dames qu'elle évoluait pour le moment après avoir tater du noir et blanc des hospitaliers. De toutes manières, aux gouts héraldiques, il y avait enquerre, donc contradiction de couleur !
Cherchez pas, l'esprit montjoyesque est alambiqué et vraisemblablement, la retenue serait de mise... ou pas.

N'empeche qu'elle jouait de la pointe du fuseau tandis qu'elle écoutait l'échange.
Et avant que ne s'approche le futur "condamné", elle s'approcha du Comte, se haussa à son oreille lui sussurant d'un ton réservé pour elle à d'autres lieux, mais qu'il l'amusait d'user à cet instant.

Carmin, y a un engagement fondamental dans un serment vassalique hormis ton gout exacerbé pour le sang. Oui, il est tacite ici en memento, mais il doit etre dit malgré tout. Tu lui dois la justice, la protection et la subsistance à ton candidat vassal. Tourne moi ca comme tu veux, mais le fond devra y etre. Tu m'as dit ce qu'il est pour toi, pas les engagements que tu prends envers lui, qui vient l'ame presque à nu s'engager envers toi.

Oui, parce qu'elle restait une enquiquineuse de nobles meme avec Calva en compagnon.

Et prudente sachant l'esprit retords du gascon, elle recula des quelques pas la reposant en témoin, garde sortie et à l'affut, des fois que.
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Paysans01
Paysans s’avance vers le capitaine
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Namaycush
Tandis que recula Montjoie, il la regarda, grognant fort, haussant les épaules avant de lui répondre, reprenant sa lame. D’autorité sans méchanceté, bien entendu.


    Montjoie, tes cheveux t’ont certainement empêché d’entendre ce que j’ai dit, aussi je vais répéter à haute et intelligible voix.



Il bénit du plat de la lame Paysan, par le front, l'épaule gauche et ensuite la droite.


    Je te bénis mon frère, et tant que je serai vivant, je te donnerai la protection, la subsistance et la justice, comme je l’ai toujours fait.


    Approche et scellons. Montjoie, as-tu bien entendu ?



Il est parfois de mauvaise foi, mais c’est juste histoire de…
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Perrinne
Un hochement de tete et un clin d'oeil amusé.
C'est tout bon, elle peut valider sur le velin.

Impeccable !

Et de retenir un "tu vois quand tu veux, Carmin ! " mais non, seul un sourire ironique laissait deviner ce qui l'agitait.
Cependant, le calva n'ayant pas encore trop imbibé son esprit, elle fouilla sa besace pour y retrouver son matériel et procéder à ce qu'il se devait, non sans sortir un rouleau de tissus à son coté.
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Paysans01
Paysans est très impresontonné

Messire mon maitre namuy comment je me nomme metenin ??comment je doit me porésenté ??
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Namaycush
S’il le voulait. Mais il voulait toujours, bon type dans l’âme, fort de caractère, Carmin était ce qu’on voulait bien qu’il soit bien que l’animal ne soit pas facile à manier.


    Paysan, ici tu te nommes frère et on te prénomme ami. Maintenant tu es seigneur de France.



L’attire vers lui, lui donnant accolade profonde et sincère, tandis qu’il lui fend la lèvre inférieure gauche du baiser carmin.
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