ellesya
Un salut à Salmaise et dautres arrivées mais elle ne fut vraiment tirée de sa léthargie que lorsque Feodor vint au-devant delle pour présenter Eudes. Un peu confuse de nêtre pas allée delle-même, demblée, vers eux, elle leur glissa ses félicitations et bénédictions pour lhoir du Rivau. Si elle appréciait Gatimasse, elle avait une sympathie particulière pour lépoux dicelle. Jamais elle ne risquait doublier la manière quelle avait eu déroder son sentiment de nêtre quune pièce rapportée à Auneau. Et la pérennité de son amitié, moins exubérante mais plus fiable que de nombreuses autres, lui était toujours aussi précieuse. Lenfant était visiblement une source de fierté pour le couple et étofferait ainsi la génération suivante, avec ses propres enfants et dautres. Il ny avait donc que des sources de contentement, ce qui laissa lAmbacienne avec un sourire ténu, un peu ailleurs, lorsque la cérémonie débuta.
Elle écouta dune oreille distraite les mots dentame, toujours à ses pensées. Jusquà ce quon appella Gatimasse. La jeune femme eut une pensée pour sa mère qui fut longtemps la première et seule récompensée de la salamandre dor. Mais heureusement, depuis cette époque lointaine où elle était encore dans les langes, dautres avaient pu briguer pareille récompense et cétait avec le sentiment que cet octroi était tout à fait mérité quEllesya suivit Gati du regard. Elle avait beau ne pas adhérer toujours au mordant de la Talleyrand, elle était très heureuse pour elle en ce jour.
Alors que Madfly « comparaissait » à son tour devant la duchesse de Touraine, Sya ne put sempêcher de se demander si il était très indiqué de renseigner le résultat des votes. Au final, le résultat comptait. Ou alors peut-être devraient-ils faire de même lors des octrois de fiefs ?
Songeuse, la jeune femme regarda Madfly être décoré. Puis vint le tour dOyolo. Elle se souvenait avoir un peu devisé avec lui il y avait longtemps, mais plus guère ensuite. Mais il était apparemment une preuve que les plus méritants ne sont pas les plus bruyants.
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Elle écouta dune oreille distraite les mots dentame, toujours à ses pensées. Jusquà ce quon appella Gatimasse. La jeune femme eut une pensée pour sa mère qui fut longtemps la première et seule récompensée de la salamandre dor. Mais heureusement, depuis cette époque lointaine où elle était encore dans les langes, dautres avaient pu briguer pareille récompense et cétait avec le sentiment que cet octroi était tout à fait mérité quEllesya suivit Gati du regard. Elle avait beau ne pas adhérer toujours au mordant de la Talleyrand, elle était très heureuse pour elle en ce jour.
Alors que Madfly « comparaissait » à son tour devant la duchesse de Touraine, Sya ne put sempêcher de se demander si il était très indiqué de renseigner le résultat des votes. Au final, le résultat comptait. Ou alors peut-être devraient-ils faire de même lors des octrois de fiefs ?
Songeuse, la jeune femme regarda Madfly être décoré. Puis vint le tour dOyolo. Elle se souvenait avoir un peu devisé avec lui il y avait longtemps, mais plus guère ensuite. Mais il était apparemment une preuve que les plus méritants ne sont pas les plus bruyants.
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