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[RP] Cérémonie nobiliaire - Noble ceremony 1st august 1465

Arnarion




Le soleil commençait à tomber sur la cité romaine. L'urbs, comme d'accoutûmé, était pleine de l'effervescence nourrie par un flux incessant de pèlerins de toute sorte et de toute horizon qui, mêlant leur cantique à la piété populaire, faisaient vivre aussi bien les ruelles que le parvis des églises. La lumière déclinante du jour qui s'en fut se cacher par-delà les collines du Capitole, baignait les faubourgs et les places d'une fugace onde mordorée. Et la chaleur qui s'en dégageait en ce début du mois d'août, tranchait avec le petit vent nocturne venu du Quirinal qui ne tarderait pas à se lever et se faufiler dans le lit du Tibre. Au loin déjà, les cigales bien cachées dans leur cyprès, achevaient leur chant et reposaient leurs cymbales pour une nuit bien méritée.

Et pourtant, s'élevant progressivement dans les airs, un chant commençait à poindre. Ce n'était pas un chant ordinaire, et rien d'humain n'eu put reproduire pareille entonation. Ce chant était celui du métal. Dans un tonnerre de fer et de bronze, c'était les cloches de Rome, celles-là mêmes de la Basilique Saint-Titus qui tonnaient fièrement, annonçant dans leur valse enthousiasmée la convocation au saint-Office. Du champs du Vatican jusqu'aux allées tortueuses de la Subure, la longue litanie de fer se déversait à travers toutes les rues de Rome et se répondait à elle-même en envahissant les montagnes éternelles qui l'entouraient.

Plus haut encore, au sommet de la colline du Vatican qui surplombait le fleuve, commençait à se regrouper un foule qui, à mesure que le jour s'estompait, prenait de l'ampleur et vint bientôt à recouvrir les pavés de la place d'Aristote. Au milieu de cette foule, impeccable et bien soignée, une rangée de soldats formaient une haie d'honneur. Casque courbé vissé sur la tête et hallebarde droite, la garde pontificale veillait. Habillés en grand uniforme, leurs panaches blanc et rouge qui tombaient sur leurs armures d'un acier élégament ouvragé et gravé, avait de quoi rendre fier la cité romaine.

Alors même que les cloches continuaient leur plenum, la basilique Saint-Titus ouvrait ses lourdes et imposantes portes.



The sun was beginning to fall upon the Roman city. The Urbs as usual, was full of effervescence nourished by an incessant flow of pilgrims of all kinds and horizons who, mixing their canticle with popular piety, made live both the alleys and the forecourt of the churches. The declining light of day, which hid itself beyond the hills of the Capitol, bathed the suburbs and squares of a fleeting, golden-brown wave. And the warmth that emerged from it at the beginning of August cut off with the little nocturnal wind coming from the Quirinal which would soon rise and sneak into the bed of the Tiber. Far away, the cicadas, well hidden in their cypress trees, finished their songs and rested their cymbals for a well-deserved night.

And yet, rising gradually in the air, a song started to dawn. It was not an ordinary song, and nothing human could reproduce such an intonation. This song was that of metal. In a thunder of iron and bronze, it was the bells of Rome, even those of the Basilica of St. Titus, which thundered proudly, announcing in their enthusiastic waltzes the convocation to the Holy Office. From the Vatican fields to the winding alleys of the Subure, the long litany of iron flowed through all the streets of Rome and responded to itself by invading the eternal mountains that surrounded it.

Higher, on the summit of the Vatican Hill, which was overhanging the river, a crowd began to gather together, which, as the day grew fader, grew and soon came to cover the paving stones of the Aristotle's square. In the midst of this crowd, impeccable and well cared for, a row of soldiers formed a hedge of honor. A curved helmet screwed on head and a right halberd, the pontifical guard was watching. Dressed in full uniform, their white and red plumes, which fell on their armor of an elegantly carved and engraved steel, had enough to make the Roman city proud.

While the bells still followed their plenum, the basilica of St. Titus opened its heavy and imposing doors.



Code:
Petit encart HRP : Tout le monde est désormais invité à entrer pour le début de la cérémonie. Il est de coutûme que les futurs anoblis se placent en premier,
 juste derrière le parapet qui sépare la nef du choeur. Ceux-ci seront appellés par ordre de préséance afin de prêter serment. A savoir : Comtes, Vicomtes, Barons et Seigneurs.

Littlel insert HRP: Everyone is now invited to enter for the beginning of the ceremony. It is customary that the future ennobled be placed first, just behind the parapet that separates the nave from the choir. They will be called in order of precedence in order to take the oath. Namely: Counts, Viscounts, Barons and Lords.

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jewak13
Jewak avait reçu une missive de la part de SE Arnarion le priant de se rendre le 1er Août en la basilique Saint Titus pour une cérémonie en son honneur...Du moins c'est ce qu'il croyait comprendre car le courrier était rédigé uniquement en anglais, et l'anglais et lui ça fait deux comme on dit !

Ne connaissant pas l'endroit exact, il se présenta en ce lieu et frappa à la porte tout hésitant.

Puis il entra et se présenta machinalement :


- Mes salutations respectueuses, Je m'appelle Jewak13 (dict Jewak) et je suis le Capitaine et Premier Intendant de la Garde Episcopale francophone.

Est-ce bien ici que je suis attendu ?


Voyant la salle vide, il se moqua de lui-même pour avoir parlé à des murs. Il sortit et déambula dans les couloirs à la recherche de la bonne salle.

C'est alors qu'il arriva devant une porte avec l'écriteau "Cérémonie Nobiliaire - 1er Août 1465".
C'était donc là !!!! Il toqua puis entra et vit SE Arnarion.


- Salutations Votre Eminence, désolé pour ce léger contretemps. Je m'étais apparemment trompé de salle. Rit de sa bêtise.

Je suis très novice dans ce genre de cérémonie, que dois-je faire ?

En fait, il demandait conseil afin de pouvoir agir au mieux et ne pas faire de faux pas.
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Filleul de l'ex-Capitaine Choupinette73
Parrain de l'ex Préfet des Vidames Ken Cohiba de l'Isle
Parrain du Cadet Erwann de Naueriels de Castel Volturno
Arnarion
Le cardinal qui n'était pas encore couvert de pompe et déambulait dans les bas-côtés pour voir si tout était en ordre, fut abordé par le capitaine de la Garde Episcopale. D'un sourire il lui répondit.

Je vous invite à entrer et à vous installer, Capitaine.
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estevan
Estevan avait reçu un courrier du Capitaine Jewak l'invitant à venir assister à la cérémonie. C'est donc tout naturellement que le prélat vint à la cérémonie histoire de remercier par sa présence son Capitaine pour les efforts fournis au service de Rome.

Il méritait bien l'honneur qui lui était fait.

Le Blond vit le Cardinal Arnarion présidant surement la cérémonie à moins que ce soit le Cardinal Camerlingue. Il n'était pas encore arrivé. Surement encore en train de s'occuper d'affaire ici et là.

Le prélat saluât respectueusement le Cardinal Arnarion et se plaça non loin de son capitaine qu'il ne manqua pas de saluer.


Comme prévu je suis moi aussi venu pour la cérémonie.
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Primate of Church of Holy Empire
Melian
Conviée par son Capitaine, notre Ventoux s'en vint donc. En outre, en temps que noble pontificale telle que l'était notre Duchesse de Terni et Comtesse Palatine de Saint-Jean de Latran, il lui semblait de son devoir d'être là aussi bien pour lui que pour l'ensemble des nouveaux membres du ban pontifical.

Elle avait donc opté pour sa plus belle toilette et s'en vint à la cérémonie accompagnée de son infirmière, de ses trois dames de compagnie et de ses quatre enfants.

Elle arriva avec tout son petit monde à la Basilique, et attendit sagement de pouvoir saluer Son Eminence Arnarion avant d'entrer.

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Chevalier Sénateur d'Isenduil, Chevalier Préfet en charge des GE Fr-All-Esp-Ang, Second de l'OCF
Beatrix_algrave
Beatrix arrived for the ceremony. She wore a blue velvet gown embroidered in silver. The red hair braided with silver strands and pearls. At her neck was her silver and sapphire family necklace. She entered the cathedral arm in arm with her husband Fitzwilliam. The deaconess cordially greeted those present with a respectful reverence.

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Beatrix chegou para a cerimônia. Ela trajava um vestido de veludo azul com detalhes em prata. Seu cabelo vermelho trançado com fios de prata e pérolas. Ao pescoço o colar de prata e safira de sua família. Ela entrou na basílica de braços dados com seu esposo Fitzwilliam. A diaconisa cumprimentou cordialmente os presentes com uma respeitosa reverência.

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Beatrix est arrivée pour la cérémonie. Elle portait une robe de velours bleu avec des accents d'argent. Ses cheveux roux tressés avec du fil d'argent et perles. En son cou le collier en argent et saphir de sa famille. Elle est entrée dans la basilique dans le bras avec son épouse, Fitzwilliam. Le diaconesse cordialement a salué les personnes présentes avec a respectueux révérence.
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Pároca de Braga | Camareira diocesana| Primeira Arquidiaconisa de Braga| Reitora do Seminário Menor de Viana do Castelo| Tradutora Chefe do Frigidarium na Villa San Loyats
Margharida.
Margharida chega para assistir a cerimonia. Trajando um lindo vestido. Cumprimenta todos os presentes e aguarda calmamente o inico da cerimonia...
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tokai
Tokai, parée de ses plus beaux atours, arriva dans la Basilique et salua tout le monde avant de s'asseoir.
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Oree
Le soleil déclinait et enrobait la cité romaine d'un camaïeu de couleurs. Elle ne cessait de s'esbaudir devant tant de richesses architecturales.Toute une ville érigée de tours et de clochers. Il y avait probablement autant d’églises que de jours dans l'année. Cesse doncques ! Tu vas finir par te dévisser le cou, lui susurra la petite voix de sa conscience au moment où un branle animait la basilique. Du sol au plafond, elle promenait son regard pers sur la décoration somptueuse de l'édifice dont elle venait de franchir le portail principal détaillant les fresques, et la biauté des placages de marbre précieux et coloré. Sa présence dans la Basilique Saint Titus avait quelque chose d'incongrue en ce premier aoust de l'an mil quatre cent soixante cinq. L'envolée joyeuse des cloches la grisait d'espérances confuses.

La fribourgeoise avait avoyé vers la cité-états à la parfin d'assister à la cérémonie d'hommage à Sa Sainteté le Souverain pontife Innocent VIII. Elle gambergeait ferme depuis que son éminence lui avait commis missive, se sustentant à peine, sirotant deux fois le jour un gobelet de vin, dans lequel avaient macérées quelques semences de fenouil, censé la requinquer [Orée avait été agressée sur les chemins alors qu'elle trascinait sa charge vers Alexandrie] et ne trouvant guère le sommeil. Des nuycts agitées peuplés de resves étranges et qui se poursuivaient parfoys la journée. Il fallait que toute cette agitation s'apaise que ses délires s'affaiblissent. Elle espérait à cette grande achoison pouvoir s'entourer de son p'tit père, Monseigneur Tibère de Montefeltro, de ses mies brunettes, Runya le petit chaperon vert, Birgit mi sel et de ses filleuls, Genevote la harpie et Elliot.

Sans provision de cliquaille à son arrivée, elle avait pu estre logée à pain et à pot chez les petites sœurs à quelques lieues de là. Elle occupait une cellule avec oratoire, pupitre pour prier à genoux et couche sommaire composée de deux tréteaux sur lesquels reposaient trois planches supportant une paillasse et des couvertures de laine, sans draps. Un confort spartiate pour une expérience inoubliable. Totes voies à la toilette sèche, elle avait préféré se rendre aux étuves tant la vermine grouillait sur sa peau et ses parties intimes. La veille de la cérémonie, elle avait reçu quelques subsides de son supérieur. Épouillée et testonnée, silhouette drapée d'une étoffe dabiky à fleur d'or maintenue sur son épaule par une fibule d'argent, licorne cabrée souvenir de feu son parrain, elle s'était acheminée d'un bon pas vers la Basilique.

Désorientée, elle s'était immobilisée sur une petite tache de lumière elliptique qui dansait sur le sol, les mains croisées sur sa poitrine, elle cherchait à apazimer les battements de son cuer quand elle se sentit happée par une marée humaine qui coulait autour d'elle comme si tout le monde avait haste que se dévoilent les commençailles.

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Diacoréesque de Fribourg ...
Onael d'Appérault
Appuyée à la fenêtre de la chambre de l'Hôtel qu'elle fréquentait lors de ses passages à Rome, l'Evêque de Bethléem s'était perdu dans ses pensées. Cela faisait une bonne heure, qu'elle était là, les azurs perdus sur les toits de la cité.
Depuis la réception de la missive, elle se posait beaucoup de questions, et se faisait quelques remarques qui la faisaient sourire par instant.
Ainsi s'était elle demandée si son défunt grand oncle Thomas l'observait et la guidait de là haut,et s'il ressentait quelque fierté à la voir marcher dans ses pas chaque jour avec un peu plus de volonté. Ou encore se rappela t elle ce triste jour où elle avait fait face à sa défunte mère, pour lui annoncer qu'elle ne souhaitait pas se marier, ni avoir un titre dans ce but, pour mieux embrasser la voie de l'Eglise qu'elle souhaitait suivre autrement que la Duchesse ne l'avait fait elle même, de façon laïque.Sa mère, malgré sa grande piété et sa loyauté envers Le Créateur, avait eu du mal à accepter que son ainée, malgré sa bâtardise, ne fasse pas un bon mariage.

Une servante entra pour l'aider à se vêtir.Et pendant tout l'habillage, la Prélat resta silencieuse, se demandant si son frère arriverait à temps à la cérémonie, se réjouissant de le revoir, et chassant de sa tête ce fichu mariage à organiser pour ne pas ternir sa lucidité.
La Champenoise fut habillée humblement, attachée à ses habitudes, et estimant que la noblesse pontificale ne se reconnaissait pas aux dorures de ses habits mais à la pureté de son âme. Ainsi, elle fut parée d'une longue tunique à l'étoffe de qualité, mais sans fanfreluche, si ce n'était les bordures brodées de fil d'or, par dessus laquelle on mit une tout aussi longue chape, de la couleur violine des lescuriens. Sa coiffure se résumait à un simple chignon bas qui relevait ses boucles vénitiennes sur sa nuque,pour mieux couvrir sa tête d'un long voile de la même couleur.
les seuls bijoux qui l'ornaient étaient dissimulés sous sa chape, et seule sa croix aristotélicienne de sinople reposait ,en vue, sur sa poitrine.
Le jour se terminait, et la jeune femme prit le chemin du lieu de cérémonie.

Sur celui ci, son esprit divaguait de nouveau. Elle repensa à l'honneur qui lui était fait, remerciant de nouveau Dieu, intérieurement pour sa bienveillance, comme elle l'avait fait des heures durant la nuit et tout le jour précédent, abîmée en prières allongée en croix, et dont la trace du pavé se sentait encore sur son corps endolori par ce rituel.
Malgré tout, et en bonne future administratrice de terres, la d'Appérault s'était renseignée sur celle qu'on lui confierait ce jour. Et même si elle était reconnaissante pour l'honneur qui lui était fait, elle n'avait pu s'empêcher de constater qu'on lui octroyait une terre montagnarde et rugueuse, à elle, qui chérissait tant la mer,la chaleur et la douceur. Elle avait même appris que par le passé, l'endroit avait maintes fois tremblé et été détruit. Et elle devait bien avoué que la pensée que quelques Cardinaux apprécierait qu'un de ses tremblements l'emporte, lui avait effleuré l'esprit. Du moins, sans doute, la chose eut été une certitude si Arnault avait été encore en vie.

Elle fut tirée de ses pensées par les cloches qui résonnèrent bientôt dans la ville.Pressant le pas, elle arriva bientôt à la basilique où une foule commençait à se masser. Prenant le couloir formé par les gardes épiscopaux, elle sentit une boule lui nouer l'estomac alors que ses yeux caressaient la façade de la bâtisse.
Ses mains passèrent sur ses habits nerveusement pour en chasser des faux plis imaginaires, son regard balaya les alentours pour tenter d'apercevoir son frère, alors que ses pas la menaient à l'intérieur, où elle gagna l'endroit qui lui était réservé, aux côtés des autres appelés du jour.

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Runya
Cela faisait plusieurs mois que son amie Orée avait quitté Fribourg, sans lui donner de nouvelles. Mis à part quelques mots sur la porte de l'église, elle était partie sans laisser de traces, laissant Runya dans la plus grande des inquiétudes. Orée avait toujours été là et, dans l'esprit du petit chaperon vert, elle représentait un peu l'âme de Fribourg, sa force. Avec le temps, le petit chaperon vert s'était apaisée. L'Ourse avait sans doute décidé de se rendre à Alexandrie. Elle en parlait depuis longtemps. Runya espérait juste qu'il ne lui arriverait rien et qu'elle reviendrait un jour pour lui raconter ses aventures.

Et puis, un beau jour de juillet, elle avait reçu une missive. C'est à Rome que leur chemin devait se croiser à nouveau. Rome? Runya n'y avait jamais mis les pieds. Elle arriva dans l'Urbs, s'émerveillant au détour de chaque rue. Mais comment allait-elle trouver la Basilique Saint-Titus? Avec l'aide de quelques badauds, elle finit par y arriver et se mit alors à la recherche d'Orée. Même si elle avait bien peu d'espoir de la retrouver dans une telle foule.
Victoria O'Sullivan
Il y a quelque jours, elle avait reçu une invitation de son ami Jewak, une cérémonie en son honneur. Elle ne pouvait refuser, alors elle se prépara avec ses enfants. Ces derniers aimaient voir du monde et étaient toujours très sage en public.

Victoria était habillée d'une belle robe claire et ses enfants vêtus de beaux habits . Ils arrivent à la salle de la cérémonie, Vic reconnait le Cardinal Arnarion, qu'elle salue.

Salue Monseigneur Estévan, adresse un sourire son ami Jewak, ils se verront à la fin.

Elle va s'installé sur un banc avec ses trois enfants, qui ne la quitte pas. Victoria se penche vers ses enfants pour discuter avec eux, de les câliner avant que la cérémonie commence.
Laurentz
The peal of St. Titus bells invited him to the basilica. He was pleased about this great oppotunity to visit this fine building again. Looking left and right on his way to the entrance, he saw lots of faces, only few known to him, but greeting them with a polite nod. As always, after entering the basilica paused for a moment and marveled at the architecture.
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Frater Ordinis Teutonici, Primus Ambassiator
Subsecretarius Apostolicus Germanicus
Mercato
His Brother called him and so he came. He enters the basilica, wearing his best Clothes he became from the Ordre Teutonic. Just a few steps into the Hall and looking around, he saw his good Friend and Brother Laurentz. Standing at his side, with a smile on his Face he whispers: Gott zum Gruße, Bruder Laurentz. Ist unser Bruder MacBeth schon hier?
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Quod sumus hoc eritis
Macbeth_Moray
Macbeth macht sich von der Marienburg aus auf den Weg nach Rom. Er war einige Wochen unterwegs bis er die heilige Stadt Rom betrat. Im Ordenshaus untergebracht wartet er auf den Tag de Ernennung.

Macbeth machte sich für den Ernennung zurecht. Im großen Ordenstracht betrat er nun die Heilige Kirche St. Titus. Viele Leute waren schon. Kennen tat er keinen.
Oh doch, einen erkennt er. Es ist Laurentz. War er wieder in Rom?


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Macbeth goes from Marienburg to Rome. He had been traveling for several weeks until he entered the holy city of Rome. In the Order House, he waits for the day of appointment.

Macbeth got ready for the appointment. In the great order of the Oratory, he entered the Church of St. Titus. Many people were already. He did not know anyone.
Oh, he recognizes one. It's Laurentz. Was he back in Rome?

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Ordre Militaro Religieux Aristotélicien
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