Raymond_de_petrus
Hermance fut calmée derechef, et Raymond en fut soulagé intérieurement. L'eau froide le faisait frissonner un peu, mais il ne s'accorda pas le temps d'y penser. Il finit par sortir Hermance du bain, alors qu'elle finissait de reprendre contenance.
Il répondit doucement à sa demande de pardon.
Chhht, ça va aller ma chérie.
Le tissu trempé était lourd et difficile à manipuler, ainsi l'aide de Raymond ne fut pas de trop pour déshabiller Hermance, pour ensuite la sécher à l'aide des linges sortis par Sorianne. Raymond finit par l'aider pour qu'elle enfile des vêtements secs, et l'amena près du feu. Il s'adressa à Sorianne, qui faisait au mieux dans les circonstances présentes.
Veille sur elle encore un peu, j'en ai pour un instant.
Il quitta la pièce, pour retourner près du baquet pour se sécher à son tour, essorer les vêtements trempés avant de les suspendre pour qu'ils sèchent. Tout cela restait éreintant, et il apprécia d'enfiler lui aussi une tenue propre. Il prit un instant en solitaire, pour souffler un peu, et ranger ce qui devait l'être.
L'envie de se réchauffer se fit plus forte, et il traversa les lieux, pour se retrouver près du feu, d'Hermance qui se réchauffait, et de Sorianne qui achevait de préparer la tisane. Il s'adressa à la couturière, de ce ton toujours un peu distant. Peut-être à cause des circonstances, ou de la présence d'Hermance.
Merci pour ton aide, et navré de t'avoir imposé cela.
Il baissa les yeux vers son épouse, s'assurant alors de son état.
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Il répondit doucement à sa demande de pardon.
Chhht, ça va aller ma chérie.
Le tissu trempé était lourd et difficile à manipuler, ainsi l'aide de Raymond ne fut pas de trop pour déshabiller Hermance, pour ensuite la sécher à l'aide des linges sortis par Sorianne. Raymond finit par l'aider pour qu'elle enfile des vêtements secs, et l'amena près du feu. Il s'adressa à Sorianne, qui faisait au mieux dans les circonstances présentes.
Veille sur elle encore un peu, j'en ai pour un instant.
Il quitta la pièce, pour retourner près du baquet pour se sécher à son tour, essorer les vêtements trempés avant de les suspendre pour qu'ils sèchent. Tout cela restait éreintant, et il apprécia d'enfiler lui aussi une tenue propre. Il prit un instant en solitaire, pour souffler un peu, et ranger ce qui devait l'être.
L'envie de se réchauffer se fit plus forte, et il traversa les lieux, pour se retrouver près du feu, d'Hermance qui se réchauffait, et de Sorianne qui achevait de préparer la tisane. Il s'adressa à la couturière, de ce ton toujours un peu distant. Peut-être à cause des circonstances, ou de la présence d'Hermance.
Merci pour ton aide, et navré de t'avoir imposé cela.
Il baissa les yeux vers son épouse, s'assurant alors de son état.
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