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[RP Ouvert]Que reste t-il de La Main Noire.... L'Auberge...

--Artemis..


**Dans l'auberge, au comptoir**

L'air est pesant dans la pièce et insupporte l'archère, trop de tension palpable qui électrise l'endroit, l'homme à la peau d'ours n'arrangeant en rien cette sensation désagréable.
La foudre qu'il suscite de la part des uns et des autres ne finit que d'irriter la ténébreuse qui lentement termine l'offrande de la tavernière en jetant un regard au blondinet qui s'installe après avoir pris une saucée à n'en pas douter.
Les yeux bicolores observent la silhouette qui glisse dans la pièce, arpentant l'endroit comme acquis et donnant ses injonctions comme à des chiens, avant de poster devant la porte de sortie, la faisant légèrement sourciller.
Une piécette extirpée de sa poche tinte sur le comptoir, même si elle ne prendra pas autre chose, il est temps de déguerpir.

Mercé...

Sans en dire plus, la capuche est rabattue sur la chevelure brune et l'arc jeté sur l'épaule droite pour prendre la direction de la sortie se stoppant devant l'étrange personnage qui lui barre le passage.

S'il vous plait...

D'un revers de main indique la porte en se saisissant du cordage pour l'entrouvrir en portant son regard vayron sur le foulard, nulle intention de nuire, juste l'envie de sortir d'ici, mais au besoin...
La porte s'entrebaille laissant un espace suffisant, l'ombre se faufile sans demander son reste, glissant son corps sylphide dans le fin interstice, s'éclipsant aussi rapidement qu'elle est entrée.

**Sur la voute de pierre, aux abords de l'auberge**

Une fois à l'extérieur, la chasseresse se précipite vers la cour intérieure de l'auberge pour se servir de bottes de foin aperçues plus tôt et grimper sur les toits pour pouvoir observer dissimulée toute cette clique qui semble bien plus intéressante qu'il n'y parait.
Il a aussi été question de livraison, il y'aura donc de quoi se nourrir là où ils vont et vu le nombre de bouches à contenter un léger prélèvement ne sera même pas remarqué, ce qui convient tout à fait à ce que cherche l'archère pour l'instant.
Les suivre et aviser le moment venu, voici le choix d'Artémis, elle n'a plus qu'à patienter.


Ghost
L'ours grince des dents et prend sur lui, se doutant que trop bien de qui proviens de fracas du verre sur son crâne… Le liquide coulant dans ses cheveux jusque sur sa nuque, chose qu’il déteste…

Il continua cependant sur sa lancée et s’adresse à la Main, le fixant en attendant sa réponse… Non sans adresser un regard à la Poison en passant sa main dans ses cheveux et de se lécher les doigts en laissant filtré un seul mot.

Délicieux.

Son regard quitta un court instant la Main pour regarder l’homme qui entre à son tour. Se reportant sur Le maître des lieux, un bruit métallique attirant son attention… Son regard ambré tente en vain de percer les ténèbres qui lui font face, le laissant poser sa main gantée sur lui… Il hausse un sourcil, trouvant décidément sa manière de faire… Féminine et féline. Dangereuse, en outre.

Observateur... Vous ne serez pas celui qui la fera abaisser... Messire... Ghost...


A ces mots il ne put s’empêcher de répliquer, profitant un peu que la Main soit tourner pour ne pas qu’il lui saute au visage… Espérant qu’il entendra.


Sachez que cela fait bien longtemps que j’ai arrêté d’abaisser toutes sortes de chose… Y compris les capuches. C’est tellement plus plaisant d’analyser une personne... Sa gestuelle… Sa manière de faire… On peut en apprendre beaucoup.


Le voyant s’approcher, il ferme un court instant les yeux en voyant la main affublée d’un doigt métallique qui se porte à son visage. L’ours se mord la lèvre jusqu’à sang sous la douleur. Le métal lacère sa joue, mais il se refuse de bouger… Sentant bien qu’il ait été trop loin. Il porte la main dessus et, les yeux ouverts et la mâchoire crispée, l’Ours imagine le nectar des démons s’écoulant sur sa joue, il y porte ses doigts tout en l’écoutant...

Se délectant de ce goût ferreux. Il écoute ensuite la Main le mettre en garde … À moins que ce soit des menaces pour un futur proche… Qu’importe, il s’attendait pas à ce que cela soit facile. Il n’en retiendra que peu de chose de cet échange, et il ne se gêne pas pour lui faire remarquer. Des gestes délicats et aussi tranchant qu'une lame ... Et des lèvres loin d'être masculine ... Il profite furtivement pour lui murmurer à l’oreille.

C’est bien la première fois depuis longtemps qu’une femme … - il marque volontairement une pause pour noter ou non une réaction à cette hypothèse – va si vite en familiarité avec moi. Ce n’est pas déplaisant.

Puis la Main reprend ...

Samaël...
Notre nouvel "ami" sera sous votre garde jusqu'à notre antre...
Je vous prie...
Vous pourrez ainsi regarder sa tête...


Il écoute la sérénade avant de regarder la Main se retourner, notant au passage le nom de l’homme qui est en charge de lui jusqu'au manoir… Samaël. Il incline respectueusement la tête vers lui et le détail… Yeux captivant d’un jaune pur, doré, et des cheveux argentés. Il émet un grognement quand la Main parle de jeter un œil à sa tête… Comme s’il était fragile et qu’on devait s’occuper de lui… Il se retourne brusquement vers ce dernier et l’interpelle, au seuil de la porte.

Pour mériter le vouvoiement, il faut faire partie du clan, je suppose… C’est bien la première fois depuis longtemps qu’une femme…


Il attend un peu pour noter, ou non, une réaction avant de replacer sa cape et de relever sa capuche d’ours. Il jette un œil à la Flamboyante et à l’Écureuil avant de regarder à nouveau l’argenter. Le fantôme est prêt à aller récupérer son cheval au box pour partir au manoir. Puis du mouvement… Artémis qui prend la direction de la sortie. Son regard accroche sur elle jusqu’à ce qu’elle disparaisse de son champ de vision.
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" Le but de toute vie est la mort " , [(Sigmund Freud)]

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I.vy
Tout s'enchaine à la vitesse grand V. La rouquine se lève et se pose entre elle et son nouveau tapis de couche. Le regard qu'elle pose à celle qui a dérobé son cœur n'est pas des plus agréables. La déception est d'une telle profondeur que Xandrya ne peut y échapper. Comment a-t-elle osé les remplacer ? Elle n'est pas prête de lui pardonner cela. Les premiers coups sont déjà joués mais, la Main n'est pas une mauvaise joueuse, bien au contraire. Elle est judicieuse et rusée, adversaire à ne jamais sous-estimée. Le fantôme est en danger mais pour le moment épargné.

Bordel !

C'est tout ce qu'elle lâche pour conclure à cette introduction. Sam s'est levé, prêt à quitter ce qu'ils vont tous faire d'ailleurs. Le Poison a besoin de se détendre les nerfs et de toute évidence et, ce ne sera pas avec celle qu'elle considère la plus grande traîtresse à son cœur. Quant à l'Argenté, elle sait comment ça finira et elle n'est pas d'humeur à se défendre pour sa vie au pieu aujourd'hui. Elle se masse les tempes quand son regard d'eau se plante sur l'inconnu au comptoir. Lui, il fera l'affaire.

Elle s'approche et laisse certains membres ou non-membre du clan, sortir. Certains qu'elle ne désire pas voir ni de près ou de loin pour le moment. Elle se cale au comptoir à côté du dernier entré. Elle le zieute sans aucune gêne. Ce n'est pas dans ses habitudes d'être timide et aujourd'hui n'est pas différent.
Il semble, très bien et il ne sent pas la charogne. C'est que madame à des critères même si elle passe ses contraintes dans sa sexualité. N'entre pas qui veut sous ses draps, juste ceux qu'Elle veut ! Elle tente quand même de ne pas l'effrayer, on sait jamais à qui on a affaire.


Remettez-nous en deux autres.

Elle parle à la tavernière. Ivy a besoin d'un verre avant de suivre les autres également et cela lui permet de détailler d'avantage celui qu'elle vient d'étiqueter comme sa nouvelle proie.
Samael_astaroth
L'argenté achevait de se redresser en observant du coin de l'oeil le conquérant se faire remettre à sa place, la nouvelle main semblait vouloir mettre autant d'ardeur que le fondateur et son successeur dans l'art et la manière de faire comprendre à quiconque qui commandait et ce qu'il en coutait de la défier.
Le conquérant en fit amèrement les frais se voyant gratifier d'une jolie balâfre sur le visage, peut-être apprendrait-il ainsi à se taire ou à être plus respectueux de la sorte.
Cela étant, l'ange déchu fut bien obligé d'admettre que la supposition de Ghost sur le genre du nouveau dirigeant était culottée, tournant lentement la tête vers l'encapuchonné un rictus sardonique fut envoyé avant d'incliner la tête pour se diriger vers le conquérant déjà près à s'envoler vers des cieux dont il ignorait tout.
Passant dans le dos du poison en jetant un regard au blondinet, un main glissa sur la cambrure de reins alors que sa bouche vint se coller sous le lobe de l'oreille de la belle.

J'eusse préféré t'escorter personnellement jusqu'à notre nouveau chez nous Divine

Un regard pour le repas du jour du poison, dédaigneux, il ajouta dans un baiser suave sur la peau claire.

Amuse-toi bien

A la hauteur du conquérant qui avait déjà remis sa capuche en peau de bête, Samaël se montra étrangement aimable, après tout il n'avait personnellement aucun grief contre le bonhomme.
D'une tape sur l'épaule, il jeta un regard sur la joue tranchée ses pépites dorées évaluant les dégâts avant de l'inviter d'une légère pression sans agression à rejoindre la sortie.

Mon cher il semble que nous devions nous supporter jusqu'à notre prochaine destination.
Vous aurez une cicatrice, je soignerais ça pour amoindrir si vous le voulez


Inclinant respectueusement la tête devant le dirigeant masqué, le démon séducteur ouvrit grand la porte, plaçant sa large main dans le dos de son compagnon de route désigné pour rejoindre les écuries.

Aux écuries


Les box s'étaient remplis depuis son arrivée, et Rafale avait de la compagnie, sans parler l'argenté se dirigea directement vers son étalon pour le sortir de là-dedans et l'amener dans la cour pavé.

Si vous avez un cheval vous devriez le sortir de là rapidement, une fois que le petit chef sera sorti on risque de pas trainer.


Joignant l'idée à la parole, Samaël attrapa le pommeau de sa selle et sauta sur le dos de son destrier noir, calant sa compagne de toujours bien en place dans le fourreau situé dans son dos, gardant un oeil sur son simili prisonnier qui semblait bien consentant.
Zelia.
Derrière son comptoir (bah oui hein)

Tout le monde se mettait en branle après le laïus de La Main Noire, ça commençait à gentiment s'agiter, la première à suivre étant Artémis qui posa une piécette à l'attention de la tavernière qui en fut agréablement surprise.
La femme au regard bicolore partit avant tout le monde sans demander son reste, haussant les sourcils Zélia se contenta d'opiner du chef quand Ivy lui passa une nouvelle commande, le blondinet en capuche allait gouter à la prune spéciale, tout le monde ne pouvait s'en vanter.
Lentement en guettant les différents mouvements de son regard d'acier, Zélia versa le liquide translucide dans les verres avant de les déposer devant l'homme dont elle ignorait toujours le nom et la tatouée.

A la votre

Lorsque Samaël approcha du comptoir dans son mouvement pour rejoindre l'inconscient barbu, le sourire de l'ombre s'accentua au regard qu'il posa sur le blond alors que ses lèvres bouffaient littéralement le cou de la poison.
Le bellâtre frappait encore et toujours avec une finesse et un savoir-faire dont il avait le secret et qui avait fait chavirer bien des coeurs ailleurs et ici-même.
S'occupant de tout ce qui méritait son attention derrière son comptoir, la poivre et sel regardait du coin de l'oeil les mercenaires du clan qui sortaient les uns après les autres pour rejoindre leur repère.


____________________________________
Xandrya


Dans la salle commune


Décidément c'était la fête à neuneu ce soir, alors que le fantôme cherchait une manière théatrale de se faire trucider un quidam fit son entrée pour aller se caler au comptoir, on pouvait au moins lui accorder d'avoir de l'aplomb pour se pointer et décider d'entrer tout de même alors que l'ambiance était passablement hostile dans la pièce.
Comme on pouvait s'y attendre la Main Noire s'occupa du cas de Ghost, bien plus que ne l'aurait souhaité la rouquine, grimaçant en apercevant l'entaille se former dans la chair de son amant, la saloperie sur patte n'y allait pas de main morte, si seulement....
L'intégration fut évoquée mais en quel sens, tant de vices parfois des plus tortueux pouvaient se camoufler au sein du Clan et vu l'identité de la nouvelle tête pensante la flamboyante n'était pas plus tranquille que ça.

L'évocation du manoir et le regard posé sur elle raviva la brulure sur les stigmates de l'incendie comme s'il eut été de la magie noire ravivant le feu sur sa chair meurtrie.
La Main Noire semblait avoir déjà tout prévu, nouveau repère, nouveau règlement, nouveau second, avait-elle seulement un doute sur qui se pointerait ici en envoyant ses faucons ? Etaient-ils finalement arrivés par hasard à leurs destinataires, la rousse commençait sérieusement à en douter.
La mission du bellâtre vis à vis de son amant passa quasi au dessus de l'incendiaire qui cogitait plus que de raison, ne sortant de sa torpeur passagère qu'en entendant La Main annoncer grosso modo, obéissez ou barrez-vous mais sans retour possible, la phrase était destinée au fantôme mais la portée bien plus grande.

Hors de question de te laisser repartir sans nous....
Toute Main que tu te prétendes tu va devoir faire tes preuves aussi...


L'auto-proclamation à la tête du clan devrait se mériter, Xandrya avait prêté allégeance à un seul et unique acceptant le choix de son successeur car c'était son choix justement, ici personne n'avait désigné la nouvelle Main Noire officiellement donc...
N'écoutant plus ce qui ne la concernait assurément pas, le phoenix poussa sa chaise passant auprès du comptoir en saluant Zélia avant de lancer à sa poison.

T'emballes ton nouveau jouet et tu nous rejoins ma belle, traine pas trop

Se faisant la rouquine remarqua la disparition de l'archère, souriant en se disant que ça en ferait une de moins à trimballer jusqu'à cette nouvelle "demeure" qui les attendait tous.
Le coeur serré, ses pensées allèrent tout de même vers leur manoir, vers sa maison, il lui faudrait y retourner, voir ce qu'il en restait, ça lui était étrangement vital.
Mais pour l'heure le départ devait être pris, passant devant La Main qui semblait vouloir attendre tout le monde, elle jeta un regard à sa puce qui n'avait pas bougé de tout l'échange, lui faisant un signe de tête pour qu'elle la suive aux écuries.



Les écuries de l'auberge


La voute passée, Xandrya déboucha sur la cour pour trouver Samaël déjà sur son étalon, il n'aurait pas fallu lui dire dix fois pour qu'il soit au garde à vous celui là.
Sans un regard pour le fantôme, furax de sa tentative avortée de suicide alors qu'elle l'avait pourtant mis en garde sur ce qui pourrait se trouver là, elle se rendit au box de sa jument.
Y entrant elle flatta la croupe puis l'encolure de son amie de toujours, détachant sa longe pour la tirer vers l'extérieur afin de pouvoir la monter.
Insérant son pied gauche dans l'étrier, la mercenaire poussa sur son pied droit après avoir saisi le haut de selle.
Impulsion avortée dans une grimace et un râle étouffé, les saphirs se portèrent sur son pied en soupirant, serrant les dents, une seconde poussée lui permit de grimper sur le dos de sa monture, s'installant confortablement avant de tirer sur la sangle de cuir pour l'amener à proximité de l'argenté.
Bientôt les autres se pointeraient et elle avait plus qu'envie d'aller voir ailleurs si elle y était.

_________________
"Toujours là où on ne m'attend pas..."
Anyanka_
Sans se méler des discussions des uns et des autres, la puce écoute et observe ce qui se passe en grignotant les fruits séchés et morceaux de charcuterie mis à disposition par la tavernière et que personne ne touche, quelle bande de crétins ils ne savent vraiment pas ce qu'ils loupent,cette pointe de noisette mélangée à la saucisse sèche, juste un pur délice.
Dans un soupir, l'ombre regarde les "grands" jouer au jeu du "qui aura la plus grosse", parce que oui là forcément ça faisait penser à ça, et que je te défie, et que je te réponde, et que j'en rajoute une couche, et que je t'éclate mon verre sur la tronche, et que je te saigne, et que, et que, et que....
Et pourquoi pas les étaler sur la table et comparer ça irait tout aussi vite et au moins elle pourrait manger tranquille.

Le regard émeraude allant des uns aux autres, l'écureuil écoute cependant ce qui se dit et retient les informations, tout comme elle observe et intègre les réactions de chacun.
Son attention étant franchement attiré par l'archère silencieuse qui est la première à se barrer de cette réunion de gais lurons et que personne ne remarque, tout comme elle d'ailleurs ou le blondinet qui fait son entrée sans crier gare ni se faire trop remarquer en fait.
Seule la main passée dans sa chevelure par le nouveau chef qui se dirige vers la porte lui prouve que certains sont encore conscients qu'elle est là.

Verre achevé et dernière rondelle de sauciflard englouti, la puce enfourne une poignée de noisettes dans sa poche avant de se lever et de répondre à l'invitation de sa protectrice à rejoindre l'extérieur.

L'écurie, la cour, dehors

Avec une certaine nonchalance apparente, Anya rejoint les box en passant la voute, les talonnettes de ses bottines résonnant sur le pavé pour déboucher sur Sam et Xandy déjà près au départ, le vert de son regard venant se perdre dans le ciel de sa protectrice un court instant avant de se durcir en rencontrant l'or de l'argenté.
Tournant la tête pour ne plus le voir, la femme-enfant s'attèle à récupérer son destrier, ne pouvant s'empêcher de filer un coup de main à celui qui fut son escorte dans un temps pas si lointain, le sachant pas bien à l'aise avec les chevaux en général en lui adressant un sourire aimable le regard porté sur la nouvelle cicatrice qui scindait la joue barbue.
Machinalement la main de la puce se porta sur sa propre joue un sourire étrange aux lèvres, se rappelant qu'elle même avait vu sa joue souffrir de sa première rencontre avec le patron lors de son arrivée au clan, comme quoi les dirigeants changeaient mais pas tant que ça finalement.

T'as pas loupé... Aller viens pas la peine de te faire remarquer, en selle le barbu

Un large sourire envoyé, Anyanka tourne les talons en tirant les deux bêtes derrière elle, relachant les renes de celle de Ghost une fois dans la cour en lui tendant.
D'un mouvement habile, l'ombre s'envole sur sa monture, les pans de sa jupe se relevant légèrement sur le haut de ses bottes, prête au départ pour ce nouvel ailleurs, ce nouveau foyer annoncé.
--Vincent.
Cadeau de la maison, bienvenue aux promeneurs de Carcassonne.

Agréablement surpris de l’offrande qu’il reçoit, il remercie la tavernière qui luis emble aimable malgré des yeux et une chevelure peux ordinaires qui ne laisse pas indifférent.

Merci de votre présent, c’est gentil.

Toujours dans la même position, le coude sur le comptoir, il fixe alors son verre et le boit d’une traite à la limite de ne plus pouvoir respirer puis, le repose doucement afin d’entendre chaque son émis, de gestuelles ou de paroles, des personnes présentes autour de lui, pour essayer de confirmer ses suspicions de "clan ".
Sans aucune forme de discrétion, il regarde avec circonspection, les spécimens un à un, ce demandant toujours si c’était bien ceux qu’il cherchait.


L’homme à la peau d’ours qui se fait réprimander comme un gosse par cette personne toujours autant mystérieuse. S’il en avait l'envie, il l’aurait sans doute aidé par pur solidarité masculine mais le moment était à la détente pour l’homme éponge.
La femme à l’arc qui part furtivement avec une démarche pleine d'assurance pour filer à l’extérieur de toute cette agitation.


Son attention est vite détournée lorsque la femme au visage tatoué s’approche de lui pour s’asseoir à ses côtés et le regarder sans gêne avec une certaine audace qui pourrait être fort déconcertante pour un jeune puceau mais Vincent, lui, était d’un tout autre genre. D'une mine amusée il la regarde à son tour sans se faire prier, en long en large et en travers, dessinant les courbes de la demoiselle avec son regard doux et espiègle à la fois.
Pas mal… esquisse un sourire coquin.
Le jeune homme trouvait ça légèrement surprenant venant d’une femme de ne pas se méfier d’un inconnu et de plus, le détailler sans discrétion, aucune. Bien qu’il n’aime pas qu’on le matte à ce point, il n’était pas contre l’idée de "jouer" avec une typesse.

Après cette scène, l’homme aux cheveux blanc lui jette un regard dont le blond ne comprendra pas vraiment le sens, tout en chuchotant des mots incompréhensible pour lui, à la tatouée.
S’en suit la rousse qui s’avance elle aussi vers cette fille, qui semble très populaire il faut le dire, en parlant de lui comme étant un " nouveau jouet".
Aussitôt dit, la rouquine part avec la petite jeune qui se faisait discrète à côtés de toutes ses grande bouches qui aboies à n'en plus s'entendre réfléchir.
Si ça ce n’était pas une belle soirée… tout s’enchaîner à une vitesse folle mais le blond n’en perdait pas une seule miette et prenait grand plaisir à tout analyser dans les moindres détails.

Les deux choppes posées au comptoir par la tavernière, il en place une devant celle qui les a offertes et prend la sienne en main en y jetant un bref coup d’œil pour regarder le liquide à la couleur étrange et l’odeur agréable.
Toujours d’une politesse irréprochable et d’un fins sourire, le solitaire mouillé de la tête aux pieds fait un léger signe de tête vers la brune en guise de remerciement.


Santé à vous.

Le corps tourné vers sa nouvelle "amie" il porte sa main sur son menton caressant son semblant de barbe pour lui dire d’une voix douce mais virile :

Si ça vous intéresse…je m’appelle Vincent. Et vous ?

Regarde la chasseuse d’homme mais aussi la tavernière, curieux de savoir comment cette femme atypique à ses yeux, pouvait bien se nommer.
I.vy
Elle n'est pas la seule à évaluer l'autre. Si l'ébène ne se gêne pas à détailler ou même effeuiller de son imagination le corps de l'homme à ses côtés, lui non plus ne se gêne pas. C'est un rituel tout à fait normal. Les animaux se reniflent, les bipèdes s'observent. Y'a pas à dire, elle préfère de loin la seconde option. Et puis bon, il est pas mal, faut savoir apprécier ce qui est beau quand nos yeux le découvrent.

Elle n'a le temps de commencer la conversation avec la victime choisit que l'Argenté est dans son dos. Il passe un commentaire sur la belle-gueule à ses côtés. La seule chose qu'elle a envie de dire à Sam c'est qu'il aille jouer ailleurs avant de lui briser son coup mais, finalement, elle est bien contente. Elle ressent cette petite pointe de jalousie ou de possessivité ? C'est d'autant plus excitant.


Merci.

Pas besoin de lui dire d'être prudent, de faire attention à lui ou autre. C'est un grand garçon. Un baiser déposé sur sa joue. Elle ne répond rien d'autre. Elle veut se reconnecter sur la belle-gueule mais, encore une fois, c'est une voix derrière elle qui l'empêche. Cette fois, le Poison est bien moins détendu. Tout son corps se crispe et cela peut importe ses propos. Elle lui en veut à cette fichue rousse. Pour de nombreuses raisons mais, la principale est ce connard qu'elle se coltine. Ivy ne répond pas. La rouquine n'est surement pas dupe, elle sait qu'elle lui en veut. Son langage personnel parle pour elle de toute façon. Une fois cette dernière partie, cela prend quelques instants à l'ébène pour se détendre.


Tout le monde est partie ?

Elle n'ose même pas se retourner pour vérifier. Ce n'est pas compliqué d'avoir la paix un instant non ? Si, avec Eux, c'est difficile. Elle râle mais, elle donnerait leur vie pour Eux tous, du moins, presque tous. Son regard se déporte vers le verre qu'on vient de poser devant eux. Elle incline la tête pour la poivre et sel. Le minois délicat de la mercenaire se lève vers celui de l'homme.

Santé, ouais.

Elle prend son verre d'un trait. La liqueur de prune vrille dans sa bouche et réchauffe son gosier. L'espace d'un court instant, elle en a oublié le clan, l'endroit, l'homme à ses côtés et la tavernière. Elle soupire et la voix de Belle-Gueule retentie encore. Ses grands yeux bleus se remettent au goût du jour. Elle a envie de lui balancer qu'elle s'en tape de son nom, tant qu'il saura faire ce qu'il doit faire. C'est-à-dire, fermer sa Belle-gueule et ouvrir son pantalon. Oui bon, elle l'a pas fait mais, c'est bien juste parce qu'elle est sur les nerfs.

Ivy.

Elle regarde Zélia cette fois et lui fait signe d'en remettre un autre et fait signe de un, pour qu'elle les accompagne.

Qu'est-ce que tu fais dans ce coupe-gorge ?


Elle s'adresse naturellement à Vincent. Si elle n'a pas peur de parler à un inconnu dans cet endroit, c'est que c'est chez eux, à elle, à Zélia, à tous ceux qui entre gantée et en ressorte sur leurs deux pieds et non, dans une boîte. Elle se fiche bien réellement de ce qu'il fait là, ce qu'elle veut, c'est toujours la même chose mais, elle s'assure tout de même que c'est pas un malheureux juste perdu.

De nouveau, ses yeux scrutent son visage. Un beau barbu. Une Belle-Gueule. Il était nommé le blond.
--Vincent.
Elle le tutoie directement, c'est qu'elle doit se sentir à l'aise avec lui. De toute façon, le Blond n'aime pas les politesses pleines d’hypocrisie à n'en plus finir, et puis... vue ce qu'elle voulait de lui et la façon dont elle lui faisait comprendre, le vouvoiement aurait été d'une ironie sans pareil.

Un sourire amusé fait son apparition lorsqu'il vu la donzelle le dévisager pour la énième fois d'une manière copieuse. Décidément, elle avait l’air d’avoir de l’appétit la tatouée.

Il ne se fait donc pas prier et lorgne son anatomie loin d’être rebutant à ses yeux. N’hésite pas à lui faire comprendre par ce regard qui en dit long, qu’apprendre à connaitre ses abîmes ne serait pour lui déplaire.

Je ne le savais pas avant ta venue à mes côtés, mais maintenant j’ai bien ma petite idée…

Autant aller droit au but, il ne va pas tourner autour du pot ce n’est pas son genre. Voyant son regard bleuté qui ne cesse de vouloir transpercer ses habits, il n’allait pas jouer la subtilité ni le romantisme.
Cependant, toujours la même question qui le taraude. Clan ou pas ?

Attendre patiemment la suite des événements. La jouer finement et être malin pour arriver à ses fins.

Et toi, tu fais quoi ici ?
Ghost
Aux écuries

L'ours regardait les pseudo-cavaliers monter leurs chevaux, suivant soigneusement l'argenté ... Pour le moment ... Il hocha simplement la tête quand le démon aux yeux d'or lui intima presque l'ordre de se dépêcher de monter sur son cheval.

Le fantôme regarda un instant les personnes présentes ... L'archère est partie ... Qui manque-t-il ... Ce blond, la Main ... Et surtout cette putain tatouée au visage. Il aurait bien voulu l'attraper à part pour lui rendre une certaine politesse concernant le verre qu'il a reçu ... À l'abri des regards du chef autoproclamé ... Jusqu'à ce que ...

Un voile de cheveux roux se présente dans son champ de vision. Pas un regard ... Rien ... Il s'en doutait bien après ce qu'il a fait. Et pourtant, il a un sourire aux lèvres... Mais pas trop, sa balafre lui tirant sur la joue. Il ne s'y attarde pas plus que ça ... Il trouvera bien l'occasion de la coincer dans un couloir ... Pour ... Parler.

Son regard se porta très vite sur ce bruit de bottines qui résonne comme en échos à ses oreilles ... L’écureuil. Elle avait-elle aussi morflé dans cette auberge avec la garce ... Une vengeance à deux serait-elle à planifier ? Qui sait ... Pour l'heure, son regard se décroche des courbes féminines et de sa démarche féline quand elle revient avec son cheval ... Ce destrier noir ébène qui en fait qu'à sa tête, avec également la monture qu'il ne reconnaît pas, qui est visiblement à Anyanka. Il apprécie cette délicate attention, se voyait déjà le tiré de force ... Le cheval bien sûr.

Il tourne la tête sur le côté pour lui laisser voir la balafre qui ne doit pas être très belle ... Le sang coagulé qui a coulé jusque sur sa barbe ... Il prend la main de l'Ombre qui se touche sa propre joue et y dépose un baiser délicat en fixant ses yeux émeraude. Moment si éphémère qu'à peine, il eut le temps de cligner des yeux qu'elle s'éloignait déjà, retourné ... Seul un sublime sourire qui lui était offert a été aperçu.

Il attrapa les rennes de sa monture et non sans mal, à nouveau, il l'enfourche ... Il grogne et parle tout seul en la faisant avancer tant bien que mal, reprenant peu à peu l'habitude jusqu'à rejoindre les autres.

Sacrée bête ... J'ai moins de mal à chevaucher l'Incendiaire que toi, c'est peu dire !

Sur ces mots, il attendit les derniers qui traînent. Sa monture impatiente, autant que lui ... Osera-t-il faire une remarque à la Main à ce sujet ? Qui sais ... Il est fou, ce fantôme.
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" Le but de toute vie est la mort " , [(Sigmund Freud)]

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La_main_noire



Rez-de-chaussée de l'auberge des promeneurs, la salle commune

Attendre à la porte...
Observer les réactions...
Détailler l'archère...
La laisser sortir...
Eclat blanc entre les lèvres...

A bientôt...

Ne pas être dupe...
Avoir senti l'intérêt...
Voir ce que demain amènera...
Revenir à ses "moutons"...
Dégager l'ouverture...
Les regarder sortir un à un...

Une nouvelle aube se lève...

Détourner la tête...
Reposer son regard sur elle...
Regarder la rébellion...
Crisper la main sur la porte...
Prendre le temps de réfléchir...

Peser chaque mot...
Anticiper chaque réaction...
Regarder le poison...
Maudire son insoumission...
Regard translucide noir...
La Main Noire s'agace...

Obéissance...

Glissement subtil jusqu'à l'embrasure de la porte, tous sont sortis, une seule fait résistance pour une pinaille.
Main gantée ferme le poing avant de le rouvrir, tous les doigts en tension, le regard étrangement clair observe la poison en perdition.
Tête se détourne et corps emprunte la sortie ouverte stoppant sur le seuil, la voix froide et métallique s'élève pour l'insoumise.

Nous partons...
Pressez-vous...
Je n'attendrais pas...
Ivy...


Injonction ne souffrant pas de réponse, La Main glisse vers l'extérieur, main tendue vers le ciel, la pluie rejoint le convoi.
Ouïe aiguisée qui s'attarde sur les hauteurs des bâtisses, sourire en coin qui se dessine sous le foulard, la voute de pierre est empruntée.


Extérieur de l'auberge des promeneurs, les écuries


Ombre glissante découvre les cavaliers, sourire satisfait de les voir aux aguêts, même les plus rétifs.
Jouissance de leur allégeance, La Main Noire savoure l'instant un moment, s'imprégnant de cette sensation de puissance.

Soumission...

Glissement jusqu'à sa monture fraichement arnachée, robe noire balayée de la dextre, licol attrapé et cheval sorti pour être habilement monté.
Sabots qui claquent le sol, le groupe équestre est rejoint, La Main Noire se poste fâce à tous.

Il est temps...
Si séparation.. l'orée du bois...

Pause volontaire orchestrée avec nostalgie et ambiguïté.

Notre bois...

Talonnade modérée, les flancs se secouent du mouvement du destrier noir qui remonte la voute avant de stopper devant la porte ouverte de l'auberge.

L'orée de nos bois... Vite...

Petit ricanement métallique, l'indication est donnée au poison, suivra ou pas, La Main verra et avisera.
Talonnade puissante, les flancs de la monture ébène sont meurtris, le corps de la bête s'anime d'un brusque galop prenant le chemin tortueux des dédales de Carcassonne pour rejoindre la fôret.

La cavalcade de La Main Noire renaissante débute...

--Artemis..


**Sur la voute de pierre, aux abords de l'auberge**

Juchée sur la voute de pierre, la ténébreuse ne tarde pas à voir sortir les occupants de la taverne, bien lui a pris de prendre les devants, l'ordre du défilé ne lui est pas clair, mais le compte d'invités à la petite sauterie semble juste.
Le baraqué, la jeunette, la rouquine, l'homme à la cape d'ours et l'encapuchonné, il en manque à l'appel mais une vois s'élève dans l'arrière cour.
Avec discrétion, l'archère s'accroupit un genou sur la pierre, sa main droite à côté, l'oreille distendue, elle écoute décryptant ce qu'elle arrive à entendre des mots prononcés par cette voix camouflée.

L'orée du bois... L'information est enregistrée, un petit rictus passant furtivement sur les lèvres de l'ombre, elle sera au rendez-vous.

Sans bruit et avec une infinie précaution, l'ombre furtive entame son parcours sur les toits de la ville, lentement mais surement, elle progresse jusqu'aux limites de la ville, reprenant pied sur le sol.
Le pas leste et le regard aiguisé, la sylvestre rejoint le bois, profitant de l'odeur de l'humus humidifié par la pluie, rien de tel que l'envoutement des bois.
A l'aide des griffes de métal qu'elle attrape à sa ceinture pour les coincer entre ses doigts, Artémis entame l'ascension d'un sapin maritime rejoignant habilement les cimes pour observer et attendre l'arrivée des cavaliers de l'auberge, il ne lui reste plus qu'à patienter


I.vy
Il lui plait. Elle lui plait. Cela semble être une évidence à ses yeux qui effeuillent l'autre sans aucune cachoterie. Elle préfère ça, elle déteste également les hypocrites. A ne pas confondre avec ruse cependant. Elle n'a pas trop perdu dans son charme. Elle sait y faire habituellement avec les hommes. Bon faut dire qu'elle cherche pas non plus à faire du plat à môssieur-nom-à-la-rallonge ! Ce qui se ressemble s'assemble et s'emboite merveilleusement bien !

Il ose la charmer d'une petite réplique qui ferait tomber les minettes de toutes évidences mais, elle est pas de ce genre là. Elle lui claque un clin d'œil tout de même amusée. Elle vient pour répondre à sa question mais, une voix attire son attention. Une menace ? En quelque sorte. Elle soupire et regarde sa proie. Elle doit partie mais, serait dommage de laisser un si beau morceau se périmé.


T'as rien de prévu j'espère….


Elle lui laisse pas trop le choix. Il doit bien se douter qu'il y a promesse d'une nuit torride dans l'air. Elle attrape sa main et salut la tavernière d'un signe de tête. Le Poison ouvre la porte et entend la direction à prendre. Mouais, pas de danger qu'il attende. C'est bon, elle a compris, elle doit ramener son cul fissa ! Elle connait parfaitement bien ces bois. Où que ce soit, elle trouvera ! Un regard vers Belle-Gueule en laissant la joyeuse troupe partir.


Tu sais monter ? T'as un cheval ?

Elle doit récupérer sa monture à l'entrée de la ville où il est hébergé depuis de nombreux jours lorsqu'elle s'est mise à épiée l'auberge. Les autres partent, la tempête fait déjà rage. Ils seront trempés en arrivant possiblement. Pas grave, elle a de quoi se réchauffer… Enfin, encore faut-il qu'il décide de la suivre. C'est le moment, il a le choix. Il vient avec elle se délecter de draps bien chaud jusqu'à ce qu'elle ait ce qu'elle désir, soit il peut toujours retourner en dedans et elle ira aguicher Samael pour passer ses humeurs. Mais bon, l'attrait de viande fraîche n'est pas à décliner surtout de cette qualité.
Zelia.
Derrière son comptoir (et oui toujours)

Tout le monde ou presque avait pris la direction de la sortie, l'injonction de l'encapuchonné avait été claire et précise, ne restait guère que les deux au comptoir qui faisait de la résistance en mode jeu du chat et de la souris, mais sur ce coup il aurait surement mieux valu parler de chatte et de rat.
Toujours était-il que ça ne fut pas du goût du nouveau dirigeant qui s'empressait de le faire savoir en plantant les deux flatteurs dans l'auberge après un p'tit discours mécontent.
Les sabots ne tardèrent pas à se faire entendre et Ivy à décoller non sans entrainer le blondinet à sa suite, qu'elle salua d'un signe de main alors qu'ils sortaient tout deux sous la flotte.
Contournant son comptoir, la poivre et sel se dirigea vers la porte d'entrée pour la refermer jetant un oeil au déluge alors que tous étaient partis dans les ruelles de la ville, l'ombre du couple se dessinant vaguement à la coudée de la rue principale.

Et béh, fais pas bon mettre un chat dehors...

L'auberge des promeneurs retrouvait son calme tout relatif de milieu de matinée, attrapant le plateau sur la table, l'ombre commença à desservir regroupant les verres et les grignotages que seule la gamine avait touché.
Tournant au tour du grand plateau de bois, Zélia repoussait les sièges un par un, jusqu'à être revenue à son point de départ.
Rapide coup de balai donné, l'ombre s'éclipsa un instant dans l'arrière boutique pour y déposer le plateau, non sans avoir laisser les restes de charcuterie et de noisettes sur le comptoir, les prochains clients les apprécieraient sans doute plus que les vip de l'endroit.

Dans l'arrière boutique (ouaip on a ça aussi héhé)

Choppes jetées négligemment dans le baquet,le lavage attendra, l'interface va devoir livrer de nouveau le clan de manière régulière sauf que le nombre de bouches à nourrir ne lui est pas connu, elle se basera sur ce qu'elle a entrevu ici en doublant le nombre.

Pour une vingtaine ça fera la blague

Un morceau de vieux parchemin attrapé, la poivre et sel commença alors à griffonner avec un morceau de bois noirci pour ne rien oublier.


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