[Lieu-RP] Une demeure à trente minutes du bourg d'Angoulême

---fromFRBenoit_un_page

Benoît était dans le secteur.

Mais il était essouflé.

Alors il s'arrêta quelques secondes pour respirer un coup.

Putain je vais cracher mes poumons rapidement ça j'en suis sûr. Bordel mais quelle idée d'habiter à perpètte les oies ? Ils peuvent pas tous vivre au centre-ville comme tout le monde ?

Il essaya de calmer son souffle mais n'y arriva que moyennemment.

Il continua tout de même mais beaucoup plus mollement au départ.

Je suis dans le secteur donc... Il faut que je repère sa maison. Elle est selon le maître près de la Charente à proximité de la forêt. Mais où ? La forêt est grande et la Charente longue.

Il insista tout de même.

Il trouva rapidement la charente et commença à la longer.

C'est alors qu'il entendit quelqu'un crier et aperçut une silouhette à plusieurs mètres devant lui.

L'homme que Vegoku devait éviter n'était-il pas déjà arrivé et Benoît arrivé trop tard ?
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- PNJ contrôlé par Forth With -

Sorianne

Quand So vit Vegoku tourner la tete, elle fit de meme et vit la foret. Heureusement qu'ils habitaient loin de tout ici... Presque pas de risque de rencontrer quelqu'un dans les bois. Et puis comme pour la rassurer, Goku lui dit que Lysi était en compagnie de Miko. Ca allait alors.

Comme ca, c'était pour savoir ou cette chipie était encore aller aussi vite. Merci pour le bain^^

Mais voila que Veg semblait occupé par autre chose. Regardant dans la direction ou lui meme regardait, elle apercut quelqu'un. Quand il s'éloigna elle se recula un peu et observa mieux. Cette silhouette lui rappelait quelqu'un...

Oooh mais c'est George! C'est quelqu'un que j'ai croisé en ville! Il ne fera rien de mal.

Oui c'est vrai qu'il avait semblé un peu perdu quand elle l'avait croisé. Est-ce qu'il avait retrouvé ce qu'il cherchait? Elle se demandait déja s'il l'avait vu la... Il avait l'air hésitant sur la conduite a tenir. So regarda de nouveau en direction de la foret et s'éloigna... Elle voulait voir ce que mijotait Lysi...

Elle entra dans le sous bois doucement, essayant de ne pas faire de bruits, mais avec le feuillage au sol et les branches qui trainaient c'était loin d'etre évident. D'ailleurs elle se retrouva vite au sol aprés s'étre empétrée dans un de ces maudits bouts de bois.

Rhooo lache moi, c'est pas vrai ca!

Voila, enfin débarassée! Elle avait vaincu la branche! Mais en se relevant et en faisant un premier pas, elle s'apercut vite qu'elle ne la lachait pas. Bon sang. Elle se pencha donc pour défaire les piquants accrochés au tissus des jupes.

C'est pas possible une poisse pareille...

Enfin débarassée, pour de vrai cette fois, elle avanca un peu plus avant, et entendit enfin sa fille parler. S'approchant pour voir ce qu'elle manigancait, So ouvrit de grands yeux en la voyant s'approcher d'un chat sauvage! Et c'est en courant qu'elle arriva et attrapa Lysithée!

Stoppe toi de suite! Il va etre méchant!

Aprés s'etre mise a hauteur de sa fille, elle observa l'animal en question. Assez mal en point... Mais vu comme il les observait et crachait, il n'avait pas l'air comode.

Tu sais quand une bete est blessée, elle est loin d'etre gentille. La il t'aurai sauté dessus sans hésiter!...

Elle réfléchit un instant a comment l'attraper sans blesser quiconque, puis tomba sur le tablier de Lysi. Ce fichu tablier qui lui avait valu tant de piqures... Aprés un soupire elle sourit a sa fille.

Tu sais comment tu vas l'attraper? Otes ton tablier et essaye de l'enrouler dedans. Il sera coincé et tu ne seras pas blessé.

Elle regardait Lysithée faire, tout en caressant Miko qui devait se demander ce qu'il faisait la. Une fois que le chat fut tranquillement, enfin ca c'est vite dit, mais fut installé dans le tablier que tenait Lysi, elles retournerent en direction de la maison.Il fallait le soigner maintenant.

Pour l'instant elle ne se doutait pas le moins du monde de ce qui allait se passer peu aprés, ni meme qu'un page avait été envoyer les trouver pour mettre Veg en garde...
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~*~*~*~*~*~*~* Une perche tendue dans un RP? Saisissez la et jouez avec nous!!! *~*~*~*~*~*~*~

---fromFRGeorge Le Futé

George s’éloignait lentement de cette maison qui n’était visiblement pas celle de la jeune femme qui lui avait donné son adresse.
Pas grave il contournerait la maison au large avant de recommencer à remonter la rivière.
Le Futé avait à peine fait cinq mètres qu’une voix s’éleva derrière lui :

‘‘ Hey toi là-bas ! Viens ici tout de suite ! ’’

George s’immobilisa complètement afin de réfléchir à toutes les solutions qui s’offraient à lui.
Un, fuir aussi vite qu’il le pouvait en espérant qu’on ne le prendrait pas en chasse.
Non mauvaise idée l’autre était gigantesque et, il aurait attrapé George avant que celui-ci soit à mi-chemin de la ville et, de toute façon fuir voudrait dire avoir fait quelque chose de mal.
Deux, aller parler avec ce géant en espérant qu’il ne mangeait que des enfants…
Bonne idée Le Futé avait son épée de toutes les façons !

George se tourna et vit Sorianne aux cotés du géant…
C’est fou comme elle lui paraissait petite d’un coup si, lors de leur première rencontre il avait trouvé la jeune femme de taille normale maintenant, qu’il la voyait à coté de cet homme elle lui paraissait petite…

Enfin George rassuré se mit à avancer en direction de l’homme et vit Sorianne qui s’éloignait…
Le Futé déglutit à l’idée de se retrouver face à cet homme qu’il n’avait jamais vu auparavant mais, bon, il avança en essayant d’avoir de l’allure pas question de se laisser intimider.
A peine eut il fait quelques pas qu’il entendit un bruit derrière lui, George se tourna et, vit un homme derrière lui.

Le Futé haussa les épaules et n’y fit pas vraiment attention trop concentrée à ne surtout pas tomber, il courut sur les derniers mètres et s’arrêta à la hauteur de Vegoku.

-Bonjour messire, désolé de ne pas avoir prévenu de ma venue mais Dame Sorianne m’a permis de venir ici si j’en avais la possibilité…
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Un jour votre insouciant ami... L'autre un dangereux assassin.

---fromFRBenoit_un_page

Caché comme il pouvait dans un sous-bois Benoît se demandait comment il allait pouvoir agir.

*Putain j'ai planté ! Il ne peut pas pas être autrement ! J'ai foiré il n'y a pas d'autres solutions !*

Alors il restait là en retrait. Car selon lui sa dernière et unique chance venait de lui échapper. Il ne s'imaginait pas une seconde aller se battre au surplus pour protéger un homme dont il ignorait tout.

Il décevrait son maître mais au moins il aurait la vie sauve. Il était lâche ? Et alors ?

C'est alors qu'il ruminait là caché mollement qu'il entendit un nom.

*George.

George ?*

Mais sur ce fameux mot son maître n'avait jamais parlé d'un certain George mais d'un Rache... Il n'était pas arrivé en retard. Il était bel et bien à l'heure. Cet homme n'était pas celui venu les tuer.

Mais comment s'approcher maintenant ? Il n'avait pas vraiment le choix.

Il commença donc à courir vers le maître des lieux et sa femme, évitant d'une bonne distance ce fameux George. Il courait en criant leur nom.

Messire Vegoku ! Dame Sorianne !

Il était à quelques mètres d'eux. Visiblement ils n'étaient pas heureux de le voir. Il fallait qu'il s'explique et vite.

Je viens de la part de mon maître Forth With, le Major de la garde territoriale. Un homme Rache veut vous tuer et il est en route...
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- PNJ contrôlé par Forth With -

Anonymous

Le regard tourné vers l’intrus il fit un ou deux pas quand Sorianne lui dit que l’homme s’appelait George et qu’elle l’avait croisé en ville… Vegoku foudroya son épouse du regard, non mais, à quoi ça sert d’habiter loin de tout si votre épouse invite n’importe qui chez vous ? Il allait falloir qu’il lui dise de ne pas donner leur localisation à n’importe qui, dire qu’il pensait que les mésaventures qu’elle avait vécues suffiraient à lui faire perdre cette confiance en tout le monde… Malheureusement cette conversation sera remise à plus tard puisque Sorianne prenait la direction de la forêt.

Vegoku reporta alors son attention sur le dénommé George qui avançait vers lui. En détaillant l’homme Vegoku fut surpris de le voir avec une épée cela n’allait pas du tout avec l’allure du personnage George avait plus l’allure d’un homme incapable de se servir de ses deux mains. Mais les apparences étaient peut être trompeuses. En regardant la démarche de George Vegoku était de plus en plus tenté de croire les apparences.

Alors que George s’approchait de Vegoku un autre homme surgit de nulle part et se mit à courir en direction de Vegoku. Celui-ci posa ses mains sur ses épées en se demandant quel était ce fou qui hurlait ainsi son nom ainsi que celui de Sorianne. Sorianne était visiblement devenue folle c’était la troisième personne à qui elle avait dit où ils habitaient, Vegoku pouvait dire adieu à la tranquillité dont il rêvait en venant s’installer si loin de la ville…

Vegoku haussa les sourcils en entendant ce que l’homme avait à lui dire avant d’éclater de rire. Un homme avait dit qu’il voulait commettre un meurtre et au lieu de le jeter en prison on venait simplement prévenir la victime ? Ça c’était de la justice ! Vegoku regarda avec un sourire amusé le messager avant de prendre la parole :

Vous pouvez m’emmenez voir mon futur meurtrier ? J‘imagine que vous l‘avez déjà mis derrière les barreaux ?

Vegoku se tourna vers George.

Messire je pense que vous pourriez attendre mon épouse à l’intérieur elle est certainement aller chercher notre fille elle ne tardera pas à revenir.

Il se tourna ensuite vers le messager qui avait l’air mort de fatigue mais Vegoku ne s’en soucia guère.

Alors vous me conduisez à ce meurtrier que je vois si je le connais ou pas.

---fromFRBenoit_un_page

Visiblement ils n'allaient pas le tuer. Ou en tout cas pas tout de suite.

*Ca pour une bonne nouvelle, c'est une bonne nouvelle.*

Il se sentit donc rassuré.

*Ben alors il s'est remis à boire ou quoi le maître ? Visiblement il n'a pas l'air dangereux*

Mais lorsque tout ce que lui disait messire Vegoku semblait empreint d'une considération que cet homme qui voulait le tuer était sous les barreaux Benoît se dit alors que le rôle du messager était vraiment merdique.

Non, non non ! On s'est mal compris messire. L'homme n'est pas sous les verrous. Il est en liberté. Il n'a pas dit clairement qu'il voulait vous tuer. Au contraire il continue à se présenter comme l'un de vos amis. Alors mon maître n'a pût l'arrêter.

Si je suis là c'est pour vous prévenir du danger. Mon maître est en train d'essayer de le retenir ou de le faire arrêter. Mais sans preuve ou sans aveu il ne peut rien.

Ca veut dire en clair qu'il est en route et que désormais il va falloir vous protéger si la garde ne l'arrête pas avant.

Le messager de mauvaise nouvelle passait toujours un sale quart d'heure.
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- PNJ contrôlé par Forth With -

Anonymous

Vegoku regarda le messager en se demandant qui est ce qui s’amuserait à affoler toute la population en disant qu’il comptait commettre un meurtre. Il y avait de fortes chances pour que celui qui ait dit ça soit quelqu’un que Vegoku connaissait qui d’autre s’amuserait à crier qu’il allait le tuer ? Mais en entendant ce que le messager dit par la suite Vegoku fronça les sourcils le « futur meurtrier » n’était pas derrière les verrous ? Ah c’était parce que l’homme avait dit qu’il faisait partie des amis de Vegoku, dans ce cas qu’Est-ce qui poussait l’expéditeur de ce message à croire que l’on comptait tuer Vegoku ?

Vegoku regarda le messager en se demandant si ce n’était pas une quelconque plaisanterie. Mais vu l’expression de son visage cela n’avait pas l’air d’être le cas. Avec un sourire amusé Vegoku demanda :

Qu’Est-ce qui pousse votre maître à croire que ce n’est pas réellement l’un de mes amis ? J’ai l’air aussi effrayant que cela ?

Vegoku se tourna vers George qui était toujours à portée de voix et lui demanda :

Messire George ai-je l’air d’un homme sans ami ?

Le George en question réfléchis un instant avant de répondre qu’au contraire Vegoku avait l’air d’avoir tant d’amis qu’il devait les trier. Avec un sourire Vegoku se retourna vers le messager pendant un instant il le regarda sans rien dire avant de prendre la parole :

Que diriez vous de me mener jusqu’à votre maître afin que nous discutions un peu ?

Sorianne

Sorianne avancait avec Lysi et Miko a leurs cotés. La petite fille tenant le chat sauvage comme s'il s'agissait d'un précieux trésor. Elle allait lui préparer de quoi le soigner mais surveillerait. Elle n'avait pas envie que sa fille perde un oeil a cause de l'attaque d'un matou.

Tu feras attention en t'en occupant, je ne pense pas qu'il appréciera...

Les voila qui sortaient des bois, et la premiere chose que So vit, était George, Vegoku et un homme qu'elle ne connaissait pas. Qui cela pouvait-il bien etre? George commencait a s'éloigner quand Veg le rappela. S'adressant a Lysi avec un sourire

Tu veux qu'on aille montrer ce que tu as trouvé?

Et So se dirigea vers son Goku, tout en se demandant ce qu'il se passait. Au passage elle croise George a qui elle fit un beau sourire. Avec le regard que lui avait lancé Vegoku avant qu'elle ne s'éloigne elle se doutait que la venue de cet homme ne lui faisait pas plaisir, mais il ne dégageait rien qui l'effrait. Elle lui ferait meme plutot confiance! Il semblait maladroit et contrairement a d'autres, elle se sentait bien a l'aise avec lui. Donc Vegoku pouvait lui lancer des regards tueurs, peu importe!

Bonjour Messire George! J'espere que vous allez bien! Je reviens!

Sorianne continua son chemin accompagnée de Lysi en direction de son mari. Il ne voulait pas qu'elle invite des gens mais lui le faisait! Qui était cet homme avec qui il parlait? Elle laissa sa fille partir en avant et en profita pour détailler le nouvel arrivant. Il semblerait qu'il ait parcouru du chemin et ce assez vite, si on en jugeait par sa couleur. Cela ne lui disait rien qui vaille en fin de compte...

Une fois a leur niveau, elle esquissa un sourire a l'homme, tout en se rapprochant de Vegoku a qui Lysi finissait de montrer le chat.

Bonjour Messire.... Puis levant les yeux vers Veg... Que se passe-t-il?

Elle n'avait pas vraiment suivit la conversation mais les peu de mots qui lui étaient parvenus aux oreilles ne lui plaisaient pas le moins du monde...
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---fromFRLysithée

Un pas vers le chat.
Deux pas vers le chat.
Trois pas vers le chat.

Crie pas comme sssa, je va pas te faire du mal.

La petite Lysi ne se doute pas du tout que le chat puisse lui sauter au visage. C'est gentil un chat. Mais pourquoi çui-là il crie dans sa direction?

Alors qu'elle s'approche doucement mais sûrement de l'animal qui ne cesse de cracher, un bruit de branche brisée se fait entendre derrière elle. La fillette se retourne pour alors faire face à moman.

Momaaaaaan!! crie l'enfant en se détournant du chat pour courir dans les bras réconfortants maternels.

Méssant?

Lysi observe moman qui se baisse pour porter son attention sur l'animal.

L'est malade moman. Ze veux le sauver! Lysi elle est graaaaande, Lysi elle va sauver le ssat!!!

Et moman elle écoute Lysi! Moman elle cherche comment aider le chat. Le tablier!

Mais il va po pouvoir respirer...

Après que moman ait assurer le contraire, la fillette détache son tablier et le tend en direction du gros chat.

Regarde moman, regarde, ze va attraper le ssat!

En effet, Lysi lance le tablier sur le chat, l'empêchant par là de voir quoique ce soit.

Y bouge pu moman. Mais késkon l'entend!

L'enfant s'approche alors du chat sous le tablier, et tend les mains pour l'attraper. C'est à ce moment que l'animal se débat enfin, criant des miaous méchants à tout va, et essayant de donner ce que Lysi pense être des coups de pattes.

Chuuuuut! Le ssat faut être zentil. On va t'emmener chez nous et tu auras du bon lait tout fraaaaais!!^^ Alors ressste calme^^

Elle l'attrape donc avec quelques difficultés, mais y arrive tout de même, et se retourne vers moman un grand sourire sur les lèvres.

Regarde moman!! J'ai réussssssi!! Le gros ssat il est à moa maintenant!^^ On va le montrer à popa?

Moman adresse un sourire à Lysi et lui répond par la positive. Lysi est toute guillerette. Un nouveau ssat!!
Serrant l'animal dans ses bras sans trop forcer tout de même, la fillette suit sa moman et Iko jusqu'à la maison.

C'est moa qui va le soigner moman? demande la petite fille sur le chemin. Ze saura faire! Ze sssssuis grande maintenant!^^

Nouvelle réponse positive. Lysi est aux anges.

Miciiiiiii!!! Vi ze fera trèèèèès attenssssion!!!

Elles sortent alors des bois, le loup Iko en avant, la moman et la fille derrière, et voient popa qui discutent avec deux autre messires.
Moman se retourne sur Lysi et lui demande si elle veut montrer le gros ssat.

Viiiiii!!

Et moman s'éloigne en direction d'un des messires. Alors ben Lysi la suit. Répondant après moman, Lysi fait entendre sa petite voix:

Bonjour misssssire!! Vous avez vu, zai un ssat!!! Il est dans le tablier, sssinon il donne des coups de pattes^^

Lysi continue de suivre moman, qui se dirige cette fois vers popa. Popa!! L'enfant dépasse alors moman et court vers popa.

Popa!!! Regarde le ssat qu'on a trouvé!!! lui dit-elle en montrant le tablier qu'elle tient toujours précieusement entre ses bras, et qui gigote légèrement. Des miaous étouffés se font entendre de dessous le tissu. En tout cas il bouge bicoup!^^ Et pi il miaoute tout le temps! Regarde, popa.

La fillette défait alors un peu le tablier dévoilant le chat en partie, celui-ci miaulant de plus belle.

L'est beau hein popa???^^

Oh, moman vient d'arriver.

Moman! J'ai montré le ssat à popa!! On pourra le garder dis? S'il te plééééé...
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---fromFRBenoit_un_page

Il n'avait pas l'air de croire à son histoire.

*Mais bon sang je dois faire quoi pour que tu me crois ? J'ai couru sur des centaines de mètres pour te retrouver et si l'autre débile là n'étais pas venu avant moi je serais encore en train de courir.*

Visiblement imaginer un soit-disant ami compatible avec quelqu'un qui voulait le tuer était impossible pour Vegoku.

J'ignore où se trouve mon maître. Sûrement en route pour ici. Ecoutez le mieux est que je vous donne son message vous y comprendrez plus.

Il lui tendit le message. On pouvait y lire.

Citation:

Benoît,

Dès que tu recevras ce papier met toi immédiatement en quête de Messire Vegoku. La mission est d'un extrème urgence.

Un homme qui dit être son ami le cherche. J'ai peur qu'il veuille en réalité le tuer. Il faut donc que tu le retrouves avant afin qu'il se mette à l'abri où qu'il soit capable de se défendre.

Fais très attention. Il n'est pas commode et se méfiera de toi. Il faut donc que tu prévienne bien que c'est de ma part et que c'est pour lui éviter un grand danger.

Dis lui qu'un certain Rache est là pour le chercher et qu'il est sans doute venu le tuer.

Il me semble penser qu'il habite au-dessus de chez moi ou en dessous vers la forêt mais à une sacré distance de la ville. Mais je ne suis sûr de rien.

Essaie de voir si tu ne peut contacter sa femme Sorianne. Mélisandel m'a averti quelle allait la nommer au poste de tribun. Elle sera donc beaucoup plus présente en ville.

Fais vite le temps presse.

Dès que tu auras fait le nécessaire par tout les moyens possibles vient me contacter.

Et surtout si un autre homme est avec moi ne dit pas que tu as prévenu messire Vegoku du danger. Je ferais tout pour retarder ce triste sire.

Forth With.

Mon maître ne pouvait rien contre lui mais visiblement cet homme n'était pas clair. S'il vous cherche et qu'il cache la vérité c'est sûrement pas pour vous faire des mamours.

Ecoutez moi j'ai reçu des consignes je ne fais que les appliquer. Je suis pas là pour décider ce que vous avez à faire. Mais si par malheur il arrivait à échapper à mon maître je pense qu'il ne tarderait pas à ce rendre ici et il vaut mieux prendre ses précautions vous ne croyez pas ?

Benoît toujours essouflé vit arriver Dame Sorianne puis sa fille. Il sourit comme il put à la petite et toujours en haleine tenta de demander de l'eau à la jeune femme.

Excusez moi je veux pas être emmerdeur mais j'aimerais bien un peu d'eau s'il vous plaît.
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- PNJ contrôlé par Forth With -

---fromFRGeorge Le Futé

A peine George eut il dit quelques mots à Vegoku un autre homme surgit de nulle part et s’adressa à Vegoku.
En entendant parler de meurtre Le Futé commença à prendre le large mais très lentement, à peine un demi pas à chaque fois.
En venant ici il n’avait pas prévu d’être témoin d’un meurtre et il ne comptait pas le devenir.
Tout le monde sait que l’on retrouve toujours les témoins égorgés dans une ruelle et George lui avait d’autres projets pour son avenir.
Lesquels ?
Il ne le savait pas encore mais il savait que son corps n’avait rien à faire dans une ruelle.

Le Futé se stoppa d’un coup lorsque Vegoku s’adressa à lui pendant un instant Le Futé cru que sa tentative de fuite avait été détectée et qu’on allait le ramener à l’ordre mais non.
Vegoku lui dit au contraire qu’il pouvait se rendre dans la maison pour attendre Sorianne Le Futé fit un sourire à Vegoku avant de commencer à prendre la direction de la maison mais sans se pressé.
Il n’allait tout de même pas montrer qu’il n’attendait que cela !

Mais bien vite George regretta son manque d’empressement a peine six pas plus loin il fut appelé par Vegoku pour répondre à une question délicate.
Le Futé resta un moment silencieux cherchant un moyen de s’en sortir sans casse.
La solution s’imposa d’elle-même.

-Messire je ne vous connais pas depuis assez de temps pour répondre à cette question mais si vous insistez…
Avec ce que je sais de vous je peux dire que vous avez l’air d’une personne que tout le monde veut avoir parmi ses amis.

Vu l’expression du visage de Vegoku, Le Futé avait trouvé les mots justes maintenant il allait se montrer futé en quittant les lieux avant que le meurtrier n’arrive.
C’est donc d’un bon pas qu’il se dirigea vers la porte de la maison de Sorianne, justement il croisa Sorianne et sa fille à mi-chemin.
Il s’arrêta donc afin d’échanger quelques mots.

-Bonjour Dame, oui je vais très bien et vous-même ?
Je vais vous laisse aller parler avec votre mari moi je vais vous attendre à l’intérieur.

George ne fit pas trop attention à ce que la petite fille lui montrait et, parcouru la distance qui le séparait de la maison il entra à l’intérieur et faillit trébucher.
Il se rattrapa et pénétra à l’intérieur, Le Futé regarda autour de lui puis commença à parcourir la maison à la recherche d’un salon ou un truc du genre.
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Un jour votre insouciant ami... L'autre un dangereux assassin.

---fromFR*Rache*

Rache marchait tranquillement, sûr d’être sur la bonne voie dans quelques minutes Vegoku passerait de vivant à trépas. Le jour que la mère et la sœur de Rache attendaient depuis le début de leur non vie allait enfin arriver. Avec un sourire Rache prit son arc en main et vérifia si la corde était suffisamment tendue, il plongea ensuite sa main sur le coté intérieur gauche de sa cape et sortit sa main avec une flèche. Contrairement à la plupart des archers Rache ne se baladait pas avec son carquois dans le dos. Cette technique trop répandu permettait aux ennemis de voir le nombre de flèches qui nous restait. C’est pour cela que Rache mettait son carquois sur son flanc gauche protéger des regards par la cape qu’il portait.

Sans s’arrêter de marcher Rache banda son arc et visa un arbre quelques mètres devant lui, il laissa filer la flèche qui alla se planter au coeur de l’arbre.

« Pas mal mais, si tu veux tuer Vegoku il va falloir faire aussi bien voire mieux. »

« Ne t’en fais pas quand Vegoku sera dans mon champ de vision je ne pourrais pas le rater. »

« Ne sois pas si sûr que ça frérot tu ne sais pas du tout à quoi Vegoku ressemble tu as des descriptions mais elles ne sont pas forcément vraies… »

« Je reconnaîtrais Vegoku dès que je le verrai ! »

« On verra bien… »

Quand la voix de sa sœur se tut Rache en entendit d’autre mais pas dans sa tête cette fois. Les voix en question provenaient de quelques mètres droit devant ! Rache se mit à courir pensant qu’il était enfin arrivé sur les futurs lieux du crime. Il se rapprocha tout en restant sous le couvert des arbres et vit un étrange rassemblement. Un homme qui devait faire à peu près la taille de Rache se tenait en face d’un autre homme qui avait l’air fatigué, une femme et une petite fille s’approchaient des deux hommes qui parlaient tandis qu’un autre homme aux cheveux aussi blancs que ceux de Rache marchait vers la maison.

Rache regarda l’homme de grande taille ainsi que celui aux cheveux blancs en se demandant lequel était Vegoku. On lui avait dit que Vegoku était un homme de grande taille et aux cheveux noirs comme la nuit. Mais la maison semblait appartenir à l’homme aux cheveux blancs… Rache regarda les deux Vegoku potentiel en se demandant s’il avait hérité de la taille ou de la couleur des cheveux de son père… Enfin peu importe il allait tuer les deux… Rache allait plonger sa main dans son carquois quand il entendit un bruit derrière lui, il se retourna et vit l’homme qu’il avait laissé devant la taverne… Que faisait il ici ?

La réponse s’imposa d’elle-même : il l’avait suivit Rache grogna en se disant que l’homme n’était peut être pas venu seul…

- *zensiert by Forum* !

Cria Rache avant de se mettre à courir, à courir droit devant lui. Non il n’avait pas oublier sa haine envers Vegoku mais il y avait trop de monde dans les parages et il n’aurait pas le temps de se débarrasser d’eux tous avec ses flèches, ni la force de tous les tuer avec son épée. Il courut donc et s’enfonça dans la forêt il était conscient que les deux hommes, la femme et la fille l’avait vu mais pas grave, il ne le reverrait plus qu’une fois après celle là… Rapidement Rache entendit des bruits de pas derrière lui. On le suivait encore !

Il accéléra donc et entendit les bruits de pas le poursuivre il courut sans se soucier des branches basses qui lui fouettait le visage, il courut jusqu’à se retrouver dans un endroit plutôt dégagé. Là il plongea rapidement sa main dans son carquois et en sortit une flèche. Celui ou celle qui l’avait suivit allait le regretter…
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Je suis le mot en cinq lettres qui vous rattrape toujours...

---fromFRSacha Net

Tout avait été très vite, trop vite sans doute. Alors que lui aussi avait aperçu même de loin une présence, une ombre, un lieu peut-être. L'homme devant s'était engouffré plus loin dans la forêt.

Brusquement sans raison il s'était levé et était parti en courant. Il armait alors son arc. Son fameux arc.

Sans doute si la situation s'éclaircissait enfin Sacha maudirait ce fameux arc, cette arc là. Mais aussi maudirait-il sa bétise. Comment diable avait-il pût se faire avoir aussi facilement... ?

C'était impossible, quelque chose l'avait perturbé.

Car alors qu'il avait courru jusque là sans jamais se retourner il s'arrêta brusquqement dans un espace dégagé et arma à nouveau son arc.

*Et fais chier quel con !*

Sa seule solution se jeter dans un fourré à quelque mètres et prier pour qu'il le rate en course.

Il se jeta donc...
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-PNJ-

La lame et le savoir c'est tout ce qui m'intéresse.

Anonymous

Vegoku regarda le messager qui lui disait ne pas savoir où se trouvait son maître. Bon Vegoku devrait donc attendre pour en apprendre plus sur ce fameux meurtrier, le messager tendit un message à Vegoku qui le lut attentivement essayant de comprendre quelque chose qui n’était pas écrit dans cette lettre. Mais il avait beau lire et relire cette lettre il ne trouvait pas de description du Rache en question… Comment Vegoku était il sensé se protéger de quelque un dont il ne connaissait que le nom ? C’était si facile de se présenter sous un faux nom… Vegoku en savait quelque chose puisqu’il s’amusait souvent à le faire.

Trop occupé à lire et relire cette lettre Vegoku n’entendit pas ce que lui disait Benoît. Ce n’est que lorsque Lysi s’approcha et voulu lui montrer son chat que Vegoku sortit de sa lecture. En voyant So approcher il glissa la lettre dans une poche avant de se pencher pour regarder ce que lui montrait sa fille. Vegoku entendit avant qu’il ne vit ce qui se cachait sous le tablier de sa fille. Vu les hurlements cela devait être l’un de ses tigres blancs vivant dans le royaume d’origine de Vegoku. Bon vu que Lysi portait l’animal sans mal cela ne devait pas être autre chose qu’un gros chat. Surtout qu’un tigre blanc n’aurait rien à faire aussi loin de chez lui.

Lysi dégagea la tête du chat afin que Vegoku puisse le voir et celui-ci fit un sourire avant de prendre la parole.

C’est un beau chat que tu as là ! Il n’a pas l’air commode tu as intérêt à faire attention si tu le gardes. J’espère que tu seras une meilleure éleveuse de chat que ta mère !

Justement voilà que So les rejoint à son tour Vegoku fit un sourire à son épouse quand elle lui demanda ce qui se passait il lui fit un sourire afin de lui faire comprendre qu’il n’y avait rien. Il n’allait quand même pas l’embêter avec quelque chose qui ne relevait que de la rumeur ! Heureusement Benoît choisit ce moment pour demander de l’eau à Sorianne. Vegoku regarda autour de lui afin de voir où était passer l’autre homme qui était venu jusqu’ici. Mais il ne le vit pas…

Vegoku haussa les sourcils et relut la lettre de Forth With quand une voix forte hurla :

‘‘*zensiert by Forum* ! ’’

*zensiert by Forum* ? Les rouages du cerveau de Vegoku se mirent en route rapidement… *zensiert by Forum*… Rache… Ce n’était peut être que le fruit du hasard pour le second mot mais le premier était issu de la langue de l‘un des pays que Vegoku avait traversé lors de ses voyages. Et vu le ton de la voix cela ne pouvait signifier que ce que Vegoku pensait… Surtout qu’il avait un homme en blanc s’enfoncer dans la forêt.

Allez tous à l’intérieur tout de suite !

Sans attendre plus longtemps Vegoku fonça dans la direction où il avait apperçu l’homme en blanc. Une fois dans la forêt il regarda autour de lui et vit un passage créer par la force dans les ronces et compagnie. Connaissant mieux la forêt que le fuyard Vegoku calcula la direction qu’il avait pu prendre avant de se lancer à sa poursuite par une série de chemin moins infecté par les ronces quand il arriva sur une clairière il vit un homme en blanc qui pointait son arc dans la direction d’un buisson. La réaction de Vegoku ne se fit pas attendre comme s’il avait toujours vécu dans ce genre de situation il plongea sa main dans une poche et en sortit une dague. Sans chercher à se mettre à l’abri puisque le terrain autour de lui était à découvert sur au moins 5 mètres.

Vegoku lança sa dague en direction de l’archer à l’instant où celui-ci lui décocha une flèche bien que conscient que cela ne servirait à rien Vegoku fit un bond sur le coté et eut le plaisir d’entendre un cri de douleur s’échapper des lèvres de son agresseurs au moment où lui-même sentit la flèche le transpercer. Mais il se retint de crier il n’avait pas l’intention de prévenir tout le monde qu’il mourrait, il n’y aurait que lui et son meurtrier à savoir qu’il était mort c’est du moins ce qu’il pensait…

Lisbelle

Sur le chemin de la maison de Sorianne et Vegoku

Cela faisait maintenant un petit moment que Lisbelle était arrivée à Angoulême.
Elle commençait à y avoir ses repères, et se faire quelques amitiés.
Bien évidemment, aucune ne valait celle de Jean, mais celui-ci ne se montrait que très rarement. Cela peinait légèrement la fillette, qui aimerait passer le plus de temps possible avec son meilleur ami...

De plus, une autre personne lui manquait cruellement...
Plusieurs courriers envoyés, et aucune réponse en retour. Se peut-il que l'on soit à ce point occupé qu'on ne puisse prendre ne serait-ce qu'une minute afin d'envoyer une missive, même si elle ne continent que quelques mots?
Lisbelle espérait sincèrement qu'il ne lui soit rien arrivé...

"Seigneur, je vous en prie..."

La fillette poussa un soupire à fendre l'âme. Lorsque les deux personnes que vous chérissez le plus sont absentes, le monde paraît alors beaucoup moins beau. Fort heureusement, Sorianne était, elle, souvent à ses côtés, et même si elle ignorait tout de ce que Lisbelle savait, elle n'en demeurait pas moins adorable avec la petite jeune fille.

D'ailleurs, Lisbelle se dirigeait justement vers chez elle. Elle voulait parler avec cette femme, et peut-être, si la situation le permettait, lui montrer l'anneau...
Une femme qui avait déjà été chez Sorianne avait eu la gentillesse de lui dire comment se rendre chez elle, celle qui avait un nom étrange, Popopolopopolopo, un nom imprononçable...

Voilà pourquoi elle longeait la Charente, ce fleuve qu'elle connaissait bien pour venir les matins s'y nettoyer.
La journée était calme, le vent doux, sûrement un bon augure quant à ce qui allait se passer.
Croktou marchant près de sa maîtresse, Lisbelle avançait le cœur léger, un petit panier rempli de fraises dans les mains. Elle aurait tout le temps d'être tendue lorsqu'elle lui parlerait de l'anneau. Mieux valait ne pas y penser de suite. Et puis... rien ne disait que c'était pour aujourd'hui...

Ses pas la menèrent jusqu'à une forêt qu'elle aperçut au loin. Elle y était presque. Encore un petit peu et elle arriverait devant chez Sorianne. Peut-être que messire Gaspard... enfin Vegoku s'y trouvait aussi. Cela ne la dérangeait point, elle aimait bien cet homme. Il ne parlait pas énormément, mais il avait une bonne tête^^

Après quelques minutes de marche, elle arriva enfin en vue d'une maison. Quelle idée d'habiter si loin! De là où elle était, elle pouvait voir que plusieurs personnes étaient à l'extérieur, deux hommes une femme et un enfant apparemment. Sûrement Sorianne et sa famille, avec un ami. Elle s'approcha et put alors voir les visages. Pourvu qu'elle ne dérange point... Mais elle avait fait un trop long chemin pour revenir en arrière. Elle jeta un œil à Croktou et se remit en marche, pour soudain s'arrêter. L'un des hommes venait de crier, et partit en courant.
Lisbelle se tenait non loin d'eux, immobile le temps d'une seconde, se demandant bien se qui pouvait se passer....
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Chroniqueuse de la Grande Maison d’Attigny

[Lieu-RP] Une demeure à trente minutes du bourg d'Angoulême

Vegoku

Vegoku revenait de sa petite ballade dans les champs avec Kab il avait quitter sa sœur un peu avant la ville pour prendre la direction de sa nouvelle demeure. Il n’avait eu le temps de profiter réellement du confort de cette demeure avant que Kab ne lui demande de venir en ballade avec elle. Heureusement il avait bonne mémoire et les deux ou trois fois qu’il avait fait route vers sa maison lui avait suffit à retenir le chemin à suivre bien que Black ne cessait de vouloir tourner à gauche ou à droite alors qu’il suffisait de suivre la Charente.

Après quelques minutes Vegoku apperçu enfin sa maison un peu en hauteur par rapport à la Charente et à moitié enfoncée dans la forêt. On ne pouvait pas douter de l’identité du propriétaire qui d’autre que Vegoku voudrait vivre aussi à l’écart de la ville pour s’approcher de la forêt ? Pas grand monde. Mais il n’y avait pas grand monde à avoir trois loups et deux jumeaux qui jouaient en courant en tout sens et poussant des cris de guerre…. Pendant son voyage Vegoku avait envoyé un courrier au royaume de ses ancêtres pour voir si on pouvait lui envoyer quelqu’un pour escorter Junior jusqu’à son précepteur.

A la grande surprise de Vegoku la réponse avait été positive et même que la personne qui pouvait escorter Junior était en Périgord même… Vegoku ne pouvait s’empêcher de penser que cela n’était pas seulement le fruit du hasard mais il avait fait semblant d’y croire en répondant à sa famille et en demandant le nom de celui qui allait devoir s’occuper de Junior durant le voyage. Les deux hommes s’étaient donnés rendez-vous dans la forêt derrière la maison la suite du plan de Vegoku était simple il allait héberger l’homme pendant la journée et aux alentours de minuit Vegoku réveillerait Junior lui expliquerait la situation avant de le laisser partir pour dix longues années…

Une fois arrivée à l’arrière de la maison Vegoku descendit de cheval et retira la selle de celui-ci. Maintenant il fallait trouver l’homme avec qui il avait rendez-vous après s’être enfoncé un peu dans la forêt Vegoku apperçu la silhouette d’un homme de taille moyenne sur un destrier gris. Après avoir évaluer l’homme du regard Vegoku lui fit signe de le suivre l’homme descendit de sa monture et suivit Vegoku jusqu’à revenir en bordure de forêt. Là Vegoku sortit ses deux épées et invita l’homme à sortir sa ou ses armes l’homme obtempéra et sortit un cimeterre ainsi qu‘un poignard.

Les deux hommes se firent face pendant un moment sans bouger ils se regardèrent juste droit dans les yeux. Puis Vegoku passa à l’attaque il rompit rapidement la distance qui le séparait de son adversaire et envoya un coup en direction de la tête de celui-ci tandis que l’autre allait en direction de sa cuisse gauche. L’homme para sans difficulté et repoussa Vegoku puis passant à l’attaque à son tour visant le cœur avec son poignard tandis que le cimeterre lui prenait la bonne direction pour soulager Vegoku de sa jambe droite. Sans grande difficulté Vegoku évita le premier coup et para le second puis d’un bond il se mit hors de portée et rangea ses épées. Avec un sourire il s’approcha de son ancien adverse en tendant sa main droite.

Pas mauvaise technique mais j’espère que vous ferez mieux s’il faut défendre mon fils… Moi c’est Vegoku et vous ?

L’homme serra brièvement la main de Vegoku en se présentant à son tour.

Merci vous vous débrouillez pas mal bien que je sens que vous étiez loin de me montrez ce que vous valez vraiment mon nom à moi c’est Basile.

Vegoku sourit et fit signe de le suivre vers la maison ils entrèrent sans dire un mot et à la grande surprise de Vegoku la maison était vide… Pas de Sorianne ni de jumeau pour l’accueillir. Pas grave il se rendit à la cuisine après avoir montrer à Basile la chambre où il pouvait se reposer. Une fois arrivé dans la cuisine Vegoku sourit on voyait tout de suite que ce n’était pas l’endroit où l’on avait le plus de chance de croiser Sorianne. Le temps que Vegoku retrouve ses marques et il commença à préparer un petit quelque chose pas qu’il n’avait pas manger pendant la ballade mais un plat déguster avec les pieds sous la table c’était toujours mieux…

Une fois qu’il eut fini de préparer son repas il vit comme par miracle Basile surgir dans la cuisine avec l’air de quelqu’un d’affamé… Vegoku sépara donc son plat en deux et prit bien évidemment la plus grosse moitié chez lui les invités n’étaient pas encore roi. Le repas servit et déguster les deux hommes quittèrent la maison. En passant devant la porte de la cave Vegoku se dit qu’il allait devoir la remplir mais il ne savait pas comment il hésitait entre faire comme la majorité des gens et y mettre des bouteilles ou s’il devait plutôt profiter de l’isolement de la maison pour installé quelques instruments de tortures…

Bon il était pas certain que So soit d’accord pour qu’il enseigne la torture à Lisy mais si elle voulait que les jumeaux apprennent les mêmes choses il allait falloir que Lisy apprenne cela elle n’était pas obliger d’aimer mais elle devait apprendre à s’en servir… Bien sûr il allait d’abord convaincre Sorianne qui risquait de ne pas apprécier la subite disparition de Junior. S’il réussissait à convaincre Sorianne il allait devoir trouver les cobayes peut être des prisonniers dont le comté ne voulait plus payer la charge ou alors des assassins qu’il irait chercher puis il les neutraliserait et les préparerait à être torturés…

Avec ces pensées à l’esprit Vegoku alla chercher Black il re-sella le cheval puis prit la direction de la ville où il trouverait sa femme et certainement ses enfants. Après quelques minutes le cavalier arriva à Angoulême il descendit de son cheval qu’il alla mener à l’écurie de la ville. Il se mit alors à se promener dans les rues et ruelles de la ville sans se donner de but à force d’errance il tomba sur deux petits diables qui ne lui était pas inconnu. En le voyant les jumeaux hésitèrent une seconde sur la conduite à tenir ils devinaient que leur père savait que leur mère ne les avait pas déposé dans cette ruelle.

Après un court instant d’intenses réflexions les jumeaux foncèrent vers leur père non pas pour l’étreindre mais pour le faire tomber. Évidemment deux enfants de cinq ans n’avait aucune chance contre un homme de deux mètres en pleine force de l’âge mais Vegoku joua le jeu et fit mine d’être déséquilibré il battit les bras autour de lui afin de faire comme-ci il tombait réellement. Puis au dernier moment il se rattrapa et se baissa pour attraper ses deux assaillants.

Vous venez de commettre une erreur fatale en attaquant Vegoku d’Olenius le géant !

Dans un grognement digne du géant qu’il interprétait Vegoku commença à marcher dans la rue en portant ses deux enfants sous ses bras il les porta ainsi sur une ou deux rue puis les reposa sur le sol en souriant.

Alors pas trop dur de se faire porter ?

Si c’était horrible tu serres trop ! On a failli en mourir n’Est-ce pas Veg ?

C’est vrai ! Si j’étais pas grand et fort j’aurais eu du mal !

Vegoku éclata de rire puis se pencha vers Junior et lui demanda.

Tu es si grand et fort que cela ?

Junior fit un sourire fier de lui et montra ses muscles à son père.

Oh mais c’est vrai que tu as l’air fort… Peut être le temps est venu pour toi de faire le grand voyage que doivent faire tous les hommes de la famille… Non non tu n’es peut être pas prêt…

Mais si ! Je suis prêt ! Je peux partir tout de suite s’il le faut !!!

Vegoku fit un pas en arrière et regarda son fils puis il prit un air soucieux.

Tu sais que ce n’est pas loin et que tu seras tout seul avec quelqu’un que tu ne connais pas ?

Je veux y aller aussi ! Pourquoi Veg peut y aller et pas moi ?

Oui pourquoi Lisy peut pas venir ?

Parce que seuls les garçons y vont et même si vous étiez tous les deux des garçons vous auriez été séparé.

Tu as été séparé de ton frère ?

Pendant plus longtemps que tu ne seras séparé de Lisy.

Alors je veux bien le faire aussi !

Vegoku sourit de voir l’enthousiasme de Junior au moins il ne risquerait pas de se débattre ou de se battre avec Basile. Il fallait maintenant éviter que Sorianne apprenne ce qui se préparait…

Maintenant je vais vous demander deux choses : La première c’est que vous ne dîtes rien à votre mère, la seconde c’est que vous retourniez à la maison ou là où votre mère vous a déposé et que vous continuez de vous entraînez à tenir et à attaquer avec une dague mais pas l’un contre l’autre !

D’accord chef !

D’accord chef !

Dans un éclat de rire les jumeaux embrassèrent leur père puis partirent en courant dans les rues d’Angoulême. Vegoku eut un sourire et se redressa maintenant il allait faire un petit tour à la taverne municipale en passant tout d’abord par l’écurie, il allait rentrer chez lui tout de suite après être sortit de la taverne alors autant s’éviter un long détour par l’écurie surtout qu’il était sûr de ne pas rentrer seul. En entrant dans la taverne Vegoku vit l’une des personnes dont il se souviendrait toute sa vie, il échangea quelques mots avec cette personne puis entra alors la personne qu’il avait le plus envie de voir.

Quelques autres personnes se succédèrent en taverne puis Vegoku et Sorianne se retrouvèrent tous les deux, c’est là que Vegoku eut la subite envie de faire goûter quelques bières à Sorianne histoire de voir si elle tenait bien l’alcool, s’ensuivit un débat sur l’alcoolisme de Sorianne. Les mots disparurent assez vite pour laisser la place à des baisers puis à un petit défi. Vegoku eut un sourire et se dirigea vers l’arrière de la taverne en tenant sa femme dans ses bras il la fit monter sur Black avant de monter à son tour ils prirent donc le chemin de leur maison.

Une multitude de baisers furent échangés durant le trajet en entrant le couple vit Basile installé dans un fauteuil près de la cheminée, Vegoku fit rapidement les présentations en disant à Sorianne que Basile ne restait que cette nuit puis sans perdre plus de temps le couple se rendit dans sa chambre pour fêter leur retrouvailles.

Le lendemain une heure ou deux avant le lever de soleil Vegoku se réveilla et alla réveiller Basile et Junior il expliqua rapidement la situation à son fils avant de le confier à Basile. Il regarda alors Junior et Basile s’éloigner il continua à regarder encore un moment après qu’ils furent sortit de son champ de vision. Puis il retourna se coucher auprès de Sorianne qui dormait toujours maintenant que Junior était partit Vegoku se demanda comment annoncer la nouvelle à So.

Sorianne

Aprés avoir pass une bonne soirée en taverne a retrouver Vegoku, qui a essayé de la saouler, mais ca faut pas le dire bien sur. A chaques fois qu'elle avait été saoule ca avait été un coup monté! Le mari de Gabbi ne l'avait pas raté et depuis on en reparlait encore! Alalala... Il ne l'avait pas raté le coup la. Enfin... Depuis elle n'y avait plus jamais été. Pas folle la guepe...

Aprés avoir converser avec moults gens, les voila qui se retrouvent seuls. Et voila qu'aprés avoir polémiqué ce qui sembla des heures autours de ces prouesses a l'alcool, le ton change et se fait calin. L'humeur aussi... On ne peut plus meme... A tel point que... Un défi! Ca faisait longtemps! Et dans les bras de son mari tant aimé, la voila qui cherche déja a lui donner envie de le réussir, héhé...

Une fois chez eux, So se stoppa net. Qui donc était cet homme assis tranquillement dans un de leurs fauteuils? Un moment d'angoisse alors qu'elle l'observe. Mais Vegoku le connait. Que venait-il faire ici...? C'est avec appréhension que So se rend dans sa chambre avec son mari... Elle avait déja eu trois mauvaises expériences, dont deux qui la marqueront a vie... Elle n'aimait pas l'idée d'avoir un étranger sous son toit, meme en présence de Veg. Mais ce dernier lui fit rapidement oublier ce pour quoi elle s'inquiétait. C'est donc exténuée et comblée qu'elle s'endormit dans les bras de Goku. Sorianne le sentit se lever dans la nuit, mais toute endormie qu'elle était, elle n'y préta pas attention et se blottit de nouveau contre lui quand il revint.

Au matin, elle s'éveilla quand le soleil pointa ses rayons sur eux. Aprés avoir profiter d'un réveil des meilleurs, c'est souriante qu'elle se leva, se coula dans le bain que Vegoku avait eu la bonté de préparer, gentille attention que celle la. Se prélassant autant que possible, elle en sortit quand meme avant de ressembler a un petit pruneau tout frippé. Se brossa les cheveux, se vétissant d'une robe toute simple, ceinture sur les hanches, avant de sortir de la chambre pour aller voir ses petits monstres.

Pas de bruit, ils étaient calmes... Etrange, eux qui d'habitude sont on ne peut plus... Comment dire... Agités! Poussant la porte de la chambre, elle se rendit auprés de ses enfants, quand quelque chose attira son attention. Son fils était déja levé? Bizarre... Un doute se saisit d'elle quand elle repensa a des conversations qu'elle avait eu avec Veg en taverne. Et l'homme présent cette nuit...

Sorianne ne resta pas la plus longtemps, se dépéchant de sortir, ouvrant portes aprés portes, cherchant a voir si Ti Veg ne se trouvait pas dans une des pieces. Elle passa dans celle ou était Vegoku, sans pour autant s'arréter auprés de lui, paniquée a l'idée que son fils ait disparu. Il ne pouvait pas avoir fait ca. Il ne pouvait pas! Pas sans l'avoir prévenu! Pas sans qu'elle ait pu lui dire au revoir!

La jeune femme sortit de la maison. L'homme était venu a cheval, elle avait vu la bete a l'écurie quand ils étaient rentré la veille. Nus pieds, les cheveux volant derriere elle, elle y alla en courant. S'il avait fait ca elle le tuerait!

So poussa la porte sans ménagement, entra et vit que la stalle ou se trouvait le cheval de ce Basile était vide. Le coeur battant, elle s'enfonca plus dans la grange la ou se trouvaient les poneys des enfants. Elle s'arréta et ferma les yeux quand elle vit qu'il en manquait bien un.

C'est lentement qu'elle fit demi-tour, laissant tout ouvert. Elle retourna chez eux... Retenant ses larmes. Il lui avait dit qu'il partirait pour longtemps... Il aurait pu lui dire quand, meme si elle était loin d'etre d'accord. Il pouvait apprendre a lire et a écrire, tout comme apprendre a compter avec ses parents. vegoku pouvait lui apprendre pour les épées. Il lui avait bien appris a elle...

Quand elle entra dans la maison, elle repassa devant Vegoku, sans meme le regarder. Mais elle finit par aller se poster devant lui et sans meme prendre le temps de mesurer son geste elle lui asséna un de ces magnifiques coup de poing qu'un de ses amis lui avait appris a donneer lorsqu'elle était petite.

Rends moi mon fils Vegoku!!!!!! Ou est-il?! Ou l'a-t-il emmené?!

C'est qu'elle frappait a chaques mots! Et pas de légers coups... Elle n'avait qu'une envie, lui faire mal comme il venait de lui faire mal.

Je ne lui ai pas dit au revoir!!! Tu me l'as enlevé! Ou est-il?! Rends le moi!!!

A cet instant, elle regrettait amérement de ne pas avoir l'épée que Vegoku lui avait offerte. Elle aurait trouvé a s'en servir... La morsure de Miko se réouvrit mais pas grave! Elle ne la sentait pas, ce qu'elle voulait c'était son bébé, elle voulait son fils et rien d'autre. Il avait beau etre bien plus grand qu'elle, Vegoku aurait sans doutes du mal a la maitriser maintenant...
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Anonymous

Vegoku se rendormit peu de temps après s'être recoucher mais pour il ne savait quelle raison son sommeil s'évapora après quelques minutes, il se leva donc et décida qu'un bon bain lui ferait du bien. Il fit quelques pas dans la chambre dans l'espoir que cela le réveille complètement mais cela n'eut aucun effet. Le regard de Vegoku tomba sur la Charente que l'on apercevait en regardant par la fenêtre. Hum pourquoi pas ? Alliant la pensée au geste Vegoku se rendit à la salle d'eau pour prendre ce don il aurait besoin.

Il vérifia si Sorianne dormait toujours et puisque c'était le cas il quitta la pièce et avança tranquillement dans le couloir. En passant devant la chambre des jumeaux il se dit qu'il allait falloir préparer le terrain avant que Sorianne ne découvre la disparition de Junior elle risquait quand même d'exploser mais peut être que l'explosion serait moins terrible si elle était de bonne humeur.

Vegoku mit un instant avant de remarquer qu'il n'avançait plus il se sourit à lui-même en recommençant à avancer il serait beaucoup plus vite dans l'eau s'il ne stagnait pas. Quelques minutes plus tard il arrivait enfin aux bords de la Charente Vegoku posa tout ce qu'il avait emmené pour son bain et s'approcha de l'eau il plongea le bout de son gros orteil dans l'eau qu'il trouva glaciale !

Exactement ce qu'il voulait Vegoku se dévêtit avant d'aller jusqu'au coeur du cours d'eau où il s'immergea complètement. Il resta quelque seconde sous l'eau qui était devenu mystérieusement beaucoup moins froide en remontant à la surface Vegoku sentit un infime courant d'air qui vint lui rappeler la saison dans laquelle ils étaient. Mais Vegoku ignora l'air frais et se rapprocha des berges afin de se laver, ce n'était pas tout de faire mumuse dans l'eau, il fallait également en sortir propre et en attrapant pas la mort si possible. Bien que s'il ne l'attrapait pas maintenant ce serait Sorianne qui le tuerait.

Avec un sourire Vegoku se savonna et se frotta avant de retourner dans l'eau il prit son temps pour se rincer puis quitta l'eau comme une flèche. Rapidement il s'essuya et après avoir ramassé tout ce qu'il avait emmené avec lui il rentra à la maison. Il se rendit le plus directement dans leur chambre et aussitôt arrivé il commença à s'habiller tout de noir c'était peut être lui qui avait envoyé Junior loin d'eux mais ce n'était pas pour autant que cela le laissait de marbre.

Quand il fut totalement habillé il se tourna vers Sorianne qui dormait encore. Il était sûr qu'elle ne se réveillerait pas tout de suite... Vegoku sourit et se dit qu'il pouvait toujours faire couler un bain à son épouse, comme cela elle prendrait plus de temps pour se rendre à la chambre des jumeaux et lui pourrait partir très loin.

Bien sûr il n'était pas sérieux en pensant ça rien au monde n'était capable de l'effrayer et So bien moins que le reste. Malgré cela Vegoku sortit tout de même afin d'aller chercher l'eau nécessaire au bain de Sorianne. Il avait vu deux seaux en rentrant de son bain, il chercha donc ces deux seaux et, une fois qu'il les eut trouvé il alla puiser de l'eau dans la Charente.

Il remplit les deux seaux presque à raz bord puis regagna la maison avec. Il réussit à arriver jusqu'au salon sans faire tomber plus d'une dizaine de gouttes. Il posa les deux seaux au milieu du salon et alla dans la cuisine prendre une grande marmite. Il revint au salon avec il versa l'un des seaux dans la marmite puis mit la marmite au-dessus du feu de la cheminée. Quand il estima l'eau comme assez chaude il mit des gants et attrapa l'anse de la marmite puis, parcouru le chemin qui menait jusqu'a la chambre le plus rapidement possible.

Heureusement ni Sorianne ni Lisy ne se retrouva dans le couloir pendant que Vegoku le traversait. Une fois la marmite verser dans la cuve Vegoku la remplit avec l'eau du second seau et fit la même chose qu'avec la première.

Quand il eut finit Vegoku se dit que vivre à l'auberge était beaucoup plus facile mais, on avait beaucoup moins d'espace et ça revenait à beaucoup plus cher pour moins de tranquillité...

Avec un sourire Vegoku s'installa dans son fauteuil juste en face du feu et ferma les yeux, il allait pouvoir profiter un peu du silence de la demeure. Mais au bout d'une demi-heure le bruit de plusieurs portes se faisant ouvrir sans la moindre délicatesse le fit ouvrir les yeux. Sorianne savait que Junior n'était plus à la maison... Il vit So traverser le salon et se prépara à subir les foudres de son épouse. Il avait agit en sachant pertinemment qu'elle n'allait pas apprécier mais, il lui avait dit à plusieurs reprises qu'avec ou sans son accord Junior irait chez son précepteur.

Vegoku referma les yeux et attendit dans son fauteuil il n'avait pas à bouger elle allait viendrait à lui où qu'il soit... Complètement détendu il attendit la colère de So. Le premier signe du retour de Sorianne fut un violent coup de poing dans la figure. La tête de Vegoku suivit la direction imposée par le coup de Sorianne mais le sourire en coin dessiné sur ses lèvres ne s'effaça pas. Vegoku écouta les questions que Sorianne sans montrer une quelconque douleur suite au coup qu'elle lui assénait. Il rouvrit les yeux et parla sans essayer de se soustraire aux coups de Sorianne ni même de l'arrêter.

Junior est en route pour rejoindre son précepteur et il ne nous rejoindra pas avant dix ans. Basile nous écrira durant toute la durée du voyage et quand Junior sera arrivé il apprendra à écrire et donc nous écrira lui-même. Quoique tu fasse ou dises Junior ne reviendra pas avant dix ans. Je te l'avais dit même si c'est la dernière chose que je devais faire dans cette vie Junior devait aller chez son précepteur.

Sorianne

Elle frappait, et frappait mais il ne bougeait pas, tout ca ne servait a rien et ne lui faisait rien. Il lui avait oté son bébé et elle ne pouvait rien faire contre ca. Il devait etre bien loin maintenant. Meme en cherchant a le rattraper elle n'arriverait qu'a se mettre encore dans des histoires pas possibles.

Les coups diminuerent alors, jusqu'a s'arréter complétement quand les pleurs prirent le dessus. La morsure de Miko réouverte ne la génait meme pas. Tout ce qui lui importait était qu'elle ne reverrait plus son fils avant dix longues années, dix ans! Il le lui avait enlever pour tout ce temps! Elle ne le verrai meme pas grandir! Parce qu'il avait voulu l'envoyer dieu sait ou! Il le lui avait dit mais jamais elle n'aurait pensé ne meme pas pouvoir lui dire au revoir.

Elle se laissait aller contre celui qu'elle détestait le plus au monde a ce moment, et pleurait toute sa douleur. Tout en essayant de sa calmer, chose impossible apparament, elle maudissait Vegoku pour ce qu'il avait fait.

Je ne lui ai pas dit au revoir Vegoku! Je ne l'ai meme pas vu avant qu'il ne parte!

Elle finit par s'écarter violemment de lui, ne voulant meme pas le regarder et prit la direction de la sortie.
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Après avoir parler Vegoku ne sentit plus les coups de Sorianne pas qu'elle ne le frappait pas, non elle le frappait et certainement bien plus fort qu'au départ mais lui était loin. Il se voyait sur Black en train de galoper avec Junior et Basile loin de tout souci avec Sorianne. Ce rêve aurait put être une réalité si Vegoku l'avait voulu mais non, il avait préféré refuser l'invitation de Basile et rester à la maison.

Comme cela il évitait à Sorianne de se faire un sang d'encre et par la même occasion il commencerait l'entraînement de Lisy en même temps que Junior commencerait le sien. Comme cela il verrait ce que cela faisait d'être professeur et peut être qu'après avoir vu la différence entre les deux jumeaux Sorianne retiendrait moins les futurs frères de Junior...

Bon vu la situation actuelle il y avait plus de chance que Vegoku termine moine que Junior ait des petits frères mais les choses changeraient et bien plus vite que certains le pensait... Un coup plus puissant que les autres fit sortir Vegoku de son monde parallèle. Il ouvrit les yeux et comprit qu'elle ne l'avait pas frapper au contraire même elle avait d'un coup arrêté de le frapper pour pleurer...

Vegoku ne bougea pas pensant que quoiqu'il fasse cela ne ferait qu'empirer la situation actuelle. Mais d'un coup Sorianne s'écarta de lui et essaya de prendre la direction de la sortie. Vegoku la retint en l'attrapant par le poignet de la main qu’il avait vu saigner. De sa main libre Vegoku fouilla dans ses poches à la recherche de quelque chose il trouva rapidement ce qu'il cherchait et sortit une petite fiole d'onguent de sa poche il déboucha la fiole en se servant de ses dents.

Puis il commença à appliquer l'onguent sur la main de So en resserrant sa prise sur le poignet de sa femme à chaque fois qu'elle tentait de se délivrer.

Je sais que je n'aurais pas du faire ce que j'ai fais mais l'éducation de Junior passe avant tout et tu ne m'as pas laisser d'autre choix que de le faire partir pendant que tu dormais...

Sorianne

La sortie, il fallait qu'elle sorte. Prendre l'air l'aiderait sans doutes mieux a y voir clair. Y voir clair? Clair de quoi? Tout était on ne peut plus simple. Elle ne reverrait pas son fils avant ses quinze ans, aura raté toute son enfance et tout cela parce que Messire Vegoku en avait décidé ainsi. Elle lui en voulait, et était bien partie pour un lui en vouloir trés longtemps.

Dire qu'il voulait avoir d'autres enfants... Pourquoi faire?! Pour les lui oter des qu'ils atteindraient les cinq ans?! Elle repensa aux plantes que Kabotine lui avait confié... S'il lui enlevait ses enfants il ne fallait pas qu'il pense en avoir d'autres!!!! Et si par malheurs elle attendait de nouveau des bébés c'est elle qui les cacherait pour ne pas qu'il lui lui ote!

Le regard embué de larmes, elle se dirigeait vers la porte, mais elle sentit la poigne de Vegoku lui aggriper le poignet. Elle avait horreur de ca! Elle ne pouvait jamais s'en libérer! Il l'attira a lui et commenca a faire minde de vouloir soigner la morsure.

Laches moi...

So tirait sur son poignet en meme temps qu'elle lui commandait de la lacher. Mais comme a chaques fois dans ces situations, il n'écoutait pas et lui enserrait davantage afin qu'elle ne se libere pas. Elle serra les dents quand il appliqua le baume. Il était hors de question de faire montre d'une quelconque douleur! C'est a cause de lui qu'elle s'était réouvert la main! Tout était entiérement de sa faute!! Et les mots qu'elle entendit ne lui firent pas vraiment plaisir.

Tu sais que tu n'aurais pas du!! Mais tu l'as fait!! Son éducation il aurait pu la faire ici! Ce sont mes parents qui m'ont appris a lire et a compter! On aurait pu faire pareil! Je n'étais pas d'accord! Je voulais qu'il reste! Tu m'entends!! Qu'il reste!!!!

Elle finit par libérer son bras de l'emprise de son mari. Se reculant elle le regarda avec une haine farouche et non dissimulée avant de sortir. Elle allait prendre l'air. Elle en avait grand besoin... Lysi ne devait plus dormir, mais la elle n'était pas d'humeur a s'en occuper.
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Vegoku continuait d'appliquer l'onguent sur la main blessée de Sorianne sans faire attention au fait qu'elle se débatte pour se libérer. Elle pouvait bien essayer si elle voulait vu qu'elle avait commencé à se fatiguer en courant dans toute la maison, puis en le frappant Vegoku doutait qu'elle soit capable de résister longtemps. De toutes les façons même en forme et énervée elle demeurait beaucoup moins forte que lui aussi bien sur le point psychologique que physique.

C'était certainement parce qu'elle l'avait remarqué qu'elle voulait partir mais lui n'était pas encore d'humeur à la laisser prendre congé. Non pas qu'il lui en voulait. Non elle avait commis une faute valant la peine de mort en le frappant au visage mais il ne lui en tenait pas rigueur puis que si elle avait fait ça c'était parce qu'il l'y avait poussé et surtout parce que c'était elle.

Il écouta ce que Sorianne lui disait et fini par relâcher le poignet qu'il retenait en otage. Il regarda sa fiancée sans perdre son sourire en coin bien que d'après le regard qu'elle lui lançait elle n'avait qu'une envie c'était de le tuer... Lui n'avait qu'une envie c'était qu'elle se calme bien que ce qu'il allait dire n'aiderait certainement pas à la calmée...

Tes parents t'ont appris à lire et à compter mais je veux que mon fils soit comme moi et ait plus de connaissance que cela. Je veux qu'il sache comment manier une arme, qu'il sache quelle plante permet de guérir ou de tuer, qu'il sache cuisiner, qu'il soit plus intelligent que ces idiots de l'église qui prétendent que la Terre est plate ou encore que tout est constitué de quatre éléments feu, terre, air, et eau.

Je ne veux pas qu'il y ai plus intelligent que mon fils en ce monde, mais puisque je ne suis pas capable d'enseigner correctement, vu que je n'ai jamais su te montrer comment on se sert d'une épée, notre fils devait partir ! Mais même si je suis coupable a tes yeux de penser au bien être intellectuel de notre fils avant de penser a ce que tu penses saches que Junior a eu le choix entre partir ou rester et bien qu'il sache qu'il ne nous verrait pas avant longtemps il a préféré partir !

Lui sait que ne pas nous voir pendant quelques années n'est rien ! Je n'ai même pas eu besoin d'utiliser des arguments comme le fait qu'il nous connaissait depuis beaucoup plus de temps que je n'ai jamais connu mes parents. Contrairement à toi notre fils sait ce qui vaut le mieux pour lui !

Vegoku se tut sans en dire plus non pas qu'il ne voulait pas en dire plus mais Lisy était entrée dans la pièce.

---fromFRLysithée

La vieille dame les avait ramener, elle et son frère à la maison. Maintenant à eux les bétises! Aprés un amusant cache cache dans les sous bois derrière la maison et une bagarre habituelle, -bah oui, sont jamais d'accord ces jeunes- ils étaient rentrés à la maison. Popa et moman étaient là bien sûr, et aprés les avoir mis au lit comme d'habitude, voilà que les jumeaux chahuttaient de nouveau. Mais le sommeil se fit vite sentir et les deux enfants finirent par s'endormir comme des loirs.

Alors que le soleil n'était pas levé, Lysi entendit du bruit et ouvrant ses yeux tous ensommeillés, elle vit son frêre sortir aprés la grande silhouette de Popa. Elle se leva rapidement, manqua trébucher dans ses couvertures -aussi maladroite que Moman- et voulu accompagner son frêre mais Popa l'a pas voulu...

Toute penaude elle était retournée se coucher. Popa il avait dit qu'il reviendrait bientôt alors elle attendrait Ti Veg. Elle referma les yeux et replongea dans son sommeil, où dansaient et virevoltaient quelques bouffon aux chapeaux rigolos et à grelots. D'où lui venaient donc ces images?... L'était drôle lui...

Un bruit de porte lui fit ouvrir les yeux et la petite fille vit que le soleil était levé. Mais c'est qui qui fait le bruieuh...? Lysi tenta de se rendormir sans succés. Et pis elle entendait Moman crier et Popa parler.

La petite curieuse aussi chipie que sa tata Kabotine, se leva, s'approcha de la porte sur la pointe de ses petits pieds et tendit l'oreille. Olala Moman l'avait pas l'air contente... Elle passa sa petite tête clair au coin du mur qui l'empéchait de voir, mais elle vit de suite qu'elle s'était faite voir... Oups... Popa se taisait et la regardait maintenant. Moman l'avait toujours pas l'air contente. C'est hésitante qu'elle entra dans la pièce, ses petites boucles tressautants à chacun de ses pas.

Z'êtes fassés?

Voui elle avait pris de toute la famille... Maladroite, chipie, coquine, et elle parlait aussi comme sa cousine. En parti. Elle remonta le petit jouet de bois que Tonton Mat lui avait fait et le serra contre elle.

Moi veux pas vous êtes fassés...

Sorianne

So allait tourner les talons et se sauver de cette maison pour le moins étouffante. Il fallait qu'elle sorte, car l'ambiance devenait vraiment mauvaise. Mais ce qu'elle entendit, sortant de la bouche de vegoku l'interloqua et elle le regarda effarée. Elle se rapprocha de lui, ne le lachant pas des yeux, Messire Vegoku avait beau etre bien plus grand, il ne l'effrayait pas le moins du monde. Tout comme il ne l'avait pas impressionné la premiere fois qu'elle l'avait vu a Castillon!

Maintenant tu me traites d'ignarde!!? Sachez Ooooo Grand Messire Vegoku que tout le monde n'a pas la science infuse! Non je n'ai pas le don de te faire des repas corrects! Non je ne sais pas situer des villes sans cette maudite carte! Mais lire et compter me suffisent amplement! beaucoup n'ont meme pas cette chance! Tu veux qu'il soit comme toi!? Un homme imbus de lui meme, a l'égo démesuré!? tu n'es pas parfait Vegoku!!

Quand il lui parla du maniement de l'épée qu'il lui avait offerte, nul doute qu'il faisait allusion au fait qu'elle ne se soit pas défendue quand Cadfael était revenu a Béziers... Ca aussi lui fit bien mal. Elle s'adressa a lui sur un ton bas. Elle avait perdu son envie de crier aprés lui. A cette heure, elle lui en voulait beaucoup...

Concernant ce que tu n'as soi disant pas réussi a m'enseigner, tu n'étais pas la pour en juger. Tu ne sais pas comment tout s'est passé. tu ne peux pas juger la dessus... Tu n'étais pas la quand il m'a surprise, tu n'étais pas la quand j'ai voulu le repousser, tu n'étais pas la quand j'ai essayé d'atteindre cette épée, tu n'étais pas la quand il a réussi a ma plaquer au sol, quand j'ai vu approcher sa dague, non tu n'étais pas la!! Tu n'as pas a juger la dessus!!!!

Elle n'écouta meme pas la fin de ce que Vegoku raconta. So en avait bien assez entendu et elle se contenta de poser les mains sur ses oreilles. En plus de la traiter d'imbécile, le voila qui lui disait qu'elle ne savait meme pas se défendre. Il n'était pas la quand elle avait failli perdre la vie a cause d'une femme qui avait payé l'homme qui l'avait attaqué et bien d'autres choses! Non pas la!!

Il s'interrompit et So ouvrit ses yeux baignés de larmes pour se tourner vers sa fille qui avait été réveillée comme elle s'en doutait. Essuyant ses larmes de la main, elle s'approcha de Lysi et s'accroupit devant elle, et s'adressa doucement a la petite.

Non, non on n'est pas fachés, ne t'en fais pas. Lysi? Tu peux rester ici et surveiller un peu la maison? Je dois sortir un peu. Tu fais la grande d'accord? Tu t'occupes de ton pere...

La derniere partie elle n'en pensait pas un seul petit mot. Il aurait pu disparaitre corps et ame maintenant elle ne s'en soucierait meme pas! Il l'avait blessé et elle allait s'en souvenir! Surtout a chaques fois qu'elle verrait sa fille sans son frere. sentant de nouvelles larmes arriver, elle se leva rapidement et sorti sans plus perdre de temps. Elle allait faire... Aucune idée mais tout sauf rester ici!
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Anonymous

Vegoku regrettait l'entrée de Lysi qui l'avait coupé dans son élan il aurait finalement mieux fait d'attendre que Sorianne le trouve en taverne ou dans la cave. Comme cela pas de risque que la petite débarque à l'improviste Vegoku regarda sa fille avec un sourire. Lui fâché ? Il était confortablement installé dans son fauteuil et il parlait sur son ton habituel alors lui fâché ? Cela était aussi vraisemblable que de penser qu'il lui suffisait de tendre le bras pour attraper la lune...

Vegoku regarda Sorianne s'approcher de Lysi et il n'aurait pas été surpris de la voir emmené leur fille avec elle par peur qu'il ne l'emporte dieu sait où. Mais non Sorianne demanda juste à Lysi de garder la maison et accessoirement son père. Vegoku resta immobile jusqu'a ce qu'il entende la porte se refermer sur Sorianne. Il se leva lentement et adressa un sourire à sa fille.

Bon j'avais prévu de faire un petit repas de famille afin de montrer que même si Junior était partit faire ses études nous demeurons une famille unie mais ta mère est très triste que Junior soit partit. Mais rassures toi ça ira vite mieux ! Alors qu'est ce que tu veux manger ? Parce qu'il faut que tu manges si tu ne veux pas rester éternellement petite !

Vegoku attrapa Lysi et la souleva aussi haut qu'il le pouvait.

Tu vois comme tu es plus grande que moi en ce moment ? Dis toi que c'est la différence qu'il y aura entre toi et Junior quand il reviendra. Je me demande juste lequel des deux sera le plus grand ? Aller en cuisine que je te montre comment on fait griller du poisson !

Oui Sorianne lui faisait la tête et la meilleure chose qu'il trouvait à cuisiner c'était du poisson. C'était peut être difficile à imaginer mais il cherchait pourtant bien à calmer So aussi surprenante que pouvait paraître sa façon de faire. Sans attendre réellement une réponse de la part de Lysi Vegoku la chargea sur son épaule comme un sac de blé et prit la direction de la cuisine.

Une fois arrivé il posa sa fille sur la table où il étalait habituellement les aliments qu'il allait cuisiner.

Tu m'en voudrais beaucoup si je te cuisinais à la place du poisson ?

Vegoku regarda sa fille dans les yeux tandis qu'il s'approchait des couteaux mais au dernier moment il s'arrêta.

Non à mieux y réfléchir je préfère encore le poisson !

Vegoku attrapa le poisson pendu au plafond et tendit une main à Lysi.

Bon nous irons dehors pour faire griller ce poisson... Tu as ce que je t'ai demandé de toujours avoir sur toi ?

---fromFRpopolopopo9

Popo arrivé devant la demeure de M'sieur Vegoku et Dame Sorianne, à l'adresse qu'on lui avait transmit le matin même par pigeon.
Elle sourit d'émerveillement devant une telle bâtisse, elle prit ses jumeaux dans ses bras et dit joyeusement.

Ooh!! Mes anges, cette maison est magnifique.

Popo regarda de plus près et décida d'y entré après quelque moment d'hésitation. Un pas en avant et de suite un pas en arrière revient la reprendre. Elle prit un grand souffle, respira et aller frappé delicatement sur la porte.

Bonjour, Il y a quelqu'un?
C'est Dame Popo, Dame Sorianne m'a invité c'matin...
Vous etes la?

Elle serra ses enfants contre elle, la peur au ventre de derangé la p'tite famille.Elle resta donc figé au pas de la porte avec un sourire.
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Cil va disant > Qui, malfaisant, ses pairs afflige

"Mendiant ou Noble
Seront tout un au jour du jugement"

---fromFRLysithée

Lysithée regarda Moman approcher. Bah qu'est ce qu'elle avait? La petite fille passa un petit doigt sur la joue mouillée de sa Moman et fit oui de la tete, secouant ses boucles. Puis Moman elle est partie. Elle regarda son Popa approcher. L'est graaaaaaaaand!

Suis po petite!! Alors......... Ze veux manzer....... Aaaaaaaaah!

La petite fille se retrouvabien haut dans les airs alors que son pere la portait a bout de bras, et éclata d'un rire joyeux. Et quand Popa lui dit qu'il ne savait pas lequel des deux serait plus grand entre son frere et elle, elle rvpondit rapidement

C'est moa qui sera plus grande!!! Comment qu'on fait griller du poisssson? (avec le cheveux sur la langue^^)

Lysithée riait de la posture dans laquelle elle se trouvait, et encore plus quand elle aterri sur la table, de plus belle quand elle entendit son Popa.

C'est po bon moa!

Mais elle poussa un grand cri en riant quand elle le vit vouloir la découper. Elle se releva et avec l'aide de vegoku descendit du plan de travail sur lequel elle était, et lui tenant la main, elle se dirigea dehors avec lui et quand Popa lui demanda si elle avait toujours ce qu'il lui avait demandé d'avoir elle le regarda avec un sourire voyou.

Z'a po l'droit Moman l'a dit! Mais moa l'aime bien.

Elle fouilla dans la poche du petit tablier qu'elle portait par dessus sa robe -oui elle est grande et s'habille vite en se levant^^, et faut pas salir la robe^^- et en sortit un petit fourreau, qui contenait une petite dague. Popa il avait dit que c'était si un méssant Mossieur l'arrivait. L'avait pas encore compris mais l'avait toujours avec elle!

Lysithée entendit soudain quelque chose, une voix... Elle tourna la tete et s'en alla en courant vers la maison pour voir qui c'était. Qu'elle curieuse...

Popa! Y a quelqu'un!

Elle arriva a l'entrée et vit une dame avec deux jumeaux.

Bonzour M'dame! Z'm'appelle Lysi! Vous voulez voir ma Moman et mon Popa? L'arrive!

Elle regardait les bébés avec curiosité.

Z'ont quel aze? Moi z'ai 5 ans! Mon frere aussi l'a 5 ans! Mais l'est parti s'matin! Mon Popa y faisait du poissssson grillé! V'nez manzer!!!

---fromFRpopolopopo9

Popo vit la p'tite devant elle et sourit

bonjour ma petiote. J'm'apelle Popo.
Mes enfants ont 6 mois, ils sont jumeaux comme toi et ton frèro!!

Elle regarde la p'tite avec un grand sourire.

Ooh!! Mais que tu ressemble a ton père toi

Bon et bien... j'vais te suivre.
Oui j'aimerais bien voir tes parents

.

Elle rentra avec ses jumeaux et suivit la petiote.
Elle regarda avec ampleur l'intérieur de la maison sans rien dire.
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Anonymous

Vegoku le va les yeux au ciel en entendant Lysi dire que Sorianne n'était pas d'accord avec le fait que les jumeaux aient de quoi se protéger. Elle aurait voulu qu'il éduque Junior chez eux mais, elle ne pouvait pas supporter le fait que ses enfants soient armés, alors que la maîtrise des armes était l'une des choses les plus importantes dans l'apprentissage des enfants... Vegoku n'oublierait pas de le lui faire remarquer lorsqu'elle rentrerait.

Bien ! Mais il faut quand même obéir à ta mère sauf bien sûr quand elle dit quelque chose de contraire à ce que moi je dis... Mes instructions doivent toujours passées avant...

Une fois dehors Vegoku regarda les alentours puis lâcha la main de Lysi de sa main libérée il ramassa quelques brindilles et une bûche. Il fit un pas pour prendre la direction de la forêt quand il entendit un bruit dans les environs de la maison. Il était prêt à ignorer ce bruit puisqu'il n'y avait personne à la maison qui risquait d'être en danger si c'était le bruit signifiant l'arrivée d'un agresseur... Mais Lysi qui avait entendu elle aussi se précipita vers l'entrée. Mais ce n’était pas possible d'avoir une fille qui courait comme cela devant le danger !

Vegoku décida de regarder qui s'était mais il n'avait pas envie d'aller saluer une quelconque personne venu rendre visite à So. Après avoir fait quelques pas Vegoku se retrouva à la perpendiculaire de l'entrée ce qui lui permis devoir qui était là. Si sa vision ne lui jouait pas de tour il connaissait la femme qui parlait avec Lysi mais il ne lui avait pas dit où il habitait il n'avait d'ailleurs dit à personne où il habitait mis à part à Kab...

Vegoku haussa les épaules avant de s'enfoncer dans la forêt il avança sur une vingtaine ou une trentaine de mètres avant de trouver ce qu'il cherchait. Avec un sourire il laissa tomber la bûche et les brindilles au coeur du cercle de pierre il attrapa ensuite la broche appuyée contre l'un des deux piquets plantés de par et d'autre du cercle de pierre. Vegoku transperça le poisson d'avant vers l'arrière avec sa broche Il posa ensuite les deux extrémités de la broche sur les deux piquets puis, il s'accroupit et tenta d'allumer un feu. Il réussit rapidement et partit ramasser quelques brindilles mais sans jamais perdre le poisson qui grillait de vu.

Il savait que la forêt était remplit d'animaux qui raffoleraient d'un aussi joli poisson mais il ne fallait pas compter sur Vegoku pour leur faciliter la tâche même si c'était Vif et Crocs qui venait s'approprier ce poisson... En parlant d'eux cela faisait un moment que Vegoku ne les avait pas vu ces deux-là... Revenant auprès du poisson griller Vegoku vit un buisson bouger lentement il se baissa pour ramasser un caillou qu'il lança en direction du buisson suspect. Mais avant que le caillou n'eut atteint sa cible un loup gris sortit du buisson et fonça en direction du poisson.

D'un geste rapide Vegoku plongea une main dans ses poches et en sortit deux dagues il lança la première un peu devant le loup qui fonçait pour le stopper dans sa course tandis que la seconde allait vers la droite où un deuxième loup venait d'apparaître, avec un sourire Vegoku vit les deux loups s'immobiliser puis déplanter les dagues du sol pour les lui ramener.

Justement je pensais à vous ! Mais pas pour vous donner ce poisson... Si vous avez faim vous êtes libre de chasser ce que vous voulez sauf les membres de la famille... Mais avant de repartir en chasse aller chercher la petite maîtresse et interdiction de manger celle qui l'accompagne elle doit être là parce qu'elle a été invitée... Allez ouste !

Dans un éclair les deux loups prirent la direction de la maison et disparurent avec un sourire Vegoku se baissa pour ramasser les deux dagues qu'il avait posé au sol. Lentement Vegoku s'approcha du poisson qui grillait et après avoir mit quelques brindilles dans le feu il commença à faire tourner la broche conscient que la bonne odeur qui se dégageait du poisson attirerait au moins un autre gourmand...

---fromFRLysithée

Lysi entraina la Dame à travers la maison. Elle allait la faire ressortir de l'autre côté pour lui montrer par où passer! Et pis derrière la maison y avait la forêt! C'était bien la forêt! (une vraie sauvageonne)

Moi j'ressemble à Popa! Et j's'ra comme lui quand j's'rai grande! Grande com'ça!

Elle se dresse sur la pointe des pieds et tend bien haut le bras...

Encore plus haut!!

Lysi attrape ensuite le tissu de la robe de la Dame Popo et l'entraine avec elle vers l'extérieur de la masure.

Mon Popa y montre comment griller du poisssson.

A peine dehors, qui vit-elle débouler? Vif et Crocs. En riant elle alla les caresser et les suivit alors qu'ils se rapprochaient des bois.

Z'allez manzer avec nous Dame Popo? Ma Moman va rev'nir!

Popa en vue!!! Elle court et lui saute sur le dos, bah oui, autant en profiter tant qu'il est accroupi sinon elle ne risquait pas d'y arriver un jour...

Popa!!! Y a Dame Popo qu'est là!

---fromFRpopolopopo9

Popo regarda attentivement la p'tite.
Elle se mit alors à penser à son troisième enfant qui lui aussi été de ressemblé à son père avant qu'il ne disparaisse à jamais. Son accent la fessait sourire, elle ne disait rien et la laissé parlé dans son langage puis Popo intervient.

Ooh!! Ne vous dérangez pas pour moi voyons, j'veut point vous importuné.

Elle sourit discrètement, mit dans main dans sa besace et en sorti une plume, de l'encre, et un parchemin.
Elle se planta contre le mur et écrit un p'tit message:

Citation:

Cher Vegoku et Sorianne,

J'vais point vous embêté avec mes problèmes de logement, c'est pour ce que j'ai trouvé ou me reposé pendant une semaine, oui... une bonne retraite dans un abbaye près de la... nous y seront bien moi et mes enfants.

Bonne journée.
Veuillez me pardonné de cette affront...

Popo

Elle s'empara du parchemin, le roula et le donna a la p'tite fille.

Tien dès que j'me serais absenté, tu donneras cela a ton père de ma part.
Merci P'tite pour cet bel accueil, a bientôt j'espère.

Elle se senti soudain honteuse de ce geste mais tellement libéré de ne plus importuné cette gentille famille.
Elle l'a regarda une dernière fois, puis s'aperçut que le ciel se couvré très vite aujourd'hui, elle prit sa besace et courut avec ses enfants vers l'église la plus proche pour y trouvé repos.
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Sorianne

So avait finit par se calmer mais une colere froide était toujours présente. Il ne l'emporterait pas au paradis, loin de la. En rentrant, elle l'avait ignoré, faisant mine de rien quand elle parlait avec Lysi. Elle avait trouvé le mot de Dame Popo et était chagrinée qu'elle ne soit pas restée... Mais elle ne pouvait pas non plus la forcer. Les Nonnes s'occuperaient bien d'elle et de ses bébés, meme si Sorianne n'en savait rien en fait, n'ayant jamais mis un pied dans un couvent.

Quelques jours avaient passés, la colere de la jeune femme ne passait pas et elle en voulait toujours autant a celui qu'elle disait etre son mari. Bien grand mot que celui la... Mise en scene serait plus juste. Fiancés d'accord, mais en aucuns cas ils n'étaient mariés... S'ils se faisaient passer comme tel c'était juste pour sauver sa maudite réputation qui n'avait plus rien a sauver. Mais ca personne ne le savait mis a part leurs amis. Que n'aurait-elle donné a ce moment pour voir apparaitre Gabbi sur le pas de la porte... Ou Kab...

Allongée dans son lit aux cotés de Vegoku, elle repensa a ce qu'elle lui avait dit la veille... Cette fois pas de détours. Mais contrairement a ce qu'elle aurait pu penser avant cette nouvelle ne la réjouissait pas vraiment... Contrairement a lui qui avait semblé etre comblé. Ils n'en parleraient a personne. C'était leur secret a eux. Elle lui reparlait bien que lui en voulant toujours. Et ca n'avait pas l'air de vouloir passer. Bien plus froide que d'habitude et bien moins joyeuse, bien que ce ne soit pas ce visage qu'elle montre. Pas question de faire partager sa vie a d'autres qu'a elle meme. Tout le monde avait suffisament de soucis en ce moment. Les gens avaient l'air tellement tendus...

N'arrivant plus a trouver le sommeil, elle se leva et se rendit compte qu'elle ne savait meme pas quoi faire... Rien de bien passionnant en tous cas. Oh une idée! Elle afficha un petit sourire et ne prenant meme pas la peine de se vétir plus qu'elle ne l'était, une simple chemise, mais quand on habite dans un endroit aussi reculé, pas de risque d'etre vue ainsi.

Telle une sauvageonne, donc vétue de sa simple chemise, ses longs cheveux noirs lachés en bataille autour d'elle et nus pieds,(on sait maintenant de qui tient sa fille) qu'elle sortit et se rendit a la lisiere du bois derriere la maison. Les fraises étaient sans doutes pour bientot, peut-etre en trouverait-elle quelques une de mures...
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Anonymous

Finalement il n’y aurait peut être pas de troisième vorace ou du moins ce ne serait pas celui auquel il pensait. Le temps passait lentement et Vegoku restait accroupi à faire tourner le poisson en se demandant si Crocs et Vifs avaient fait ce qu’il leur avait demandé il n’eut pas besoin d’attendre longtemps pour le savoir. Les pas précipités de Lysi dans son dos signalaient qu’elle était en route, lentement Vegoku se tourna pour voir si sa fille était venu seul ou non, mais, avant qu’il ait pu commencé à tourner Lysi lui bondit sur le dos.

Instinctivement Vegoku se redressa complètement mais il ne se mit pas à tourner comme il le faisait à chaque fois que Kab ou So s’amusait à faire ça.

Aller descend de là sinon tu vas te faire mal ! Et je ne suis pas un cheval comme toutes les filles de cette famille semblent le croire.

Il attrapa les deux petites mains qui s’accrochaient à lui et souleva Lysi puis la posa au sol, après avoir regarder autour d’eux Vegoku s’accroupi afin d’être à peu près à la hauteur de sa fille.

Alors, tu as perdu notre invité ?

Lysi répondit négativement et tendit un morceau de parchemin à Vegoku celui-ci le survola rapidement puis le rendit à Lysi.

C’est bien dommage qu’elle soit partie je pense que ta mère sera déçue mais pas grave ça fera plus de poisson pour nous !

Vegoku se tourna vers le poisson qui grillait, il sortit une dague et piqua le poisson pour voir s’il était déjà prêt et il constata que oui. Il étouffa donc le feu avec de la terre puis prit la broche.

Demoiselle d’Olenius, demi-tour et en avant marche !

Avec un sourire Vegoku se mit à avancer pour rentrer une fois dans la cuisine il prépara l’assaisonnement du poisson puis, se servit lui et sa fille. Quand ils eurent finis de manger Veg et Lysi allèrent derrière pour jouer à un petit jeu qui n’était en fait rien d’autre qu’un cour d’auto défense. Le petit cours fini Vegoku et sa fille rentrèrent.

La colère de Sorianne ne perdit pas de son ampleur durant des jours et des jours puis, un soir en taverne elle lui apprit une si bonne nouvelle qu’il avait du mal à y croire. Mais Sorianne elle, n’avait pas l’air très joyeuse s’était à se demander si elle disait vrai. Pourtant Vegoku la croyait et avait accepté de garder le secret même si ce n’était pas cela qui allait racheter ses fautes.

Le lendemain matin Vegoku fut réveillé comme tous les jours par le pigeon de Basile qui venait lui donner des nouvelles, Vegoku survolé la lettre afin de voir si il pouvait la transmettre à Sorianne en état ou s’il devait la censurée, mais, là il ne s’était rien passé ils avaient juste dormis dans une auberge et étaient repartis au petit matin. Par précaution Basile ne mettait jamais le lieu où ils se trouvaient ni celui où il se rendrait au cas où la lettre serait interceptée et pour que Sorianne ne soit pas tenté de partir à leur recherche…

En regardant la pièce dans laquelle il remarqua que comme tous les jours depuis que Sorianne lui en voulait elle était réveillée avant lui et visiblement elle était même déjà partie en ville. Vegoku alla déposer la lettre de Junior sur la commode avant de quitter sa chambre et de se rendre à la Charente pour y prendre un bain.

Sorianne

Sorianne retint un frisson en s'enfoncant dans les bois. Il faisait légerement frisquet en ce matin d'Avril, et l'aube pointait seulement. Elle avancait lentement, prenant garde d'éviter les branches trainant au sol et trouva quelques pieds de fraisiers, mais aucun ne semblait avoir de fruits murs... Tanpis, il y en aurait bientot.

La jeune femme fit demi-tour et se raidit soudain en sentant quelque chose la retenir par la fine chemise qu'elle portait. Se retournant rapidement, s'attendant a voir un homme, ou ce monstre de Cadfael, qui avait le pouvoir d'apparaitre quand on s'y attendait le moins, mais le soupire de soulagement qu'elle poussa fut a la hauteur de ses frayeurs. So décrocha le tissu de la branche qui l'avait aggripé. Elle avait eu tellement de mauvaises aventures que maintenant a la moindre chose elle se faisait des peurs bleues.

Bras croisés sur la poitrine, cherchant a se tenir chaud, elle redescendit vers la maison quand elle vit Vegoku qui s'éloignait en direction du fleuve. So esquissa un pas en direction de leur demeure mais quelque chose la retint... Regardant de nouveau son fiancé au loin, elle repensa a ce qu'il avait fait... A ce pour quoi elle lui en voulait... Oui elle lui en voulait énormément. Mais...

Otant les cheveux qui se plaquerent sur son visage a la suite d'un coup de vent, elle prit la direction dans laquelle allait Goku. Le soleil était loin de se lever et Lysi de meme. Quand ils rentreraient elle dormirait sans doutes encore. Personne ne viendrait par ici.

Nus pieds toujours, elle avancait dans la lande jusqu'a arriver a l'endroit ou se baignait Vegoku... Il n'avait pas encore fait attention a elle, et So se mis assise sur le bord de la Charente, ramenant ses genoux contre elle, et posant son menton dessus tout en observant son mari dans l'eau. Elle mourrait d'envie de le rejoindre, de se serrer contre lui et bien plus encore... Mais son maudit orgueil la retenait. Elle avait passé des jours a lui en vouloir et voila qu'elle songeait a tout oublier...

...

Sans plus réfléchir davantage, elle se leva et se laissa descendre dans l'eau glacée, sa chemise et ses longs cheveux flottant autour d'elle, et se rendit directement dans les bras de Vegoku. Elle n'en pouvait plus de ne pas lui parler, de ne plus rire avec lui. Et ils avaient une bonne nouvelle a feter, non a bouder. Elle ferma les yeux pour dissimuler les quelques larmes qui s'échappaient

Je t'aime Goku...
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Anonymous

Après avoir vérifier que sa fille dormait toujours à poings fermés Vegoku sortit de la maison une fois à l’extérieur il se mit à marcher sans précipitation vers la Charente. Comme toujours le cours d’eau semblait calme on pourrait presque penser qu’il n’y avait pas de courant. En avançant Vegoku repensa aux jours qui s’étaient écroulés et à la haine que Sorianne lui vouait, il pensa aussi à Junior qui était loin maintenant bien que toujours pas près d’arrivée… Une idée farfelue vint soudain à l’esprit de Vegoku : et si pour une fois s’était lui qui faisait le premier pas vers un cessez le feu… Jusqu’à maintenant s’était toujours Sorianne qui venait pour faire la paix et si pour une fois s’était lui qui allait à elle ?

Une étrange sensation de froid tira Vegoku de ses pensées il fit un bon en arrière et regarda devant lui au niveau du sol pour voir ce qui l’avait tiré de ses pensées et il vit : de l’eau ! Vegoku regarda la Charente puis la maison qu’il venait de quitter un peu surpris d’avoir fait le chemin en si peu de temps alors qu’il prenait son temps. Mais bon il ne perdit pas des heures à calculer la distance entre la maison et l’eau puis la distance qu’il parcourait à chaque pas il faisait. Non au lieu de faire ses calculs il se déshabilla et entra dans l’eau lentement.

Une fois qu’il fut à un endroit suffisamment profond il plongea dans l’eau afin de réfléchir à comment lancer les négociations pour un cessez le feu avec Sorianne. Jusqu’à maintenant il n’avait jamais vraiment essayé de le faire alors son esprit partait un peu dans tous les sens… Il pensait à préparer un plat que So aimait bien mais il se souvint qu’elle n’avait jamais fait ça pour lancer les négociations… Vegoku ressortit de l’eau afin de respirer avec une bonne résolution en tête : quand il verrait Sorianne il improviserait !

Mais en sortant de l’eau il se rendit compte qu’il allait vraiment devoir improviser et le plus vite serait le mieux. Il n’eut cependant pas le temps de sortir quoique ce soit que Sorianne fonçait droit sur lui. Vegoku fit rapidement la liste de ce qu’elle pouvait lui reprocher cette fois mais il n’y avait strictement rien sur cette liste, pourtant, Sorianne fonçait toujours droit vers lui, il ferma un œil non pas parce qu’il sentait que le coup de So allait lui faire mal mais plutôt parce qu’en générale c’était ce que faisait les gens qui allait recevoir un coup…

Heureusement ou malheureusement il ne reçu pas de coup au contraire c’est délicatement que Sorianne se jeta dans ses bras. Vegoku ferma les yeux et oublia tous les discours -qu’il n’avait pas encore imaginé soit dit en passant- quand Sorianne lui dit qu’elle l’aimait. Une fois de plus il n’allait pas avoir besoin de faire la paix. Pour montrer sa joie Vegoku attrapa Sori par la taille et la souleva aussi haut qu’il le pouvait.

Moi aussi je t’aime ma naine !

Il sourit en faisant Sorianne descendre de quelques centimètres une fois qu’elle fut à la bonne hauteur Vegoku embrassa amoureusement sa femme afin de faire le plein avant la prochaine dispute et surtout afin de montrer sa joie pour la bonne nouvelle qu’elle lui avait annoncé la veille.

Sorianne

Un sourire quand elle le sent l'enlacer. Elle était si bien là... Juste tous les deux. Rien qu'eux deux. Et pour la vie. Tous les deux à jamais. Ils pouvaient bien avoir des désaccords, se faire la tête, jamais elle ne pourrait l'oublier ou lui en vouloir assez pour ça. Dire qu'elle l'aimait était un doux euphémisme mais aucun mot ne serait assez fort.

Elle répondit à son baiser avec une passion non dissimulée, cachant son sourire de bonheur derrière, et l'enlaça à son tour alors qu'il la portait. Elle ne lui avait pas parlé depuis trop de temps. L'avait évité depuis trop de temps. So ne voulait maintenant qu'une chose, vivre un instant en paix et profiter du temps qui passait. Loin des histoires, loin de la politique et de tout ce que cela engendre dans les esprits. Juste vivre en paix et... En famille!

L'esprit de Sorianne commençait à s'échauffer avec le baiser qu'elle échangeait avec Vegoku mais l'eau autour d'eux était quelque peu... Froide! Et elle la rappelait à l'ordre, lui faisant discrétement remarquer qu'elle n'était vétue que de sa chemise, en tout et pour tout. Mettant difficilement le baiser en pause, elle s'écarta un peu et regarda Goku avec un sourire, éloignant une mèche de cheveux du bout du doigt

Il fait froid tu sais?

Ca, elle avait bien une idée pour se réchauffer mais en y pensant son sourire se fit plus large et ses joues s'empourprèrent. Lentement, elle se dégagea de l'étreinte de Vegoku, retombant doucement dans l'eau glacée, et s'élogna à reculons vers la berge. Avec un sourire on ne peut plus voyou, elle s'adressa à son époux

Que dirais-tu d'une petite chasse?

La jeune femme reprit pieds sur la terre ferme, toujours en observant Goku, mais les bras croisés contre elle, sentant la morsure du vent sur elle. Qu'elle idée d'avoir foncé tête baissée dans l'eau sans prendre en compte qu'il allait falloir rentrer jusqu'a la maison trempée! Mais il y avait quelque chose de plutôt bénéfique dans cette situation... La coquine étant trempée, la chemise ne cachait rien de ses formes! C'est avec un grand rire joyeux qu'elle partit en courant en direction de leur demeure quand elle vit qu'il commençait à se prendre au jeu et aprés s'être éhontément exposée à sa vue en jouant de ses charmes!^^
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Anonymous

Vegoku profitait de ce baiser qui était le premier depuis beaucoup trop de temps c’est fou comme quelqu’un que vous voyez tous les jours et avec qui vous dormiez pouvait quand même vous manquer. Même les monologues interminables de So lui manquait c’est dire ! Mais il n’aurait jamais été jusqu’à promettre de tenir une conversation de plus d’une heure avec sa femme. C’est que mine de rien elle parlait cette naine ! Tenir une conversation avec elle était une tâche plus ardue que de s’attaquer à une meute de loups affamés mains nues.

Mais bon pour le moment les lèvres de Sorianne étaient utilisées à des fins plus utiles et au combien plus agréable que de futiles paroles. Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin et c’est Sorianne qui signa la fin de cet instant merveilleux. Vegoku regarda Sori à la recherche d’un indice qui pourrait lui dire pourquoi elle avait fait ça, mais, la réponse ne lui parvint pas grâce aux yeux de son épouse mais plutôt par ses lèvres. Comme cela il faisait froid ? Vegoku qui avait connu pire comme température et qui avait aussi l’habitude de venir se baigner dans la Charente par ce froid ne l’avait pas remarqué. Mais il est vrai que So a toujours été frileuse donc c‘était tout à fait normal qu‘elle ait froid.

Saches que quand tu es dans mes bras je n’ai jamais froid ! Donc pour moi il ne fait pas froid. Mais si tu insistes je suis d‘accord pour rentrer je suis sûr qu‘une bonne couverture te réchaufferas sinon je serais toujours là moi !

Vegoku retint Sorianne un instant tandis qu’elle essayait de se libérer puis un coup un léger coup de vent lui rappela qu’il ne faisait pas chaud, même pour lui. Il décida donc de laisser Sorianne prendre le large… Non en fait elle prenait la berge… Il termina le bain qu’il avait commencé sans pour autant quitter Sori des yeux, cette fois, il était certain de savoir ce à quoi elle pensait. Mais ce n’est pas pour autant qu’il se pressa, non, il n’y avait rien de mieux que se laisser désirer ! Par contre quand il entendit la proposition de Sorianne un large sourire se dessina sur son visage.

Mais il ne répondit pas il se contenta de regarder So qui lui montrait tout ce qu’il perdait en acceptant pas sa proposition. Vegoku fit mine de réfléchir à la question avant de sortir de l’eau il ramassa ses affaires et laissa So prendre un peu d’avance. Quand elle fut suffisamment éloignée Vegoku se lança à sa poursuite il n’y avait pas à dire c’était le jour et la nuit entre les deux avancées à coté de Vegoku, Sorianne avait l’air d’être à l’arrêt si ce n’est l’air de reculer. Enfin ça s’était au départ mais par la suite elle lança elle aussi une accélération malgré cela un seul pas de Vegoku équivalait à trois pas de Sorianne.

A moins d’une dizaine de mètres de la maison Vegoku marchait afin de ne pas terminer la chasse trop tôt. Il suivit tranquillement Sorianne jusqu’à la chambre et lorsqu’elle voulu fermé la porte derrière elle Vegoku lança l’une de ses chausses qui empêcha la fermeture de la porte. Avec un sourire il ouvrit la porte et regarda dans la chambre avec un sourire.

A moins que tu ne sautes par la fenêtre je pense que j’ai gagné !

Sorianne

So avancait vers la maison d'un bon pas, elle ne comptait pas se faire rattraper bien que les enjambées de Veg soient bien plus longues que les siennes. D'ailleurs, jetant un coup d'oeil derriere elle, la jeune femme le vit gagner du terrain, ce qui l'a fit accélérer un peu. Bon sang qu'il fait froid! Tout en courant elle se couvrait du mieux qu'elle le pouvait avec ses bras mais ce n'éest pas chose facile lorsque l'on court.

Elle arriva enfin a la maison, passa la porte, ralentit devant la chambre de Lysi, on allait pas la réveiller maintenant quand meme! Et se faufila dans sa chambre. So allait fermer la porte mais quelque chose l'en empécha. Sans vraiment faire attention a ce dont il s'agissait, elle se tourna rapidement, cherchant a trouver ou se cacher. Pas sous le lit, ce serait trop flagrant... Rhoooo, mais elle n'eut pas le temps de chercher davantage que la porte s'ouvrait.

Aussi rapidement et silencieusement que possible, elle suivit le panneau de bois pour se cacher derriere avant d'entendre Vegoku parler. Elle regarda la fenetre avec un sourire, la elle en était bien loin... La jeune femme essayait de faire le moins de bruit possible, mais c'est loin d'etre évident quand on est gelé et essoufflé... Aussi fut-elle vite repérée. Fallait s'y attendre! Donc avec un sourire taquin, Sorianne répondit a Vegoku.

Je suis pas certaine que tu ais gagné... Tu ne m'as pas encore attrapé...

Mais c'était sans compter sur ce tricheur! Et avant qu'elle ait pu s'éloigner assez elle se retrouvait prisonniere. Bah peu importe c'était le but! Reprenant son souffle, elle se colla un peu plus a Messire Vegoku, un peu dans l'histoire de se réchauffer... Passant les bras autour du cou de son géant, elle le regarda l'air penaude mais dissimulant mal un sourire.

Bon, maintenant j'avoue que tu as gagné... Mais je suis toujours gelée...

Grand sourire innocent, elle l'attrape doucement par la nuque afin de le faire se pencher un peu pour pouvoir l'embrasser a son aise. Mais pas trop! Juste assez cependant... Elle finit par s'écarter lentement et avec un petit sourire provocateur, fait quelques pas en arriere tout en tirant sur le lacet qui retient la chemise......

Lovée contre Vegoku, elle avait fini par se rendormir. Faut dire que depuis les quelques jours ou elle ne lui avait pas parlé, elle n'avait que peu dormi. Mais le soleil vint jouer des siennes par la fenetre et elle ouvrit les yeux. Oh! Le soleil était déja haut! Mais elle n'avait pas envie de quitter ces bras dans lesquelles elle se tenait. Observant la chambre, elle remarqua une missive posée sur la commode. Tout doucement elle s'échappa de sa place, entrainant les draps dans lesquels elle s'enroula, et alla regarder de quoi il s'agissait... Un petit sourire s'afficha sur son visage... Tous les jours ils leur donnaient des nouvelles... C'était une maigre consolation, mais c'était toujours ca quand meme...

Goku?

Sorianne remonta sur le lit, allant embéter son mari, a plat ventre sur lui, appuyée sur les coudes, et joua avec le bout d'une meche de cheveux, dessinnant des petits cercles sur la peau de Veg...

Tu crois qu'on peut garder le secret alors? Ou qu'on doit quand meme le dire? Et tu crois que...

Elle se penche a l'oreille de Goku, sait-on jamais si Lysi arrive, ce qu'il ne vaudrait mieux pas qu'elle fasse, et lui chuchotte la fin de sa phrase... Avant de le regarder avec un petit sourire en frolant la cicatrice qu'elle portait, du bout du doigt.

J'espere que cette fois ci je ne me ferait pas attaquer comme la derniere fois que je me suis retrouvée dans cette situation... Ce serait le comble je crois^^ Il avait bien choisit son moment...

Avant de se redresser a genoux, en continuant de serrer le drap contre elle.

Tu sais de quoi j'ai envie? D'un bain! Un bain chaud! Pas un bain dans la Charente! On a pas idée de se baigner la dedans alors que c'est glacé! On va attraper la mort! Et ca il n'y a pas intéret!
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Anonymous

En regardant à l’intérieur de la chambre Vegoku dressa une liste des endroit où une naine pouvait se cacher en quelques secondes. Il pensa tout d’abord à regarder sous le lit et c’est pour cette raison qu’il commença à fermer la porte -il n’allait quand même pas laisser So s’enfuir maintenant qu’elle était prise au piège !- mais en fermant la porte Vegoku vit derrière quelqu’un qui ressemblait drôlement à Sorianne. Vegoku sourit en lançant à So un regard amusé afin de lui faire comprendre qu’elle n’avait aucune échappatoire. Mais, So voulu qu’il l’attrape pour finir la partie. Il n’y avait rien de plus facile vu la distance qui les séparait. A peine Sorianne fit-elle un pas en arrière que les deux bras de Vegoku passaient autour de sa taille et la ramenait vers son époux.

Un sourire victorieux se dessina sur les lèvres de Vegoku il ne voyait pas qu’elle excuse Sorianne pourrait encore donner mais en même temps il ne pensait pas vraiment qu’elle cherchait quoique ce soit de ce genre. En silence il attendait que Sorianne reprenne son souffle et le déclare gagnant, il attendait mais si la déclaration tardait à venir il goûterait à sa récompense avant été sacré vainqueur. Mais il n’eut pas à en venir là Sorianne le déclara vainqueur et après lui avoir donner un avant goût de sa récompense elle commença à reculer et sans même prendre le temps de réfléchir Vegoku suivit le mouvement. On n’allait pas laisser Sorianne mourir de froid quand même !

Contrairement à Sorianne Vegoku lui ne parvint pas à retrouver le sommeil il n’avait pas pour habitude de dormir plus qu’il ne le fallait et là il avait déjà eu son compte de sommeil. Il resta donc à contempler en silence les traits de Sorianne, les heures passant il commençait à avoir faim mais il n’avait pas envie de réveiller Sorianne en se levant, surtout que le silence régnait en maître dans la chambre puisque contrairement à ce que Vegoku prétendait quand sa femme était éveillée, elle ne ronflait pas.

Au bout d’un moment les prémices du réveil de So le firent sourire tandis que mentalement il disait ‘‘Adieu le silence et la tranquillité… Bonjour So’’ ^^ Quand Sorianne eut fini de se relever Vegoku lui dormait ou plutôt faisait semblant il sentit un moment le regard de So se poser sur lui et ne bougea plus. Essayant de s’imiter en train de dormir il fallait croire que son imitation était réussie puisque Sorianne fini par se lever et à s’enfuir avec les draps. Entrouvrant un œil il la vit en train de se déplacer vers la commode où se trouvait la lettre de Basile il referma son œil et continua à faire semblant de dormir.

Peu après il entendit la voix de Sorianne l’appeler et il entrouvrit un œil qui malheureusement croisa le regard de So. Il referma son œil dans la fraction de seconde qui suivit bien qu’il se doutait que le mal était déjà fait. En effet quelques instants plus tard il sentit Sorianne s’allonger sur lui. Il ouvrit les yeux en essayant d’avoir l’air un peu perdu de quelqu’un qui se fait réveiller avant de faire un sourire.

Bonjour la naine de mon cœur !

Il sourit en entendant Sorianne entamer déjà la conversation il n’y avait pas à dire elle était réveillée !

Je pense que l’on ferait mieux de garder le secret autant que possible. Enfin si tu t’en sens capable ! Sinon je pense qu’une seconde paire serait à envisager ! Et cette fois je ne te laisserais pas l’occasion de te faire une nouvelle fois attaquée !

Il sourit et regarda So se redresser avant d’éclater de rire en l’entendant.

Tu sais de quoi moi j’ai envie ? J‘ai envie de ça !

Vegoku attira Sorianne à lui et l’embrassa tendrement avant de dire en souriant :

Si tu veux un bain chaud prépares le toi-même !

Sorianne

Petit sourire lorsqu'il lui parla de nouvelle paire... Surtout ne pas penser au final. Surtout pas. Son sourire s'agrandit lorsqu'il lui montra de quoi lui il avait envie. C'est qu'elle avait déja oublié son bain. Elle n'avait jamais compris et ne le comprendrait sans doutes jamais, qu'un seul baiser de Vegoku suffise a lui faire perdre ses moyens et a la rendre folle. Aussi elle se contenta de répondre a son sourire quand il lui dit de préparer elle meme son bain.

Je crois qu'il attendra un peu... Je crois que j'ai autre chose a faire maintenant...

Le sourire de Sorianne s'agrandit un peu, avant qu'elle n'aille déposer tout un chapelet de baisers sur le visage de Vegoku en éméttant une sorte de roucoulement qui s'acheva en rire, puis elle l'embrassa de nouveau avec tout le désir qu'il avait fait naitre en elle de son simple baiser! Le malin...

C'est souriante et enjouée qu'elle alla trouver Lysi. La petite dormait toujours. Elle devait tenir ca de sa mere c'est pas possible autrement. So la réveilla et s'occupa d'elle. Une fois sa fille partie jouer a dieu sait quoi dieu sait ou, Sorianne se coula dans le bain fumant avec délices, pour en ressortir détendue comme rarement.

S'étant vétue d'une robe simple d'un vert profond, (a change du rouge^^), elle se coiffa d'un chignon lache, et se rendit auprés de Vegoku. Messire lui tournant le dos, elle arriva derriere lui aussi discrétement que possible et enroula ses bras autour de sa taille en souriant.

Est-ce que tu saurais par le plus pur hasard ou se cache ta fille?
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---fromFRLysithée

Le matin vient de se lever, Lysi ouvre un œil, réveillée par le rayon de soleil qui filtre à travers le volet fermé.
Se redresse lentement et s'étire tout ce qu'elle peut, avant de porter ses petites menottes à ses yeux encore ensommeillés.

L'est fatiguée Lysi...

Se frotte à nouveau les noeils, et se laisse tomber en arrière, sa tête rebondissant sur l'oreiller.

Dormir encore un peu. Voui, encore dodo.

Mais à peine quelques minutes passées, que moman arrive dans la chambre, et réveille la petite Lysi.

Bijour moman. fait-elle la voix encore tout endormie.

Les volets sont ouverts, la lumière pénètre dans la chambre chassant les ténèbres qui avaient pris possession des lieux. La petite fille regarde à travers la fenêtre que moman vient d'ouvrir.

Oooooh zoli soleil!! Ze veux aller zouer!! Dis moman ze peux aller zouer?! Dis oui s'il te pléééé, dis oui!!

Mais non, moman dit qu'il faut déjà faire la toilette. Eh bien tant pis, Lysi ira jouer après!^^

La tenue de nuit s'envole dans la pièce, et la petite fille se laisse faire, rigolant aux éclats quand sa moman lui chatouille le nombril avec le linge. Puis une jolie petite robe bleue est enfilée, et par-dessus, le tablier que moman a cousu avec bien du mal.

Suiiiiis beeeeelle!^^ fait-elle en tournant sur elle-même, s'amusant de voir la jupe gonfler. Comme moman!! Hein c'est vrai?^^ Ze peux aller zouer maintenant? S'il te pléééééé... -demande-t-elle à nouveau, ses grands yeux bleus suppliants-

Moman accepte. Youpiiiiii!! Et c'est une Lysi qui part en courant vers la porte après avoir récupéré son doudou de chiffon, et s'arrêtant subitement, pour se retourner face à moman qui lui demande d'être prudente.

Vi vi!! Ze fera trèèèèès attensssssion!!

Et la porte qui s'ouvre à la volée, franchie par une mini tornade bleue et blanche. Elle ouvre la porte d'entrée et sort à l'extérieur, oubliant de refermer après elle. L'appel du soleil était trop fort pour se rappeler des bonnes choses à faire.
Lysi lève son visage vers le ciel, et tournoie sur elle-même, les bras tendus sur les côtés, riant aux éclats. Voilà ce qu'elle aime par dessus tout, après moman et popa bien sûr. Etre dehors! Profiter de la nature.
Tout près de maison, le jeune gros gros chien de moman se lève en voyant la petite fille.

Ikoooo!!! Viens avec moa!! Allez viens!

Le loup, jugeant que pour le moment sa maîtresse n'a pas besoin d'elle, lève son postérieur et rejoint la mini maîtresse.

Ainsi c'est tous les deux qu'ils entrent dans la forêt, prêts pour une petite balade sous le beau ciel bleu.
Le doudou toujours en main, Lysi avance doucement, sans pour autant dépasser les limites que popa et moman ont fixées.

"Tu ne dois pas t'aventurer plus loin qu'ici" avaient-ils dit.

Lysi s'en souvient très bien, et n'a jamais pensé à enfreindre la règle. Aussi elle reste non loin de la maison, et attrape un bout de bois qu'elle lance devant elle.

Vas chercher Iko!! Vas chercher!

Le loup regarde le bout de bois passer devant lui, et reporte son attention sur la fillette. Apparemment il ne comprend pas très bien ce que mini maîtresse veut...

T'es po drôle Iko... Va chercher!! Allez va cher...

Mais un drôle de bruit se fait alors entendre, comme des miaulements aigües.

Chuuuuut!! Késkécé? Viens Iko, viens, on va voir.

La fillette et le loup s'approchent doucement du cri de l'animal, et découvrent un gros chat qui semble blessé à la patte.

Oooooh le poooovre!!

Lysi s'approche doucement, incapable de penser que le gros chat peut lui sauter dessus. Ce n'est qu'un chat après tout...

---fromFR**Miko**

Matin, soleil, dormir... Miko s'étale a son aise, en plein soleil. Aprés la chasse au lapin de cette nuit, rien ne valait un peu de repos. Mais avec un sursaut il se releve, les oreilles aux aguets, aprés avoir entendu un grand bruit. Curieux, le loup se leva, et se rendit au coin de la grange pour voir ce qui avait fait ce raffut. Et il vit la petite maitresse.

Penchant la tete sur le coté quand il l'entend l'appeler. Il jeta un oeil vers le coin ou il s'était étendu... Et regarda de nouveau la mini maitresse. Ou étaient les grands? Bah, la maitresse était avec le maitre, il pouvait s'en aller. S'il devait surveiller la maitresse, il devait peut etre faire sans doute la meme chose avec sa fille... Et le voila qui va vers elle au trot avant de la suivre...

Quand elle s'arrete, Miko en fait de meme, se mettant assit tranquillement, baillant a s'en décrocher la machoire. Les yeux a moitié clos, il les ouvre entierement quand il voit la mini maitresse lui agiter quelque chose sous le nez. Essayant de voir de quoi il s'agissait il n'en eut pas le temps car elle l'avait déja lancé au loin avant de crier quelque chose...

Penchant la tete en la regardant il se demandait ce qu'elle disait... "va chercher"... Ca veut dire quoi ca? Mais le loup n'eut pas le temps de se le demander plus qu'un bruit se fait entendre. La, les oreilles de Miko se dressent et le canidé commence a se lécher les babines. Une petite chasse s'annonce? Il se leve et emboite le pas de la maitresse, jusqu'a trouver un gros chat sauvage. Il est pas comme les autres lui...

Le gros loup ne trouve rien d'autre a faire que d'émettre un grognement gourmand, et de s'approcher doucement, aux cotés de Lysithée...

---fromFRGeorge Le Futé

George était sortit de la taverne d’antan légère déçu oui légèrement car même s’il espérait de trouver un jour quelqu’un qui le reconnaîtrait il savait que les chances pour que cela arrive était infime voir nulles.
Accroupi aux bords de la Charente Le Futé se dit qu’il pouvait très bien se jeter dans le fleuve sans que personne ne s’aperçoive de sa mort, ou du moins pas avant que son corps ne se fasse coincer par un objet quelconque.
Pendant un instant il fut tenter de le faire mais il se reprit.

‘‘Non George, tu as peut être tous les défauts du monde mais tu n’es pas un lâche !
Personne ne te cherches alors ne te cherches plus toi-même !
Si tu as oublier ton passé ce n’est certainement pas pour lui courir après maintenant !
Tu peux faire ta vie où tu veux il suffit que tu le veuilles alors lèves toi et marches ! ’’

Le Futé après ce monologue se redressa et commença à remonter la Charente il ne savait pas pourquoi il le faisait mais au moins il savait qu’il le faisait.
Tout en marchant il dégaina son épée et s’amusa à trancher l’air avec, d’abord de la main droite puis de la gauche.
Il sourit en voyant qu’il s’améliorait puis soudain il rengaina son épée et fouilla dans sa besace il en sortit la petite fiole qui lui avait coûté les yeux de la tête et….
Hop dans la Charente !

George avançait maintenant d’un pas plus léger et sûr de lui à partir de maintenant il était George Le Futé l’homme sans passé.
De toutes façon le passé ça ne servait à rien car la majorité du temps il ne faisait ressentir que de la tristesse.
Lui avait été épargné par cela alors il n’allait pas s’en plaindre !
Marchant depuis un moment George vit une magnifique maison.

-Waouh !
Qui peut bien habiter là ?

Il s’arrêta un moment pour admirer la maison quand une voix dit dans sa tête :
« Je suis navrée Messire, mais il est temps que je vous quitte... J'espère sincèrement que vous trouverez ce que vous cherchez, et si le coeur vous en dit, j'habite en amont de la rivière, ou du fleuve je n'ai jamais vraiment su^^. A une trentaine de minutes... Au revoir Messire George le Futé. »
George regarda la maison et se dit que cela ne pouvait pas être celle dont lui parlait Sorianne…

A moins qu’elle ne soit riche…
George regarda la maison et se dit qu’en effet vu les lieux la personne qui habitait là ne devait pas être n’importe qui.
Il s’approcha de la maison curieux de voir à qui elle appartenait et il apperçu un homme graaaaaaaaand non très graaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaand et qui en plus n’avait pas l’air commode George décida de faire demi-tour avant de se faire remarquer…
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Un jour votre insouciant ami... L'autre un dangereux assassin.

---fromFRBenoit_un_page

Sa course ne faisait que commencer. Il était encore très loin de cette demeure. Ca au moins il en était sûr. Car dans sa course folle il ne cessait de se dire qu'il ignorait tout du lieu où pouvait se trouver cette foutue maison. Mais peut importe il courait. Le maître savait vaguement quelle se trouvait à proximité voir carrément dans la forêt. Le long de la Charente. Mais alors où ?

Il tirait ses informations des rumeurs c'est dire leur fiabilité.

Et pourtant Benoît était là à ce moment là chercher une demeure qui était peut-être tout à fait ailleurs. Qu'il ne vienne pas dire ensuite qu'il ne se décarcassait pas pour lui.

Sa course folle continuait. Il aurait au moins plus d'un quart d'heure pour arriver dans son secteur et peut-être autant pour la trouver.

Malgré tout il avait un avantage sur cet homme. Sur ce rache dont parlait le message du maître. Lui ne connaissait pas cette forêt. Lui ne savait pas comment éviter les chausses-trappes et les pièges qu'elle pouvait avoir.

Mais lui connaissait bien mieux que Benoît Vegoku. Alors n'étaient-ils pas sur un pied d'égalité ? Sans doute.

Toujours est-il qu'il continuait à courir.
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- PNJ contrôlé par Forth With -

Anonymous

Vegoku eut un sourire lorsque Sorianne dit que le bain pouvait attendre qu’elle avait autre chose à faire dans l’immédiat. Cela tombait bien puisque lui-même avait quelque chose de plus urgent à faire et visiblement ses projets correspondaient à ceux de So…

Profitant que So soit en train de s’occuper de leur fille Vegoku lui prépara le bain de son épouse si plus tôt elle aurait dû se le préparer elle-même maintenant c’était lui qui s’en chargeait. Une fois le bain de son épouse préparer Vegoku se vêtit tout de noir comme d’habitude. Il ne lui manquait plus que son plan pour la journée il pourrait peut être commencé ce qu’il n’arrêtait pas de remettre au lendemain…

Tout en réfléchissant Vegoku sortit de la maison et fit quelques pas en direction de la forêt il se stoppa à mi-chemin et regarda en direction de la maison où il avait entendu une porte s’ouvrir à la volée. Il sourit en voyant Lysi et se dit que finalement cela pouvait bien attendre jusqu’au lendemain. De toutes façon Junior n’était pas arrivé alors cela ne servirait à rien de commencer à apprendre à Lysi les choses que tous les d’Olenius devaient savoir.

Vegoku observa sa fille qui visiblement essayait d’entraîner Miko dans ses mauvais coups de la journée. De là où il était il vit le loup emboîter le pas de Lysi et tout deux prirent la direction de la forêt. Vegoku regarda l’endroit où ils avaient disparus en se demandant s’il devait les suivre ou pas. Il réfléchit un instant et se dit que ce n’était pas la peine Lysi était avec Miko et elle avait certainement sa dague sur elle donc pas la peine de s’inquiéter.

Vegoku ferma les yeux et écouta son bruit favori : le silence. Il n’y avait rien de mieux que d’habiter loin de la ville et de son désordre permanant. On pouvait dire ce que l’on voulait sur la ville et la forêt mais, pour Vegoku, les animaux étaient de loin plus civilisés que les hommes, mis à part quelques oiseaux les animaux ne se dérangeaient pas les uns les autres à hurler toute la journée. Vegoku sourit en entendant de légers bruits de pas se rapprocher de lui. Pas besoin d’ouvrir les yeux et de se retourner pour savoir qui essayait de lui faire une surprise.

Avec un sourire Vegoku sentit deux bras s’enrouler autour de sa taille il posa ses mains sur celles de So et ouvrit lentement les yeux. Il jeta un regard en direction de la forêt en entendant la question de So avant de répondre avec un sourire.

Elle est partie quelque part avec Miko pourquoi ?

Vegoku tourna son regard vers la maison et vit quelqu’un qui était en train de s’éloigner… Vegoku haussa les sourcils tout ça n’était pas très net…

Hey toi là-bas ! Viens ici tout de suite !

L’homme sembla hésiter sur ce qu’il devait faire et Vegoku se défit de l’étreinte de Sorianne afin d'être prêt à prendre l’homme en chasse si jamais il tentait de prendre la fuite.

---fromFRBenoit_un_page

- PNJ contrôlé par Forth With -

Sorianne

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Anonymous

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Anonymous

Sorianne

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---fromFRLysithée

---fromFRBenoit_un_page

Citation:

- PNJ contrôlé par Forth With -

---fromFRGeorge Le Futé

---fromFR*Rache*

---fromFRSacha Net

Anonymous

Lisbelle

Chroniqueuse de la Grande Maison d’Attigny

Sorianne

Aprés avoir aquiscer a George lorsqu'il lui dit aller l'attendre a l'intérieur, Sorianne fronca quelque peu les sourcils quand Vegoku répondit a sa question par un sourire. C'était louche. Surtout qu'apparament l'homme qui était présent avait bien couru pour donner a Veg ce qu'il tenait... Et qu'elle aurait aimé pouvoir parcourir aussi... D'ailleurs elle essayait mais ce futé de mari, sans meme le vouloir le lui dissimulait... Alalala. Et le messager demanda a boire... Elle lui répondit avec un sourire

Bien sur Messire, je vais aller vous chercher ca. Puis regardant Lysi, Allez vient puce, tu vas aller soigner ce chat.

Entrainant sa fille, elle firent quelques pas en direction de la maison lorsqu'une voix se fit entendre, en provenance de la foret. So ne comprit pas le sens du mot, et elle chercha un instant ce que cela pouvait signifier. Mais quand elle entendit Vegoku leur dire de rentrer, c'est comme si la terre s'était ouvert sous elle. Regardant en direction de Goku, elle le vit s'élancer en direction du bois. La premiere chose qu'elle aurait faite auparavant, le rejoindre. Elle n'est pas du genre a obéir. Mais avec Lysi et... Lisbelle?! La fillette arrivait aussi.

Lisbelle! Vient vite!

Elle avait rencontré la jeune fille a plusieurs reprises en ville, mais elle ne se souvenait pas lui avoir dit ou elle habitait. Etait-ce une coincidence? Peut-etre qu'elle se promenait et qu'elle était tombée sur eux par hasard? Il fallait mettre Lysi a l'abri.

So poussait la fillette afin qu'elle avance aussi vite que possible. La pauvre semblait totalement perdue et il y avait de quoi! Une fois a l'intérieur, ne sachant trop si Benoit les avait suivit, s'il était reparti ou s'il avait suivi Vegoku, Elle appela celui en qui elle pensait pouvoir avoir un peu confiance.

Messire George!! Messire George! Je vous confie Lysi! Je n'ai pas le temps de vous expliquer! Elle se pencha vers Lysi qui était paniquée Ne t'en fais pas, je reviens et papa aussi va revenir de suite! Tu restes avec George!

Et avant de dire quoi que ce soit d'autre, Sorianne tournait déja les talons. Elle avait un mauvais pressentiment, et Vegoku devait déja etre bien loin dans les bois. Elle finit par arriver devant Lisbelle. Mais que lui dire?! Elle ne pouvait pas lui ordonner de rester la! Mais elle ne pouvait lui demander de venir...

Lisbelle... Lisbelle je... Je reviens!

Affolée, une seule chose la préoccupait! Elle sortit donc en courant, le cignon qu'elle avait fait s'était défait et ses longs cheveux flottaient librement dans son dos tandis que jupes relevées elle courait en direction des bois. Elle n'aimait pas cette sensation, ce mauvais pressentiment qui la tenaillait! Est-ce que Lisbelle la suivait? Elle n'aurait su le dire.

Aprés s'etre guidée au son des bruits qu'elle entendait, et ce qui lui avait semblé des lustres, elle arriva dans une clairiere. La seule chose qu'elle vit fut le grand corps de Vegoku étendu au sol. Elle stoppa net sa course. A ce moment le monde autour d'elle cessa d'exister. Non... Non il ne pouvait pas... Nooooon, pas lui... La jeune femme finit par se précipiter vers lui, s'agenouillant a son coté, n'osant le toucher. Elle ne voulait pas y croire. Non, cette fleche n'était pas la! Posant enfin les mains sur lui elle le secoua doucement

Goku.... Goku... Vegokuuu!!! Réveilles toi... S'il te plait..

Il ne pouvait etre mort! Les larmes avaient fait leurs apparition, sans qu'elle ne puisse les empecher de venir. Vegoku ne pouvait pas etre parti ainsi! Elle finit par remarqué que la fleche ne l'avait pas tué, mais vu l'endroit ou elle était située, cela pouvait ne pas durer. Essuyant ses joues mouillées de larmes d'un revers de main, So retira prestement la cape qu'elle avait mise en sortant avant que tout cela ne commence, et la roula avant d'en entourer la fleche et d'appuyer a l'endroit ou elle avait pénétré. Sorianne ne savait pas retiré ce genre de projectile. Elle ne savait pas comment était la pointe. Tout ce qu'elle savait était que certains pouvait aggraver la blessure sur on tirait dessus et que pour ces cas il valait mieux la faire traverser. Mais ca elle n'oserait jamais!

Vegoku, restes avec moi!

Elle ne pouvait empecher les lourds sanglots qui arrivaient. De le voir ainsi était atroce. Non cela ne pouvait pas etre vrai! La journée avait tellement bien commencée! Elle ne pouvait finir ainsi!
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~*~*~*~*~*~*~* Une perche tendue dans un RP? Saisissez la et jouez avec nous!!! *~*~*~*~*~*~*~

---fromFRSacha Net

Sa dextérité, sa rapidité d'action, sa force n'était pour rien mais alors clairement pour rien dans cela. Il n'avait pas évité la flèche, l'homme n'avait pas raté son tir parce qu'il s'était jeté dans ce buisson. Non tout cela n'avait rien à voir.

De là où il était il n'eut que quelques secondes pour entendre arriver tel un souffle un homme, un seul. Et c'était lui qui dans un geste empreint de désespoir et de folie l'avait empêché de prendre la flèche. Ce n'était que ça. Mais lui, cet homme là avait pris cette dite flèche. Il était désormais cloué au sol et Sacha ne pouvait s'empêcher de penser que c'était le fameux Vegoku.

Fini l'entraînement et le terrain de jeu mon ami place au vrai combat.

Il sortit prestement de son buisson et se mit à son tour à courir en zig-zag espérant que l'homme en blanc, le fameux Rache ne puisse pas l'atteindre.

Mais lorsque Vegoku fut blessé il l'entendit aussi sous la douleur, il compris qu'il ne pourrait tirer avant un moment.

Son temps de réaction avait été rapide, efficace mais que pouvait-il faire face à une femme désespérée. Car déjà avant qu'il n'arrive il vit une femme penché sur lui. Sûrement sa femme.

Une flèche était rentrée en lui et ils n'avaient que peu de temps pour le sortir de là. Il espérait que cette femme ne l'empêcherait pas d'agir.

Il arriva à sa hauteur et déjà elle sembla effrayée.

N'ayez pas peur je suis un ami de Forth With. Il faut faire vite et sortir d'ici si vous voulez garder votre ami en vie.

Elle ne voulait rien savoir rien n'entendre. Trop triste sans doute, pleurant encore la blessure de son tendre.

Sacha qui avait déjà vu des gens bléssés tiré dans la rue et avait appris auprès du maître savait à peu près comment faire. Mais cette femme voudrait-elle de son aide.

Il n'avait pas le choix il l'a força.

Il attrappa l'homme par les aiselles et commença à le traîner. La femme l'incendirait mais peut importe. Il fit le plus vite possible afin d'éviter d'être pris à nouveau sous le feu de l'ennemi. Cette ennemi qui ne lâcherait pas le morceau ça il en était sûr.

Il avait du mal. Il avançait mais pas assez vite à son goût. L'homme s'il n'était pas mort, ce que Sacha espérait reprendrait rapidement cadre à la bataille. Il avait besoin d'aide. Encore.
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-PNJ-

La lame et le savoir c'est tout ce qui m'intéresse.

---fromFRBenoit_un_page

Encore une fois Benoît se trouvait être tel un lapin obnubilé par les flammes dansantes du chasseur qui vient le cueuillir : incapable de bouger.

Et pourtant c'était pas faute d'avoir eut du barouf ces temps-ci. Car alors qu'il avait réclamé son eau et vu la petite avec son joli chat. Un trop gros pour elle sûrement tout s'était accéléré.

Un ombre simplement une ombre avait traversé la forêt et pourtant le maître des lieux avait réagit prestement en courant dans cette direction.

Lui Benoît incapable de bouger avait suivi la scène de loin. Ce ne fut que quand la maîtresse des lieux la belle Dame Sorianne cavala à qui mieux mieux qu'il se dit que peut-être s'il intervenait se serait bien.

Alors quand Sacha se mit à traîner l'homme qui dans un cri fut blesser il était là à quelques mètres. Il ne connaissait que vaguement Sacha. Son maître l'avait juste décrit mais il savait qu'à ce moment précis ils étaient ensemble et que les amis de son maître se devait être ses amis.

Alors rapidement il vint vers eux. Il risquait sa vie. Si on lui avait dit ça il aurait fait bouffer du crottin au type qui racontait de telles conneries.

Je le connais Dame Sorianne, je le connais.

Et à son tour il attrappa une aiselle de Messire Vegoku en prenant soin de maintenir la flèche bien droite sans quelle bouge.

A eux deux ils arrivèrent bien vite sur l'espace devant chez eux.

Les amis et la famille s'était réfugié dans la maison.

Eux devaient s'occuper et vite de messire Vegoku.
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- PNJ contrôlé par Forth With -

Lisbelle

La seconde d'hébétude passée, Lisbelle s'avança encore plus de la maison, se demandant bien ce qui venait de se passer.
Pourquoi messire Vegoku était-il parti en courant? Sa femme lui avait-elle fait peur? L'un de ces hommes voulaient le provoquer en duel? Une envie pressante?...
A voir les visages, rien de tout cela... Et So qui lui demandait de se dépêcher de les rejoindre.
La fillette obéit, et fut rapidement au niveau de tous les gens présents. Croktou comme à son habitude ne la lâchait pas d'une semelle.

Bonj... commença-t-elle avant de se voir poussée vers l'intérieur de la maison.

Une petite fille se tenait devant elle, avec un linge semblant cacher quelque chose de vivant dans les bras. La fillette lui adressa un petit sourire, voyant que l'enfant était aussi perdue qu'elle, mais l'éclat de ses yeux pouvaient affirmer qu'elle ressentait une terrible angoisse que Lisbelle ne pouvait partager. Messire Vegoku risquait-il quelque chose?

Un certain George fut appelé, et à peine Lis tourna le visage pour voir Sorianne que celle-ci disparut de sa vue.

Tout s'était passé à une vitesse incroyable.

Le chien se tenait posté près de sa maîtresse, regardant de son œil jaune les gens présents.

Lisbelle, qui tenait toujours son panier de fraises dans les mains, s'approcha de la petite fille.

Bonjour, tu dois être Lysithée? Moi c'est Lisbelle^^ Dis-moi, que tiens-tu si précieusement dans tes bras?

La petite fille lui montra alors le chat, qui ne semblait guère très aimable. Lisbelle sourit, tout en essayant de cacher de son corps l'animal à la vue de Croktou... Puis elle tendit le panier dans sa direction.

Tiens, prends-en si tu veux^^ Vous aussi messire, fit-elle en se retournant sur l'homme que So avait appelé messire George.

Elle posa le panier sur la table, et fit face à l'homme pour lui murmurer:.

Que s'est-il passé messire?

Peu de temps après, du bruit venant de l'extérieur parvint jusqu'à l'intérieur de la maison. Lisbelle se rendit à la fenêtre, et ce qu'elle vit lui glaça le sang. Vegoku était soutenu par deux hommes, Sorianne non loin d'eux, le visage livide. Des larmes maculaient son beau visage.
Elle se mordit la lèvre, pensant que Lysi ne devait point voir ce spectacle. Elle échangea un regard avec le messire George, et se dirigea vers la petite fille.

Nous allons devoir laisser les grandes personnes entre elles. Tu viens, nous allons soigner le chat, je t'aiderai^^

Alors qu'elles se dirigeaient vers l'une des deux autres pièces que contenait la maison, Lisbelle se retourna subitement. Croktou les suivait. Croktou dans la même pièce qu'un chat? Pas bonne idée...

Non Croktou, tu restes ici. Tu... surveilles le messire! Il a besoin qu'on le protège!

Le chien sembla comprendre et se mit à suivre le messire George.

Les deux enfants pénétrèrent ensuite dans la chambre qui semblait être celle de la petite Lysi.
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Chroniqueuse de la Grande Maison d’Attigny

---fromFR*Rache*

Rache attendait son poursuivant certain de ne pas le rater une fois qu’il entrerait dans son champ de vision.

« Prépares à enfin te débarrasser de Vegoku si tu vises aussi bien que tu le dis une seule flèche suffira… »

« Silence je sais ce que je fais ! Ce n’est pas la première fois que je me sers de mon arc ! »

Enfin Rache apperçu sa cible et banda son arc prêt à transpercer l’homme qui venait d’apparaître. Mais l’homme qui apparut n’était en rien celui que Rache aurait voulu voir puisque l’homme qui apparut n’était nul autre que celui qui l’avait suivi depuis la place d’Angoulême jusqu’ici. Pendant un instant Rache voulu l’épargner mais il se rappela vite que c’était à cause de cet homme que son plan avait échoué.

Aussitôt l’arc fut de nouveau bander mais la cible plongea dans un buisson. Un rire moqueur sortit des lèvres de Rache, si l’autre pensait qu’un buisson bloquerait les flèches… Rache plissa les yeux afin d’apercevoir sa cible et s’apprêta à lâcher sa flèche quand un bruit se fit entendre sur la droite. Oubliant la première cible qui était trop éloigné pour pouvoir lui sauter dessus. Rache pivota légèrement et vit le grand homme aux cheveux noirs exactement comme on lui avait décrit Vegoku. Le regard de Rache croisa celui de l’homme qui avait une dague en main.

Ces yeux bleus aciers trop semblables aux siens firent monter d’un coup la haine de Rache. Vegoku avait fait l’erreur de venir à lui il allait maintenant devoir payer ! Rache visa sa cible au cœur et laissa sa flèche partir trop occupé à admirer la flèche de la vengeance il ne remarqua pas l’éclair argenté qui fonçait vers lui. Au moment ou la flèche atteignait son but Rache sentit une douleur cuisante à son épaule il ne put s’empêcher de laisser échapper un cri de douleur mélangé à de la joie.

Contempla l’imposante silhouette de Vegoku qui rejoignait le sol Rache en oublia le danger potentiel tapis dans le buisson. Jusqu’à ce que l’homme quitta sa cachette et se mit à zigzaguer pour fuir Rache plongea sa main dans son carquois et en sortit une nouvelle flèche. Il se mit alors à étudier la course du Sacha afin de lui décocher une flèche mortelle tout comme Vegoku quand soudain :

« Non ! Ranges ça tout de suite ! »

« Quoi ?!? »

Surprit d’entendre ces mots Rache failli au contraire laisser partir cette flèche mais il se rattrapa et orienta sa flèche en direction de la femme qui hurlait le non de Vegoku. Bien ! Il ne s’était pas trompé de cible et maintenant il pouvait se débarrasser de la femme de Vegoku..

« Je t’ai dit de ranger ça tout de suite ! »

Cette fois-ci Rache ne put retenir la flèche qui fila à toute allure pour malheureusement se planter dans un arbre…

« Quoi ?!? Je dois tuer tout les complices de Vegoku et vu que c’est sa femme il n’y a pas plus complice qu’elle ! »

« Non tu ne tueras pas les complices de Vegoku puisque ce n’est pas ton père ! »

« Mais tu avais dit que… »

« D’après les descriptions cela pouvait être Vegoku mais tu sais comme moi qu’il n’y a pas que lui qui répond à ces descriptions… »

Le visage de Rache exprima pendant un instant l’incompréhension totale avant que sa bouche ne s’ouvre dans un’‘O’’ de compréhension.

« Le jumeau de Vegoku… »

« Exact ! Je te conseilles de dégager les lieux au plus vite si tu ne veux pas finir comme Vegoku ou derrière les barreaux…

Rache hocha la tête et commença à fuir en direction des profondeurs de la forêt quand il sentit quelque chose dans son épaule. Il baissa les yeux et vit une dague il haussa les sourcils et la retira en grognant, il regarda la dague un instant avant de la plonger dans sa poche, il était blessé et saignait plutôt pas mal mais il devait fuir. C’est pour cela qu’il rangea sa dague et commença à courir vers les profondeurs de la forêt.
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Je suis le mot en cinq lettres qui vous rattrape toujours...

---fromFRGeorge Le Futé

George avait rapidement trouvé le salon et s’était aussitôt précipité vers une fenêtre afin de voir ce qui se passait à l’extérieur.
Pas qu’il était curieux mais il voulait voir l’assassin venir si jamais il y en avait un.
Mais aucun assassin ne se présenta.
Rien ne bougeait mis à part Sorianne et sa fille qui venait vers la maison, Le Futé jeta un regard au fauteuil le plus proche de lui et en déduit qu’il aurait le temps de s’y jeter entre le moment où Sorianne ouvrirait la porte et celui où elle serait dans le salon.

Quand le regard de George revint sur la fenêtre il vit que les choses avait changé, tout d’un coup tout le monde avait l’air contracté.
L’assassin ?
Plaquant son visage contre la vitre sans se soucier du fait que si il pouvait voir ce qui se passait à l’extérieur, les gens de l’extérieur pouvaient le voir.
Mais il avait beau regardé il ne voyait aucun assassin…
Ah si !
Une petite fille venait de sortir du sous-bois…

Mais ce n’était pas la direction qu’avait prise Vegoku…
S’était-il trompé ou bien…?
George fut soudain tiré par ses pensées en voyant Sorianne qui poussait sa fille et l’autre fillette que Le Futé avait d’abord prit pour l’assassin.
George fonça vers le fauteuil le plus proche mais il se prit les pieds dans un tapis ce qui causa sa chute.
Mais étant une habitué à ce genre de situation George se redressa rapidement et s’installa dans le fauteuil au moment où Sorianne ouvrait la porte et l’appelait.

D’un bond George fut sur pieds et se dirigea vers la voix affolée de Sorianne.
Il regarda la jeune femme tandis qu’elle lui disait qu’elle lui confiait Lysi.
Hey !
Minutes !
‘‘Je sais pas m’occuper de ce genre truc moi ! ’’
Voulut il dire mais déjà Sorianne était partie…
Le Futé regarda les deux fillettes en se demandant qu’Est-ce qu’il pourrait trouver comme diversion…
Il n’avait pas la moindre envie de rater ce qui allait se passer dehors mais il ne pouvait pas laisser les gamines voir ce spectacle qui promettait d’être horrible…

Heureusement la plus grand des deux gamines commença à s’occuper de l’autre George se dit qu’il pouvait donc retourner à son poste de guetteur.
Mais, quelque chose le retint si les gamines le voyait en train de regarder dehors elle voudrait faire pareil…
Il surveilla donc les deux gamines et prit une fraise lorsqu’on la lui proposa voulant se donner l’air de rien.
Puis la plus grande des fillettes lui demanda ce qui s’était passé; George répondit en haussant les épaules.
Mais la fillette non satisfaite de cette réponse alla voir par la fenêtre et vu son expression ça ne devait pas être du joli.

Le Futé se leva donc et regarda lui aussi par la fenêtre afin d’être au courant de ce qui se passait.
Ce qu’il vit le fit ouvrir des yeux ronds.
Eh ben il ne voudrait pas être la prochaine cible de l’assassin de Vegoku.
Le Futé ne comprenait pas comment on avait pu se débarrasser aussi facilement d’un homme de cette taille.
Surtout qu’il avait l’air déjà mort…

George ne remarqua pas que les deux petites avaient quittés la pièce jusqu’à ce qu’il voit que le chien venu avec l’assassin (Lisbelle) se trouvait à présent seul avec lui.
Évidement un chien n’était rien à coté du loup que George avait terrassé pour sauver Sorianne mais Le Futé détestait ces bestioles.
Mais il n’y fit pas attention trop occupé à regarder ce qui se passait par la fenêtre, peut être que l’assassin allait venir tuer la veuve et les témoins gênants ?
George savait que ce n’était pas bien de penser ça mais si cela pouvait lui sauver la vie il tuerait bien le chien et les deux petites…
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Un jour votre insouciant ami... L'autre un dangereux assassin.

Sorianne

Sorianne, bien piètre aristotélicienne, en était arrivée à prier pour que Vegoku s’en sorte. A cause de la flèche, la cape ne servait pas a grand-chose. Tant qu’on lui aurait pas retiré ce projectile il continuerai de se vider de son sang ! Pourtant elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour arrêter la blessure de saigner. Il fallait qu’il vive ! Oh oui il le fallait ! En larme, les mains maculées du sang de Goku, elle entendit un sifflement et un bruit sourd dans son dos. Tournant un instant la tête du corps sans vie de son époux, So vit la flèche fichée dans l’arbre. A cet instant peu lui importait de servir de cible.

Mais en voulant reporter son attention sur Veg, elle vit un homme approcher rapidement. Ne l’ayant jamais vu, jamais croisé au village, elle ne pouvait savoir si c’était lui qui avait tiré ces flèches. Mais elle le voyait arriver avec horreur jusqu'à eux. Il tenta de la rassurer, mais cela ne marcha qu’a moitié, surtout lorsqu’il lui dit qu’il fallait déplacer Vegoku. Et s’il disait cela pour s’assurer qu’il était mort ?! S’il faisait cela juste dans ce but !? Elle eut beau batailler pour ne pas qu’il touche son mari, rien n’y fit.

So continuait a protester, a insister pour que Sacha lâche celui qu’il traînait quand elle entendit la voix de Benoît. Alors Sacha disait vrai ? Ce n’était pas celui qui avait voulu tuer Veg ! Un poids en moins, mais Vegoku n’en était pas sorti pour autant ! Voyant que le messager prenait soin de surveiller la flèche, Sorianne regarda en arrière et vit une ombre s’éloigner. Avec un nouveau sanglot, la jeune femme reprit le chemin a la suite des deux hommes traînant le grand corps inerte de celui qui la serrait dans ses bras avec bonne humeur il y avait a peine une heure.

Le visage baigné de larmes, elle avait l’impression que le chemin parcouru était bien plus long que celui qu’elle avait pris pour aller a la clairière. Toutes sortes de pensées venaient la travailler. Et s’il ne s’en sortait pas ? Il fallait qu’il s’en sorte. Elle ne pouvait imaginer une vie sans lui. Malgré tout ce qu’ils avaient vécu, malgré tout ce qu’il y avait eu, jamais elle ne pourrait imaginer une autre vie que celle qu’il lui offrait. Passant une main ensanglantée sur son ventre, elle se dit, se jura qu’elle ferait tout pour le soigner. Ne serait-ce que pour ce qu’ils gardaient pour eux…Mais qui avait bien pu faire cela ?! Et pourquoi !?

Ils finirent par arriver devant la maison, So se précipita ouvrir la porte, afin que les deux hommes conduisent Veg jusqu'à la chambre. Ils n’allaient pas le laisser ainsi, il serait bien mieux allongé dans son lit.

Venez messires, par la !

Au passage So n’avait noté que la présence de George. Lysi et Lisbelle avaient disparues. Mais Sorianne pensait pouvoir faire confiance à cette dernière. Sa fille allait être entre de bonnes mains. Le plus important à cette heure était de sauver Veg. Une fois qu’il fut allongé, So regarda les deux hommes d’un air suppliant, et toujours autant de larmes dans le regard.

Dites moi que vous pouvez l’aidez… S’il vous plait….. Dites moi que vous pouvez m’aidez a le sauver…

Sorianne reporta son regard sur son époux qui était d’une pâleur à faire peur. Il avait perdu beaucoup trop de sang. S’il ne rendait pas l’âme à cause de la flèche, la fièvre s’en chargerait peut-être. A moi qu’il n’y ait encore des complications… Mais l’heure n’était pas aux pensées funestes ! La flèche avait du rater le cœur de très peu. Il fallait qu’il s’en sorte. Ils pourraient ainsi comparer leurs blessures !
Je… Je vais chercher de quoi l’aider…

So croisait les doigts pour que Veg ne rendent pas l’âme tant qu’elle ne serait pas la. Il ne pouvait pas lui faire cela ! La jeune femme fonça retrouver George.

S’il vous plait, Messire George…S’il vous plait, j’ai besoin de vous… Pour faire chauffer de l’eau… Et la mettre dans la chambre ensuite… Je vous remercie !

Et tout en disant les derniers mots, elle se mit en quêtes de tout ce qu’elle pensait qu’ils auraient besoin pour soigner Vegoku. Elle revint vite dans la chambre avec tout ce qu’elle avait trouvé, et alla se mettre a genoux sur le lit aux cotés de Veg et des deux hommes. Ses yeux ne quittaient pas le visage cireux de son époux. Elle n’attendait plus que les ordres de ces messires.
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Forth_with

Il avait perdu la piste. Sur la fin, sur un bout, comme si les choses devenaient floues. Où alors l'avait-il fait exprès ? Il ne le saurait en fait jamais. Toujours est-il qu'il s'enfonça plus en avant dans la forêt. Une forêt qu'il connaissait mais qui restait tellement inhospitalière.

Il était donc là perdu presque. Ne sachant quoi faire. En définitif il avait un peu tout raté. Raté la protection de cet homme, raté la capture de l'autre. Raté un peu toute cette histoire. Et pourtant il continuait a marché, comme guidé par une sensation étrange. Comme si son but n'était pas celui qu'il croyait.

Et alors qu'il s'enfonçait encore dans cette forêt, qu'il devait être bien loin de la maison de Vegoku et de ce fameux Rache. Il vit arriver une ombre. Un homme en blanc.

Rache !

Il s'enfuyait. Il partait au loin. Visiblement son office devait être terminé. Il devait avoir fini son travail.

Forth ne le laisserait pas partir, ça il en faisait une volonté personnelle.

Alors que Rache ne le vit pas et s'arrêta quelques secondes pour regarder derrière lui. Il s'approcha le plus silencieusement possible et armé de son arc qu'il banda avec une flèche se présenta à proximité de lui.

Ainsi tu pensais t'enfuir comme un lâche ?

L'homme se retourna face à lui. Il le voyait dans le blanc des yeux.

Sache que je suis de ceux qui n'abandonnent jamais. Et que les pieds devant ou debout tu ira en prison !

Ces mots n'étaient pas vraiment les siens. Comme si quelqu'un parlait à sa place, comme si pour lui les choses changeaient.

Ca ne me fera pas plaisir de te tuer mais je le ferais. Alors un conseil rends-toi.
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---fromFRSacha Net

Dans la maison de Vegoku les évènements s'étaient accélérés. Et il fallut que Benoît intervienne pour que Dame Sorianne se calme un peu et revienne à elle même. Elle avait tout de même vu son homme se faire transpercer par une flèche et attaquer par un autre quasiment devant ses yeux. N'importe qui aurait réagit de la même façon.

Alors quand enfin à eux deux ils amenèrent l'homme encore inconscient jusqu'à sa chambre Sacha savait qu'il fallait faire vite. Le sauver dépendrait de comment ils se débrouilleraient.

La flèche s'était fiché dans une région délicate. Un endroit clé et à la fois vide.

Juste en dessous du coeur, à la longueur des côtes. Il allait s'en tirer. S'ils se débrouillaient correctement.

Sacha retira rapidement son armure et posa son épée. Le temps qu'il fit cela il ordonna à Benoît qu'en fait il connaissait à peine de faire les premiers gestes.

Comprime autour de la plaie il perd du sang c'est pour cela qu'il est tombé inconscient. Il faut qu'il en perde le moins possible.

Benoît s'exécuta comme il put. Mais la tenue de Vegoku l'empêchait de faire quoi ce soit.

Il faut lui enlever ses vêtements et rapidement. Tout ce qui couvre son thorax va être gênant.

J'ai besoin de couteaux ou de ciseaux et vite.

Alors qu'on allait lui apporter ça il s'approcha de Dame Sorianne qui semblait perdue. Elle voulait tellement qu'on le sauve et elle espérait qu'on lui dise qu'il allait s'en sortir.

Ecoutez je ne vais pas aller par quatres chemins. La plaie n'est pas importante mais profonde et pas très bien située. Je vais examiner cela mais il faut faire vite. On peut le sauver mais il va falloir être précis et coordonné.

Sacha qui était à présent libre de ses mouvements revint vers le blessé. Comme on put on commença à retirer ses vêtements sur son torse afin de dégager la zone.

Il me faudra du linge, beaucoup de linge, de quoi comprimer la plaie. De l'alcool pour nettoyer tout ça et du fil et une aiguille pour refermer.

Au fond de lui Sacha savait comment faire mais une autre voix lui disait qu'il ne l'avait jamais fait en ce lieu là.

Il examina plus attentivement la plaie.

Il grimaça.

J'ignore à quoi ressemble la flèche. Si lorsqu'on la retire elle déchirera les plaies ou non. Il me faudrait une comparaison.

C'est alors qu'il se souvint de quelque chose. Une flèche, une autre flèche était rentré dans un arbre, pas loin d'où ils étaient.

L'homme à tirer un autre projectile. Il me le faut. Il doit être fiché dans un arbre là-bas. Que quelqu'un aille le chercher et vite. De préférence quelqu'un d'armer l'homme doit encore être dans les environs.

Il s'approcha de Vegoku et lui glissa à l'oreille.

Allez mon vieux tu as intérêt à tenir parce que sinon je m'en voudrais de ne pas avoir occis ton fameux ami.

Il le savait inconscient mais il savait aussi que dans cette situation il devait entendre quelque chose.

Nous allons commencer par nettoyer la plaie autour. Il me faudra aussi des plantes : des fleurs de sureau, de l'ail et du plantain.

Préparez aussi du savon.
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-PNJ-

La lame et le savoir c'est tout ce qui m'intéresse.

Anonymous

À peine quelques secondes après s’être fait transpercé par la flèche Vegoku perdit connaissance. Il n’entendit ni ne vit donc pas Sorianne s’approcher de lui et lui crier de se réveiller. Il entendit encore moins les approches de Sacha et de Benoît. Non là où il était Vegoku se moquait éperdument de ce qui pouvait arriver à son corps, pour lui son corps était même déjà mort dans le regard de son assassin il y avait beaucoup de haine pour qu’il puisse s’en sortir… Qui était ce Rache et pourquoi l’avait-il tuer ? Une ribambelle de visages et de raisons apparut à Vegoku. Ce n’était visiblement la question à se poser…

Vegoku décida donc de ne pas se poser de question et regarda le monde dans lequel il se trouvait. Tout était noir si noir que… Aucune comparaison ne vint à Vegoku. Le principal étant que tout était très noir. Peu à peu l’obscurité commença à s’éclaircir puis d’un coup il fut de nouveau vivant ! Non… Chez lui il n’y avait pas de couloir aussi long… Alors où était il ? Un homme de grande taille vêtu d’une longue robe blanche immaculée dépassa Vegoku et continua à avancer dans ce sinistre couloir. ‘‘Je pourrais peut être lui demande où on est.’’, se dit Vegoku en commençant à suivre l’homme.

Messire ? Messire ?

L’homme ne se retourna pas faisant comme si il n’avait pas entendu Vegoku.

Hey ! Vous là ! Arrêtez vous tout de suite si vous ne voulez pas faire connaissance avec mes épées !

Rien à faire l’homme continuait à avancer ignorant Vegoku comme il ne l’avait jamais été de sa vie l’homme l’avait si bien ignoré que Vegoku serait presque à croire qu’il ne l’avait pas entendu. Presque. La partie de Vegoku qui n’était pas prête à penser à une éventuelle surdité de l’homme dégaina ses deux épées et se mit à foncer vers l’homme. Vegoku frappa en direction du cœur avec sa première lame et en direction du bas du dos avec la seconde. Comme il s’y attendait ses lames entrèrent dans le corps de sa victime sans aucune difficulté, les lames traversèrent même trop facilement. Si bien qu’emporté dans son élan Vegoku faillit trébucher.

Il se rattrapa et regarda l’homme qui continuait de marcher sans se soucier de rien. ‘‘Je ne peux même pas le tuer ?’’ Vegoku rangea ses épées et regarda l’homme s’éloigner en fronçant les sourcils puis il se mit à courir pour le suivre en espérant que cela lui permettrait de comprendre. Une fois aux cotés de l’homme Vegoku le détailla. Il avait de longs cheveux noirs qui lui arrivaient un peu plus bas que ses épaules, il avait aussi de la barbe d’après ce que Vegoku pouvait voir dans la semi obscurité du couloir qu’ils traversaient. En passant devant une torche Vegoku put voir le visage de l’homme. Il se stoppa net. ‘‘Mais… C’est Jakson ! Depuis quand il a de longs cheveux et de la barbe ?’’

Hey Jakson ! Fini de jouer arrêtes toi tout de suite !

Mais Jakson ne s’arrêta pas obligeant Vegoku à se remettre en marche afin de le suivre. Mais pour aller où ? La réponse ne tarda pas à montrer le bout de son nez. Jakson s’arrêta devant une porte qu’il ouvrit sans attendre. Vegoku se glissa à l’intérieur juste avant Jakson et aussitôt une voix se fit entendre à l’intérieur.

Ah ! Enfin vous voilà inquisiteur Vegoku ! J’ai cru que vous vous étiez perdu !

-Gné ?

-Rassurez vous inquisiteur Raphaël cela fait des siècles que je ne me perd plus dans ces couloirs… Si je suis en retard c’est à cause d’un client trop bavard !²

Vegoku se tourna et regarda celui qu’il avait prit pour Jakson avec des yeux ronds… ‘‘C’était donc vrai… Quand on meurt notre vie défile devant nos yeux…’’ Soudain une autre voix se fit entendre au creux de l’oreille de Vegoku cette voix lui disait de ne pas mourir sinon elle s‘en voudrait de ne pas avoir occis son ami. Parce qu’il ne l’était pas encore ? Mais bien sûr ! Notre ville défile devant nos yeux quand on va mourir pas quand on l’est déjà ! Vegoku ressentit soudain une vive douleur au niveau de la poitrine il se mordit les lèvres pour ne pas crier et ouvrit les yeux… Il du les cligner à cause de la lumière trop vive. Mais même après il ne voyait que des silhouettes aux contours incertains…

Ne…………pas……………le………..tuer………………………………Prévenir………………Jakson

Parvint il à dire en montrant la flèche toujours planter dans sa poitrine. Une fois ces quelques mots dit Vegoku sombra de nouveau dans l’inconscience revenant dans cette pièce avec ce lui tout seul et ce Raphaël…

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[Lieu-RP] Une demeure à trente minutes du bourg d'Angoulême