Jason_ludgaresvissac
C'était dans lointain pays qu'était ses racines, un royaume où la loyauté était de mise et où les conflits se réglaient par l'épée dans le sang et les cris, la Lothargie. Il avait grandit dans les monts depuis longtemps oubliés d'Avalon. Terre bénie entre toutes où au fil des saisons les filles de la Déesse se transmettaient des valeurs aujourd'hui détournées. Qui de nos jours se souvient de la grande Oya, Wonderrany, Marie Alice ou Tante Yvonne et toutes les autres connues ou anonymes mais surs entre les surs qui parcouraient le royaume pour défendre les opprimés. Parfois il va s'y réfugier et ses pas le mènent au travers des ruines de ses maisons qui jadis résonnaient des chants, des rires mais aussi des pleurs. Au bord du lac reviennent à sa mémoire cette nuit d'Août où il a allumé la barque mortuaire dans laquelle reposait le corps endormit de sa mère avec l'aide de tante Yvonne, puis l'a regardé glisser lentement accompagnée du champs de ses soeurs qui l'avaient ramenés depuis Bourbon ici chez elle.
D'elle et avec l'aide de ses soeurs il avait apprit à devenir un homme, le prix de la parole donnée, l'entraide et surtout la loyauté envers la couronne de France quel qu'en soit le porteur étaient des valeurs en lesquelles il croyait et quil appliquait.
Dans la brume matinale il était assis là ses glaces fixant l'onde calme, enveloppé du silence que rien ne venait troubler si ce n'était parfois le cliquetis que faisait parfois Belphégor qui paissait pas loin. Perché dans l'arbre contre le tronc duquel il c'était adossé Pompée veillait. Ces trois là depuis des années étaient devenus inséparables. Paupières closes on aurait put croire qu'il dormait pourtant il n'en était rien, il laissait juste son esprit vagabonder, l'âme en paix désormais, il lui en avait fallut du temps pour enfin comprendre que désormais le piège s'était refermé et qu'il ne réussirait jamais à s'en échapper. Les faux prétextes, les fausses preuves et autres puputeries brandies par des belles de nuit crasses qui avaient appris la bravoure dans des pinces culs enfumés aux relents d'huile de reins et d'alcools bons marchés. Élevées aux plus hautes fonctions à coups d'écus ou d'ithypalles.
Dans quelques jours il allait laisser les siens pour un temps et partir pour accomplir une mission pour la Couronne de France. Le voyage ne serait pas une villégiature et il savait que ses pas allaient le mener vers l'enfer mais c'était le prix à payer pour retrouver un jour la paix à laquelle il aspirait. Il aurait pu comme beaucoup le lui avaient conseiller s'enfer dans un monastère et s'y laisser dépérir pour se faire oublier. Mais hélas pour eux il avait la vie et l'honneur chevillé au corps et depuis son premier souffle jusqu'à ce que le Très Haut le rappelle à lui il assumerait toujours ses actes dut il le payer de sa vie. La vouivre avait réussit à se hisser là où elle l'avait décidé à coups de fausses promesses et de pirouettes, lui préférait remonter à la surface loyalement. Un jour il avait eut la naïveté quelle avait été son amie, et comble de la stupidité il avait lié son nom au sien pour son malheur et celui des siens. Mais la roue tournait inlassablement et il le savait tout finissait par se payer. Un jour la vérité remonterait à la surface et elle aurait à répondre elle aussi de ses actes. Ce n'était plus son soucis, il avait tenté de la protéger, elle lui avait craché au visage, il n'en attendait pas moins de sa part elle était coutumière du fait.
Sortant de ses pensées l'Insolent se leva et se dirigea vers sa monture qu'il enfourcha et après un dernier regard sur le lac il repris la route vers le Havre il avait des courriers à faire.
Citation:
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