Lucas.
La Lyre dEurydice. Il paraissait que cétait un petit établissement sans prétention dans lequel on pouvait dégotter de petites merveilles tout à fait adaptées à la future clientèle de lAphrodite. Depuis quelques temps déjà, la vie reprenait ses droits à lintérieur de la bâtisse de la cour Jussienne. Les artisans allaient et venaient sactivant à tout remettre en état aux gouts des nouveaux propriétaires. Les charriotes, nombreux, sarrêtaient, déposaient leurs marchandises, repartaient vides ou avec une petite caissettes remplies décus sonnants et trébuchants.
Le Maitre, car cest ainsi quon lappelait avait, ce jour choisit de sy rendre. Il paraissait que lon y concoctait les parfums les plus envoutants, ceux qui font tourner autant les têtes des dames de qualité que de leurs amants. Ce jour-là, Lucas nétait pas venu pour acheter mais pour se renseigner, voir de visu la qualité des produits offerts, leur diversité et louverture des propriétaires à devenir les fournisseurs de lAphrodite. Cétait une simple visite de préambule, dinvestigations. Lucas Dentraigues navait même pas été mandaté par son supérieur pour effectuer cette visite mais un peu dinitiative nétait pas pour nuire à son avancement au sein de létablissement, du moins le croyait-il.
les cheveux blonds noués dun ruban noir qui se mêlait à ses mèches, la barbe était finement entretenue, les yeux gris clair, il avait revêtu ses habits dapparats pour cette visite. Dautres suivraient dans la journée indéniablement. Lorsquil entra dans la boutique, dautres clients y étaient déjà présents. Le parisien attendit patiemment son tour, humant fragrances par-ci par là, sintéressant autant de la qualité du contenant que de celui du contenu. Ses doigts survolaient les flacons, effleuraient les bouchons. De temps à autre, il portait sa main à son nez, appréciant une odeur, évaluant si celle-ci avait toutes les qualités pour embraser les sens.
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Le Maitre, car cest ainsi quon lappelait avait, ce jour choisit de sy rendre. Il paraissait que lon y concoctait les parfums les plus envoutants, ceux qui font tourner autant les têtes des dames de qualité que de leurs amants. Ce jour-là, Lucas nétait pas venu pour acheter mais pour se renseigner, voir de visu la qualité des produits offerts, leur diversité et louverture des propriétaires à devenir les fournisseurs de lAphrodite. Cétait une simple visite de préambule, dinvestigations. Lucas Dentraigues navait même pas été mandaté par son supérieur pour effectuer cette visite mais un peu dinitiative nétait pas pour nuire à son avancement au sein de létablissement, du moins le croyait-il.
les cheveux blonds noués dun ruban noir qui se mêlait à ses mèches, la barbe était finement entretenue, les yeux gris clair, il avait revêtu ses habits dapparats pour cette visite. Dautres suivraient dans la journée indéniablement. Lorsquil entra dans la boutique, dautres clients y étaient déjà présents. Le parisien attendit patiemment son tour, humant fragrances par-ci par là, sintéressant autant de la qualité du contenant que de celui du contenu. Ses doigts survolaient les flacons, effleuraient les bouchons. De temps à autre, il portait sa main à son nez, appréciant une odeur, évaluant si celle-ci avait toutes les qualités pour embraser les sens.
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