Tarentio_
Alors que Tigist s'engouffre la première dans la salle où patiente la Comtesse, Tarentio sent la présence de Martin dans son dos. Il pense même à un moment donné devoir lui barrer la route, il pense que le Comte va venir, voudra voir Zoé, s'expliquer avec elle... Mais non, il n'en fait rien. Il reste un minimum discipliné, et c'est tout à son honneur. Alors le blond ne se retourne pas non plus, si ce n'est pour refermer la porte derrière lui.
Il s'avance à son tour, et dépasse même l'invitée, venant se placer à mi-chemin entre les deux femmes.. Mais décalé sur l'intérieur de l'antichambre, pour former un triangle entre eux trois. En bon Sénéchal, il aurait sans doute dû se placer en retrait, à un pas ou deux derrière Zoé... Peut-être... Mais il n'était pas un bon Sénéchal, pas dans ce domaine là. Et surtout il savait que la rousse ne lui en tiendrait pas rigueur, et que la Corleone ne représentait pas ce qu'il y a de mieux en matière de convenances.
Les iris d'abord posées sur Zoé, à qui il adresse un signe de tête léger ainsi qu'un sourire, il reporte bien vite son attention sur l'invité. Au nom d'Ombeline, la tête de Tarentio s'incline de coté, mais il reste silencieux aussi. Il aime bien les silences. Ceux-là instaurent un climat de tension dans une conversation comme celle-ci. Et ils permettent alors pour chaque protagonistes de se plonger dans une réflexion tortueuse.
Tandis que ceux qui sont en position de faiblesse ruminent d'inquiétude en se demandant s'ils n'ont pas commis une erreur, ceux qui sont en position de force se lèchent les babines en réfléchissant à quelle sauce ils vont bien pouvoir dévorer leurs interlocuteurs...
Dans le cas présent, et tout du moins au début de cette conversation, les rôles ne faisaient aucun doute... Parfois, avec une personne suffisamment habile, les rôles s'inversent... Mais Tarentio est ici pour veiller à ce que ça n'arrive pas.
Et puis finalement, pour toute réponse au regard interrogateur et un brin anxieux que lui jette la Noiraude, le Tatoué hausse simplement les épaules et lui adresse également un sourire énigmatique. A mi-chemin entre le sourire qui se veut amical, et celui qui se veut carnassier... A elle d'en choisir la signification...
En règle général, il aurait brisé le silence et élevé la voix pour commencer à parler le premier. Et Zoé le savait bien également. Mais il avait en lui cette curiosité qui le poussait à attendre, pour découvrir comment la Comtesse allait se débrouiller avec l'épineux problème que représentait Tigist. Alors une fois n'est pas coutume, il resta sagement en position, les mains finalement croisés dans le dos.
Pour l'instant, spectateur était la meilleure place qu'il pouvait avoir..
Il s'avance à son tour, et dépasse même l'invitée, venant se placer à mi-chemin entre les deux femmes.. Mais décalé sur l'intérieur de l'antichambre, pour former un triangle entre eux trois. En bon Sénéchal, il aurait sans doute dû se placer en retrait, à un pas ou deux derrière Zoé... Peut-être... Mais il n'était pas un bon Sénéchal, pas dans ce domaine là. Et surtout il savait que la rousse ne lui en tiendrait pas rigueur, et que la Corleone ne représentait pas ce qu'il y a de mieux en matière de convenances.
Les iris d'abord posées sur Zoé, à qui il adresse un signe de tête léger ainsi qu'un sourire, il reporte bien vite son attention sur l'invité. Au nom d'Ombeline, la tête de Tarentio s'incline de coté, mais il reste silencieux aussi. Il aime bien les silences. Ceux-là instaurent un climat de tension dans une conversation comme celle-ci. Et ils permettent alors pour chaque protagonistes de se plonger dans une réflexion tortueuse.
Tandis que ceux qui sont en position de faiblesse ruminent d'inquiétude en se demandant s'ils n'ont pas commis une erreur, ceux qui sont en position de force se lèchent les babines en réfléchissant à quelle sauce ils vont bien pouvoir dévorer leurs interlocuteurs...
Dans le cas présent, et tout du moins au début de cette conversation, les rôles ne faisaient aucun doute... Parfois, avec une personne suffisamment habile, les rôles s'inversent... Mais Tarentio est ici pour veiller à ce que ça n'arrive pas.
Et puis finalement, pour toute réponse au regard interrogateur et un brin anxieux que lui jette la Noiraude, le Tatoué hausse simplement les épaules et lui adresse également un sourire énigmatique. A mi-chemin entre le sourire qui se veut amical, et celui qui se veut carnassier... A elle d'en choisir la signification...
En règle général, il aurait brisé le silence et élevé la voix pour commencer à parler le premier. Et Zoé le savait bien également. Mais il avait en lui cette curiosité qui le poussait à attendre, pour découvrir comment la Comtesse allait se débrouiller avec l'épineux problème que représentait Tigist. Alors une fois n'est pas coutume, il resta sagement en position, les mains finalement croisés dans le dos.
Pour l'instant, spectateur était la meilleure place qu'il pouvait avoir..