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[RP] Cérémonie d'adoubements (août 1465)

Kami.
Kantin hocha la tête en réponse aux paroles prononcés par le Chevalier.

Merci de ta proposition. Pour l'instant nous ne savons pas encore exactement l'étendue des dégâts. Plusieurs dizaines d'acres ont brûlé, mais une partie des champs avait déjà été fauchée et il ne restait plus que du chaume. La proportion est encore à déterminer.

Une chance alors ! Je ferai quand même réserver une partie de mes réserves au cas où et nous verrons cela ensemble le moment venu...une fois retourné à Ryes !

Alors qu'il pénétrait dans la salle aménagée aux couleurs de l'ordre et décorée des portraits d'anciens chevaliers licorneux, Gauvin s'approcha suivi d'Edouard

Ah bonjour mes Frères ! Et bien ma foi je vais plutôt bien. Cela faisait un moment que l'on ne s'était pas croisé ! Tout se passe bien en Touraine ?
Puis marquant une légère pause, il se tourna vers Edouard
Oh pas de soucis Edouard, nous verrons tout cela après la cérémonie comme tu dis. Et puis rien ne presse !

L'arrivée de vieux marqua le début de la cérémonie et tous s'installèrent silencieux à leur place.
Chaque mot était choisi et le discours prenait petit à petit tout son sens. Le chevalier dressait en quelque sorte une définition de ce que peut représenter la Chevalerie.
Ce serait donc un groupe d'adoubés ! Soit cela correspondait à peu près à ses pronostics...
Mais vint ensuite les noms. Là aussi leur Grand Maitre présentait de plus des manières ce que chacun représentait dans l'ordre...
Si les premiers noms prononcés ne l'étonnaient pas vraiment, Kantin marqua une pause lorsque le sien fut appelé.

A vrai dire, il ne s'y attendait pas du tout et la surprise était totale. Obéissant, il s'avança toujours silencieux, remarquant au passage la présence rassurante de sa soeur adorée.
Tête baissée, le futur ancien errant se remémorait en cet instant les années passées au sein de la Licorne. Un mélange de guerre, de blessures, de périodes de doutes mais aussi de formidables découvertes.
D'une voix claire et en chœurs avec ses frères et soeurs, il déclara :


De par ma bouche je déclare, que nul homme, paysan, soldat, noble ou roy ne pourra me soustraire à mon serment.
Qu'il soit su aux oreilles de tous qu'aujourd'hui en ce jour je reste un fils de la Licorne.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure allégeance à sa majesté Kefeya, Reine de France, à la vie et à la mort. Que si par ma vie ou ma mort, par ma langue, mon esprit ou ma lame, je puis la servir et la défendre, je n'aurai nulle hésitation, nulle contrainte, nul obstacle face à moi.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure allégeance à l'ordre royal de Chevalerie de la Licorne, et par la même à la personne de Guillaume de Jeneffe, son Grand Maître. Je jure de le protéger, l'assister, le secourir face à n'importe quel péril, face à n'importe quelle adversité.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure fidélité au peuple de France, pour aujourd'hui et à jamais. Que de par mon bras je défendrai veuve, orphelin, innocent, simple d'esprit, opprimé, éclopé, ou simple paysan, comme n'importe quelle autre personne de ce royaume.
Que je combattrai de toutes mes forces le mal sous toutes ses formes. Que je combattrai tyrans, guerriers assoiffés de mort, brigands avec la même efficacité, et le même sens du devoir.
Que je ferai respecter à jamais Honneur, Justice, Bravoure, Loyauté, Bonté d'âme, et les valeurs qui sont miennes.

Que la devise séculaire de l'ordre devienne mienne par ma bouche qui la prononce, et que

JUSTICE ET BRAVOURE

deviennent les mots d'ordre de mon attachement au royaume.


Nul doute qu'il n'oublierait jamais ce serment.
_________________
Walan
Lorsque chacun des adoubés eut prononcé les paroles rituelles*, et que le Grand Maître les leur rendit en accompagnant ses propos du traditionnel passage de l'épée sur les épaules, Walan se leva de son fauteuil et alla rabattre une partie du drap qui recouvrait l'une des tables.

Posés dessus, bien alignés, figuraient des colliers ouvragés de l'ordre, aux plaquettes de pourpre et d'or desquelles pendaient la licorne d'argent. Il en souleva un pour le montrer à l'assistance, avant de se diriger vers les adoubés encore agenouillés.


Vous avez prêté serment, et c'est celui-ci qui devra vous guider et vous soutenir. Mais ce serment est intérieur, et votre nouveau statut doit être connu de tous, car vous représentez désormais pleinement la Licorne autant que la chevalerie.

Ce collier affirme votre rang. Mais vous verrez aussi qu'il peut vite se faire un rappel de la charge que celui-ci représente.


En effet, la masse de l'objet n'était pas négligeable, comme chacun des nouveau chevalier pu le constater alors que le capitaine-prévôt passait devant eux un par un pour le leur passer autour du cou. A chaque fois, il rivait quelques instants son regard gris acier dans celui de son vis-à-vis, plein de solennité.

Lorsqu'il arriva au dernier, le brun retourna aux tables pour repousser un peu plus le drap et révéler cinq étoffes azur soigneusement pliées. Il en déroula lentement une pour révéler à tous la fière bannière de l'ordre, au centre de laquelle resplendissait une Licorne d'argent. A nouveau, il passa devant chacun des adoubés pour déposer l'une des étoffes dans ses bras.


Pour affirmer davantage votre présence lorsque cela s'avère nécessaire, vous pourrez arborer cette bannière, et ainsi donner espoir aux innocents, soutien à nos alliés et crainte à nos ennemis.
A vous de la dresser haut dans le ciel, sans taches ni souillures, à l'image de la morale du chevalier.


Cette fois, il fit un petit signe à chacun de se relever pour pouvoir leur remettre l'objet suivant qu'il dévoila : une série d'épées nouvellement forgées dans les brasiers de l'Ordre, chacune ornée sur sa lame d'une Licorne finement gravée, reposant dans leurs baudriers de simple cuir.

Le chevalier est une épée, un glaive au service de la justice et de la défense de la chevalerie. Puissent ces lames être pour vous ce que vous serez au Royaume.

Soigneusement, le brun boucla les ceintures auxquelles pendaient l'arme autour des hanches de chacun, prenant soin à ne pas se tromper dans la distribution puisque chaque lame avait été faite aux mesures de son futur porteur. A chaque fois, il se rapprochait donc des adoubés dans une sorte d'étrange accolade, puis s'écartait d'un pas pour observer le résultat avant de passer, sans hâte et toujours solennel, au suivant.

Le chevalier est aussi protection. Une armure pour les innocents face aux multiples périls de ce monde, tout comme pour la chevalerie, ses frères et son ordre si souvent assaillis. Mais le chevalier lui-même a besoin de protection, et ces harnois y veilleront.

Alors qu'il prononçait cette phrase, Sans Repos s'était dirigé vers les formes recouvertes au fond de l'estrade, qu'il découvrit une à une pour révéler une série de harnois. Bien entendu, ils resteraient à être ajustés finement aux mesures de chacun, mais les armuriers avaient déjà fait l'essentiel.

Ne restait plus qu'une série d'objets, et non des moindres, dissimulés sous une table. Mais pour les distribuer, le brun attendrait encore quelques instants.



(* cette fois c'est un flash forward, il est toujours possible de prêter les serments)
_________________

(temporaire)
Malwyn
J'étais arrivé en retard une fois de plus, mais la cérémonie débutant, je me calais au fond. Je saluais au passage mes frères et soeurs. Un oeil sur Guillaume qui commença son discours et qui parla de moi. Je haussais un sourcil et m'avançais près de lui à sa demande, ne m'attendant pas à un tel honneur.

« De par ma bouche je déclare, que nul homme, paysan, soldat, noble ou roy ne pourra me soustraire à mon serment.
Qu'il soit su aux oreilles de tous qu'aujourd'hui en ce jour je reste un fils de la Licorne.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure allégeance à sa majesté Kefeya, Reine de France, à la vie et à la mort. Que si par ma vie ou ma mort, par ma langue, mon esprit ou ma lame, je puis la servir et la défendre, je n'aurai nulle hésitation, nulle contrainte, nul obstacle face à moi.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure allégeance à l'ordre royal de Chevalerie de la Licorne, et par la même à la personne de Guillaume de Jeneffe, son Grand Maître. Je jure de le protéger, l'assister, le secourir face à n'importe quel péril, face à n'importe quelle adversité.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure fidélité au peuple de France, pour aujourd'hui et à jamais. Que de par mon bras je défendrai veuve, orphelin, innocent, simple d'esprit, opprimé, éclopé, ou simple paysan, comme n'importe quelle autre personne de ce royaume.
Que je combattrai de toutes mes forces le mal sous toutes ses formes. Que je combattrai tyrans, guerriers assoiffés de mort, brigands avec la même efficacité, et le même sens du devoir.
Que je ferai respecter à jamais Honneur, Justice, Bravoure, Loyauté, Bonté d'âme, et les valeurs qui sont miennes.

Que la devise séculaire de l'ordre devienne mienne par ma bouche qui la prononce, et que

« JUSTICE ET BRAVOURE »

deviennent les mots d'ordre de mon attachement au royaume. »
Ysaoth
Premiers adoubements auxquels il assisterait. Il s'était présenté en tant qu'homme d'arme, évidemment, parfois assez content de redevenir ce personnage discret que le manteau d'or en lui permettait plus d'être. Il avait bien entendu salué Montjoie et Sakura respectueusement, tout autant que Walan, qu'il côtoyait bien souvent au Louvre mais a qui il avait donné pour l'occasion un salut plus martial, en respect au Capitaine qu'il représentait pour lui très immédiatement.
Il s'était placé aux côté des autres hommes et femmes d'arme, plutôt arrivé en même temps d'ailleurs, pour assister a cette cérémonie.
Et il s'étonnait de la coïncidence d'assister à l'adoubement de Kantin, qui était un homme qu'il connaissait depuis maintenant des années. Cela le fit sourire légèrement.

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Gauvin.
Gauvin salua d'un signe de tête les derniers arrivent puis il écouta le Grand Maitre de l'Ordre quand celui ci débuta la cérémonie.

Son nom fût le premier a être cité pour cette série d'adoubement. Il s'approcha une fois que le Grand Maitre eut finit de tous les appeler.

Tous les noms cité méritaient d'être là ce jours. Mais au yeux de Gauvin surtout les noms de Boucanier et de Karyaan, au vu de la durée de leur engagement et du travail fournis.

L'Errant mis alors genou au sol devant Guillaume aux côtés de ses frères et de sa soeur d'arme. Puis il prononça à la suite des autres son serment:


De par ma bouche je déclare, que nul homme, paysan, soldat, noble ou roy ne pourra me soustraire à mon serment.
Qu'il soit su aux oreilles de tous qu'aujourd'hui en ce jour je reste un fils de la Licorne.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure allégeance à sa majesté Kefeya, Reine de France, à la vie et à la mort. Que si par ma vie ou ma mort, par ma langue, mon esprit ou ma lame, je puis la servir et la défendre, je n'aurai nulle hésitation, nulle contrainte, nul obstacle face à moi.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure allégeance à l'ordre royal de Chevalerie de la Licorne, et par la même à la personne de Guillaume de Jeneffe, son Grand Maître. Je jure de le protéger, l'assister, le secourir face à n'importe quel péril, face à n'importe quelle adversité.
Qu'il soit su aux oreilles de tous aujourd'hui que je jure fidélité au peuple de France, pour aujourd'hui et à jamais. Que de par mon bras je défendrai veuve, orphelin, innocent, simple d'esprit, opprimé, éclopé, ou simple paysan, comme n'importe quelle autre personne de ce royaume.
Que je combattrai de toutes mes forces le mal sous toutes ses formes. Que je combattrai tyrans, guerriers assoiffés de mort, brigands avec la même efficacité, et le même sens du devoir.
Que je ferai respecter à jamais Honneur, Justice, Bravoure, Loyauté, Bonté d'âme, et les valeurs qui sont miennes.

Que la devise séculaire de l'ordre devienne mienne par ma bouche qui la prononce, et que

« JUSTICE ET BRAVOURE »

deviennent les mots d'ordre de mon attachement au royaume.


Il les prononça à voit haute, gravant chaque mot dans sa mémoire. Il avait travaillé dure pour pouvoir porter le collier, maintenant il ne devait pas décevoir ses pairs. Après quatre années de travail il était heureux d'être là ce jour.

Puis viens la clôture du serment faite par la lame de Guillaume, posé sur les épaules des adoubés.

Le Capitaine posa le collier de chevalier par la suite sur chacun d'eux, puis il leur donna un étendard de la licorne puis une nouvelle épée. Puis il leur présenta les harnois.

Gauvin inclina la tête et sourit au Grand Maitre et au Capitaine en guise de remerciement.


[HRP: merci de votre patience, j'ai posté des que mon planning me la permis]
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Walan
Avec un coup d’œil vers le pupitre de Montjoie, le chevalier constata que celle-ci était encore appliquée à la rédaction des contreseings. Le brun se rapprocha donc de la table pour soulever le dernier pan de drap et révéler ce qu'il cachait : cinq solides écus immaculés, que Walan apporta tour à tour à ses nouveaux pairs.

Lorsque chacun eut le sien en main, il reprit la parole.


Pour vous défendre autant que pour clamer votre statut à tous sur le champ de bataille. Sa forme n'est pas la plus moderne, mais la chevalerie elle même est ancienne et suit les valeurs que nombre de nos prédécesseurs ont défendues depuis tant de temps.

Vous pourrez de plus y faire graver vos armes, anciennes ou nouvelles, puisque vous tous, désormais, faites partie de la noblesse du royaume. Cette noblesse que l'on attend du chevalier, celle qui signifie que l'on cherche à être supérieur à soi-même plutôt qu'à ses semblables.


Se reculant de quelques pas, Sans Repos observa à nouveau chacun des cinq chevaliers, laissant désormais la place à d'autres pour les derniers moment de la cérémonie.
_________________

(temporaire)
Karyaan
Lorsque tous les appelés prêtèrent serment, le Sans Repos se leva. La Sombre fronça très légèrement les sourcils, non pas colère ou émotion négative contre lui, mais plus par appréhension de ce qu'il se passera, entre eux, quand il arrivera à sa hauteur.
Parce que oui, lors de son adoubement, elle avait eu une attitude que d'aucun qualifierait de limite. Non contre lui, non contre sa nomination à lui, mais pour une toute autre raison, et malheureusement, il fut le dommage collatérale de son ras le bol.
Julios, alors Grand Maître de l'époque, l'avait convoqué pour discuter ou plutôt, imposer. Imposer des excuses qu'elle n'avait, au final, jamais fait. Pas par dédain pour le lyonnais, juste... parce qu'elle n'avait jamais trouvé l'occasion de le faire. Et elle ne souhaitait pas le faire via écrit.
Un jour... un jour peut-être...

Quand il arriva à sa hauteur, leurs regards se croisèrent.
Est-ce que le sien exprimait excuse et regret ?
Non...
Mais respect et déférence, avec certitude oui. Car ce n'était pas contre sa nomination à lui qu'elle avait ragé ce jour là. Mais contre l'oublie, le silence, autant pour elle que pour celui qui était agenouillé à ses côtés et celui qui était encore assis sur le banc des errants alors qu'il mériterait de reprendre la place qu'on n'aurait jamais du lui retirer.

Oui, il était lourd ce foutu collier, mais ce n'était pas le métal qui le rendait si pesant, mais tout ce qu'il symbolisait.
Puis vint le tour de l'étoffe et de l'arme.
Impassible, elle laissa Walan boucler cette ceinture, elle qui ne supporte pas la proximité, d'être touchée, le moment était différent et reculer n'aurait pas été très... protocolaire.
Et enfin, les harnois... ses yeux de brume se posèrent sur celles-ci et elle sourit légèrement. Faut dire que faites aux mesures des différents adoubés, c'était assez amusant de voir la sienne, toute menue, trôner à côté de l'énorme et massive de son colossal ami et frère.

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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Rhuyzar
Il était là, comme il se devait. Assis à cette place qui désormais était la sienne et qu'il avait déjà occupée par le passé. Errant. Malgré tous ses titres, ses fonctions, ses grades, il ne s'était jamais réellement départi de celui-là. Ombre furtive disparaissant dans les couloirs. Attaché à Ryes mais capable de n'y pas mettre les pieds des mois durant. Libre, comme ses ainés avant lui. Venu d'une époque où la Chevalerie ne s'était pas encore laissée mettre les fers et où les serments et les codes prévalaient sur un pouvoir dont ils étaient un contrepoids.

Comme il se devait. Il portait sa tenue sombre, sobre, ce mantel noir ne faisant pas partie de la tenue conventionnelle de son rang, tranchant avec sa chevelure blanche et grise, annonçant sans détours qui il était, ce qu'il avait vécu et tout ce qu'il serait impossible de lui reprendre et de lui confisquer. Ne pas porter le collier ne l'empêchait pas de l'avoir, comme gravé autour du cou. Les textes pouvaient retirer, mais effacer, non, ils n'en avaient pas le pouvoir.

Comme il se devait. Parce qu'il l'avait juré devant ses pairs bien des années auparavant. Parce que jusqu'à sa mort et quels que soient les affronts, il tiendrait cette parole faite à des Hommes qui avaient cru en lui, l'avaient fait entrer dans leur cercle et lui avaient appris à combattre, à vaincre, à sauver. Ne pas revenir c'était les trahir. Rester c'était témoigner qu'autre chose avait existé, avait été possible et que leur mémoire n'avait pas disparu. Pas tant qu'il serait là.

Comme il se devait. Parce qu'elle était là. Parce que même en retrait des affaires et du monde il marchait à ses côtés. Il la protégeait autant qu'elle le veillait. Deux faces d'une même pièce devenue impossible à briser. Parce que pour elle il aurait traversé les océans, gravi les plus hautes montagnes. Parce que pour elle il n'était pas prêt à mourir, il était prêt à vivre.


Sombre, il avait écouté, suivi d'une oreille distraite la cérémonie, les rituels, qu'il trouvait désormais froids, détachés, maladroitement exécutés. Malgré l'obligation pour eux de se séparer, eu égard à leurs rangs respectifs, il restait près d'elle, veillait en silence et attendait. Attendre que ça se termine et qu'il puisse repartir, comme il était venu, sans un bruit.


Et puis ce coup de tonnerre, déchirant le ciel de sa morosité, illuminant ses pensées malgré l'effet inattendu, presque illogique et pourtant tellement normal, au fond. Le nom de la Louve prononcé en public, l'Ordre reconnaissant son mérite, lui attribuant ce qu'elle aurait du avoir avant tellement d'autres et ce qu'on lui avait refusé tant de fois à l'aide de prétextes toujours plus absurdes et insultants. Ses yeux rivés sur elle il la regarda encaisser, prendre la mesure, décider de sa conduite et accepter, une fois encore, de se faire violence pour être fidèle à son serment. Il souffrit avec elle sa révolte qu'elle ne pouvait exprimer et s'essaya à lui transmettre sa fierté de la voir, enfin, à sa place.

Attentif, il écouta, regarda, veilleur perpétuel de cette âme qui éclairait sa route. Et il serait là après, une fois le silence retombé et la salle vide. Il serait cette épaule et ce coeur qui, eux seuls, comprendraient le pourquoi de cette souffrance en ce jour dont rêvaient tous les novices. Il serait là pour qu'elle puisse exprimer ce que les autres désigneraient comme de l'ingratitude. Et il se permettrait de lui dire, parce qu'il était son mâle, à quel point elle était légitime à porter ce titre, et de le rejoindre, enfin, auprès de ceux qui avaient fait la fierté de cet Ordre.


Comme il se devait.

_________________
Boucanier
voila c 'était presque terminé ;
le crane du chauve luisait légèrement ;pas a cause de la chaleur ,mais plutôt
a cause de l emotion que lui communiquée la main de son amie et sœur ,il pouvait
sentir tout le ressentir qu elle avait car lui meme était passé par là eux les oubliés
de l'Ordre;
mais au fond de lui il n'en voulait a personne ,Chevalerie ou pas la mesquinerie est
toujours présente ou il y a des hommes ;il avait juste une pensée affectueuse pour
les deux ou trois personnes qui ont toujours crues en lui ,puis une très violente
mais très furtive envie de meurtre en pensant a un ancien Chevalier qui eu malin
plaisir a semer son chemin de milles embuches peut être était il en enfer ...
tout cela disparu vite de sa tête l heure était au pardon
le reste lui importait peut il était bien là tenant la main de son amie et sœur et
la savoir enfin a la place qu elle méritait depuis longtemps et surement meme avant
lui !
le colosse attendait la fin de la cérémonie satisfait mais modeste

_________________
Perrinne
1, 2, 3, 4 et de 5 !
Le compte était bon pour la héraut, serment, réponse tous les ingrédients requis étaient rassemblés et d'un hochement de tete ferme et formel elle confirma que tout était bon pour elle.
Elle redigerait les contreseings une fois retournée à Saint Antoine. Sitot posés les originaux à la Bibliothèque, tout serait en ordre et une copie serait transmise aux nouveaux chevaliers.

_________________

Perrinne est bel et bien en deuil, banniere à ne pas prendre en compte durant le deuil
Perrinne
Si nécessaire pour un justificatif


Spoiler:
Perrinne a écrit:

Citation:

ORDRE ROYAL DE LA LICORNE

ADOUBEMENT



    A tous présents et à venir,


      Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil [Perrinne], dicte Montjoye, Roy d'Armes de France, témoignons :

        - Que nous avons bel et bien recu demande et patente d'adoubement de la part du Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, Guillaume de Jeneffe[(Guillaume_de_jeneffe)], à l'égard de Karyaan Lómalàs (Karyaan), telle que ci-jointe.
        - Qu'en le 05 aout 1465, nous avons assisté à l'adoubement et l'échange de serment entre le Grand Maitre et l'impétrante,
        - Que nul veto ne fut formulé au préalable par le Grand Ecuyer de France et moi-même, Roy d'Armes de France comme en témoignent les documents joints,
        - Que cet échange de serments et acte d'adoubement se sont déroulés dans le respect des lois héraldiques en la matière et des coutumes établies au sein de l'Ordre
        - Que ses armes ont été remise au Chevalier Karyaan Lómalàs telles que représentées ci-après.



      Et pour que nul ne puisse infirmer cet octroi, apposons notre scel.
      Faict à Paris en la Chapelle Saint Antoine le Petit, le 23e jour d'aout 1465.





Guillaume_de_jeneffe a écrit:
A Sakura de Valrochelles, Grande Maîtresse de France et de la chevalerie, etc, et Montjoye Reyne d'armes de France, etc, amies chères à mon cœur, Guillaume de Jeneffe, Grand Maistre de l'Ordre royal de la Licorne, etc, salut et connaissance de vérité.

Que connute chose soit à toi que suite à divers soucis - les routes sont parfois peu fréquentées des courriers royaux -, je n'ai pu apprendre la fermeture de la hérauderie royale que récemment lors même que j'avais requête capitale à formuler. J'espère donc que cela n'empêchera pas l'action qui me tient aujourd'hui plus à cœur que le souhait de plaire aux dames. Je souhaiterai en effet procéder à l'adoubement de plusieurs de mes sœur et frères d'armes. Leurs noms, vous les devinez sans doute, sont les suivants : Kantin Aymeric de Mialans [Kami], Malwyn Nicolas Cooper [Malwyn], Gauvin de Clairvaux [Gauvin.], Boucanier et Karyaan Lómalàs [Karyaan]. Tous cinq ont depuis des années lutté tant pour la Licorne que pour le Royaume, à des postes et visibilités différents et il ne serait que justice de déposer sur leur chef un tortil qu'ils méritent depuis longtemps.

Item que puisque tel est l'usage, voici les quelques mots que je désire voir paraître sur leur patente.
[ ... ]

Karyaan a écrit:
Karyaan depuis des années lutté tant pour la Licorne que pour le Royaume, et il ne serait que justice de déposer sur son chef un tortil qu'elle mérite depuis longtemps. Au sein de l'Ordre, Karyaan a rejoint la longue liste de ceux qui refusent d'être des chevaliers de roman et qui empoignent la vérité du monde dans ce qu'elle a parfois de sale, trouble et damnant. Si cela joue parfois des tours, cela est, aussi, l'une des voies de la chevalerie. L'implication dans le monde de la politique n'eut pas pour but de se couvrir de gloire et de se faire aimer. Elle a plongé les mains dans les douleurs de cette voie pour défendre la Couronne et son Maine chéri. Et en Main, justement, elle a défendu et aidé à l'audience de la chevalerie. On ne compte plus les charriots de ravitaillement qui partirent de cette région pourtant constamment menacée à destination de ceux qui ont choisi de passer leur existence sous le signe du tortil, sans favoriser un Ordre aux dépens de l'autre. Sa vie à Ryes ne fut pas de tout repos, elle a le verbe trop haut pour cela. Elle tempête, crie, mais sait aussi être calme et guider, inspirer. Dans la douleur, parfois, mais toujours avec l'espoir d'aider ses frères d'armes à devenir meilleurs. Grâce à elle et à ses connaissances financières, le trésor de l'Ordre a considérablement cru ces dernières années. Aussi, son engagement ne fit-il jamais de doute. Malgré les pertes et les déceptions, elle est toujours parmi nous. En une phrase comme en cent, Karyaan est une véritable chevalier de la Licorne.


Item que Gauvin, Malwyn et Boucanier ne disposant pas de familles enregistrées par les organes héraldiques compétents, il conviendra de faire figurer sur leur contreseing une table d'attente. Quant à Karyaan et Katin, le contreseing devra porter leur blason familial, respectivement Lómalàs et Mialans, sommé d'un tortil et reposant sur le collier de l'Ordre.

Item que nous tiendrons cérémonie sans doute en notre tour Saint-Michel, à Paris, et que vous y serez les bienvenues.

Justice ! Honneur ! Bravoure !

Donné à Cosne, le tiers jour du mois d'aoust del an de grasce MCDLXV
Karyaan a écrit:



Citation:
Paris, au Louvre, le 4 août 1465



A Vous, Guillaume de Jeneffe, Chevalier Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne,
A Vous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, Roy d'Armes de France, dicte Montjoye

De Nous, Sakurahime de Valrochelles, Grand Maître de France en qualité de Grand Ecuyer de France par intérim


Salut et Paix!


Par la présente, vous faisons savoir que nous n'opposons nul veto à l'accession des frères Kami., Malwyn, Gauvin. et Boucanier ainsi que de soeurs Karyaan à la chevalerie.
Nous n'avons aucun doute que ceux-ci sauront toujours agir avec probité et honneur tant au service de leurs frères et soeurs, qu'au service de la Couronne.


Qu'Aristote veille sur la Licorne et son Grand Maitre,






Citation:
Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, Roy d'Armes de France, dicte Montjoye, faisons savoir,

    Que nous avons pris connaissance de la volonté du chevalier Guillaume de Jeneffe, Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, de voir adoubés les soeur et freres Karyaan, Kami., Malwyn, Gauvin. et Boucanier ci-présentés dans la demande du Grand Maitre.

    Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, nous n'émettons pas de veto aux adoubements demandés, ceux-ci nous semblant autant justifiés que mérités, aucune raison légale ne s'y opposant par ailleurs.


Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris en la Chapelle Saint Antoine le Petit, le 3e jour d'aout de l'an de grasce mil quatre cent soixante cinq.


Guillaume_de_jeneffe a écrit:







Karyaan a écrit:








Karyaan a écrit:
Citation:





















Citation:



























[ ... ]

Item que Gauvin, Malwyn et Boucanier ne disposant pas de familles enregistrées par les organes héraldiques compétents, il conviendra de faire figurer sur leur contreseing une table d'attente. Quant à Karyaan et Katin, le contreseing devra porter leur blason familial, respectivement Lómalàs et Mialans, sommé d'un tortil et reposant sur le collier de l'Ordre.

Item que nous tiendrons cérémonie sans doute en notre tour Saint-Michel, à Paris, et que vous y serez les bienvenues.

Justice ! Honneur ! Bravoure !

Donné à Cosne, le tiers jour du mois d'aoust del an de grasce MCDLXV





Citation:
Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, Roy d'Armes de France, dicte Montjoye, faisons savoir,

    Que nous avons pris connaissance de la volonté du chevalier Guillaume de Jeneffe, Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, de voir adoubés les soeur et freres Karyaan, Kami., Malwyn, Gauvin. et Boucanier ci-présentés dans la demande du Grand Maitre.

    Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, nous n'émettons pas de veto aux adoubements demandés, ceux-ci nous semblant autant justifiés que mérités, aucune raison légale ne s'y opposant par ailleurs.


Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris en la Chapelle Saint Antoine le Petit, le 3e jour d'aout de l'an de grasce mil quatre cent soixante cinq.




Spoiler:
Perrinne a écrit:

Citation:

ORDRE ROYAL DE LA LICORNE

ADOUBEMENT



    A tous présents et à venir,


      Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil [Perrinne], dicte Montjoye, Roy d'Armes de France, témoignons :

        - Que nous avons bel et bien recu demande et patente d'adoubement de la part du Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, Guillaume de Jeneffe[(Guillaume_de_jeneffe)], à l'égard de Malwyn Nicolas Cooper (Malwyn), telle que ci-jointe.
        - Qu'en le 05 aout 1465, nous avons assisté à l'adoubement et l'échange de serment entre le Grand Maitre et l'impétrante,
        - Que nul veto ne fut formulé au préalable par le Grand Ecuyer de France et moi-même, Roy d'Armes de France comme en témoignent les documents joints,
        - Que cet échange de serments et acte d'adoubement se sont déroulés dans le respect des lois héraldiques en la matière et des coutumes établies au sein de l'Ordre
        - Que ses armes ont été remise au Chevalier Malwyn Nicolas Cooper telles que représentées ci-après.



      Et pour que nul ne puisse infirmer cet octroi, apposons notre scel.
      Faict à Paris en la Chapelle Saint Antoine le Petit, le 23e jour d'aout 1465.





Guillaume_de_jeneffe a écrit:
A Sakura de Valrochelles, Grande Maîtresse de France et de la chevalerie, etc, et Montjoye Reyne d'armes de France, etc, amies chères à mon cœur, Guillaume de Jeneffe, Grand Maistre de l'Ordre royal de la Licorne, etc, salut et connaissance de vérité.

Que connute chose soit à toi que suite à divers soucis - les routes sont parfois peu fréquentées des courriers royaux -, je n'ai pu apprendre la fermeture de la hérauderie royale que récemment lors même que j'avais requête capitale à formuler. J'espère donc que cela n'empêchera pas l'action qui me tient aujourd'hui plus à cœur que le souhait de plaire aux dames. Je souhaiterai en effet procéder à l'adoubement de plusieurs de mes sœur et frères d'armes. Leurs noms, vous les devinez sans doute, sont les suivants : Kantin Aymeric de Mialans [Kami], Malwyn Nicolas Cooper [Malwyn], Gauvin de Clairvaux [Gauvin.], Boucanier et Karyaan Lómalàs [Karyaan]. Tous cinq ont depuis des années lutté tant pour la Licorne que pour le Royaume, à des postes et visibilités différents et il ne serait que justice de déposer sur leur chef un tortil qu'ils méritent depuis longtemps.

Item que puisque tel est l'usage, voici les quelques mots que je désire voir paraître sur leur patente.

[ ... ]

Malwyn a écrit:

Malwyn a depuis des années lutté tant pour la Licorne que pour le Royaume, et il ne serait que justice de déposer sur son chef un tortil qu'il méritent depuis longtemps. Au sein de l'Ordre, il a gravi tous les échelons, avec une application qui force le respect. Accueilli comme homme d'armes, ce que certains ressentent telle une rebuffade, il en a tiré l'expérience et l'inspiration pour s'améliorer toujours, et parvenir ce jour au seuil de l'étape ultime de sa vie de chevalerie. Il gère depuis des années la sécurité du poste de garde de notre commanderie de Ryes, dirige nos écuries et ne se montre pas avare de l'épée dès lors que l'on est appelé sur un champ de bataille. En une phrase comme en cent, Malwyn est un véritable chevalier de la Licorne.


[ ... ]

Item que Gauvin, Malwyn et Boucanier ne disposant pas de familles enregistrées par les organes héraldiques compétents, il conviendra de faire figurer sur leur contreseing une table d'attente. Quant à Karyaan et Katin, le contreseing devra porter leur blason familial, respectivement Lómalàs et Mialans, sommé d'un tortil et reposant sur le collier de l'Ordre.

Item que nous tiendrons cérémonie sans doute en notre tour Saint-Michel, à Paris, et que vous y serez les bienvenues.

Justice ! Honneur ! Bravoure !

Donné à Cosne, le tiers jour du mois d'aoust del an de grasce MCDLXV
Malwyn a écrit:




Citation:
Paris, au Louvre, le 4 août 1465



A Vous, Guillaume de Jeneffe, Chevalier Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne,
A Vous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, Roy d'Armes de France, dicte Montjoye

De Nous, Sakurahime de Valrochelles, Grand Maître de France en qualité de Grand Ecuyer de France par intérim


Salut et Paix!


Par la présente, vous faisons savoir que nous n'opposons nul veto à l'accession des frères Kami., Malwyn, Gauvin. et Boucanier ainsi que de soeurs Karyaan à la chevalerie.
Nous n'avons aucun doute que ceux-ci sauront toujours agir avec probité et honneur tant au service de leurs frères et soeurs, qu'au service de la Couronne.


Qu'Aristote veille sur la Licorne et son Grand Maitre,






Citation:
Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, Roy d'Armes de France, dicte Montjoye, faisons savoir,

    Que nous avons pris connaissance de la volonté du chevalier Guillaume de Jeneffe, Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, de voir adoubés les soeur et freres Karyaan, Kami., Malwyn, Gauvin. et Boucanier ci-présentés dans la demande du Grand Maitre.

    Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, nous n'émettons pas de veto aux adoubements demandés, ceux-ci nous semblant autant justifiés que mérités, aucune raison légale ne s'y opposant par ailleurs.


Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris en la Chapelle Saint Antoine le Petit, le 3e jour d'aout de l'an de grasce mil quatre cent soixante cinq.


Guillaume_de_jeneffe a écrit:








Malwyn a écrit:











Malwyn a écrit:

Citation:





















Citation:




























[...]

Item que Gauvin, Malwyn et Boucanier ne disposant pas de familles enregistrées par les organes héraldiques compétents, il conviendra de faire figurer sur leur contreseing une table d'attente. Quant à Karyaan et Katin, le contreseing devra porter leur blason familial, respectivement Lómalàs et Mialans, sommé d'un tortil et reposant sur le collier de l'Ordre.

Item que nous tiendrons cérémonie sans doute en notre tour Saint-Michel, à Paris, et que vous y serez les bienvenues.

Justice ! Honneur ! Bravoure !

Donné à Cosne, le tiers jour du mois d'aoust del an de grasce MCDLXV





Citation:
Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, Roy d'Armes de France, dicte Montjoye, faisons savoir,

    Que nous avons pris connaissance de la volonté du chevalier Guillaume de Jeneffe, Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, de voir adoubés les soeur et freres Karyaan, Kami., Malwyn, Gauvin. et Boucanier ci-présentés dans la demande du Grand Maitre.

    Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, nous n'émettons pas de veto aux adoubements demandés, ceux-ci nous semblant autant justifiés que mérités, aucune raison légale ne s'y opposant par ailleurs.


Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris en la Chapelle Saint Antoine le Petit, le 3e jour d'aout de l'an de grasce mil quatre cent soixante cinq.




Spoiler:
Perrinne a écrit:

Citation:

ORDRE ROYAL DE LA LICORNE

ADOUBEMENT



    A tous présents et à venir,


      Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil [Perrinne], dicte Montjoye, Roy d'Armes de France, témoignons :

        - Que nous avons bel et bien recu demande et patente d'adoubement de la part du Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, Guillaume de Jeneffe[(Guillaume_de_jeneffe)], à l'égard de Gauvin de Clairvaux (Gauvin.), telle que ci-jointe.
        - Qu'en le 05 aout 1465, nous avons assisté à l'adoubement et l'échange de serment entre le Grand Maitre et l'impétrante,
        - Que nul veto ne fut formulé au préalable par le Grand Ecuyer de France et moi-même, Roy d'Armes de France comme en témoignent les documents joints,
        - Que cet échange de serments et acte d'adoubement se sont déroulés dans le respect des lois héraldiques en la matière et des coutumes établies au sein de l'Ordre
        - Que ses armes ont été remise au Chevalier Gauvin de Clairvaux telles que représentées ci-après.



      Et pour que nul ne puisse infirmer cet octroi, apposons notre scel.
      Faict à Paris en la Chapelle Saint Antoine le Petit, le 23e jour d'aout 1465.





Guillaume_de_jeneffe a écrit:
A Sakura de Valrochelles, Grande Maîtresse de France et de la chevalerie, etc, et Montjoye Reyne d'armes de France, etc, amies chères à mon cœur, Guillaume de Jeneffe, Grand Maistre de l'Ordre royal de la Licorne, etc, salut et connaissance de vérité.

Que connute chose soit à toi que suite à divers soucis - les routes sont parfois peu fréquentées des courriers royaux -, je n'ai pu apprendre la fermeture de la hérauderie royale que récemment lors même que j'avais requête capitale à formuler. J'espère donc que cela n'empêchera pas l'action qui me tient aujourd'hui plus à cœur que le souhait de plaire aux dames. Je souhaiterai en effet procéder à l'adoubement de plusieurs de mes sœur et frères d'armes. Leurs noms, vous les devinez sans doute, sont les suivants : Kantin Aymeric de Mialans [Kami], Malwyn Nicolas Cooper [Malwyn], Gauvin de Clairvaux [Gauvin.], Boucanier et Karyaan Lómalàs [Karyaan]. Tous cinq ont depuis des années lutté tant pour la Licorne que pour le Royaume, à des postes et visibilités différents et il ne serait que justice de déposer sur leur chef un tortil qu'ils méritent depuis longtemps.

Item que puisque tel est l'usage, voici les quelques mots que je désire voir paraître sur leur patente.
[ ... ]

Gauvin a écrit:

Gauvin a depuis des années lutté tant pour la Licorne que pour le Royaume, et il ne serait que justice de déposer sur son chef un tortil qu'il mérite depuis longtemps. Au sein de l'Ordre, il est apparu - et surgit encore souvent - tel un feu follet. Il n'est de choses qu'il ne veut faire, offrant le tournis à plus d'un de ses frères ou sœurs. Sans lui, Ryes ne disposerait pas de la nouvelle porte qui en garantit l'entrée et la protection, les nouveaux hommes d'armes se plaindrait peut-être moins de courir la lande l'arme au poing... et les armuriers des alentours pourraient fermer boutique. En une phrase comme en cent, Gauvin est un véritable chevalier de la Licorne.


[ ... ]

Item que Gauvin, Malwyn et Boucanier ne disposant pas de familles enregistrées par les organes héraldiques compétents, il conviendra de faire figurer sur leur contreseing une table d'attente. Quant à Karyaan et Katin, le contreseing devra porter leur blason familial, respectivement Lómalàs et Mialans, sommé d'un tortil et reposant sur le collier de l'Ordre.

Item que nous tiendrons cérémonie sans doute en notre tour Saint-Michel, à Paris, et que vous y serez les bienvenues.

Justice ! Honneur ! Bravoure !

Donné à Cosne, le tiers jour du mois d'aoust del an de grasce MCDLXV
Gauvin a écrit:




Citation:
Paris, au Louvre, le 4 août 1465



A Vous, Guillaume de Jeneffe, Chevalier Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne,
A Vous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, Roy d'Armes de France, dicte Montjoye

De Nous, Sakurahime de Valrochelles, Grand Maître de France en qualité de Grand Ecuyer de France par intérim


Salut et Paix!


Par la présente, vous faisons savoir que nous n'opposons nul veto à l'accession des frères Kami., Malwyn, Gauvin. et Boucanier ainsi que de soeurs Karyaan à la chevalerie.
Nous n'avons aucun doute que ceux-ci sauront toujours agir avec probité et honneur tant au service de leurs frères et soeurs, qu'au service de la Couronne.


Qu'Aristote veille sur la Licorne et son Grand Maitre,






Citation:
Nous, Perrinne Giffard de Gisors-Breuil, Roy d'Armes de France, dicte Montjoye, faisons savoir,

    Que nous avons pris connaissance de la volonté du chevalier Guillaume de Jeneffe, Grand Maitre de l'Ordre Royal de la Licorne, de voir adoubés les soeur et freres Karyaan, Kami., Malwyn, Gauvin. et Boucanier ci-présentés dans la demande du Grand Maitre.

    Que, conformément aux textes et coutumes héraldiques, nous n'émettons pas de veto aux adoubements demandés, ceux-ci nous semblant autant justifiés que mérités, aucune raison légale ne s'y opposant par ailleurs.


Qu'il en soit ainsi et heureusement.

Faict à Paris en la Chapelle Saint Antoine le Petit, le 3e jour d'aout de l'an de grasce mil quatre cent soixante cinq.


Guillaume_de_jeneffe a écrit:







Gauvin a écrit:











Gauvin a écrit:

Citation:





















Citation:


























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Perrinne est bel et bien en deuil, banniere à ne pas prendre en compte durant le deuil
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