Aureganedecoetlogan
Aurégane n'avait pas réussir à dormir de la nuit. Ce n'était pas la première fois ces dernières semaines.
A l'aurore, elle se rendit sur le bord de mer, marcha de longues heures sur la plage. Elle aimait ce contact doux et froid sur la plante de ses pieds. Le sable était humide car la mer s'était retirée loin.
Elle regardait à l'horizon le soleil qui se levait.
Il va faire beau aujourd'hui, le soleil va briller . C'est un beau jour pour partir
Elle s'assit sur un rocher. Elle ressassait tous les derniers événements des temps derniers.
Elle se souvint combien elle avait été surprise de voir que sa liste avait remporté la majorité des sièges. Elle s'était rendue compte que le peuple breton avait confiance en elle et qu'elle se devait faire son devoir de son mieux tout en restant accessible et disponible. Elle savait fort bien que la politque était un monde difficile mais elle ne s'attendait pas à se confronter à une telle férocité, méchanceté gratuite et cruelle due à une défaite difficilement indigeste. Elle oscillait entre vouloir imposer ses idées et le silence. Elle voyait au cours des jours qui s'égrenaient des démissions impromptues par la pression et l'irrespect. Il faut dire que l'ambiance était lourde détestable. Elle tentait de résister. Elle n'était pas sans ignorer qu'ils tentaient de la faire démissionner coûte que copute . Ils avaient même envisager de prendre le château et de la jeter comme une malpropre. C'est à ce moment-là qu'elle avait lancé le sondage avec une lettre ouverte aux Bretons . Elle eut des hauts le coeur en découvrant tout ce flot de haine, de rancoeur, des amis tombant le masque pour cracher leur venin. Ala suite du résultat, elle avait décidé de poursuivre de faire des efforts. Elle leur avait fait un discours où elle faisait un méa culpa. Elle demanderait de leur part un effort.
Elle soupirait. Le vent se levait et ses cheveux libérés, flottaient autour d'elle. Elle frissonnait mais elle ne voulait pas bouger.
Elle se disait que c'était peine perdue. Elle ne pouvait pas lutter contre la mauvaise foi, la méchanceté et les coups bas.
Des larmes se mirent à couler sur ses joues.
Pauvres Bretons ! Pardonnez-moi ! J'ai failli dans ma mission ! Je suis poings et pieds liés je ne veux pas voir la déchéance
Sur ces mots, elle descendit des rochers et s'avança dans la direction de la mer. Les vagues lui léchaient les pieds. L'eau était froide cela la fit frissonner, les yeux rivés à l'horizon, elle avançait lentement. Les vaguelettes lui frappaient le corps. Mais elle était décidée et ne reviendrait pas en arrière.
L'eau montait . Elle fermait les yeux et revoyait les images de sa vie. Elle prit une inspiration et se mit à genoux. L'eau lui rentrait par les narines. Elle ne luttait pas. Son instinct de vie a disparu.
La mer prenait possession de son corps tant dis que la vie s'amenuisait.
Rideau ! Le noir est tombé ! Aurégane est partie ..
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A l'aurore, elle se rendit sur le bord de mer, marcha de longues heures sur la plage. Elle aimait ce contact doux et froid sur la plante de ses pieds. Le sable était humide car la mer s'était retirée loin.
Elle regardait à l'horizon le soleil qui se levait.
Il va faire beau aujourd'hui, le soleil va briller . C'est un beau jour pour partir
Elle s'assit sur un rocher. Elle ressassait tous les derniers événements des temps derniers.
Elle se souvint combien elle avait été surprise de voir que sa liste avait remporté la majorité des sièges. Elle s'était rendue compte que le peuple breton avait confiance en elle et qu'elle se devait faire son devoir de son mieux tout en restant accessible et disponible. Elle savait fort bien que la politque était un monde difficile mais elle ne s'attendait pas à se confronter à une telle férocité, méchanceté gratuite et cruelle due à une défaite difficilement indigeste. Elle oscillait entre vouloir imposer ses idées et le silence. Elle voyait au cours des jours qui s'égrenaient des démissions impromptues par la pression et l'irrespect. Il faut dire que l'ambiance était lourde détestable. Elle tentait de résister. Elle n'était pas sans ignorer qu'ils tentaient de la faire démissionner coûte que copute . Ils avaient même envisager de prendre le château et de la jeter comme une malpropre. C'est à ce moment-là qu'elle avait lancé le sondage avec une lettre ouverte aux Bretons . Elle eut des hauts le coeur en découvrant tout ce flot de haine, de rancoeur, des amis tombant le masque pour cracher leur venin. Ala suite du résultat, elle avait décidé de poursuivre de faire des efforts. Elle leur avait fait un discours où elle faisait un méa culpa. Elle demanderait de leur part un effort.
Elle soupirait. Le vent se levait et ses cheveux libérés, flottaient autour d'elle. Elle frissonnait mais elle ne voulait pas bouger.
Elle se disait que c'était peine perdue. Elle ne pouvait pas lutter contre la mauvaise foi, la méchanceté et les coups bas.
Des larmes se mirent à couler sur ses joues.
Pauvres Bretons ! Pardonnez-moi ! J'ai failli dans ma mission ! Je suis poings et pieds liés je ne veux pas voir la déchéance
Sur ces mots, elle descendit des rochers et s'avança dans la direction de la mer. Les vagues lui léchaient les pieds. L'eau était froide cela la fit frissonner, les yeux rivés à l'horizon, elle avançait lentement. Les vaguelettes lui frappaient le corps. Mais elle était décidée et ne reviendrait pas en arrière.
L'eau montait . Elle fermait les yeux et revoyait les images de sa vie. Elle prit une inspiration et se mit à genoux. L'eau lui rentrait par les narines. Elle ne luttait pas. Son instinct de vie a disparu.
La mer prenait possession de son corps tant dis que la vie s'amenuisait.
Rideau ! Le noir est tombé ! Aurégane est partie ..
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