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[RP] La marche en avant de la COBA

Sofio51
Qu'importe le temps si celui ci est compté, il est défois des étrangetés de la vie,un tas de bois, un peu de cendres et puis voila qu'il fallait que cela soit autrement, devenir une clef de l'histoire, son cœur n'avait donc jamais de répit, déchirés , piétines , rembroués de larmes, pourrait t'il encore supporter longtemps, tant d'émotions,pourtant le chemin s'était assombri en route, fini le ciel bleu, et les étoiles brillantes, ses yeux déjà voyaient autrement, chaque fleur se transformant en chardon, chaque cailloux en armes, il lui semblait parfois voir la route dévier, illusions de chimères, sa route ce jour sera droite, puis le chemin tournera, et les fleurs du mal s'ouvriront.

Armes de fers, bruits lourds et lointain se rapprochent,de la j'entends le son des armes, de la j'entends le bruit de la guerre.
Fiers armée du Bourbonnais Auvergne, ton bras est juste et puissant, tu comptes parmis les braves arrivés ce que le BA a de plus féroces en son seing, les terribles sont la.........


La marche en avant

Pourfendons , chassons, de la Bourgogne, ces mercenaires de poussiére, jusqu'à leurs dernières demeures.Lapidons de nos pas le rouge hors des terres.

Pas décidés, volonté de géant,la force ne laissera pas de place au destin,fiers de sa force la COBA est la..........

Troupes de discipline tenez vous prêtes que le pleutre sorte des rangs maintenant et s'en retourne, que le brave suive mon bras armée et se range a mes cotés,et n'aura de cesse que de tenir debout jusqu'à son souffle ultime.

visage et pensées sortez de ma tête,pas le moment de me contez fleurette,mon arme pèse lourd et restera bien accrochée, faillir ca coute cher,mon cœur parle trop, cesse ou je te fous en arrêt, cesse, tu me cafouilles,je te fous de coté tu es ancrée dans mon corps, accroche toi........




Sans relâche, pensez aux oies sauvages, qui sont mortes avant vous, sans relâche,elles ont combattus ne cessant jamais la nuées.surtout ne pas pensez a lui........
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Riggins
Tim avait affuté son épée et ajusté sa cotte de maille.
Il était près l'action. Il avait rejoint la fiere COBA au nord du BA.
Puis se fut l'entrée en bourgogne, le temps changea, les nuages étaient gris, heureusement au loin une ville s'annoncait, nevers il paraissait, ils y passeraient la journée au chaud, en taverne avec les autochtones du coin.
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Pascale33
La marche en avant..
Tous ont ce courage qui surpasse la peur...La foi dans celle qu ils suivent...
Cette camaraderie et cette union qui effraient tant les villageois ...
Armes et poussières...
Ils avancent...Armée Fière de ses couleurs...
Riche du Coeur de ses soldats rempli de hardiesse et de cette volonté de vaincre...
Vaincre ou mourir...
Plus question de réfléchir...
Pas d hésitations...on ne recule pas...La marche en avant...
La longue file de soldats semble interminable...
Elle les connait tous...Ou presque...
L armée du BA...Sa famille...
Bravoure et Audace est en chacun d eux.
Pas de faibles...Pas de Poltrons...
Répondant a l appel, la détermination et la résolution dans le regard, sans un seul pas en arrière, ils suivent l étendard...

Parmi ses compagnons, c est avec honneur et dignité qu elle entre en Bourgogne.
Avec eux , elle représente la réputation et la grandeur du BA

La première ville bourguignogne....Nevers....
Un sourire éclaire le visage de tous..
Ils aspirent à la détente ... à se retrouver devant une chopine le temps de la soirée...
Avant de reprendre la marche en avant....

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http://fr.youtube.com/watch?v=aGnvLWoZHes
http://fr.youtube.com/watch?v=SuzgMmvMmIA
Sofio51
marche ou crève

Pas un village, pas un seul ne se ressemble, pas un rappelle les terres du Bourbonnais Auvergne, lacs et reliefs s'enchainent, taverne, et polémiques, avait le petit berrichon qui a passé deux mois en auvergne et se voyait déjà en terre conquise.


Donne moi ton plan capi j'vais te dire si il vaut le coup, moi je suis ex maire et en deux coups j'te refais le monde.

Hé l'ami passe ton chemin, bois ton coup paies ta tournée , tapes m'en deux fais la bise aux copines et retourne a ton patelin.


La marche en avant

Le rouge vous va si bien, rien sur ces terres n'indiquent leurs passages, pas eu vent de viols, vols ou larcins, par une chaumière qui crame, rien satanés rouge t'es passée ou, doit t'on avancer ainsi jusqu'à la terre de la bête sans nom.

Avance tais toi, porte ton sac baisse l'échine, répond pas aux coups bas, en a qui aiment les tournants, chemins tortueux, nafout (ha toi),aura le temps pour toi, et le temps pour toi.


Petite halte, pause casse croute l'herbe est bien verte par la, j'avais dit je prend les timbales, prévois en nombre suffisant bordel, et la on squatte avec la bouffe et a personne au rendez vous, tant pis on avance encore encore......

Le jour du départ en a eu des pas en avant , il a bien fallu trancher,l'élite est la présente, pas de cancans, sont tous partis voir les oies sauvages, parait que plus on monte au nord plus ca jacasse, pour l'instant le ciel est de plus en plus noires, t'es ou terre du BA je vois plus ton relief piquant, terre de ma naissance, tu manques a mon cœur et pourtant j'avance encore, je sais que tu es derrière, si prés et déjà si loin.

juste avant le départ, elle a pris son collier, il vient d'une terre lointaine aussi, a t'il été offert avec le cœur,reverra t'elle l'offreur, elle l'espère, collier de sang, collier du bonheur tu a tellement assombri mes pensées.


La marche en avant


Bientôt l'aube on entend les murmures, dans les rangs, tous ont faims soifs et cette envie de remuer leurs lances, allez japhet on parle pas de ca........
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Landry
Cosne la belle, par une journée banale, noyée sous un soleil radieux et une chaleur presque oppressante. Landry n'est plus vagabond, ça y est, il a obtenu le droit de construire ce qui sera un jour, espère-t-il, une maison. Mis à part un arbre et quelques planches qu'il a réunit dans ce début de journée, il n'y a rien sur la propriété qu'il vient d'acquérir, un simple bout de terre où il vivra et où il fera pousser des céréales.
Le brunet s'est résigné à entamer la construction d'une cabane, car depuis la dernière lettre de la princesse il n'a plus eu de nouvelle, chaque jour il espère encore voir venir un messager lui apportant missive fermée du sceau princier, mais chaque c'est un peu moins fort qu'il y croit, jusqu'au jour où tout espoir l'aura quitté. Mais ce jour, il ne le laissera pas arriver, le jeune homme se donnera les moyens de parvenir à faire de sa vie ce qu'il entend en faire, un jour il servira Armoria de Mortain de son bras armé, un jour il donnera sa vie pour elle, cette évidence s'est imposée à lui depuis la première fois où il a lu les mots du grand Mestre de France.

Il érige alors difficilement les murs de sa future demeure, difficilement oui, car il est resté plusieurs jours sans manger, économisant ainsi quelques écus. Mais à quel prix ? Il manque cruellement de forces et le moindre effort lui coûte énormément. Lorsque des bruits métalliques se font entendre plus loin il décide de faire une pause pour voir de quoi il s'agit, des cliquetis d'armures et armes diverses, puis se sont les sabots des chevaux portant fièrement leurs cavaliers en armes ; une colonne de combattants est entrée dans la ville et progresse lentement. Il ne reconnaît pas les couleurs flottant sur les étendards, il ne les a jamais vu auparavant, mais les gens de la ville n'ont pas l'air de prendre peur, il les accueillent même chaleureusement, ces hommes et ces femmes sont donc des alliés de la Bourgogne.
Il les regarde ainsi passer devant lui, tous plus fiers les uns que les autres, pas un seul ne semble anxieux pour ces futures batailles qu'ils vont livrer contre leurs ennemis, ils marchent la tête bien haute. Il les regarde, envieux, il aurait tant aimé faire partie de cette armée, ou d'une autre... il aurait tant voulu aller se battre contre ces mécréants qui ont envahi les terres bourguignonnes uniquement pour le plaisir de détruire, de piller et de tuer des innocents.

Comment le Très Haut peut-il laisser faire de telles barbaries ? Pourquoi ne sont-ils point châtiés pour leurs crimes ? Comment arrivent-ils à échapper à la justice des hommes ? À celle de Dieu ? Landry espère au fond de lui que l'armée qui défile devant lui trouvera tôt ces chiens et qu'ils leur feront payer pour toutes les victimes qu'ils laissent derrière eux, il espère que tous paieront, sans exception.
Il aimerait pouvoir venir grossir les rang de cette colonne qui progresse sans s'arrêter, mais c'est tout juste s'il n'est pas cul-nu, qui plus est il n'a pas d'arme et tient à peine debout du fait de son jeun des jours passés... quel misérable combattant il ferait, il n'arriverait même pas sur le champ de bataille, dans l'état qu'il est.

Mais il peut faire une chose pour eux, et c'est ce qu'il va faire aussitôt que le dernier homme en armes a quitté son champ de vision, il se rend à l'église pour prier, demander au Très Haut de les bénir, de les protéger, mais également de leur donner la force de vaincre. Il priera durant de longues heures, il priera pour eux, mais aussi pour tous les combattants Bourguignons qui se battent pour défendre cette terre qui est la leur.
Pouypouy
Tous sont impatients, mais rien à l'horizon...
Tous sont prets, mais rien à mater...
Les lames sont affutées et les bouclier briqués ...
Les armures étincelantes n'attendent que le sang de l'ennemi pour les souiller.
Caches toi le fourbe ou bats toi si tu ne tiens pas à la vie....

La marche en avant est inéluctable ....
Guigm
Qu’il soit dit et qu’il soit su dans toute la Bourgogne que la COBA est là.
Qu’il soit dit et qu’il soit su dans toute la Bourgogne que peu importe les moyens.
Qu’il soit dit et qu’il soit su dans toute la Bourgogne que peu importe le temps qu’il faudra.
Qu’il soit dit et qu’il soit su dans toute la Bourgogne que la COBA va chasser les vilains.
Qu’il soit dit et qu’il soit su dans toute la Bourgogne que leur sang coulera.

Qu’il soit dit et qu’il soit su dans toute la Bourgogne que la COBA avance...
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Pascale33
La marche en avant...
Adieu Nevers ....
Les chevaux piaffent...Les soldats s impatientent...
La longue colonne reprend son avancée...
Quelques rires gras, quelques boutades trainent encore dans les rangs...
L aube est là...Le silence se fait parmi les hommes...
La marche en avant reprend ses droits...
Vers le feu, vers le sang...vers la bataille...

Quand l ennemi sera t il là?
Quand le sang rougira t il leurs armes, les cris résonneront ils à leurs oreilles ?
Sont ils effrayés et fuient ils devant l inéluctable marche en avant de la COBA?

Soldats fiers, heureux d avancer sous le drapeau de l Auvergne, chacun d eux ne demande qu a en découdre, qu a pourfendre l ennemi...

Cosnes...Village éprouvé....Qui les voit arriver avec inquiétude...Qui enfin leur ouvre les portes...

La marche en avant...Tous ne font plus qu un...
Soldat de la COBA au sourire indéfinissable qui cache la volonté de répandre le sang impur, d occire l adversaire malfaisant, d un bon pas , s achemine...Avec dans le regard, la lueur opiniâtre d aller jusqu au bout du défi...
Salut et adieu a Cosnes...

La marche en avant...



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http://fr.youtube.com/watch?v=aGnvLWoZHes
http://fr.youtube.com/watch?v=SuzgMmvMmIA
Cirano
la marche en avant continu...
tous sont impatient ...
impatient de se battre ,de faire couler le sang de ses brigand et de les renvoyez dans l enfer que ces mecreant n aurait jamais du quitter .
les armes sont affutés ,les armure et les bouclier poli ,tous sont pret a en decoudre mais pour l instant rien ,juste l attente et l impatience .
les soldat continus leurs avancé tous fier ,les etendart du BA haut levé .
bientot viendrons les combats et le sang des brigands et des malfaisant rougirons leurs armes car rien ne pourras arreter l avancé de la COBA .
Sofio51
Un cavalier qui surgit hors le la prairie son nom il l'annonce en arrivant.

Capitaine soldat éclaireur

bout de souffle

Missive pour vous privé m'a t'on dit.

Prend la missive cacheté, espère, en tremble, des nouvelles du pays,bonnes mauvaises pourvu que....

Citation:
"Dans la lune il est marqué, j'ai vu un signe terrible, quand l'oie est passé devant le ciel s'est assombri, je t'avais dit part pas, toi t'écoutes rien, t'es barré, j'ai lancé les dés en taverne trois six sont sortis, t'es foutus."


Insignifiants ragots de commères, elle jette le pli au sol, le froissant, reprend son canasson, jette un oeil a ses troupes, mouvements dans les rangs, des rangées bien formée, et on accuse les hommes d'être des rustres, du grand n'importe quoi, accuse t'on la vie d'être cruelle? accuse t'on la lune d'être sombre?

TONNERRE

L'aube, et enfin un repos , la route était longue, du monde croisée cette nuit, il a fallu contrôler chaque passage, trouvez de l'eau devient vital, quelques tavernes, du pain,tout d'abord monter le campement, juste pour quelques heures puis repartir, le pire est derrière, devant çà sent la fin, la fin d'un chemin, le bout de la piste, ça sent le sang.

Prête a mourir? elle ne pense pas, qui pourrait l'être?avant oui, avant lui ...La il y a la promesse, il y a l'espoir, et il y a l'envie, cette rage de voir gris et noir, cette descente tortueuse, ou es la mer??beau le retourner le plan dans tous les sens même pas vue la flèche pour aller voir la mer.

Juste un truc, elle a jamais dansé, danser avant de clamser ça faut y penser, pas eu d'occasion, puis ca l'aurait fait rire, la elle en a envie et c'est pas le moment ca ferait rire.




La marche en avant

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