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[RP] Eglise du Feu d'Albi

Allyxia
Allyxia était arrivée tout juste sur le pas de l'église lorsque l'abbesse offrit le médaillon aristotélicien à Ciboulette, signe de la fin du baptême. Une de plus dans cette grande et même famille.
Sans risquer maintenant de déranger la cérémonie, Allyxia traversa l'église sans se faire remarquer et arriva près de Ciboulette pour venir la féliciter.


Félicitations pour ton baptême Ciboulette, même si je n'ai pas pu y assister entièrement. Qu'Aristote puisse désormais éclairer ton chemin lui dit-elle en lui donnant une bise avant de s'écarter pour laisser ses amis et ses proches la féliciter également.
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Ciboulette
Ciboulette remercia chaleureusement Zoélie.

merci beaucoup Dame Abbesse, je serai très fière de porter cette médaille !


puis Ciboulette remercia ses marraine et parrain
et enfin toutes les personnes qui s'étaient déplacées.


Je vous retrouve tous ce soir à la taverne chez Vincent.

Et avant de quitter l'église, elle prit la panière et la présenta à chacun de ses amis afin qu'ils y mettent une piécette pour les œuvres de l'église, ce qu'elle fit en premier bien sûr.
[Eglise / donner]


Merci et à ce soir tous !
Je vais de ce pas restaurer mon invitée surprise et lui offrir un bon lit!

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Jalna83
Tres emue Jalna avait embrasse Ciboulette ,puis etait allee remercier Zoelie ,heureuse que cette ceremonie ai reunit encore une fois les enfants d'Aristote dans l'allegresse

De l'un a l'autre Jalna vaquait distribuant des sourirs et des accolades avant de se diriger vers la sortie
Vincent81
Vincent embrassa ciboulette et la félicita d'avoir surmonter sa peur.
Lamalice
Lamalice avait failli tomber à la renverse lorsque Ciboulette quitta sa place pour venir se jeter dans ses bras. Elle ne savait qui des deux était la plus surprise. Ciboulette en la voyant ou elle en constatant avec stupeur qu'elle interrompait la cérémonie. *Mais maissss... qu'est-ce qu'elle me fait là ma Ciboulette ! Aie aie... l'abbesse Zoélie ne va pas apprécier !*Elle la serra néanmoins dans ses bras, essuya furtivement leurs larmes et lui murmura à l'oreille : M'enfin Ciboulette, que fais-tu ? Veux-tu vite retourner à ta place ! Nous nous verrons toute à l'heure !

Evidemment elle avait vu juste. L'abbesse n'y avait pas été par quatre chemins, haranguant l'assemblée en leur rappelant ce pourquoi ils étaient tous là et que le lieu était sacré. En son fort intérieur Lamalice s'était presque sentie agressée. *Une comédie ?!! Ben ça non alors, bien au contraire ! Il n'y a en ce lieu sacré que pure émotion et sincérité. L'amitié dans toute sa splendeur. C'est vrai que la cérémonie n'est pas très conventionnelle, mais bon... ce n'est pas par manque de respect, et le Très Haut voit sans doute cela d'un oeil bienveillant.*

Lamalice trouvait que Ciboulette ne pouvait mieux démontrer son appartenance à la communauté des artistotéliciens. L'amitié, le maître mot, était on ne peut plus présente. Les paroles pour entériner le baptême étaient certes nécessaire, mais les actes parlaient pour elle. Ciboulette était déjà dans le bon chemin et cultivait déjà l'amitié. Oh bien sûr, elle faillira parfois comme tous les humains, car les tentations étaient grandes, mais avec l'aide du Très Haut, de son parrain, de sa marraine ainsi que toute la communauté, elle arrivera à vaincre le mal.

Lorsque l'abbesse reprit le cours de la cérémonie sur un ton plus doux et un sourire aux lèvres, Lamalice l'écouta avec attention et apprécia le passage de la vie de Christos. Laver les péchés, être pardonné et savoir pardonner... c'est exactement ce que venait de faire l'abbesse. Vint l'instant tant attendu du baptême. L'émotion était intense... elle se revit quelques semaines plus tôt, lorsque c'était elle qui était près des fonds baptismaux.

La cérémonie religieuse prit fin. Lamalice resta un peu en retrait, laissant les amis proches féliciter Ciboulette qui était très sollicitée. Elle en profita pour se recueillir encore quelques instants et remercia le Seigneur de l'avoir conduit en ces lieux saine et sauve et à temps.

Enfin Ciboulette put la rejoindre ! Félicitations Ciboulette ! Te voilà des nôtres ! Elles s'étreignirent, s'embrassèrent, se firent un magnifique sourire. Pas besoin de paroles, la complicité était présente comme lors de leur pastorale. Lamalice mit une pièce dans la panière et suivit Ciboulette. Elle lui remettra son cadeau lorsqu'elles seront seules toutes les deux.

Ce soir Lamalice, malgré la fatigue, accompagnera Ciboulette à la taverne où elle fera connaissance des amis présents ou pas à la céromonie. Elle se réjouissait sincèrement de partager la joie et le bonheur de Ciboulette.



Elysabethe
Élysabethe était resté au fond de l'église pendant la cérémonie. À ses côtés, le petit Romain restait assis sagement, observant la beauté du lieu de culte. Le garçon avait changé quelque peu depuis qu'il s'était établit chez elle et Capoune. Habillé, coiffé et lavé de frais, il avait l'ambition de réaliser ses rêves.

La femme sourit en le regardant puis voyant Ciboulette descendre l'allée, elle se leva et alla vers elle.


Félicitations Ciboulette ! Quel grand jour pour toi !

Élysabethe sourit à Ciboulette et lui tendit la main pour la féliciter encore une fois.
Garriguette
Garri alla à son tour embrasser Ciboulette. trés émue par le bonheur de son amie, elle l'étreignit et la félicita...
Zoelie
En ce gai dimanche matin, le curé d'Albi avait revêtu une tenue particulière. Elle n'avait pas encore eu l'occasion d'annoncer à ses paroissiens sa nomination et elle voulait leur montrer l'honneur qui était celui de la paroisse à travers sa nouvelle fonction.
Elle arriva donc, dans ses vêtements de nonce apostolique et comme déja les fidèles s'approchaient, elle fit sonner les cloches.




Elle attendit un instant que tout le monde entre et s'installe, puis souhaita la bienvenue à tous dans la maison du Très-Haut.

Mes frères, mes soeurs, mes amis

Hier, nous avons célébré l'arrivée parmi notre communauté de notre amie Ciboulette. Et comme ce baptême a été quelque peu mouvementé, il a par là-même donné l'occasion de voir comme la foy fait partie de votre vie quotidienne.
Je me réjouis de voir combien notre paroisse est active et comporte nombre de fidèles qui savent bien que être croyant ne veut pas dire être austère ou bégueules.
Notre religion est une religion vivante, accueillante et qui donne à chacun l'occasion de trouver la meilleure part de lui-même.


Sa voix se fit plus basse
Il demeure, cependant, quelques personnes qui restent éloignées, qui doutent ou pire encore qui font quelques malsains rapprochements avec ce qu'ils pensent être une autre religion, dont d'autres en d'autres lieux, et peut-être même d'autres temps (qui sait) leur aurait parlé.
Reprenant gaiement
Ceux-là sont dans l'erreur ! A nous de leur montrer que nous sommes tous ici réunis dans la joie, le bonheur et la bonne humeur pour partager ensemble l'amitié et le plaisir de la foy.
Justement, je voulais en ce jour, vous informer d'une nouvelle qui m'a moi-même fort réjouie. Vous savez sans doute qu'un concordat est en cours de débat avec notre comte de Toulouse.
J'espère que celui-ci aura à coeur de signer un réel engagement de foy pour les toulousains et voila, figurez-vous, que je saurai aller y voir de plus près sous peu, car j'ai eu l'honneur d'être désignée en tant que représentant de la nonciature apostolique, et donc du Saint Siège, par Monseigneur Roger, pour la province de Toulouse.
A travers ma nomination, c'est toute la ville qui est honorée par les voies de Rome, et je tenais à vous faire partager ceci.


Elle avait rougi car elle savait l'importance de cette charge mais elle voulait également rester proche de ses paroissiens. Elle n'était pas femme d'honneurs ou de pouvoir et ne savait comment présenter la chose. Elle poursuivit en pensant être dans le ton juste :

J'ai accepté en toute humilité cependant, et je vous dispenserai de m'appeler "Votre excellence" lorsque nous nous croiserons en taverne une de ces prochaines fois.
Je mettrais ma foi et mes convictions au service de tous dans les négociations qui ont déja débuté avec Monseigneur Hardouin, évêque de Toulouse et Monseigneur Boudegignac, évêque de Rodez.
Voici,voila !

A présent, je voudrais vous informer également de nouvelles beaucoup plus tristes. Dame Bethany qui était mon diacre a malheureusement du quitter la région, voire même, cette terre. Nul n 'a plus de ses nouvelles.
Et Messire BaronSengir s'est rendu en lieu de retraite pour une durée pour le moment indéterminée, mais nous le reverrons et nous l'attendons avec patience.Tous nos encouragements l'accompagnent.

Nous allons à présent réciter la prière de la confession pour demander pardon au Très Haut de nos mauvaises pensées ou actions.



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Jalna83
Assise sur le deuxieme banc Jalna nz perdait rien de l'annonce que Zoelie faisait a ses paroissiens

Elle resplendissait de joie pour sa nomination et Jalna ,tres heureuse pour elle pensa qu'elle le meritait plus que quiconque au vu des efforts qu'elle faisait pour diriger son troupeau vers le Seigneur

Elle regreterait aussi Bethany qui avait laisse un souvenir sympatique dans sa memoire
Zoelie
Zoélie poursuivit l'office par la prière du credo. Les fidèles semblaient peu présents ce jour, voire même totalement absents, elle décida donc d'agir plus rapidement.



Aujourd'hui, je me permets de vous citer un sermon de mon ami Monseigneur Elmoron qui est aujourd'hui au paradis solaire, près du Très Haut. Il fut archevêque de Bordeaux et recteur de l'ordre grégorien. Voici ce qu'un jour du mois d'aout 1455, il avait dit :

Citation:
J’aimerais vous entretenir et vous mettre en garde brièvement sur un mal qui semble sévir ces derniers temps dans les royaumes : l’acédie.

L’acédie surgit comme une atteinte à la fidélité en Dieu, à la vocation et à la ferveur de la prière qui a pour conséquence la distraction de l’esprit, la morosité et qui peut mener jusqu’au désir de fuir le Très Haut. Il apparaît que l'acédie, à la charnière entre le charnel et le spirituel, est le piège mortel au cœur de la tension unitaire qui donne son sens à la morale et l'unit intimement à la spiritualité.

Les langueurs et dépits spirituels ne sont qu’une épreuve de plus du malin et stigmatisent nos faiblesses, aucunement celles du Seigneur qui reste toujours au dessus de nos épaules, prêt à nous relever…les premices de ces sentiments doivent nous inciter à un abandon encore plus total dans la prière, le recueillement car c’est ainsi que l’on permet à Christos de nous aider, ravivant par là même notre piété.

Ainsi dans quelque instant, lorsque vous franchirez les portes de ce lieu sacré, j’inciterai chacun d’entre vous à garder constamment son cœur ouvert pour le Seigneur.


Je vous remercie de prendre le temps d'écouter votre coeur et de vous souvenir que la créature sans nom rôde toujours près de nous. Ne l'écoutons pas ! Eloignons là de notre vie !

Allez en paix ! Bonne semaine à vous tous !



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Fredmalkav
Fred et Galaelle arrivèrent un peu en retard à l'office. Ils se signèrent en entrant dans le lieux saint, et afin de ne pas déranger la diaconesse dans son prêche, ils s'installèrent au fond de l'église.
Après avoir récite le credo, ils écoutèrent le sermon de dame Zoelie.
Elysabethe
Élysabethe se signa à la fin de l'office. Elle avait écouté attentivement les paroles de l'abesse. L'église lui avait manqué durant son long voyage et elle n'avait pas eu l'occasion de se recueillir assez souvent dans les lieux de culte appartenant aux autres villes. Elle regarda la nef magnifique oû résonnait encore les paroles sages de l'officiante. Élysa eut tout à coup un pincement au coeur... Comme son époux lui manquait ! Elle le savait sur le chemin du retour mais le sachant ainsi à l'affût de brigands la terrorisait. Sa place l'appelait auprès d'elle, dans sa maison, sa ville et son comté bien-aimé. Ils avaient des projets plein la tête et le coeur. Le quelques jours qui les séparaient l'un de l'autre étaient trop longs...

Élysabethe s'agenouilla et se signa de nouveau. Elle remercia Aristote de sa bonté et de ce qui lui avait permis d'avoir en cette vie. Elle le remercia pour avoir mit Capoune sur sa route, puis Romain et tous ces amis précieux qui emplissait ses pensées et son coeur.

Qu'il me revienne sain et sauf... c'est tout ce que je demande... ajouta-t-elle.
Elle se leva ensuite pour se mêler aux autres paroissiens qui quittait l'église.
--Romain
Dame Élysabethe m'a demandé de l'accompagner à la messe. Comme pour le baptème de Dame Ciboulette hier, bien...je l'ai suivis ! J'aime bien venir dans l'église, c'est vraiment beau et grand. J'aime bien m'asseoir à côté de la Dame Élysabethe, elle me sourit gentiment et elle sent bon. Je n'ai pas à me plaindre.

Avant de partir, j'ai quand même dû faire une toilette forcée... et mettre des vêtements propres. Bah...je ne déteste pas me pavaner dedand, ils sont jolis mes braies neuves et ma chemise et mon manteau. Je me sens comme un petit prince !

J'ai bien écouté ce que l'abesse a dit et ça m'a fait réfléchir. Je dois être bon. Je dois m'appliquer à mon apprentissages et mes taches. Je dois être honnête. Je dois écouter et être obéissant. Je veux bien mais ce n'est pas facile... Je regarde Dame Élysabethe qui se signe. Ses yeux sont brillants comme s'il y avait des larmes dedand. Elle est comme ça depuis que j'ai reçu une lettre de son époux. Elle s'ennuie et elle est inquiète. J'aime pas la voir comme ça. Elle est bonne pour moi...qu'est-ce que je peux faire ?

Le seigneur Capoune m'a demandé bien solenellement de prendre soin d'elle. je dois le faire car...euh...bien...il me fait un petit peu peur le seigneur Capoune... Si vous le verriez, imposant le bonhomme ! Je glisse ma petite main bien propre dans celle que tout le monde appelle Ély. Je ne sais pas quoi lui dire pour qu'elle sache que je suis là pour la protéger. Je souris de mon sourire irrisistible (je suis conscient de mon charme dévastateur). Elle sourit. J'aimerais ça qu'elle soit ma mère, je pourrais l'embrasser pour lui dire que tout va bien.
Azaleah


Azaleah se présenta à l'église ce jour là avec une question qui lui travaillait l'esprit depuis déjà un bon moment, elle entra donc dans le saint lieu et se dirigea vers l'abbesse d'un bas feutré mais assuré.

Pardonnez moi Madame, mais j'aurai une question importante à vous poser. Quand j'habitais la Bretagne j'étais marié à un homme nommé Uruqum qui est aujourd'hui décédé (éradiqué), je voudrais savoir si je suis libre de me remarier ou si je dois faire reconnaître la mort de mon époux pour être officiellement libre.

Non point que je veuille me remarié tout de suite, mais si jamais la chose venait à se présenter, j'aimerai ne pas avoir de contrainte ... vous comprenez ?


Puis elle resta devant l'abbesse a attendre poliment une réponse.
Lhessa
Elle avait retrouvé la foi et la paix intérieure. Ce dimanche matin, levée à l'aube, elle avait préparé le petit déjeuner de son fils avant de le sortir des bras de Morphée. Ce fut un moment privilégié pour elle..entre la mairie et la caserne, elle ne trouvait malheureusement que peu de temps à lui accorder. Cependant, ils profitèrent tous deux de ces quelques heures volées pour bavarder, se chamailler et jouer à u de leur passe-temps favoris..imiter le chant des oiseaux.

Ils furent prêts rapidement, et s'en allèrent sur le chemin de l'Eglise. Ils s'assirent au fond du lieu de culte avant que l'Abbesse entame la messe.

Elle apprit alors le départ de la diaconesse..et l'absence de Baron. Il était parti précipitamment au monastère, sans raison apparente. Elle savait que cela troublait son fils, mais essayait de le réconforter comme elle pouvait. Elle se réjouit aussi pour Zoélie, qui se montrerait à la hauteur de sa charge. Elle aurait bien le temps de la féliciter plus tard.

Elle récita la prière de la confession, priant le Très-Haut de l'absoudre de ses péchés. Puis vint le crédo, qu'elle récita avec tout autant de ferveur.

La messe se poursuivit. Elle jeta un coup d'oeil alentour, en saluant certains d'un sourire, d'autres d'un signe de tête, avant de reporter son attention sur le sermon. Elle ne pouvait nier la justesse des propos tenus et se remit elle-même en question quelques instants, comme dans un recueillement profond.

Le temps était vite passé, la messe était finie. Comme nombre de fidèles, elle s'en alla, son fils à ses côtés, le coeur plus léger qu'à son entrée.

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En construction
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