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[RP] Eglise du Feu d'Albi

Zoelie
Elle voyait arriver avec joie les paroissiens fidèles, comme chaque dimanche. Quelques nouvelles personnes de plus en plus nombreuses osaient franchir les portes de l'église et la jeune femme s'en réjouissait. Elle eut une pensée saugrenue qui la fit sourire.

* Non, vraiment ! L'enfer lunaire ne sera pas rempli par la paroisse d'Albi ! *

Elle poursuivit ce sourire en l'adressant à tous les gens présents et attendit que le silence s'installe. Puis elle reprit la parole

Nous allons commencer, par réciter la prière de la confession afin de nous sentir mieux dans nos âmes et dans nos coeurs. Je vous demande de prendre quelques minutes pour penser- vraiment, sincèrement - aux mauvaises pensées, paroles ou actions qui ont pu être vôtres cette semaine.
Demandez-vous, en vous-même, comment vous pourriez rattraper le mal que vous auriez pu faire ou comment vous pouvez améliorer votre conduite et ensuite vous en demanderez le pardon au Très-Haut.



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Jo1715
Jo entra en l'église accompagné d'akiko et de leurs deux bébés Hestia et Arthur.

Comme les jumeaux n'avaient que quelques jours, ils s'installèrent au dernier banc afin de ne pas pertuber la cérémonie dans le cas où un des enfants se mettrait à pleurer.

Jo, tenant Arthur dans les bras, se mit à prier.
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Fredmalkav
Gala et Fred se tenant par la main, entrèrent dans l'église pour assister à l'office dominical.
Ils prirent un peu d'eau bénite et se signèrent. Puis le pas lent ils avancèrent en direction de l'autel et saluèrent l'abbesse respectueusement. Arrivant au niveau d'Aki et de Jo ils s'installèrent à leurs cotés, en les saluant et donnant une bise aux deux bambins.
Puis en se recueillant ils écoutèrent Zoelie faire son office. Et récitèrent en cœur la prièrent de la confession
Obanbru
Freg et Obane entrèrent tous deux dans l'église main dans la main... ils avaient accompagné dame Zoélie jusqu'à l'église ... Ils avaient des étoiles pleins les yeux, en s'imaginant qu'un jour peut-être ils en sortiraient unis pour la vie devant Dieu...
Ils se mirent assis côte à côte sur un banc, se recueillirent, prièrent et écoutèrent avec attention la dame Abbesse...
Zoelie
L'office se poursuivait
Mes frères, mes soeurs,
Ce jour, qui plus que tout autre doit nous rassembler dans la Foi, et l’amitié, ce jour, j’ai décidé de vous parler de ce qui fait que l’homme a été élevé par le Très-haut au-dessus de tout autre créature. Ce jour nous allons parler d’Amour.
Amour que nous portons pour le Très-Haut, mais aussi de l’amour que nous portons à notre prochain.
Je vous invite donc à ouvrir votre Livre des Vertus, Création VII : l’Amour.


[Résumé des passages précédents :
Dieu avait réuni l’ensemble des créatures qu’il avait créées et leur avait demandé quel était selon elles, le sens donné à la vie. Une réponse venant d’une créature prônait la domination de l’un sur les autres.
Voici ce que répondit un humain et ce que le Très-Haut révéla.]

L’assistance était silencieuse. D’une voix calme et posée, l’abbesse commença la lecture :

Livre des Vertus a écrit:


Création VII: L’amour

Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort par le faible.

Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda: “Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !”. Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: “Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste...”. Et Dieu lui ordonna: “Parle et je te le dirai !”.

Alors, Oane répondit: “Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.

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Alisachat
Alisa arriva à l'église alors que l'office était déjà commencé.
Elle se fit toute petite pour ne pas déranger et, selon son habitude, alla s'assoir dans un coin afin d'écouter le sermon de l'abbesse.

Elle se mit à prier.

Aristote, faîtes tomber votre grâce sur les grands de ce Comté et faîtes-les
réfléchir à leurs actions qui retombent inévitablement sur les petits.
Zoelie
L'église se remplissait encore et encore. Zoélie se sentait de plus en plus satisfaite et remercia, d'un clignement de l'oeil, le Très Haut qui amenait tant de paroissiens à l'office de ce jour.
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Ciboulette
Ciboulette arriva aussi à l'église et ne perdit pas de temps, elle se mit à prier de suite ..elle était un peu en retard aussi...faut bien le dire...
Zoélie avait déjà commencé son office.

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--Helie


Ce matin là, la famille Castelreng était plus qu'en retard pour la messe, les enfants étaient énervés.
Il savait où cette promenade allait le mener. Sa maman lui avait revêtis ses plus beaux habits et lui avait fait comme chaque fois avant de partir pour la messe, la morale.

Cependant, arrivé en haut des marches de l'église, alors que la porte en était entrouverte, Hélie parvint à échapper à son père qui le tenait par la main.

L'église en ce dimanche était pour une fois bien emplie, le bambin qui ne savait qu'une seule chose lorsqu'il venait dans cette drôle de maison , s'était qu'il avait toujours un morceau de pain qu'il trouvait délicieux. Aussi, du haut de ses deux ans à peine, ne s'occupa t-il pas de ce qu'il pouvait se passer et courra jusqu'à l'autel. L'abbesse Zoélie était à lire un passage du livre des Vertus.


Hélie, tirant sur la bas de la robe de Zoélie, la regardant du haut de ses trois pommes à genoux comme on dit parfois, baragouina.

Pain...pain.. dode pain !

Ce qui voulait dire en clair " donne moi du pain comme d'habitude, parce que je sais bien qu'on vient ici pour manger le pain" Traduction plus longue que ses paroles, mais c'est bien ce qu'il voulait dire par ces quatre mots qui résonnèrent dans le lieu saint.


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Castelreng
Les cloches avaient sonné depuis un bon moment déjà, appelant les paroissiens à la messe dominicale. Les Castelreng étaient plus qu'en retard cette fois. Castel et Oriabel qui avaient pensé laissé les enfants au chaud ce matin là s'étaient vu devoir les apprêter pour finalement les emmener avec eux. En effet, lorsque les petits avaient vu que leurs parents s'étaient parés de leurs mantels, ils avaient fait un tel caprice qu'ils avaient fini par les habiller et les emmener.

C'est d'un bon pas qu'ils avaient parcouru le cours chemin qui les menaient à l'église,portant chacun un enfant afin d'arriver plus vite, et, avant de gravir les marches pour parvenir à la porte de cette dernière, ils les avaient pris chacun par une main.

Les degrés gravis, Castelreng vit son fils lui filer des doigts et courir dans l'église.

Poisse ! manquait plus que ça.... c'est raté pour l'entrée en douceur...

Aussi, se hâtèrent-ils d'entrer. Oriabel avait Heaven par la main qui ne demandait qu'à suivre son jumeau, Castel, fulminait quelque peu de cette situation plus que génante, espérant tout de même que son fils allait aller s'assoir sur le banc où ils s'installaient toujours.
Lorsqu'ils virent et entendirent leur enfant qui était à tirer la robe de Zoélie en réclamant du pain, restèrent comme paralysé dans l'allée centrale de l'église.

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Zoelie
Zoélie venait de terminer la lecture sur les paroles d'amour que Dieu avait données à Oane : "Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.", lorsqu'un petit bout d'enfançon s'en vit lui tirer la soutane.
Elle regarda au fond de l'église et aperçut toute la petite famille du sire Castelreng, figée sur place dans la traverse principale. Elle toussa pour retenir l'énorme fou rire qui menaçait de la submerger et reporta son regard sur l'enfant.


Du pain ? Tu veux du pain ? L'enfant sourit. Elle se baissa vers lui

Mon petit ange, te voici tout soudain apparu, à l'image de ce que vient de décrire ma lecture. Tu m'as vu, tu m'as reconnu, tu sais ce que, en raison de ton âge, tu peux venir chercher dans notre sainte Eglise.
Tu fais bien partie des créatures humaines que Dieu a élu pour L'aimer et partager cet amour entre tous.

Le petit, à présent, la regardait avec des yeux ronds comme des ...grains de maïs. Il était en confiance et attendait sagement sa récompense. Elle le prit dans ses bras, se tourna vers les fidèles, un brin éberlués, leur fit un signe d'apaisement et se dirigea vers la partie droite de l'église.
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Castelreng
Pendant ce temps, la famille Castelreng, estomaquée par la situation avançaient bien sagement, trop sagement sans doute pour rejoindre un banc. En passant, Castel ne put que voir les sourires amusés. Il guida Oriabel à s'installer, peinant grandement avec Heaven qui gigotait pour aller retrouver son frère. Lui fit les gros yeux et lui dit tout bas qu'il allait aller rechercher Hélie, et s'avança tout couillon vers l'Abbesse qui pendant ce temps avait pris l'enfant dans ses bras.
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Zoelie
Zoélie se dirigeait tout simplement vers les fonds baptismaux.

Elle avait bien cru comprendre que ce pauvre petit n'avait point encore reçu le Saint Sacrement et elle allait se dépêcher d'y remédier.


Quoi de plus merveilleux que de baptiser un enfant, pendant la messe dédiée à l'amour ?

Elle aperçut du coin de l’œil, le père du petit qui venait récupérer sa progéniture. Elle lui tendit aussitôt son rejeton. Cast le prit dans ses bras et l’abbesse se baissa alors pour attraper quelque chose sous la vasque. Elle se saisit de la burette, emplie d’eau bénite parfumée au Saint Géranium et la souleva délicatement.

Castelreng, bien entendu , plutôt pris au dépourvu, accomplit les gestes rituels, ancestraux et porta l’enfant au dessus de la vasque.
Par trois fois, l’abbesse versa de l’eau sur le front, la tête et la bouche de l’enfant. Elle déclarait en même temps :

En présence de Castelreng ici présent, qui devient ton parrain officiel, sous le regard du Très Haut, je te baptise mon enfant.

"Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité."


Tout s'était déroulé si rapidement que le petit garçon n'avait même pas eu le temps de reprendre sa respiration. A présent, il la regardait, un peu suffoqué, et on voyait qu'il hésitait, très nettement, entre deux attitudes.
La jeune femme ne souhaitant pas entendre des hurlements s'élancer vers les voûtes de l'église, attrapa vite fait, bien fait une miche de pain bien ronde et bien appétissante sur la table réservée et lui tendit dans un grand sourire.


Voici, mon garçon. Tu l'as bien mérité. Ce jour est un grand jour pour toi. Tu viens de gagner bien plus qu'un morceau de pain.

Elle ne put s'empêcher de lui déposer un bisou sur la joue qui était assez humide. Elle se tourna vers son ami :

Et voici mon cher, ce qui peut arriver de meilleur en ce jour pour cet enfant ! A présent, la grande communauté des enfants d'Aristote compte un nouveau membre.
Ce baptême ne peut être inscrit aux registres, car le consentement "éclairé" est nécessaire et indispensable, bien évidemment. Mais je te remets tout de même pour lui la médaille des baptisés que voici :


Puis, dans un rire léger, elle ajouta :

Par ailleurs, si je peux te donner un conseil, pour l'avenir ? Garde l'oeil sur tes enfants et tiens leur main plus sûrement !
Bien ! A présent, j'ai une messe à terminer. Pouvons-nous poursuivre ?

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Castelreng
S'il ne s'était trouvé dans l'église, il aurait pu dire qu'il était sur le cul.
Zoélie, Hélie dans les bras, devenu étrangement sage, s'était dirigée vers les fonds baptismaux.
Pensant aller s'assoir pour suivre ce qu'il restait de la messe, il était donc allé retrouver l'Abbesse pour récupérer son fils.

Pas le temps ni l'occasion de dire quoi que ce soit. Elle lui mit Hélie dans les bras et fut bien forcé de suivre le mouvement. Pas le temps de réfléchir et puis cela aurait-il été utile. Ses enfants n'avaient pas encore reçu le Baptême, Oriabel et lui songeaient à remédier à cela, pensant le faire entre son Baptême à elle et leur mariage si toute fois ils parvenaient un jour à s'unir devant le Très haut. Enfin bref, ils y pensaient. Mais jamais il n'aurait pu s'imaginer que l'un de ses trois enfants se verrait entrer officiellement dans la grande maison Aristotélicienne lors d'une messe.

Hélie ne broncha pas lorsqu'il reçut l'eau bénite, ce qui lui parut encore plus étonnant.


En présence de Castelreng ici présent, qui devient ton parrain officiel, sous le regard du Très Haut, je te baptise mon enfant.

"Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité."


C'est même avec un grand sourire qu'il accueillit l'évènement d'autant qu'il se vit récompensé par le pain dont il rêvait depuis son arrivée en trombe.
Toujours sans rien pouvoir dire, Castelreng prit la médaille que lui remit Zoélie....




....fit une drôle de tête lorsqu'elle ajouta avant d'aller retrouver l'autel


Par ailleurs, si je peux te donner un conseil, pour l'avenir ? Garde l'oeil sur tes enfants et tiens leur main plus sûrement !
Bien ! A présent, j'ai une messe à terminer. Pouvons-nous poursuivre ?


Je.... Je.... Merci....

Ne put-il que dire avant d'aller rejoindre le banc pour suivre la fin de la messe.


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Cricriultras
Elle avait entendu les cloches sonner, mais étant occupée dans son bureau de la douane, elle voulu finir ...sinon !! que dirait son chef!!

Elle quitta le château et prit la direction de l'église, Salvien ne serait pas avec elle, mais le temps ne s'y prêtait pas, il était mieux au chaud avec sa nourrice.

Elle arriva dans l'église qui était pleine, les albigeois s'étaient déplacés en nombre, Dame Zoelie devait en être ravie.

Elle se signa, se fit discrète, à pas feutrée elle se dirigea vers un banc, l'office était commencé,lorsqu' elle aperçut Cast avec sa petite famille, elle alla vers lui.

Elle fronça les sourcils, se demandant ce qui se passait, lorsqu'elle vit l'Abesse tenant par la main un des jumeaux de Cast et se diriger vers les fonds baptismaux.....

Un baptême !!!!!!! Cast ne lui en avait pas parlé, ou bien elle avait oublié, Godefroid lui avait dit l'autre jour qu'elle était une tête de linotte, ça devait être vrai .......

Elle sourit à cette pensée, tête de linotte, cigale, grillon, colombe !!!!!!!! quelle jolie panoplie de sobriquets elle avait là.

Elle prit place à côté d' Oriabel, la salua et attendit la suite des évènements.

Cast vint les rejoindre, son fils dans les bras, une médaille dans la main !!!
et avec la tête de quelqu'un qui avait vu !!!! le messie ou un revenant !!!!cela la fit sourire de voir son chef avec une mine déconfite.


Elle lui glissa à l'oreille, et alors!!!! comme ça on fait baptiser son fils sans rien dire !!!
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