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[RP] Eglise du Feu d'Albi

Garriguette
Garri arriva à l'église un peu plus tôt ce matin là...Elle avait le coeur empli d'allégresse, la vie lui souriait et son bonheur se lisait sur son visage.Elle fit un signe de la main à Jalna qui elle aussi semblait bien heureuse entourée de sa petite famile et s'installa sur un banc de l'autre côté de l'allée centrale. Elle se mit à prier pour remercier le Trés Haut des bonnes choses qu'il voulait bien lui apporter depuis quelques temps...lui demandant de préserver ses amis de la peine et des dangers...Elle pensa à Rose et à Phénix....puis à Nanou qui allait partir avec Marcj et pria pour eux afin que leur voyage se déroula sans encombre.
Baronsengir
BaronSengir avait bien briqué le sol de l'église la veille. La tasche de sang avait disparu et le sol était tout propre. Il n'avait par contre pas encore eu le temps de nettoyer la grande nappe blanche. Il avait lors emprunté une nappe du presbytère, rose de surcroist, mais c'était tout ce qu'il avait trouvé. Il salua la bourgmestre et les autres fidèles qui attendaient déjà à l'église et se dirigea vers le fond. Une fois dans sa chère petite pièce, il se frotta les mains et se lança. Il tira la corde et se mit à faire carillonner les cloches à toute volée.


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Ladypassion
Lady arriva au son des cloches et entra dans l'église. Elle libéra sa main qu'elle gardait au chaud dans celle de Dhei et trempa ses doigts dans l'eau du bénitier... froide.. elle frissonna légèrement et se signa, le laissant voir exactement le geste accompli et sourit en le voyant faire.
Elle prit place au fond, comme à son habitude, près du pique-cierge, mais pas seule.
Son regard parcourut la nef et elle remarqua Jalna et Garri, puis se posa sur la nappe de l'autel... Rose ? et bien.. voilà une nouveauté.. où était donc passée la nappe d'une blancheur immaculée ?
Les cloches se turent et Lady attendit de voir qui allait officier en ce dimanche ...

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Nane94140
Pour sa dernière messe a Albi avant un long moment, Nane a réunit toute sa petite famille il y a la les trois enfants Agnès Tristan et Nadège les deux servantes Prudence chargée de s'occuper des diablotins et la vieille Barbe claudicant à demi mais prête à se rincer l'œil sur tous les jeunes gens présents dans l'église.

Tout le monde a sorti les habits du dimanche les servantes on même fait l'effort de se laver ce qui ne leur était pas arrivé depuis leur arrivée à Albi enfin sauf pour prudence une fois qui avait du aller récupérer Agnès dans le Tarn.

Nane porte dans ses bras le petit dernier, Landry, qui s'agite un peu.

Le groupe pousse la porte de l'église et vient s'installer sur le banc pour ouïr la messe.


Qui va la célébrer ce jour Baron ou Zoélie ? se demande l'aubergiste ! A ce moment précis les cloches sonnent a la volée

Vu la vigueur ce doit être baron et un lent sourire vient éclairer le visage de la jeune femme
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Little_dheimet
Little_Dheimet arriva à l'Église pour la troisième fois de sa vie, hier il avait du y revenir, pas pour prier, mais pour sauver la vie à un homme en le transportant à l'hospitalet. Aujourd'hui il revenait, pas aussi bien habillé que la dernière fois, lady lui avait dit qu'il fallait pas... ha les hommes, elle lui avait dit met tes plus beaux habits, il les avait mis, et maintenant, c'est tu sais, tu étais trop bien habillé, c'était pas une cérémonie, tu dois être bien vêtu tout juste, sinon tu te feras remarquer et les gens, ils vont se poser des questions, habilles toi convenablement, sans excès... et la voilà qui pour éviter toute surprise avait toqué au petit matin afin d'être sur, non seulement qu'il viendrait, mais aussi qu'il serait "convenablement" habillé...
Il avait appris durant la semaine les rites qui lui semblaient si étranges; il connaissais le crédo aristotélicien, c'était tout sauf aisé, mais il y était parvenu. Il savait maintenant le rôle de chaque chose dans l'Église, le bénitier entre autre.

Il arriva au bras de Lady et sur le parvis, leurs mains se séparèrent pour commencer tout le rituel.
Il plongea ses mains dans le bénitier après Lady et fit son signe de croix avec assurance, il fit une prière intérieure pour remercier le très haut de toutes les bonnes choses qu'il vivait, et surtout de lui avoir permis de comprendre par Lady que se souvenir de Lui était une obligation, certes, mais une vertu. Elle lui avait montré comment prier, et lui avait parlé des enseignements de l'Église en faisant ressortir tous les bienfaits que celle ci faisait. Elle lui avait appris à aimé et à respecter l'Institution qu'elle était. Elle lui avait même avoué avoir été tentée à un moment donné d'entrer dans les ordres... Il en aurait été bien triste, mais elle ne l'avait pas fait.
Il rentra dans le bâtiment, et ne regarda pas un peu partout comme le première fois, quoiqu'il fut bien tenté de le faire, il était toujours impressionné tant le respect que les lieux imposait était vivace.
Il aperçu sa mairesse et ses bambins; puis Garri, enfin il vit le Capitaine de l'équipe de Soule qui était aussi le Diacre et celui qui les avait fait appeler la veille. Lorsqu'il s'assit il vit Nane rentrer dans l'Église, elle aussi fort bien accompagné, il lui fit un signe discret en guise de salutation, comme lui avait appris Lady.
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{Pour toi, avec toi... pour l'éternité. Dans mon cœur tu demeures à jamais, reposes en paix}
Mimeline
Après plusieurs mois d'absence, Mime decida de venir à la messe, pour sortir, il est vrai, de son train-train quotidien, mais aussi, pour se reposer, et repartir sereine pour la semaine à venir.

Comme à son habitude, elle entra dans l'église le plus discrétement possible, ete s'installa au dernier rang.
Baronsengir
Les oreilles bourdonnant à souhait, le diacre se dirigea vers l'autel, où il put constater que bon nombre de fidèles avaient répondu à l'appel. Cela était une bonne chose que l'assiduité . De plus, par les temps frais qui débutaient, il était bon d'estre le plus possible afin de réchauffer l'église... Mais enfin! Les murs étaient épais, et chacun devait se sentir réchauffé par l'amitié aristotélicienne. Il s'avança en levant les bras.

Chers fidèles, je vous souhaite la bienvenue en ce dimanche dans la maison du Très Haut!

J'aimerais que tout d'abord, tous aient une prière de rétablissement pour notre concitoyen Sirius. Comme certains l'ont peut-estre appris, je l'ai trouvé blessé, gisant sur le sol de l'église. Il est maintenant aux bons soins du personnel de l'hospitalet. Que leur action soit ici reconnue et qu'ils en soient remerciés.

Chers amis, une semaine vient à nouveau de s'écouler. Des amours, des amitiés se sont formées, brisées, consolidées... Des joies, des rancœurs, des peines ont put estre ressenties. La vie, simplement, a suivi son cours. Et comme il est naturel pour l'homme d'estre pécheur, chacun de nous a à un moment ou un autre commis basses actions, émis vilaines paroles... Lavez-vous de tout ceci et entonnez avec moi la prière de la confession.



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Zoelie
Monseigneur Zoélie de Guérande s'avança tranquillement, comme chaque dimanche en l'église d'Albi. Elle prit place sur un des bancs devant l'autel en attendant de voir officier son diacre.
Elle était si contente de le voir à nouveau enthousiaste et plein d'une vigueur retrouvée. Il était si touchant avec son air de petit garçon sage quand il lui demandait : "Je pourrais célébrer la messe dimanche prochain ?"

Elle sourit pour elle-même. Depuis longtemps, elle lui avait dit qu'elle avait une totale confiance en lui. Il n'avait pas terminé son séminaire, certes, mais il avait déjà bonne connaissance du dogme et lisait très régulièrement le Livre des Vertus.


La ville d'Albi est bien chanceuse d'avoir deux officiants quand tant de villes en cherchent un seul, songeait-elle.
Ah ! Pourtant ! Cela devrait être si facile...Si plus de monde comprenait combien les clercs sont nécessaires au bien-être de chacun ? Comment se fait-il que nos voisins, nos amis ne se sentent pas investis de la mission d'encourager les vocations ?
Mais, elle abandonna bientôt ces vaines réflexions pour se plonger dans une prière personnelle juste avant que messire Baronsengir ne commence son homélie.





Puis, elle reprit avec lui, unissant sa voix à celles de tous les fidèles dans l'église, la prière de la confession.
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Baronsengir
Le diacre, qui était beau, qui était blond et qui sentait bon, était heureux de se retrouver une fois de plus à officier la messe dominicale. L'abbesse lui avait renouvelé sa confiance et sa foy s'en était retrouvée grandie. Un petit coucou à la baronne assise sur les premiers bancs, et il se plaça derrière la table où trosnait le Livre des Vertus. Le rose bien vif de la nappe tranchait avec le reste des ornements de l'église, mais enfin, il était bien aux couleurs du presbytère... Il ouvrit le Livre à la page précédemment choisie et s'exprima d'une voix forte :

Sœurs et frères, je vais à présent vous lire un passage du Livre des Vertus. Soyez attentifs et n'en profitez pas pour somnoler.

S'adressant à un villageois à la maschoire décrochée :

Oui, oui, vous!



L’éclipse VIII: La résurrection

Cette voix que j’entendis, alors que je me trouvais en compagnie d’Aristote et de Christos, était calme et pénétrante. Ils m’expliquèrent que c’était Dieu Lui-même qui allait me poser la question. J’allai enfin savoir laquelle était-ce. La voix divine me dit: “Toi, l’humain que les tiens nomment Sypous, tu es venu à Moi, découvrant tout ce qu’un humain pourra connaître après sa mort. Tu as visité chacun des sept Enfers, où tu as rencontré chacun des Princes-démons, qui se sont présentés à toi, conformément à Ma volonté. Qu’as-tu retenu de tes périples ?”

Je répondis: “J’ai compris le sens du Salut. Lorsqu’un humain a vécu dans la vertu, s’étant ainsi conformé à Ta divine parole, transmise par le prophète Aristote et par Christos, le messie, Tu lui accordes le droit d’accéder en ces lieux, au Paradis, au sein du soleil. S'il se détourne de la vertu, refusant d’écouter Ta divine parole, qu’il s’abandonne aux plaisirs terrestres, à l’égoïsme, à la tentation, à de fausses divinités, Ton infinie sagesse t’amène à l’envoyer en Enfer, dans la lune, pour y être puni pour l’éternité. Tu nous aimes, mais c’est également à nous de T’aimer.”

Dieu me dit: “Maintenant, le temps est venu pour toi de faire ton choix. Tu peux décider d’accepter la mort. Dans ce cas, je jugerai toute ta vie, les moments où tu as su œuvrer pour la vertu et ceux où tu t’es détourné d’elle. Si, alors, Je juge que tu le mérites, tu rejoindras les élus pour une éternité de joie et de bonheur. Mais si Je juge alors que ta vie n’a pas été assez vertueuse, tu connaîtras une éternité de tourments en Enfer. Mais, si tu penses que ton temps n’a pas encore été accompli, que tu n’as pas encore fait tes preuves devant Moi, tu peux décider de revenir à la vie.”

Je ne savais que répondre. Avais-je mérité de rejoindre le Paradis ou finirais-je en Enfer? Alors, j’entendis des voix. C’était celles de mes amis, qui priaient pour le Salut de mon âme. Bien qu’ils se trouvassent sur terre, je les entendais distinctement. Cela me faisait chaud au cœur de voir qu’ils se souciaient tant de ce qui allait m’arriver. Il me fallait leur montrer que leurs prières n’étaient pas vaines. Je décidai d’accepter la résurrection, afin de pouvoir vivre dans la vertu et de mériter le Paradis. Je leur devais bien ça, au moins autant que je me le devais à moi-même.

Dieu me dit alors: “Depuis que J’ai décidé de changer l’esprit des humains en âme, afin qu’elle soit jugée à leur mort, chacun d’eux parcourt le chemin qui t’a conduit à Moi, et Je pose la même question à chacun d’eux. Certains ont la même prudence que toi, d’autres accèdent au Paradis, et d’autres surestiment la qualité de leur vécu et sont envoyés en Enfer.”

“Ceux qui ont opté, comme toi, pour la résurrection ne gardent pas traces de leur périple céleste dans leur mémoire. Ainsi, leur comportement ne change que si la leçon s’est gravée au fond de leur cœur. Mais, afin que tous sachent quel sort terrible les attend s'ils se détournent de mon amour, je te laisse exceptionnellement la mémoire. Tu pourras ainsi témoigner de ton périple. Et ton témoignage restera pour les siècles des siècles. Maintenant que tu sais quelle tâche Je t’ai confiée, retourne à la vie, jusqu’à ce que Je te rappelle pour que tu fasses un nouveau choix.”

Alors, ma vue se brouilla. J’eus tout juste le temps de voir Aristote et Christos me dire à bientôt avant de perdre connaissance. Lorsque je me réveillai, je me trouvais dans mon lit, les bras en croix. Autour de moi des cierges étaient allumés et mes amis étaient en train de prier. En larmes, mais visiblement soulagés, ils m’expliquèrent que cela faisait neuf jours que j’étais mort. Je me levai, alla à la fenêtre, et vis que le soleil diffusait à nouveau sa chaleureuse lumière sur le monde. Je racontai à mes amis mon incroyable périple et décidai de coucher sur le papier tout ce que je venais de connaître pendant ma mort.


Qu'apprenons-nous ici, sœurs et frères? A notre mort, nous serons confrontés à notre Créateur, et Celui-ci jugera l'existence que nous avons menée. Le paradis solaire sera pour ceux qui auront été vertueux, qui auront respecté les préceptes aristotéliciens et vécu dans l'amitié. Au contraire, les vils, les hérétiques, ceux qui se sont blotti dans le vice tel une jouvencelle dans ses draps une nuit d'hiver, ceux-là rejoindront l'enfer lunaire, où mille et mille tourments les attendent!

Mais n'ayez crainte... Le Très Haut, dans son amour pour nous, nous laisse un choix. Si notre existence n'a pas été assez pieuse, si dans un éclair de lucidité nous nous rendons compte que nous avons négligé les paroles divines et désirons nous amender, Il nous laisse une chance. Nous pouvons alors revenir à la vie, afin de mériter la paradis par les actions que l'on fera dès lors.

Alors mes amis, vivez pieusement. Ne vous détournez pas de l'Amour que le Très Haut vous porte et retournez Lui cet amour en retour. Je pourrais vous citer moult noms d'hommes et de femmes qui se sont égarés... Mais ne suivez pas leur exemple. Et ne vous préjugez pas dispensés d'avoir une vie sans tasches. Mesme si le choix nous est offert de revenir à notre trépas, il y aura toujours une dernière heure, pour chacun d'entre nous. Et chacun d'entre nous sera jugé. Craignez l'enfer, mes ouailles, et vivez pour atteindre le paradis!


Il avait gesticulé lors de son discours, montré un doigt menaçant quand il parlait de l'enfer, usé d'harmonieux mouvements quant au paradis. Sa gorge commençait à se faire sèche. Vivement le passage du vin de messe...

Chers fidèles, prenez-vous tous la main, et ainsi unis, récitons le credo aristotélicien, que nous l'entonnions d'une seule voix, d'un seul corps lié par vos mains et l'amitié aristotélicienne.


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Baronsengir
Les voix avaient résonné en chœur, au plus grand bonheur du diacre. S'il avait une oreille plus musicale, il aurait pu songer à monter une chorale! Il posa les mains sur la rose nappe et s'adressa une nouvelle fois à ses paroissiens.

Je voudrais dire à tous les paysans qui cultiveront la terre afin d'en tirer les fruits, à tous les pescheurs qui ramèneront du frétillant poisson du Tarn, à tous les artisans qui utiliseront le bois des forests et le fer des mines... Remerciez le Très Haut pour la nature qu'Il a créé.

Eleveurs, fiers de vos vaches, moutons, cochons et je ne citerai pas toute la basse-cour! Souvenez-vous qu'Il a insufflé la vie en toute créature, mais qu'Il a fait des hommes Ses enfants. Rendez-lui donc cet amour.

Boulangers, tisserands et autres artisans, ne tournez pas le dos aux plus nécessiteux, sous prétexte qu'ils n'ont pas les écus suffisants. Laissez de costé l'avarice et laissez parler votre cœur.

A tous, passez une semaine la plus vertueuse possible! Et si vos pas vous mènent en nos tavernes, souvenez-vous, de la modération en toute chose! D'ailleurs, en parlant de boisson, je vous invite tous à venir partager le pain et le vin, en une famille aristotélicienne unie!




Le diacre attendit les paroissiens à l'autel, regardant avec un œil gourmand les petits pains et le vin disposé sur la nappe rose. Il se confesserait à l'abbesse pour ses envies culinaires...
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Nane94140
Dis maman j'aurais droit de gouter le pain

Et moi aussi !!!!!!!!!!!


Agnès et Tristan tenez vous comme il faut ! On ne demande pas comme ça voyons !


La jeune femme s'avance vers l'autel avec toute sa troupes servantes y compris et vient partager le pain et le vin.

Baron mon cher diacre il faudra que je te parles à la sortie, je souhaites te dire au revoir avant mon départ
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Baronsengir
BaronSengir sourit à l'approche de Nane et de ses deux bambins.

Oh alors ça y est, c'est l'heure du départ? Très bien, je te verrai à la sortie?

Il offrit un morceau de pain à chaque enfant et demanda à Nane :

Un petit verre de vin?
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Garriguette
Garri s'avança à son tour pour partager le pain et le vin...elle sourit à Nane et ses 2 enfants qui regardaient avec envie le pain que distribuait Baron à ses fidèles... Puis elle revint à sa place et se remit à prier.
Nane94140
Elle sourit à son ami.

Je ne suis pas grand amateur de vin et en général je m'abstiens mais pour l'amitié du geste oui j'en prendrais volontiers un verre.


Elle secoue un peu les enfants qui ont oubliés de remercier.

Merci M'sieur Baron !

Les enfants rappelés à l'ordre s'empressent d'une seule voix.

Passant Landry qui commence à peser son poids sur l'autre bras elle fait avancer Nadège devant l'autel.


Elle est tellement discrète Nadège comme sa mère qu'on l'oublie parfois !
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Jalna83
Entourée des siens Jalna avait communier avec le vin et le pain

Elle aimait partager le dimanche matin ces dons du Tres Haut avec ses amis et leur souhaiter les meilleurs choses du monde

Retournée s'assoire Garri avait un air de bonheur qui lui allait si bien et Nane entourée des siens ,exitée pas son prochain voyage, etait heureuse aussi

Un dimanche de reve comme il en existait peu...
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