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[RP] Eglise du Feu d'Albi

Fredmalkav
Gala et Fred installé sur le banc de l’église, Marina paisiblement calée dans les bras de sa mère. Tous trois attendaient que la messe commence, quand il entendit une voix familière dans son dos. Ils se retournèrent et adressèrent un sourire à Vivlyne. Bonjour Viv, la petite va très bien, c’est un ange, elle est très sage.
Quand Castel et sa petite famille. Gala et Fred leur adressèrent un sourire, et les saluèrent. Ils se décalèrent un peu, afin que tous le monde puisse s’installer sur la banc. Tout le monde réussi à s’installer juste avant que la messe ne commence.
Ils écoutèrent le début de la messe et se mirent debout pour réciter la prière dédié à l’archange Gabriel en chœur avec le diacre. Avant de se rasseoir et d’écouter la suite du sermon.


Citation:
Saint Gabriel archange,
Ange de la Tempérance,
Ouvre nos oreilles
Aux doux avertissements
Et aux appels pressants du Très Haut.
Tiens-toi toujours devant nous,
Nous t'en conjurons,
Afin que nous comprenions bien
La Parole de Dieu,
Afin que nous Le suivions
Et Lui obéissions
Et que nous accomplissions
Ce qu'Il veut de nous.
Aide-nous à rester éveillés
Afin que, lorsqu'Il viendra,
Le Seigneur ne nous trouve pas endormis.
Amen


Fred réfléchi pour essayer de se rappeler si la créature sans nom avait réussi à le tenter. Comme le disait le diacre, seul le très haut n’était que vertu, et sûrement Fred avait du etre tenté par le sans nom. Tous se remirent debout pour réciter la prière de la confession

Baronsengir
Les fidèles avaient bien récité le credo et le diacre satisfait s'adressa à eux.

Sœurs et frères, mettez en repos vos cordes vocales et faites fonctionner vos oreilles. Je m'en vais vous lire un passage du saint Livre des Vertus. Et souvenez-vous de l'adage : quiconque s'abisme en songe lors du chemin ne saurait profiter du breuvage offert à l'arrivée!

Le blond ouvrit le volume à la page choisie, s'éclaircit la voix, puis débuta sa lecture.



Le siège d'Aornos - Chapitre III

Le temple du manitou du serpent cosmique était un édifice imposant, dont l’architecture ne tolérait aucune fioriture. Le décorum était d’une simplicité extrême, et se limitait à quelques bas reliefs représentant des épisodes de la vie du serpent cosmique, divinité Assacène. Seul le dôme du temple tranchait avec l’austérité de l’ensemble, chargé qu’il était de pierres précieuses, et tapissé de feuilles d’or. Nous pénétrâmes dans la bâtisse, emboîtant le pas de notre guide, qui nous conduisit à une sorte de guichet, tenu par ce qui semblait être des moines. Ceux-ci nous interrogèrent sur nos identités, nos adresses, nos situations familiales, nos revenus, nos filiations, et plusieurs heures plus tard, nous fûmes enfin autorisés à rencontrer le manitou.

Le manitou du serpent cosmique était un personnage singulier. Nous nous attendions à rencontrer un souverain, splendide dans sa majesté, mais c’est un homme dépourvu de charisme qui nous faisait face. Le manitou était petit, maigre, d’un age plutôt avancé, et portait une ridicule petite moustache. Il nous accueillit froidement en ces termes : « Les étrangers ne sont d’habitude pas bienvenus ici, mais pour vous nous faisons une exception, puisque vous êtes acteurs de la prophétie ». Je brûlais de lui poser la question, mais c’est Aristote qui le fit avant moi : « Mais de quelle prophétie parlez-vous donc ? ». Le manitou lui répondit qu’il avait vu en rêve qu’Aornos serait détruite par des armées venues d’occident, mais qu’un philosophe du nom d’Aristote devait d’abord visiter la cité pour en perpétuer la mémoire dans ses écrits. Aristote affirma que jamais il n’userait de son précieux temps pour écrire deux lignes sur Aornos, « plutôt crever, ou mieux, qu’Aornos sombre dans un total oubli ». Le manitou fut atterré par les paroles du philosophe : « Ah, non, non, non ! Ca non, nous ne pouvons pas être oubliés, enfin ! Nous sommes l’idéal politique ». Aristote pouffa : « Pouah ! Vous plaisantez ? Un idéal, une vaste blague oui : je ne vois ici que péché.

Je ne vois que luxure des hordes d’égarés vautrés dans les abus obscènes des choses de la chair, qui conduisent à l’irrémédiable contamination de l’âme, devenant alors comme un noir paysage peuplé de phantasmes où les corps se mêlent dans des positions indicibles. Ces damnés vont et viennent dans un sinistre ballet, en quête de nouvelles expériences sordides, pour calmer leur appétit féroce qui ne fait qu’aller grandissant. Plus rien n’a d’importance, sinon la satisfaction de leurs bas penchants, et bientôt, les obsessions deviennent si fortes qu’ils sombrent lentement dans une folie noire.

Je ne vois que colère, que des pauvres bougres qui s’abandonnent à leurs penchants primitifs pour lever la voix ou le gourdin contre leurs frères, que des sinistres maraudeurs qui jouissent de la violence de leurs actes malfaisants. Ceux-là, bientôt poussés par leurs pulsions bestiales, ou leurs tendances à la perversité, se repaissent de chair humaine et boivent le sang de leurs victimes, avant de semer la mort, puis de s’oublier à jamais dans une orgie de viscères et d’humeurs répandues.

Je ne vois qu’avarice de ceux qui prétendent commander mais qui ne font qu’exploiter, méprisant des intérêts les plus fondamentaux de leurs sujets, de ceux qui se complaisent dans leur petit confort, méconnaissant des besoins vitaux de leurs frères laborieux, et qui refusent une miche de pain aux bouches affamées. Ceux-là, en vérité, font preuve d’un tel égoïsme, que toute leur substance converge vers un même point central de leur organisme, et qu’ils deviennent ainsi tout rabougris, bossus, et tordus par l’œuvre du temps.

Je ne vois que gourmandise, et extraordinaire opulence des citoyens, qui sont gras d’abuser des choses de la table, rosés de boire trop de vin, et nonchalants de leurs excès de sommeil. Ceux-là verront bientôt leurs langues couvertes de pustules immondes, et gonfleront comme des baudruches, pour ensuite éclater tels des fruits murs dispersant ainsi leurs pauvres chairs aux quatre vents.

Je ne vois qu’orgueil et fatuité des citoyens, qui se réjouissent de la contemplation de leur propre image, et qui se persuadent de vivre dans la perfection physique, morale et politique. Ceux-là deviendront les plus laids, les plus difformes d’entre tous à mesure qu’ils vieilliront ; ils finiront fous de désespoir d’être rendus à l'état de monstruosités rampantes, larves visqueuses qui n’ont plus rien d’humain.

Je ne vois qu’envie des uns pour les choses des autres, ceux d’en bas voulant posséder autant que ceux d’en haut, tels se pourléchant de ce qu’ils pourraient encore tirer de leur prochain, et la chrématistique se faisant l’instrument de ce système pernicieux. Ceux-là aiment trop posséder et posséder autrui, et à se croire trop libres de désirer, ils en deviennent esclaves de leurs désirs, soumis aux moindres aléas de la fortune : leur vie devient un enfer, une quête effrénée et impossible d’un nombre toujours plus grand de choses terrestres.

Et enfin, je ne vois qu’acédie, le pire de tous les vices, s’il en est un, car voilà des citoyens qui au nom d’une obscure prophétie se laissent aller à la contemplation absurde de ce qu’il croient être leur destinée, à savoir disparaître sous les coups du glaive d’Alexandre, des citoyens qui au lieu d’agir, regardent béatement et passivement, des citoyens qui ignorent que l’action est le produit de l’héroïsme, le plus noble véhicule des vertus. Ceux-là, en vérité, ne méritent plus le nom de citoyens, et donc ne méritent plus le nom d’homme, ils sont des légumes ! »

Et Aristote se tût. Le manitou fit des yeux ronds, quant à moi je ne savais que dire après une telle tirade. Le temps fut suspendu, puis le souverain eut soudain une réaction violente. Aristote et moi fûmes expulsés d’Aornos, après avoir été copieusement insultés par le petit roi, qui entrait dans une colère hystérique.


Il referma le livre épais, prenant bien soin de ne pas laisser un bout de doigt traisner.

Mes amis, Aristote n'avait pas la langue dans sa poche, c'est le cas de le dire. Malgré le danger de dire la vérité et le fond de sa pensée, il n'hésita pas et émit une critique en règle de la cité dépravée d'Aornos. En cette cité qu'Alexandre ne tarda pas à raser après cela, il ne put y voir que la délabrement d'une société, offerte aux sept péchés. La Beste sans nom devait estre fière d'avoir corrompu une cité toute entière!

Alors que dire de cela? Voulons-nous qu'une Aornos renaisse de nos jours, qu'acédie, orgueil ou luxure soient les moteurs de notre société? Non! Nous ne laisserons pas ceci arriver. Par l'amitié aristotélicienne qui nous unit, par la générosité envers les plus faibles, par une participation active et utile au sein de notre communauté, nous faisons d'Albi et de Toulouse places où il fait bon vivre! Ou l'hérésie et le péché ne trouvent pas foyer accueillant! Amour, amitié, partage... Gardez ces mots gravés en votre cœur. Réglez les conflits avec les mots, pas avec l'épée. Pensez à la communauté et pas seulement à vous-mesme!

Mes amis, levez-vous, je vous prie, et prenez vous main dans la main. Récitons ensemble, tous unis dans la grande famille aristotélicienne, le credo que nous connaissons bien.



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Zoelie
Zoélie écouta attentivement la lecture de messire Baronsengir. Elle songea aux époques passées et à tout ce que le premier prophète, Aristote, avait apporté en terme de réflexion et vastes pensées.

Elle se secoua et récita, elle aussi le credo à la suite des fidèles présents.



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Zoelie
Puis, Monseigneur Zoélie de Guérande se leva et repérant le simple clin d'oeil de son diacre préféré, elle le comprit, comme toujours.
Elle prit alors la parole pour inviter les fidèles :


Mes chers frères et soeurs,

Je vous invite à présent, comme de coutume, à venir partager le pain et le vin, symboles de notre grande communauté en la foy d'Aristote.




Réjouissons-nous, mes frères, nombre de nos paroissiens ont récemment fait leur demande pour un baptême et notre communauté va encore s'agrandir.

Elle parcourut du regard l'assemblée, afin de voir les personnes qui avaient récemment fait leur demande au presbytère. Elle ne vit pas grand monde, mais sans doute, se cachaient-ils dans un recoin sombre...
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Baronsengir
Après avoir récité le credo de sa belle voix, le blond regarda l'abbesse un peu en retrait. Il lui fit un clin d'œil et se recula, lui laissant le champ libre.
Il l'écouta sagement, content de la voir s'adresser aux fidèles. Il était content également de sa mention de vin à partager entre tous. Il s'approcha, la bouche en cœur, ravi de gouster à nouveau au bon vin de sa baronne préférée.

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Alenya12
Alenya entra dans l'église discrètement et retint la porte pour éviter qu'elle claque. Elle s'agenouilla tout au fond. Une messe était en cours et
elle écouta la fin de la lecture et le court sermon. Puis très vite, elle se détacha de la cérémonie et se mit en prière.

Elle confia les derniers événements dont elle avait été témoin à Murat :
la disparition de Relieur - elle n'était toujours pas convaincue de sa mort, aucun avis n'ayant été déposé, aucun corps n'ayant été retrouvé. Certains villageois allaient vite en besogne pour décider du décès d'un des leurs. Il en avait été de même pour Drum. Pourtant après des mois , il avait réapparu.
Elle récita dans son coeur la longue prière des disparus, celle-là même qu'elle avait prié tant de fois lors de la disparition de son aimé.

Elle pensa aussi à Julius. Et à la peine de Soma. A nouveau la même prière s'éleva de son coeur vers le très haut ...


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Castelreng
Castelreng et Oriabel avaient suivi la messe avec beaucoup d'attention. Castelreng en appréciant comme à chaque fois le moment où était lu un passage du livre des vertus. Ils n'étaient que sagesse et ouverture d'esprit.

Ses enfants, à sa plus grande surprise, se tenaient tranquille, sans doute à force d'habitude se pensa t-il s'en réjouissant. Quand le moment de se lever pour réciter le credo arriva, il fit comprendre à Hélie et Heaven qu'ils devaient eux aussi se mettre debout et entonna ensuite comme tous..




La messe se terminait, Monseigneur Zoélie invita l'assemblée à partager pain et vin, Hélie et Heaven n'eurent pas à se le faire dire deux fois, sans même attendre leurs parents, ils s'empressèrent d'aller vers la table dûment chargée. Ce fut donc, comme chaque dimanche, dans la joie que ce moment de partage se fit.
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Alenya12
La messe touchait à sa fin... Alenya perçu des mouvements autour d'elle mais resta concentrée sur sa prière. Tant de choses brûlaient son coeur.
Elle se repassait mentalement les événements des derniers jours, depuis son arrivée à Albi.

Elle s'adressa au Très Haut, lui demandant pourquoi il lui infligeait une telle épreuve. N'avait-elle pas fait ce qu'il lui demandait ? N'avait-elle pas soutenu et porté cet homme, l'encourageant à reprendre vie ? Ne l'avait-elle pas attendu avec confiance, sans jamais détourner son coeur du sien ?A son retour, il lui avait imposer une séparation - et il n'était nullement besoin d'être devin pour se rendre compte que son coeur battait pour une autre. Là encore elle avait accepté, ne lui demandant qu'une amitié sincère. Et malgré tout cela, il était devenu froid et distant envers elle. Pourquoi Aristote lui imposait-il cette nouvelle épreuve ?

Elle resta encore un long moment, assise au fond de l'église. Peu à peu, les fidèles sortirent mais elle ne s'en soucia pas. Son coeur était si lourd, elle devait le décharger ici et cela prendrait le temps qu'il faudrait...



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Zoelie
Répondant à la demande de messire Nounous, le curé d'Albi, l'abbesse Zoélie de Guérande, commença à préparer l'église pour une cérémonie de baptême.
Elle disposa des fleurs blanches


un peu partout et aéra pendant un long moment. L'air sec et froid pénétrait doucement, comme pour éveiller la conscience de tous, leur donner le petit coup de fouet salutaire qui les ferait être là, présents, conscients de la solennité du lieu et de la présence du Très Haut.

Elle s'installa devant l'autel et attendit l'arrivée du sire nounous.

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Baronsengir
BaronSengir pénétra dans l'église, encore décorée pour le baptesme avorté. Il ne manquerait pas d'en parler lors de la messe. Il entra dans sa petite pièce aimée du fond, contemplant la corde qui pendait nonchalamment. Il s'en saisit et commença à sonner vigoureusement les cloches, appelant les albigeois à l'office dominical.


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Hirnan
11h30 en ce 21 décembre.

Il était bien temps d'aller à la messe.

En ce frais matin, Hirnan repense au regard des enfants sur la vie et aimerais bien le retrouver parfois.


Citation:
Tous les mômes veulent devenir des hommes.
Ils nous voient toujours plus beau que nous sommes.
Ils ne se contentent pas du minimum.
Vivre et aimer toujours au maximum.

Kent - Tous les mômes
Ciboulette
Ciboulette arriva d'un pas pressé et vint s'assoir.. elle aperçut le diacre qu'elle salua de la tête...
ah ! Hirnan est arrivée en même temps qu'elle, elle la salua aussi bien sûr

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Obanbru
Obane partit ce matin seule pour se rendre à l'église... trop de choses la tourmentaient ces deniers temps, il fallait qu'elle se confie à Aristote... elle arriva sur le pas de l'église , le regard triste, elle entra et alla s'asseoir...baissa le visage croisa ses mains et commença à se recueillir...elle pria afin qu'Aristote lui vienne en aide ...
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Pour F. : tu es l'étoile que je ne cesserai de suivre...
Zoelie
Zoélie, cette semaine était partie, revenue, repartie...attendant et finalement n'attendant plus rien. Elle s'en revint donc à nouveau comme chaque dimanche pour l'office du partage et de l'amitié.
Son fidèle ami et néanmoins diacre adorait donner la messe et sonner les cloches. Monseigneur de Guérande avait débuté, en sa charge de procureur épiscopal, les procès de l'inquisition à Bourges et elle appréciait qu'il y prenne autant de plaisir. Cela lui laissait plus de temps à consacrer aux demandes des fidèles nombreuses là-bas aussi.

Elle attendait en souriant qu'il revienne de sa mission clocheminicale, sonniférante et parfois bien assourdissante, avec sa mine épuisée, soufflant comme un boeuf au trait mais, cependant l'oeil vif et pétillant.

Mais, en fait, ce matin, elle avait le coeur un peu lourd. Elle avait vraiment besoin du soutien du Créateur. Revenir en Son église sans autre charge que d'écouter et de partager la foy avec la communauté des fidèles lui était nécessaire. Elle avait senti monter en elle une pointe de découragement ces derniers temps, face aux incompréhensions diverses.
Elle s'installa donc, tout droit devant l'autel, et joignant les mains, les leva vers le plafond de l'église, cherchant le regard divin, comme pour attirer le souffle du Très Haut sur la ville.

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Baronsengir
Eh bien, rien de tel qu'un peu d'exercice avant la messe! Le blond sonneur revint au cœur de l'église, constatant avec plaisir l'arrivée des fidèles, ainsi que de l'abbesse. Un peu essoufflé, il posa les mains sur la table où trosnait le Livre des Vertus et fit mine de s'abismer en prières ; en fait il reposait ses poumons et se mettait en forme pour prononcer la messe convenablement. Il était novateur dans sa démarche diaconale, mais les halètements et le discours haché ne lui paraissaient guère vendeur auprès du public. Une fois au point, il s'avança en ouvrant les bras à la cantonade et prit la parole.

Mes amis, soyez la bienvenue en notre bonne église, maison du Très Haut et lieu où l'amitié, si c'en devait estre le dernier lieu, a encore un sens! Quelles semaine avons-nous vécu! Et l'on aurait pensé que la neige aurait calmé les passions, que les ardeurs auraient été endormies au moins jusqu'à l'année suivante...

Il resta un instant le regard fixe puis soupira en songeant à tous les événements passés.

J'ignore si vous en avez été témoin, mais l'on m'a rapporté le retour en grande pompe du fiel craché sans vergogne, des heurts, des apostrophes véhémentes... Où sont passés le calme, la tempérance, en notre ville et notre comté? Colère, mesquineries et autres comportements fallacieux furent de mise... Est-ce comme cela que doit estre notre communauté? Où sont passés tous les préceptes aristotéliciens quand tant d'enfants du Très Haut se sont déchirés?

Mes sœurs, mes frères, prions que cela cesse. Que tous reprennent esprit et que franchise, courtoisie, soient maistres mots. Prions pour confesser nos propres péchés, si l'on fut attiré par la discorde ambiante ou tout autre action qui ne fut inspirée par le Divin. Confessons nous au Très Haut et ayez tous le souhait que tous passent une fin d'année des plus paisibles.



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