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[RP] Dissolution Prinne d'Ailhaud/Théodoric de Walburghe

Ariana_anthea
Elle les avise, tous deux, se demandant bien où ils se croient ! En quelque foire aux bestiaux ? Ah non, à la criée au poissons visiblement...Elle tourne donc le regard vers le Président, attendant son bon vouloir afin de pouvoir, éventuellement, en placer une...
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Basile
    - " Je m'interroge alors sur ce que vous avez pu retenir de votre formation. Et je vous invite à ne pas demander aux autres de demander autorisation pour parler quand vous ne le faites pas. Question de cohérence avec soi même.

    Je n'ai pas envie d'entrer dans un débat stérile, Zwentibold, je pense que le mieux que vous puissiez faire est en tant que Procureur Général de l'Officialité Nationale est de consulter les archives des dissolutions validés par le Consistoire Nationale. Vous en trouverez qui tranche la question de la garde des enfants.
    Quant à moi je m'interroge sur vos compétences, et en suis ainsi des plus inquiet pour l'intégrité de cette officialité.

    Le cas de la dissolution entre Seraza et Cyrus rendu par la même officialité nationale il y a quelques années vous éclaira alors, sur le fait qu'il est absolument nécessaire que la justice d'Eglise tranche sur la garde des enfants pour s'assurer de leur éducation.
    A moins que vous prétendez que le Consistoire Pontifical Francophone a outrepassé ces droits au cours de toutes les années passées ?

    Sauf si c'est ce que vous prétendez, vous pouvez refuser de rendre un réquisitoire parlant des enfants, mais en aucun cas prétendre que la justice d'Eglise n'a pas à le faire. "


Abandonnant là son ancien soldat, le commandant se retourna vers l'officialité.

    - " Messeigneurs, Officiaux, veuillez pardonnez ma liberté de ton, mais je suis des plus chagrin et inquiet d'entendre un Procureur Général tirer des conclusions de la sorte.
    J'ai émis la demande faites par l'un des partis, Theodoric de Walburghe, qui attarde beaucoup d'importance aux sorts de ses enfants et leur bonne éducation aristotélicienne, et si besoin en est, me tiens disponible pour en donner les raisons en son nom. "


Le commandant recula de quelques pas, marquant son retrait de l'échange en cours.
Pieii
Le président avait donné la parole à l'épouse et voici que surgissait un homme à la réputation plus que sulfureuse et qui n'était guère en odeur de sainteté, ni à l'AEF, ni à la Curie. Ce n'était pas cette intervention intempestive qui allait redorer son blason.

Quel manque de galanterie ! Vous ne voyez donc pas que la parole a été donnée à dame Prinne par le Président ou la muflerie est naturelle chez vous ?

Et puisque l'on agressait gratuitement le procureur de ce procès, le Président du Consistoire intervint pour faire une mise au point

J'ai ouï dire qu'une plainte avait été ou allait être déposée pour enlèvement et séquestration d'enfant contre l'époux auprès de la justice temporelle ce qui est bien normal puisque les Officialités n'ont pas compétence pour traiter d'une affaire qui est délit temporel pour le coup, notre procureur a raison.

Dame Prinne avez-vous ou allez-vous engager une plainte de cette nature ? Auquel cas l'Eglise ne pourra se prononcer que sur une mesure provisoire qu'elle sera peut-être amenée à réviser en fonction des résultats judiciaires, notre procureur n'a pas voulu dire autre chose, je pense.
Zwentibold
Frère Théodoric et Messire Pelamourgue, n'oubliez pas qu'un enfant a deux parents. Ils en partagent à la fois les responsabilités mais également les droits.

Ne croyez pas que j'ai une quelconque prise à partie pour l'un ou l'autre camp. Dans votre aveuglement vous niez purement et simplement à Dame Prinne d'exercer ses droits de mère au même titre que le Frère Théodoric a les droits de père.

Je suis simplement chargé de soutenir l'accusation dans une procédure de dissolution d'épousailles. Je m'en tiens à ma mission. Je ne suis pas compétent pour requérir au sujet de la garde de l'enfant mais j'ai le droit d'exprimer mes opinions à partir du moment où elles n'interfèrent pas avec ma charge. Ce qui est le cas.

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Basile
Le commandant attendit que l'autre parti donne sa réponse, affichant à Pie un très large sourire. Le problème de redorer son blason c'était que pour le commandant il n'en avait aucun intérêt n'ayant absolument aucune ambition. Pour le lyonnais en revanche, c'était autre chose.

Aussi sans attacher plus d'importance à ce qu'il entendait, le commandant s'attabla près de l'époux pour recueillir plusieurs éléments.
S'il était plus qu'assuré qu'entre lui et l'Azayes cela avait été une hostilité clair, et pour cause l'ancienne politique mené par ce dernier avait fait de l'église une femme dénudé, la privant de la majorité de ses forces vives. En revanche, l'ex cardinal-inquisiteur avait néanmoins été un bon enseignant en matière de droit canon pour l'hobereau. Ce ne serait donc pas son premier rodéo canonique. Aussi il ajouta néanmoins puisqu'on l'avait interrogé :


    - " Monseigneur de Valence, indiquez moi quand j'aurais à démontrer que la justice ecclésiastique n'est pas tenu par la justice temporel, et inversement. "
Ariana_anthea
Elle se retint de taper du poing sur la table, non pas parce que cela aurait été déplacé mais par peur de se faire mal, mais l'envie y était pourtant bel et bien. Se levant et s'appuyant sur la dite table...

Frère Basile, auriez-vous la bonté de laisser cette instruction se dérouler sans cris, menaces et autres bruits ? Je ne sais ce que vous faites ici, je ne pense pas que vous ayez été appelé comme témoin, à moins que vous vous cachiez depuis le début de cet entretien dans quelques coins sombres. Ainsi, et si Mgr le Président accepte votre présence parmi nous, j'aimerais que vous preniez place et que vous attendiez votre tour pour parler. SE d'Azayes n'a certainement pas oublié de vous mentionner ce fait durant vos études : chacun parle en attendant son tour et seulement lorsque le Président lui donne la parole. De même, chaque partie est là pour parler sans animosité et certainement pas pour attaquer l'un des représentants de notre Eglise. Vous avez quelque chose à dire : très bien ! Mais de grâce, faites le avec calme et tempérance. Je sais que vous en êtes capable, ne me décevez pas.


Avisant ses collègues, puis les époux ainsi que Basile, elle reprend.

Je rappelle aussi que le Procureur est là pour donner son avis au cour du réquisitoire. Pourtant, c'est au jury composé du président et des officiaux qui décide du jugement avant de l'envoyer au Consistoire Pontifical Francophone. Il revient au CPF d'avaliser ou non cette décision, voire de la modifier au besoin. Ainsi nous sommes là pour écouter les avis des uns et des autres, pour décider en nos âmes et consciences de ce qui nous semblera le plus juste pour les époux et leurs éventuels enfants. Or, ce n'est pas en tonitruant comme le fait l'un des présents que cela va nous aider à saisir puis choisir le meilleur. La parole est donc à l'épouse, je vous prie.

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Prinne
La blonde écoute les propos de Basile. Elle retient un sourire même pas étonnée que Théodoric ai fait appel à lui. Qui se ressemble s'assemble. Elle le regarde et le toise du regard et se permet de reprendre la parole.

Frère Basile, je vous remercie de vous taire et de me laisser répondre j'ai le droit à la parole et je pense qu'une lecture des minutes de cette audience ne vous ferrait pas de mal pendant que je m'exprime.

Pour votre Gouverne j'ai fais une proposition ici même à mon époux pour l'éducation à venir de notre enfant ainsi que son éducation religieuse. Il n'a pas répondu. Partons nous du principe de "qui ne dit mot consent"?

Notre fils n'ira pas à Sainte Illinda. Pas que je n'ai pas confiance mais il me semble qu'une éducation basée sur le spirituel et le temporelle ne peux être qu'un plus pour son avenir. Je suis noble, notre fils Grégoire héritera de tous mes biens à ma mort et il est normal qu'il sache faire autre chose que ce tenir à genoux pour prier.

Pensez vous vraiment, et ne prenez pas mes propos pour de l’hérésie, que la sainte parole et les prières suffisent à apprendre à un homme à se servir de ses mains?

Je désire que notre fils soit autant capable de lire, d'écrire et de compter qu'il soit autant capable de devenir un bon aristotélicien.

Quand il sera en age de faire ses propres choix, il choisira lui même la voie qu'il désire suivre et si c'est celle de la Sainte Église, il aura ma bénédiction.


Se tournant vers le procureur.

J'avoue que cela m'a traversé l'esprit de déposer une plainte contre mon époux concernant la séquestration de notre fils. Mais actuellement le procureur du Périgord Angoumois n'est autre que Messire Gezekell de Ferney. SON meilleur ami. Cela le mettrai en position de porte à faux. Je pense que la situation est déjà passablement bancale pour ne pas ajouter encore cela.

J'aimerai que Théodoric veuille bien répondre à mes requêtes pour pouvoir voir mon fils et cela faciliterai bien des choses. Mais je constate avec peur qu'il préfère s'enfermer dans un mutisme profond quand à l'endroit ou se trouve Grégoire. Devons nous en conclure que notre enfant est trépassé et qu'il n'ose le dire?

Je prie le Très Haut pour que ce ne soit pas le cas.


La blonde avait blêmi en prononçant ces dernières paroles mais si par la faute de Théodoric il était arrivé du mal à leur fils, elle n'aurait de cesse que de lui le faire payer. Ravalant un sanglot et reprenant contenance elle regarda le président.

Pouvez vous ordonner à frère Théodoric de faire amener Grégoire ici pour que je puisse m'assurer ainsi que l'assemblée présente de sa bonne santé? Et je vous prie de m'excuser d'avoir repris la parole sans votre accord.

Elle retourna s'assoir attendant la suite. Elle était fatiguée de tout cela. Elle voulait juste voir son fils et s'assurer qu'il allait bien.
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Pieii
Pie nota les précisions de dame Prinne et attendit la suite du procès
Cathelineau.
Il suffit !

Le Président fronça les sourcils avant de reprendre.

Nous sommes à une audience de l'Officialité Nationale Française, pas à la criée du Guilvinec ! Veillez à ne pas l'oublier

Vous pouvez faire présenter l'enfant devant nous, après cela le procureur fera son réquisitoire et nous nous retirons pour délibérer.

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Theodoric_
Comme je n'ai de cesse de le dire...

Zieutant la blondasse qui lui a servi de réceptif à procréer.

Noooooon, Prinne JE NE VOUS INTERDIT PAS DE VOIR VOTRE ENFANT. Ca va, j'ai bien articulé ? Vous avez fini de vous faire passer pour une misérable victime devant cette cour ?

J'exprimme JUSTE mes doutes quand à sa sécurité, quand à son éducation. Et j'ai des exigences, que vous ne semblez pas saisir. Devrais-je m'étonner ?

Citation:

Pensez vous vraiment, et ne prenez pas mes propos pour de l’hérésie, que la sainte parole et les prières suffisent à apprendre à un homme à se servir de ses mains?


Il ne s'agit pas d'hérésie, n'utilisez pas ce mot trop souvent Prinne, car vous êtes passée par l'Inquisition et vous savez ce qu'est l'hérésie. Non encore une fois, vous insultez mon intelligence : car pour comprendre le dogme, il faut savoir lire et compter, et pour le retranscrire, il faut savoir écrire.

Comme n'importe quel jeune homme de notre époque j'ai appris à lire en réécrivant le Crédo Aristotélicien. Comme la plupart des gens ici présent, Prinne. Je ne vois pas en quoi cela serait néfaaaaaaste à notre enfant. En quoi être éduqué par les moines serait néfaste pour ce gosse ?


Citation:
Notre fils n'ira pas à Sainte Illinda. Pas que je n'ai pas confiance mais il me semble qu'une éducation basée sur le spirituel et le temporelle ne peux être qu'un plus pour son avenir.


Notre fils aura une éducation qui convient juste à son rang ! De fils de Duchesse et de Seigneur du Domaine Royal, c'est tout. Une éducation où la justice, la tempérance et la piété lui sera enseignée. Vous pouvez bien parler de lavage de cerveau, il ne s'agit pas d'un lavage de cerveau : il s'agit de lui offrir les meilleures armes pour se battre dans la vie et pour évoluer parmi les gens de bonne naissance comme parmi les gueux.

Citation:
J'avoue que cela m'a traversé l'esprit de déposer une plainte contre mon époux concernant la séquestration de notre fils. Mais actuellement le procureur du Périgord Angoumois n'est autre que Messire Gezekell de Ferney. SON meilleur ami. Cela le mettrai en position de porte à faux. Je pense que la situation est déjà passablement bancale pour ne pas ajouter encore cela.


Cela vous a traversé l'esprit ? Seulement traversé l'esprit ? Alors comment cela se fait il que la moitié du Royaume est au courant de cette "hésitation" quand à me coller un procès pour séquestration dans les dents. Vaste blague Prinne.

Je vais vous dire, le fond de l'Histoire Messeigneurs :

J'ai largué Prinne d'Ailhaud sans grande élégance, certes, car elle était menaçante et insultante envers la Sainte Eglise.

Au final, ce qui a brisé notre couple, ce sont les réformes de l'Eglise.

Et tant mieux, car j'ai bien compris que sa foi n'était que de complaisance et juste de façade afin de bien paraître face aux électeurs. Electeurs qu'elle chérissait, entretenait et voyait bien plus que son propre fils que j'ai MOI MÊME élevé pendant les mois de ses campagnes électorales abrutissantes.

Et aujourd'hui, Prinne d'Ailhaud cherche à obtenir sa vengeance, sa vengeance parce que je l'ai jeté. Moi je ne cherchais qu'à fuir cette femme dont la folie du pouvoir et de l'hérésie était devenue trop étouffante pour moi. Et j'insiste sur le terme folie, car il s'agit bien de cela. Qui, sinon une folle, aurait ainsi massacré le portrait de Sainte Guilberte par la rage. Iconoclaste ! Détruisant le portrait d'une Sainte juste parce que je la prie ? Qui sinon une folle aurait osé dire qu'elle prendrait de force le Diocèse de Périgueux ? Qui sinon une folle, aurait fait tant de vilainie à un evêque que ce dernier en vienne à l'accuser de tentative d'assassinat ? Qui, sinon une folle.

A moins qu'il ne s'agisse d'une totale hérétique et en cela, je ne serais guère étonné, tant mon épouse est silencieuse quand à son passage à l'Inquisition il y a de cela un an ? Deux ans ? Voyez, je n'ai appris que sur le tard que mon épouse avait été condamnée. Et elle ne m'a JAMAIS informé de quoi elle avait été condamnée. Seulement de me dire "que c'était des manipulations politiques."


Il pousse un soupir.

Comprenez vous mes réticences à ce que ma femme se retrouve seule avec cet enfant ? Elle ne parle plus du deuxième enfant qu'elle attend. Que s'est il passé ? Est elle allée voir une de ces sorcières qui, au prétexte d'un filtre de plantes, vous tue un enfant dans le ventre ? A t elle avorté ? A t elle glissé dans l'escalier pour tuer mon deuxième enfant ?

Et vous voudriez que j'ai confiance en cette femme ? Elle me ment sur ses procès avec l'Inquisition ? Mon deuxième gosse n'est plus mentionné ? Elle hurle dans la moitié du Royaume que je l'ai séquestré alors qu'il est dans la ville juste à côté de la capitale ET que, là c'est fort de calva, je me promène tout le temps avec mon fils dans un porte bébé aménagé sur le bidon.

Exhibe son enfant, vu que personne ne l'avait remarqué.

Aujourd'hui, comme hier, comme tous les jours où je me suis rendu au Palais Comtal de Périgueux, j'ai amené mon fils avec moi. A t elle une seule fois, une seule, daigné poser le regard sur lui ?

Et aujourd'hui elle prétendrait que j'ai assassiné mon fils ?!

Donc, non, je ne refuse pas que mon épouse puisse voir mon fils. D'ailleurs il est là, depuis le début. Nan, je veux juste qu'elle ne le voit pas toute seule, c'est tout.


Si vous regardez ma fiche perso, vous remarquerez que Théodoric porte son enfant. Il le porte ainsi depuis la naissance de ce dernier. Cela n'a jamais changé. Et vu que visiblement, on peut faire comme on veut avec le rp des autres, j'insiste : il Y A un deuxième enfant. Je le jouerais ainsi.

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Prinne
La blonde pose son regard sur son fils et ne peux l'en détacher. Elle n'a qu'une envie c'est de le prendre dans ses bras. Elle a bien entendu les propos de Théo mais s'en moque de toute façon il n'aura de cesse de la traiter de folle dès qu'elle ouvrira la bouche pour dire la moindre parole. D'ailleurs elle n'a plus aucune envie de continuer ce débat stérile vu qu'il ne veux pas écouter et n'en faire qu'a sa tête. Elle préfère attendre les délibérations dans le silence.
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Cathelineau.
Nous écoutons le procureur faire son réquisitoire !
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Zwentibold
Monsignor Président, Votre Eminence et Monsignora Officiaux, Dame, mon Frère et Messire, je tiens d'abord à faire part de l'attitude indigne du Frère Théodoric pour le nombre de fois qu'il s'est exprimé sans avoir reçu ou demandé la parole. Son témoin ne valant guère mieux dans ce domaine et étant lui totalement inexcusable puisqu'il se vante d'avoir eu son diplôme d'Inquisiteur avec la mention "excellent".

Nous avons tous assisté à une audience où les tensions et les passions étaient à leurs combles.



Citation:
La bulle pontificale "Ad mundi salurem per sanctificationem", livre I, partie II, section A, Article 3 :


Le mariage est la consécration de l'accord profond entre deux personnes, créant une communauté de vie réputée indisoluble et symbolisant l'Amitié Aristotélicienne dans l'une de ses formes les plus étroites.

Après une période pendant laquelle ils ont fondé une famille, les sentiments forts qui les unissaient au début se sont distendus avec comme résultat :

La bulle pontificale "Ad mundi salurem per sanctificationem", livre I, partie II, section B, article 6.1 :

Article 6 : Les motifs pour une dissolution du sacrement du mariage sont :
6.1 : La disparition des sentiments amoureux entre époux.

Les divergences irréconciliables concernant la foy et l'éducation de l'enfant, Dame Prinne a décidé de faire une demande de :


La bulle pontificale "Ad mundi salurem per sanctificationem", livre I, partie II, section B, article 5

La dissolution du sacrement du mariage est une extinction de ce dernier suite à la décision de l'épouse de se séparer et de mettre fin à la vie de couple.

Les époux bien que toujours unis par les liens du mariage vivent séparément.

En conséquence de quoi, je requiert que soit prononcé la dissolution du mariage.
Je requiert subséquemment pour les deux époux une interdiction de remariage de deux mois.
L'obligation de se confesser auprès d'un clerc ordonné de l'Eglise Aristotélicienne Romaine deux fois dans une période d'un mois pour les deux futurs ex-conjoints.
Le paiement d'une participation de 25 écus auprès du tribun de leur lieux de résidence afin d'aider les plus pauvres des aristotéliciens.

Lorsque le Consistoire aura rendu son arrêt les époux entameront auprès de la justice temporelle une procédure concernant la garde de l'enfant.

Je rappelle qu'une dissolution d'épousailles ne met pas fin à l'obligation des parents envers les enfants issus de ce mariage.

J'ai dit et je vous remercie Monsignor Président.



La confession signifie uniquement un [RP] auprès d'un clerc de l'EAR apte à entendre ce sacrement. Le nouveau système [IG] n'a aucune valeur dans un [RP] de la justice d'église.

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Cathelineau.
Bien nous allons nous retirer et délibérer donc, vous pouvez vous retirer, nous vous ferons quérir lorsque le consistoire aura rendu son avis !
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Pieii
L'archevêque de Lyon attendait que l'on veuille bien ouvrir les délibérations.
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