Foulques_de_malemort
Lencensement des sens ébloui par un lieu appelant lexode de lâme. Aurait-il vu le dôme de luxure dans lequel se plonge les corps, le délice de linfâme à lappel dun désir quand rien ne put trancher au simple appel des courbes de la rousse. Fuir le souffle de lenivrement quand les émeraudes autant que les lèvres naspire quà laveux du corps. Lieu de fantasme, culte des plaisirs, paradis de la luxure, chaos de la bonne tenue, rien ne pourrait ravir le prince de ses sens que la nature même de la courtisane. Au-delà du feu de sa chevelure, elle animait en lui un brasier de provocation, une brulure de désir.
Mais que serait le jeu, si de ses mains autant que du corps, elle se laissait déjà être prisonnière de ses caprices. Etrange pensée quand les princes dun simple souffle ouvrent les cuisses des plus indociles créatures, étrange contraire que les princes ne supportent le refus obstiné à ny trouver que la lassitude de lennui. Ainsi donc se muer en ce juste milieu savère dune épreuve complexe mais dun attisement sans borne à la facétie dun Malemort. Fuir la prison noire pour se glisser dans limpudence dune danse gracile pour les plaisirs dun regard affamée, hérésie captivante. Au cur de la lune, le loup Malemort hurlerait de ce regard étincelant en réponse à les grisâtres insolent de Gysèle, si dans lombre deux autres ne vivait leurs propres danses.
Les lippes étirent leurs sourire dans lombre des vapeurs, les émeraudes tranchent leurs volute saveur pour offrir aux regards linvitation muette à gouter loffrande dune nudité peu à peu dévoilée. Les dents enfoncent la chair de la lèvres morsure du délice autant que de lattente, quil aime cette douce provocation, cette lenteur provocante, cette attente impatiente. Aucun mouvement, aucun geste ne répondent à limpertinence de la courtisane alors que le tissu ne dévoile les délicieuses courbures dune poitrine délicates. Frivole gourmandise du regard aspirant à dévoiler davantage encore ce que le tissu couvre encore. Aphrodite nait en cette seconde dun éveil aux caprices impudique, comment ne pas désirer ce qui soffre à vous dans limpudeur des bains. Mais peu de temps au charme charnelle que le corps sinvite dans londe soyeuse du bain.
Il serait inconvenable de me soustraire à si délicieuse requête.
Mots murmurés à demi-teinte, les longs doigts fins du Malemort entame leur danse agile sur le nud de sa chemise pour len défaire, dévoilant le haut de son torse légèrement dessiné. Mouvement bien moins lascif mais davantage sûr, cest au torse princier dapparaître au creux de lenvoutement lorsque la noirceur du tissu labandonne. Des épaules un rien anguleuse des hommes qui vivaient loin des basses besognes mais dont le dessin du torse laissait entrevoir lentrainement régulier auxquels lhomme devait sastreindre. Etrange contraste dun homme à lallure princière dévoilant les traits dun torse et des bras dun homme de guerre. Sourire lancinant à lintention de la damoiselle dont les grisâtre était posé sur lui. Simple attrait de sa mission du soir, ou délice dun regard au corps du loup noir, seule la rousse pouvait y donner réponse même si lassurance du prince en dévoilait sa pensée.
Cest un devoir même de me joindre à vous, pour massurer que rien ne puisse vous arriver en ce lieu.
Sourire à son tour taquin, regard perfide du joueur. Les doigts descendent à présent les braies laissant apparaître le dessin de ses hanches étroites, glissant pour disparaître dans lombre du lieu. A son tour de jouer au regard de la succube dun corps quil sait loin dêtre déplaisant, outrance de certitude née de son propre vux dun sang bleu. A peine le temps de lui laisser savourer son corps quil se glisse à son tour dans londe chatoyante dune chaleur vaporeuse. Un regard de biais à lintention du chien et de sa compagne avant de reporter toute son attention sur celle qui était sienne pour la seconde.
Se glisserait-il simplement dans leau ? Il est sûr que ce ne serait daucun plaisir.
Alors quil sengouffre dans cette sulfureuse douceur aquatique, le corps déjà cherche la chaleur de sa jumelle, frôlement ou le tissu na plus vie, le torse se collant dans le dos de la sulfureuse accouder au rebord. Frôlement des indécent laissant la marque du désir provoqué naître au creux de cet indécence. La dextre se glisse caressant la hanche, se glissant sur le ventre remontant dans un simple effleurement le désir des courbes alors que les doigts viennent se glisser sur le menton pour lui faire tourner doucement le visage vers lui. La senestre plus perfide remonte le long de la cuisse, goutant cette chair avant de mourir au plus haut de la cuisse sans offrir la caresse perfide. Et de venir murmure les lèvres effleurant sans jamais les toucher à sa douceur de la nuit.
Un sacrifice pour nous deux jen suis sûr.
Et la senestre de son effleurement indécent abandonne son désir pour venir chercher la coupe de vin poser sur le rebord. Le corps abandonne le licencieux effleurement. Un regard abandonnant la rousse pour se poser sur leurs deux compagnons, avant que les émeraudes ne viennent de planter dans les acier envoutant.
A quoi pouvons-nous lever notre verre ? dit-il sur un ton nonchalant ?
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Mais que serait le jeu, si de ses mains autant que du corps, elle se laissait déjà être prisonnière de ses caprices. Etrange pensée quand les princes dun simple souffle ouvrent les cuisses des plus indociles créatures, étrange contraire que les princes ne supportent le refus obstiné à ny trouver que la lassitude de lennui. Ainsi donc se muer en ce juste milieu savère dune épreuve complexe mais dun attisement sans borne à la facétie dun Malemort. Fuir la prison noire pour se glisser dans limpudence dune danse gracile pour les plaisirs dun regard affamée, hérésie captivante. Au cur de la lune, le loup Malemort hurlerait de ce regard étincelant en réponse à les grisâtres insolent de Gysèle, si dans lombre deux autres ne vivait leurs propres danses.
Les lippes étirent leurs sourire dans lombre des vapeurs, les émeraudes tranchent leurs volute saveur pour offrir aux regards linvitation muette à gouter loffrande dune nudité peu à peu dévoilée. Les dents enfoncent la chair de la lèvres morsure du délice autant que de lattente, quil aime cette douce provocation, cette lenteur provocante, cette attente impatiente. Aucun mouvement, aucun geste ne répondent à limpertinence de la courtisane alors que le tissu ne dévoile les délicieuses courbures dune poitrine délicates. Frivole gourmandise du regard aspirant à dévoiler davantage encore ce que le tissu couvre encore. Aphrodite nait en cette seconde dun éveil aux caprices impudique, comment ne pas désirer ce qui soffre à vous dans limpudeur des bains. Mais peu de temps au charme charnelle que le corps sinvite dans londe soyeuse du bain.
Il serait inconvenable de me soustraire à si délicieuse requête.
Mots murmurés à demi-teinte, les longs doigts fins du Malemort entame leur danse agile sur le nud de sa chemise pour len défaire, dévoilant le haut de son torse légèrement dessiné. Mouvement bien moins lascif mais davantage sûr, cest au torse princier dapparaître au creux de lenvoutement lorsque la noirceur du tissu labandonne. Des épaules un rien anguleuse des hommes qui vivaient loin des basses besognes mais dont le dessin du torse laissait entrevoir lentrainement régulier auxquels lhomme devait sastreindre. Etrange contraste dun homme à lallure princière dévoilant les traits dun torse et des bras dun homme de guerre. Sourire lancinant à lintention de la damoiselle dont les grisâtre était posé sur lui. Simple attrait de sa mission du soir, ou délice dun regard au corps du loup noir, seule la rousse pouvait y donner réponse même si lassurance du prince en dévoilait sa pensée.
Cest un devoir même de me joindre à vous, pour massurer que rien ne puisse vous arriver en ce lieu.
Sourire à son tour taquin, regard perfide du joueur. Les doigts descendent à présent les braies laissant apparaître le dessin de ses hanches étroites, glissant pour disparaître dans lombre du lieu. A son tour de jouer au regard de la succube dun corps quil sait loin dêtre déplaisant, outrance de certitude née de son propre vux dun sang bleu. A peine le temps de lui laisser savourer son corps quil se glisse à son tour dans londe chatoyante dune chaleur vaporeuse. Un regard de biais à lintention du chien et de sa compagne avant de reporter toute son attention sur celle qui était sienne pour la seconde.
Se glisserait-il simplement dans leau ? Il est sûr que ce ne serait daucun plaisir.
Alors quil sengouffre dans cette sulfureuse douceur aquatique, le corps déjà cherche la chaleur de sa jumelle, frôlement ou le tissu na plus vie, le torse se collant dans le dos de la sulfureuse accouder au rebord. Frôlement des indécent laissant la marque du désir provoqué naître au creux de cet indécence. La dextre se glisse caressant la hanche, se glissant sur le ventre remontant dans un simple effleurement le désir des courbes alors que les doigts viennent se glisser sur le menton pour lui faire tourner doucement le visage vers lui. La senestre plus perfide remonte le long de la cuisse, goutant cette chair avant de mourir au plus haut de la cuisse sans offrir la caresse perfide. Et de venir murmure les lèvres effleurant sans jamais les toucher à sa douceur de la nuit.
Un sacrifice pour nous deux jen suis sûr.
Et la senestre de son effleurement indécent abandonne son désir pour venir chercher la coupe de vin poser sur le rebord. Le corps abandonne le licencieux effleurement. Un regard abandonnant la rousse pour se poser sur leurs deux compagnons, avant que les émeraudes ne viennent de planter dans les acier envoutant.
A quoi pouvons-nous lever notre verre ? dit-il sur un ton nonchalant ?
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