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[RP] Lac de Tarbes!!!

Juninio


Après une marche à grande enjambée de Juninio et Litibar à travers Tarbes et son paysage sombre et enneigé, ils arrivèrent au niveau de ce lac, qui, par chance avait finit par dégeler.



Juninio regarda Litibar avec un large sourire et lui dit :
Citation:
Celà pourrait nous servir pour notre sortie!
Il sortit de sous sa chemise une peau de mouton qu'il avait gardé au cas ou.

Il se dévêtit sans attendre et plongea dans le lac comme une brute, et de sorte que le froid n'ai pas raison de lui, nagea le plus loin possible. Il finit sa course au niveau du centre du lac, puis, revint tout aussi rapidement vers le bord auprès de Litibar.




Litibar


On quittait la taverne où nous nous étions réfugiés afin de nous reposer du voyage quand nous décidions pour la nuit. Mais avant... un tour au lac s'imposait : on ne pouvait que dormir propre.
Je pris sa main et ensemble nous fonçons vers l'étendu d'eau. Superbe! Le lac n'était pas gelé. Une chance!

Et vous de dire : "Mais... Ils sont complètement givrés, ces deux-là!!!?"

Soudain je vis Juninio sortir comme par miracle, la peau bovine :
"HOOOoooo!! Une peau de mouton!!? Quelle merveilleuse idée, Jun. C'est pour... Mou... Nous ?!!"

Hâte aussi d'aller dormir, ni une ni deux je me déshabille et je plonge pour suivre Jun. C'est!!! Aââââh! Superbe!
Je m'arrête et je prends oui, des herbes au hasard sous la neige, peut-être la fameuse saponaire sans fleur pour me frotter partout... mmm... Fais du bien après cette journée de fatigue.

"Hey!!! Jun!!! T'exagère!!! C'était moi d'abord." Là, j'attends qu'il me rende ce avec quoi je me frottais et je claque des dents

"Fais viiiiite!!!"

Je plonge, je nage, je reviens... Il me redonne mon bien.
"Meerrrrciiii... clak clak...clak... " Je claquais des dents toujours...
Je me lave, je me rince et je replonge et je glisse dans cette extraordinaire eau glacée...
Mais pas longtemps hein!! Mais c'est ... Superbe!. Faut essayer pour comprendre.

Je sors je me sèche avec un tissu absorbant que j'avais prévu dans mon baluchon, je le tends à Jun quand j'ai fini. Je m'habille. Je l'attends pour retourner en taverne au pas de course, hein ?!! On ne discute pas, on se comprend. Et l'on partagera la douce peau animale assez grande pour nous couvrir tous les deux. Oui, le mouton était vachement dodu!

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Thea_
Le lac était plus que tranquille en cette saison ,deux ou trois pêcheurs un peu plus loin ,mais elle n'a pas le goût a en faire autant ,il fait encore trop froid et elle a envie de rien .
Alors elle s' y promène et ramasse quelques cailloux et les lance de façon a faire des ricochets dans l'eau .Pas vraiment douée ,les pierres plates ne rebondissaient qu'une ou deux fois .
Elle recommence encore espérant s'améliorer ,mais nan rien a faire .
La brune était morose ,des jours qu'ils attendaient là. Des jours?hmm nan ,deux ou trois pas plus ,mais ça semblait si long ,qu'est ce qu'elle se fait ch** ici .pffff !!!
Elle voit presque personne ,même pas son groupe ,mais ou sont -ils ?
y a rien a faire .ahhhh si !! se balader autour du lac .Super ,on dirait presque mamie qui se promène ,manque plus le chien et le pain pour donner aux canards.
Elle en a marre d'attendre alors un dernier caillou qu'elle ramasse et le lance avec rage en prenant son élan SLPOUUFFFFFFF !!!!!!!
Encore raté ,enfin presque réussi, puisque la pierre avait atterrit juste devant la barque du vieux pécheur ,qui bien sur pestait comme un fou de dégager de là.
Haussement d'épaule ,elle dérange encore et toujours ,comme ceux d'ici ,qui ce demande ce qu'elle fiche là .
Rien ne changera ,ici ou ailleurs ,t'es jamais la bienvenue .
Elle sent fou et si elle a envie d'empoisonner le pécheur ,elle le fera ,elle a rien d'autre a faire en attendant le départ

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Theodore_dupres
Théodore n'avait pas grande à faire en ce début de journée. Le calme avait gagné le bourg ne laissant que pour seul bruit celui les tintements légers des couverts sur les assiettes en terre cuite de la collation matinale. S'éloignant un peu de l'agitation que vivait la ville en ces temps troublés , le jeune Tarbais décida de se rendre au lac proche de la ville afin de pouvoir y admirer la merveilleuse œuvre de la création. L'automne se faisait peu à peu sentir , les couleurs d'un vert émeraude laissait peu à peu place à des nuances orangés. Le soleil quant à lui avait un peu perdu de son éclat estival y faisant ressentir les prémisses du froid qui était en chemin.

Arrivant au bord du lac, il y admirait l'astre solaire faire son apparition. Depuis son arrivé à Tarbes , Théodore n'avait pas eu le temps encore de prendre le temps , mais il comptait surement y revenir car pour lui ce moment de détente était un moyen de pouvoir assurément poser chacun de ses choix qu'il soit de l'ordre des plus banal au plus important, ou de détendre ses nerfs
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Calanthe_kermance
Posté pour jd Cat, qui est l'auteure.






La gamine aux bouclettes rousse, courte sur patte, se souvenait du sentier qui traversait le sous bois avant d'arriver au lac. Elle y était passée quelques jours auparavant avec sa sœur. Ce moment s'était gravé en elle, un moment de tendresse et de sérénité, le calme avant la tempête. Des semaines, qu'elles ne s'étaient pas retrouvées seules, toujours entourées de gens de plus ou moins bonne allure. Elle l' avait aimé ce moment où le soleil tapait encore fort, la baignade et les jeux d'eau avaient été de complices retrouvailles après ces jours où Anna s'était sentie délaissée pour les nouveaux amis de sa soeur.

Aujourd hui elle était partie la rouquine, la laissant aux mains de Dame Claude, Anna se sentait seule, jamais elles n avaient été séparées, la chaleur de son corps lorsqu'elle reposait contre elle la nuit lui manquait, son souffle régulier et rassurant dans ses bouclettes aussi. Elle traversa la place du village en chantonnant, "Un, deux , trois nou z'iron z' au bois, quatre cinq six r'masser des châtaignes, sept huit neuf pour Dameee Klermanze, dix onze douze elle sera contente" se faufilant entre les villageois sur le marché, pestant parfois contre ceux qui ne la voyaient pas, agile comme un chat elle traça son chemin jusqu'à la sortie du village qu'elle connaissait bien maintenant.

Les poches pleines de châtaignes déboguées, elle arrive au lac,émerveillée comme la première fois qu'elle l' a découvert, un sourire éclairant son visage. Elle ne résiste pas bien longtemps à l envie d'aller tremper ses pieds, juste les pieds, Catnys n'aurait pas aimé qu elle se baigne seule. La roussette rit des petites vaguelettes fraiches qui lui chatouillent les pieds.elle se rappelle les jeux avec Cat, un pincement au cœur fait disparaître son sourire comme un claquement de doigt. L'eau ne l amuse plus, elle peste contre la disparition de Cat, et pour noyer son chagrin et s'allonge sur l 'herbe, imaginant que la chaleur du soleil sur sa peau est celle caressante de sa soeur.

Lorsqu'elle ouvre à nouveau les yeux, hagarde , la nuit est tombée, une nuit noire qu une faible lune illumine, elle ne distingue des les arbres à l'orée du lac, mais le sentier a disparu. Une peur panique la tenaille,les bruits du sous bois ne la rassure pas, c'est contre un talus, qu'elle trouve refuge, se recroqueville sur elle même. " T'es où ? ze veux que tu reviennes" elle se rapelle alors ce que lui disait toujours Cat en pointant son doigt vers le ciel " demandes et tu auras " les yeux de Cat, ce vert étincelant de tendresse et d'espoir pour sa roussette. La petite s'agenouille sur l'herbe en croisant les mains comme elle lui avait appris " Toi la haut, Déos, fais attention à ma sœur Catnys, pis ze veux qu'elle revienne, ze veux qu'elle soit près de moi, ze veux plus être séparée de Cat, ze veux qu'elle revienne, t'entends? ze veux qu elle vienne me serser" les larmes, trop longtemps retenues, inondent les joues pâles de l 'enfant, les sanglots recouvrent maintenant la prière, la môme esseulée, fourbue par les pleurs s'endort à même l'herbe, d'un sommeil agité.
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Anitha
    "On rêve de réapprendre à respirer
    Que la médiocrité qui nous accable aille se faire enfler au Pakistan
    On attend désespérément celui ou celle
 qui apaisera d’un doigt nos muscles noués et nos encéphales en sous-régime
    On attend désespérément celui ou celle qui fera battre notre cœur
 plus grand "


Nuit fauve-Fauve

Voila la Ritale était de nouveau dans cette ville maudite, cette ville qui lui avait fait tant d'espoirs, cette ville qui lui avait pris tout, cette ville qui lui avait fait tant de mal, cette ville qui ne lui apportait rien, excepté que des mauvais souvenir...
Cependant dans cette ville voila qu'il y avait un point positif, un lac, l'eau qui pouvait vous laver de cette pourriture de vie, l'eau qui pouvait calmer tous les tourments de la Ritale... Oui la vie n'avait pas était un cadeau pour elle, ouai elle était comme tout le monde, parfois elle en avait marre de tout, parfois elle ne voulait faire qu'une chose s'envoyer en l'air et attendre cette paix intérieur. A cette pensée, comme à chaque fois elle toucha ses avant bras meurtries, oui elle avait fait cette folie mondaine, se couper sous la douleur de la perte d'un enfant, cependant il fallait croire que même cette bien belle mort ne voulait pas d'elle...

Une bouteille à la main, la blonde se retrouva face à cette étendue d'eau parfaitement calme, reflétant les rayons d'un soleil timide, froid. Ouai ce n'était pas la grande forme, voila qu'elle se retrouvait face à elle même, elle ne pouvait plus reculer, ni même se cacher derrière une façade d'une femme sans manière, sans problème riant, séduisant, faisant folie de son corps. Elle but une gorgée de sa poire habituelle, puis retire ses bottes et sans aucunes hésitations, alla se tremper les pieds dans cette eau froide dans l'espoir de se sentir vivante. Mais cela était vain, la vie l'avait quittée il y'a bien longtemps, cette vie s'était arrêtée à ses pertes et portant un espoir pouvait arriver, elle toucha se ventre arrondis, un habitant sous le nombril qui pouvait tout changer et pourtant elle se posait des questions... Tant de questions, tant de doutes face à ce qui allait arrivé dans deux lunes, allait Il pouvoir lui redonner se souffle de vie qu'elle espérait tant? cela elle en doutait fortement, après tout cette Crevette était là car un amour avait était né, un amour qui lui avait coûté cher, car cet amour avait réussit à la détruire encore un peu plus.

Un long soupire sortit de ses entrailles, ses azurs regardèrent cette étendue d'eau calme, voila commente elle voulait être, elle voudrait réapprendre à respirer, à vivre , à être heureuse, une autre lampée glissa dans son gosier. Mais elle se détruisait de plus en plus, faisant de ses nuits des folies, avec des inconnus et pourtant elle était comme tout le monde voulant elle aussi trouver cette personne qui pourrait la calmer, la rassurer juste par sa présence.

Elle avança de plus en plus au fond de cette étendue d'eau glacée, la poire pouvait réchauffer ce corps qui petit à petit refroidissait, et qui sait pourrait elle aussi réchauffer ce coeur de glace, cette âme sans couleur.

Alors que l'eau lui arriva à mis cuisses, elle ne bougea plus, posa une main sur son ventre le caressa, avec un sourire triste sur le visage, aucunes larmes ne sortira, les larmes ne pouvaient plus rien pour elle, elle le caressa, se demandant comment tout ça allait finir.

Elle apporta la bouteille à ses lippes, les gorgées s’enchaînèrent, la poire ne lui faisait plus rien, voila ce qu'elle était une femme sans fond, une italienne sans espoir, une blonde qui survivait au lieux de vivre et pourtant parfois il lui arrivait de rêver...
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Hooks
Pas 24 heures qu'il était revenu et déjà il tenait une murge qui ferait rougir le pire des pochtrons.

Mais il tenait toujours l'alcool , et il avait oublié qu'il ne fallait pas s'assoupir en taverne surtout si Balloo trainait dans les parages .

Il avait tout bu , jusqu’à la dernière goutte, vider jusque la dernière chope et là çà tournait un peu.

Oh il avait bien pensé aller se soulager dans la fontaine, boire ca donne des envies de bain ou de vidange , mais il se dit qu'en journée, et pour son retour , çà ne le ferait pas . Il vida donc discrètement sa vessie contre un arbre non loin du lac ou il aimait à pêcher . Mais çà c’était dans une autre vie .

Il flâna un moment autour du lac , et s’assoit tranquillement au bord de l'eau .

L'alcool aidant il s’assoupit contre une souche
Steam
Sorbonne à ses pieds, Steam décida d'aller se dégourdir les jambes prêt du lac, non pas qu'elle avait spécialement envie de marcher, mais elle avait besoin de se vider la tête des événements de la veille.
Elle avait surement bu trop d'hydromel pour se retrouver à quatre pattes dans un cimetière en train d'arracher des planches de bois à même le sol..
Elle commençait à se faire peur toute seule.
Ensuite tout était embrouillé, les lèvres qui se posaient sur les siennes...
L'armée qui s'éloignait, le cimetière..
Se disant que les hommes étaient parfois bien étranges.
Ou étais ce plutôt elle qui l'était.. Etrange..
Perdue dans ses pensées elle cherchait des yeux son amie la ritale.
A défaut de devoir penser, elle pourrait écouter ses histoires.
Et en apprendre un peu plus sur la gente masculine.
Cela passerait le temps.. Car croyez le ou non mais en Bearn le temps..
C'est long !
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Hooks
Il se réveillait doucement , pour sur il avait décuver . Rien de tel qu'un petit somme au bord du lac, là ou passe l'Adour .

Il s’étend, et se lève tranquillement , regarde les pêcheurs au loin et voit bien du monde autour du lac .

Il décide d'aller doucement vers les bains, il trouvera Mélénia là bas , du moins il pense
Lindsay.black.
Blessée en tout point, la Black d'Hell se décida en l'absence de son époux de sortir près du lac, loin des gens, pour sur oui, ils n'accepteraient sans doute pas de la voir se balader ici, mais qu'importait, elle faisait quand même toujours ce qu'elle voulait, tel était son tempérament.

Sur son chemin, éloignée des pêcheurs, la brune grommelle d'être coincée si longtemps, râle d'avoir mal partout à force de prendre des coups. Manquerait plus qu'un Tarbiens Tarbois ou je n'sais quoi comment qu'ils s'appellent les gens d'ici ne viennent pour l'achever.

Il devait être un peu tard, mais pas trop, le soleil tentait en vain de se coucher, ou pas, et força la brune à s'allonger, se plaquer au sol telle une étoile de mer, cheveux en broussaille, bras et pieds écartelés de son corps, tâtant le sol du bout de ses doigts abîmés.


Quarante-quatre jours... quarante-quatre jours à tenir ici.. Quatre jours à être là sans mon époux..

Ses mains reprisent derrière sa tête, elle observe et scrute le ciel qui s'assombrit de minute en minute, pense à sa nouvelle belle-sœur et à son époux, à sa famille, entière, aussi grande qu'elle soit, parce que sa force vient de là, de leur amour.

Par désespoir de cause, ne voyant arriver personne à son chevet nature, la jeune Black ferme les yeux et se fond dans le silence d'une soirée qui s'annonce.


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Hell...
Il la voit a coté du Lac, elle est si belle .

Il s'approche a ses cotés et la prend dans ses bras.

Il dépose un doux baiser sur ses lèvres entrouvertes.

Il caresse doucement ses petites mèches rebelles.

Je suis a tes cotés mon amour, ne l'oublie jamais, je ne t'abandonnerais jamais mon bel ange.

Il lui prend la main et doucement l’entraîne vers leur vago.

Nous allons rester la mon cœur, Notre fille va nous rejoindre demain.

Il la soulève dans ses bras et la porte doucement .
Il sait ce voyage sans son épouse est lord pour lui aussi, mais il se doit d'aider son père.

Je ferais le plus vite possible mon cœur.
Kaal.
Arrivé tôt le matin avec la troupe de marcheurs infatigables, Sam se rendit tout naturellement vers le lac, lieu favori lors de ses errances. Il ne s'en lasserait décidément jamais. Chaste niché sous sa chemise (commence à prendre de drôles d'habitudes cet animal), il grimaça lorsque la bestiole planta ses griffes sur son torse pour sortir de son nid improvisé et se hisser sur l'épaule de l'homme.

J'vais finir par te couper les griffes toi !

Sam laissa l'écureuil s'éloigner, sûrement pour récupérer deux ou trois choses à se mettre sous la dent -avec le gel environnant, ça risquait d'être difficile- et regarda l'étendue d'eau devant lui. Il y aurait bien plongé, mais même s'il ne craignait pas le froid, il fallait dire que cette fois, l'hiver était bien là et sa cape ne serait pas de trop. Combien de fois ses yeux s'étaient-ils attardés et son esprit reparti dans les méandres de son passé ? Il y passait bien trop de temps à son goût, manquant assurément les choses qui l'entouraient et qui pouvaient lui redonner du plaisir.

A présent, son coeur, lui, se refermait, lentement, douloureusement. Peut-être n'était-il pas destiné à une vie paisible et simple ? Peut-être devrait-il profiter de ce qui passait à sa portée, comme la plupart ? Il n'était pas fait pour ça. Et intérieurement, il n'y croyait pas. D'ailleurs, en quoi pouvait-il encore croire ? Pas à grand chose. Seule sa famille serait la promesse d'une vie excitante et joviale. Sa vie sentimentale, à présent, elle, n'était plus.

Se contentant de lancer quelques cailloux à la surface de l'eau pour les faire ricocher, il sourit doucement, se disant que finalement, il aurait peut-être mieux fait d'y rester dans la grange quand il était gamin...

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Laur
Arrivé tôt au matin avec ses amis et famille a Tarbes
elle fessa une halte près du lac, des souvenirs surgissaient dans sa tête un petit pincement
elle pensa à tous ses amis qui habiter autre fois ici, et les belles rencontres qu'elle avait pu avoir et les concours de pêche qui s'organiser ici
elle posa un linge sur le sol près du lac et se posa et regarda le ciel [/b]
Nini89
A peine arriver a Tarbes je pris la direction du lac avec les enfants ,tant de bon souvenir qu'on avais vécus avec Sat.

Les enfants ici on est a Tarbes la ville d ou je viens et que j ais de bon souvenir avec votre papa.

Les enfants courrais partout et j étais ravis de les voir comme sa,après tout se qu'on avais vécu le décès de Satolas se me faisait plaisir de revoir Tarbes,on resta un moment au lac.
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l'Ordre Raymondin
Jeliza.rose
Aujourd'hui, c'est lessive ! Tandis que d'autres barbotent dans des baquets, je me suis dirigée vers le lac pour nettoyer mes vêtements avant qu'on entame le grand voyage.
Tandis qu'ils sèchent un peu plus loin, sur les branches d'arbres environnants, je m'entraîne à l'épée, vêtue de ma chemise de lin.

Mes pieds virevoltent dans une danse rapide pendant que je massacre un pauvre arbrisseau qui n'a rien demandé à personne, quand je m'arrête en grimaçant.
J'ai rien dit à personne, évidemment. Après tout, c'est bon, c'est passé, je me suis pris mes armées, j'ai cicatrisé et tout, donc je vais pas faire la souffreteuse.
J'agite doucement les doigts de la main gauche, machinalement. La douleur finira bien par s'en aller, c'est juste que comme elle arrive souvent quand je bouge trop l'épaule, je m'y attends jamais vraiment.
De l'autre main, je fais des moulinets avec l'épée acquise récemment. Ça change du xiphos, qui était beaucoup plus court et plus pratique.

En nage, je décide de laisser tomber pour aujourd'hui et de poser l'épée contre l'arbre qui me sert d'étendoir. C'est un peu comme les crampes, je sens que ça part un peu, mais je sens que c'est prêt à revenir, sournoisement.

Je vais juste attendre patiemment que les vêtements soient secs en mettant les pieds dans l'eau. Oui, c'est pas mal comme programme. Il faut juste que j'évite de m'approcher de trop près du bord, comme je sais pas nager et que j'ai pas confiance dans la profondeur du lac, et puis je vais pas tremper ma chemise non pl..


Aaaaah !

Raté.
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