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Consécration de l'église de Coussey par Messeigneurs Charles-Antoine von Frayner, grand maître de l'ordre teutonique, et Estevan, évêque de Toul.

[RP] Consécration de la chapelle Saint Martin

Charles_antoine
Charles-Antoine avait, pour il ne savait encore quelle raison, accepter de devenir le chapelain de Catherine. Il avait hésité l'espace de quelques instants, se demandant s'il était raisonnable de se mettre au service de la baronne de Coussey. Et puis, finalement, ne voyant en Lorraine personne qui pourrait mieux s'acquitter de la dure tâche de guider Catherine sur le chemin du Paradis Solaire, ni supporter longtemps son caractère, il avait accepté.

Ainsi, en ce dimanche, il avait quitté Nancy, dans une voiture, afin de rallier Coussey. Il avait d'abord songé à proposer à Ellesya de l'accompagner, mais s'était ravisé assez rapidement. Il n'avait aucune raison de faire cela, et une arrivée commune, même s'il ne savait qui serait présent aurait certainement conforté quelques rumeurs qui pourrait courrir en Lorraine.
Aussi, opta-t-il pour lancer une invitation à Urbain, son filleuil de baptême et dernier petit protégé. Ce dernier ayant émis le souhait de consacrer sa vie à l'Eglise, Charles-Antoine désirait lui enseigner tout ce qui lui était possible de lui enseigner. Ainsi, cela ne pourrait que lui être profitable d'aider à la célébration de la consécration de la chapelle.
Ils avaient donc fait le voyage ensemble, dans la voiture, à l'abri de la pluie qui s'abbatait ces derniers jours, en devisant de choses et d'autres.

Une fois arrivés, ils découvrirent donc l'église de Coussey. Après avoir prit connaissance du lieu et s'être préparé à accueillir au minimum la baronne et l'évêque de Toul. Charles-Antoine patientait à l'entrée de la chapelle, à l'abri.

Il portait, comme pour toutes les cérémonies pour lesquelles il devait officier, sa tenue de Grand-Maître de l'ordre teutonique. La seule différence était qu'il n'était aujourd'hui pas armé.

Les cloches ne sonnaient pas. Tant que l'édifice n'était pas proprement consacré, elles resteraient muettes.

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Estevan_
Estevan avait été prévenu par Charles Antoine qu'il souhaitait faire consacrer une Chapelle. Le primat ne s'était pas posé énormément de question considérant que son Camérier Grand Maitre de l'ordre Teutonique avait dû réfléchir intensément à la question.

Le blond arriva donc en traineaux. Pourquoi ? Il avait bien neigé et c'était bien plus facile pour arriver à bon port sans avoir de soucis. Il fallait juste éviter d'être confondu avec un certains Père Noël. C'est pourquoi il s'était habillé de façon à être reconnu comme évêque et non ce père Noël.

Imaginez en fait un Cardinal vêtu de rouge sur un traineaux pouvait être confondu avec un Père noêl.

Le prélat entra donc dans l'édifice saluant Charles Antoine qui était déjà là.


Bonjour Monseigneur. Il manque donc plus que la Baronne pour commencer je crois.
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Primat of Church of Holy Empire
Catherine.louveterie
Il était dimanche. C'était ce dimanche que Catherine verrait sa chapelle être consacrée. Dans les années de son père, il lui semblait avoir souvenir que la chapelle avait déjà été consacrée. Seulement, les archives de Coussey n'étaient pas en ordres et il manquait énormément de papiers. Comme-ci quelqu'un avait délibérément vouloir mettre le bordel dans les affaires du domaine. Enfin, quoi qu'il en soit la Baronne avait son chapelain à présent. En la personne de Monsieur von Frayner. Il avait déjà entendu sa confession et nul doute qu'il en entendrait d'autres s'ils devaient être unis par cette chapelle dans les années à venir. De plus, en tant que von Frayner, cela en faisait au moins un autre en dehors de Maximilien qui était au courant de la naissance d'Anne-Lyse. Même si ce dernier ignorait encore que la petite avait du sang von Frayner. Elle avait peut-être omis un détail ou deux durant la confession.
Les deux jours précédents. L'Ar Sparfel, Albin avait fait la route jusqu'à son domaine de Coussey. Il commençait à connaître la route par coeur. Il tardait à la jeune femme de retourner un peu en Touraine. Que le trajets sur les routes s'arrêtent. Sans doute était-ce parce qu'au vu de sa condition de femme enceinte, la fatigue commençait à devenir lourde par moment.


Monseigneur, nous devons y aller si nous ne voulons pas être en retard.

C'était un peu l'hôpital qui se foutait de la charité, considérant que Catherine avait un peu traîner ce matin-là. Tardant à quitter le confort de sa couche et de sa chambre. Heureusement, Harriette avait rapidement prit les choses en mains avec Albin et le couple pu trouver la voiture prête afin de se rendre à la chapelle non loin de là. En ce moment, la robe rose poudrée lui convenait bien. La tenue était assez ample pour masquer son ventre rond. Et avec la cape sur ses épaules elle pouvait certainement affronter le froid.
Dans la voiture, la jeune femme resta silencieuse. Ses yeux bleus quittèrent rarement le visage d'Albin. La Touraine lui manquait. Et en parlant de Touraine, elle parlait bien évidemment d'Albin. Même si à présent elle était sa promise, elle ne pouvait pas s'empêcher d'éviter soigneusement de s'avouer les sentiments qu'elle ressentait pour lui.

Voulez-vous bien m'aider ?

Elle le laisserait sortir le premier et lui tendre la main afin de l'aider. C'était horrible de se sentir jour après jour faible au point d'avoir besoin qu'on l'aide pour les choses les plus simples comme descendre de la voiture. Sa main dans celle de son fiancé, elle la fit courir et descendre le long de l'avant-bras du vicomte afin de se positionner dans le creux. Ainsi, le maintien et le soutien seraient plus forts.

Pénétrant à deux dans l'église, le couple Ar Sparfel-Louveterie d'Acoma remontait l'allée pour les conduire auprès de Charles-Antoine et d'Estevan.


Mon frère.

Pour Charles-Antoine. C'était l'appellation qui convenait et celle qu'elle utilisait lorsqu'elle s'adressait à lui pour toutes les affaires religieuses. Ses yeux se posèrent ensuite sur l'Evêque.

Monseigneur.

Et puis, vient le moment des présentations, parce qu'ils n'étaient pas des sauvages.

Je vous présente mon fiancé, le Vicomte Albin d'Ar Sparfel.
Vicomte, je vous présente le Diacre Charles-Antoine von Frayner et Monseigneur l'Evêque de Toul.


En chemin et dans l'église, on pouvait constater que la Baronne de Coussey avait voulu une cérémonie intime. L'invitation avait été faite pour sa cousine Ellesya mais, sans doute que cette dernière avait tardé également pour venir. Un sourire sur les lèvres de la jeune femme et une pression sur l'avant-bras d'Albin. Elle était un peu nerveuse assurément.
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Bannière et blason provisoire. HRP.
ellesya
La Reyne de France était morte. Sya s’en fichait assez, avouons-le. Par contre, la foule de restriction qui s’en suivrait jusqu’à la Saint Noël la gonflait un peu. Au moins, c’était la Lorraine qui l’accueillait donc les cérémonies n’étaient pas interdites. Par décence toutefois, Sya se para comme il se devait.
Cotte et surcot noir, sans parure, bordée d’hermine, était son choix du jour. Vu la fraîcheur en ce début décembre, elle passa encore un long mantel tout aussi noir, fourré de goupil gris. Tout en entrant dans la chapelle de Coussey, de sa cousine, elle repoussa sa capuche pour être « tête nue ». En réalité, toujours selon le protocole, elle portait un voile d’yraigne sombre.

Tout d’abord, elle salua Catherine, ainsi qu’Albin qui eut droit en sus à un regard indéchiffrable ou presque. Même si il avait sa bénédiction, elle ne pouvait s’empêcher d’être un poil protectrice envers sa cousine.
Ensuite, elle salua celui qu’elle devina être l’évêque.


Monseigneur.

Quant à l’Apperault, il se brosserait pour un baiser ou toute marque d’affection. Un sourire lui fut adressé néanmoins où pointait une nuance narquoise.
Vu ce qui se tramait ce jour pour en arriver à ce qu’il devienne le chapelain de Catherine, leur relation devait tenir du « je t’aime. Moi non plus » ou du simple sadomasochisme. En tout cas, cela promettait d’être animé à l’avenir.

Cela fait, elle se mit un peu en retrait pour attendre le début de la consécration.
Si ses enfants lui manquaient (au pluriel puisqu'elle aimai de plus en plus ses pupilles),
Ellesya aurait volontiers profité de son séjour pour s'amuser et mieux connaître sa filleule qu'elle n'avait plus eu l'heur de voir depuis un moment.

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Urbain_mastiggia
Urbain avait été invité en "pénitence de ses pêchés" par son parrain afin de se faire pardonner de l'avoir fait tomber dans une embuscade enneigée la veille. En réalité, Urbain suspectait son parrain de vouloir l'emmener parce qu'il n'avait pas assez de bras pour tout faire seul lors de la cérémonie. L'option la plus probable restait néanmoins celle qui consistait à accompagner le Von Frayner pour s'instruire.
Urbain n'avait plus pris part à des mondanités depuis son retour en Lorraine de son long voyage formateur. Il n'avait pas oublié que son parrain l'avait invité à voyager en sa compagnie et il se prépara à partir avant même que le soleil n'ait pointé le bout de son nez. Il attendit un long moment sous le porche de l'hôtel familial que la voiture de son parrain n'arrive. Pour lutter contre le froid ambiant, il avait revêtu une chemise épaisse et sombre, une paire de braies de la même couleur ainsi qu'un long mantel de belle coloration sombre. Il avait passé à ses mains des gants en cuir foncés qui ne dénotaient pas avec le reste et soufflait régulièrement dedans en patientant.

Le voyage s'était fait en devisant en bonne intelligence avec Charles-Antoine et ils arrivèrent à Coussey assez rapidement selon les estimations d'Urbain, qui étaient certainement faussées par le temps qu'ils avaient passés à discuter. La voiture s'était garée devant l'église et lui et son parrain avaient pris un moment à découvrir le monument. Urbain était toujours fasciné de découvrir de nouvelles églises et lieux de foi. Il n'avait pas hésité à enlever son gant pour toucher la pierre froide et le bois qui composaient l'édifice.

Afin de ne pas avoir trop froid lors de la cérémonie, il s'était absenté quelques minutes, le temps d'aller acheter quelques fagots de bois pour les mettre à brûler dans un brasero. Il avait ensuite préparé l'église et rejoint son parrain à l'entrée et légèrement en recul. Peu après, l'évêque de Toul était arrivé et avait salué Charles-Antoine. Urbain, s'inclina légèrement et énonça une salutation à son encontre assez discrète.
Encore après, la baronne arriva et il reconnu une dame qu'il avait croisé en taverne quelques jours plus tôt. Elle présenta un vicomte aux prélats déjà présents. Le nom de cet homme sonnait davantage breton que Lorrain, mais Urbain n'en fut pas autant surpris. Le monde ne s'était jamais arrêté de tourner et les gens vont et viennent de Lorraine en Jérusalem et de Bretagne en Lorraine et de Flandres en Languedoc sans que personne n'en ressente la moindre gêne. Aussi discrètement que la première fois, Urbain salua les deux arrivant.

Ce fut enfin un dernier visage connu qui apparut. Il reconnut Ellesya et se contenta de la saluer aussi poliment qu'il l'avait fait auparavant, puis comme tout le monde entrait dans la chapelle, il suivit discrètement le mouvement sagement en retrait.
Albin.
L'on avait beau être un homme, il y avait quand même quelques impératifs sur le paraître surtout pour un événement religieux comme la consécration d'une chapelle.
Bien que très croyant envers la foi Aristotélicienne, certaines choses déplaisaient ces derniers temps, le déballer ici serait inapproprié vu le moment. Oui Albin avait une autre priorité c'était de bien s'habiller pour ce jour, d'où l'expression de sortir les habits du dimanche.

En Lorraine depuis quelques jours auprès de sa promise, désormais habitué à faire le chemin sans s'y perdre, ce qui n'est pas un mince exploit faut dire, c'était Albin qui tardait à sortir de sa chambre. Il ne faut pas croire, par moment Albin était pire qu'une femme sur l'indécision des habits à porter. Sa lenteur commençait à se faire sentir au vu des propos de la Louveterie Acoma.


J'arrive, j'arrive Baronne. Sachez que j'aime me faire attendre.

Il ne dira pas que ça lui donnait l'impression d'avoir de l'importance et de captiver l'attention. Oui étrange, toujours un paradoxe pour quelqu'un qui préfère l'ombre à la lumière. Comme toujours, il ne faut pas chercher à comprendre, c'est Albin.
Bon comme bien souvent, c'est tout vêtu de noir que l'Ar Sparfel sorti de la pièce, un peu plus l'on dirait qu'il allait à un enterrement si ce n'est que la mine n'était pas triste mais bien enjoué par ces moments de vies avec Catherine.

Une fois dans le carrosse, c'était le silence, le calme plat un peu flippant, très inquiétant comme s'ils n'avaient rien à ce dire. Faudra remédier à cela sinon ça risque de devenir grave ou bien qu'ils passent trop de temps ensemble. Hin hin, ça doit être cela !

Sur place, l'Ar Sparfel sorti le premier puis se saisit de la main de la douce Catherine pour l'aider à sortir, avec le temps et le ventre qui grossissait ça devenait de plus en plus compliqué, tout le bonheur d'une fin de grossesse. Vivement ce mariage que l'enfant naisse pas en dehors.

La suite se passa à l'intérieur de lieu de culte où l'Ar Sparfel se fît présenter au Diacre puis à l'Evêque puis de répondre
.

Enchanté Monseigneur et vous aussi Mon Frère.

Le temps de ces quelques mots que voila le "dragon" Ellesya, ce sera l'occasion de parler avec elle que la démarche pour un futur mariage avait été fait et que tout sera régulariser sous peu. En attendant sans surprise il eu le droit au fameux regard qui tue même si le Albin est toujours en vie.


Sya !

Puis à Catherine.


Il y a d'autres personnes que l'on attend?

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en refonte
Charles_antoine
Les invités arrivèrent les uns après les autres, sans qu'il n'y ait finalement de temps morts.
L'évêque de Toul fût le premier. Charles-Antoine le salua avec toute la déférence dévolue à son supérieur. Il en profita pour présenter son filleuil.


Bonjour Monseigneur, soyez le bienvenu à la chapelle de Coussey. Je vous présente Urbain Mastiggia, qui prendra ma succession au diaconat de Nancy. Il est prometteur et devrait s'acquitter formidablement bien de sa tâche.

Puis, ce fût au tour de la propriétaire de la chapelle de se présenter, ainsi qu'à celui qui avait le courage de devenir son époux. Ils fûrent saluer par des sourires ou presque. Car si le sourire alla à Catherine, lorsque le nom de l'homme fût prononcé, une ombre passa sur le visage du Von Frayner et sa main se dirigea machinalement vers la fusée de son épée, qu'elle ne trouva finalement point pour la simple et bonne raison qu'il ne la portait pas. Une chance ; la cérémonie en aurait été moins joyeuse.
Le monde était petit et le destin cruel de toujours le ramener à ce passé, qui, s'il ne souhaitait pas l'oublier, arrivait toujours à la tourmenter.


Bonjour Ma Soeur. Nous sommes prêts à commencer dès que vous le voudrez.

Un salut de la tête masquant mal le dédain qu'il associait au patronyme du marié alla à Albin.

Ses yeux quittèrent le couple pour se poser sur l'invitée qui se présentait ensuite. Le sourire revint. Bien entendu, Charles-Antoine garderait avec elle la distance qu'il convenait de garder en de pareille occasion. Cela lui coûtait un peu de ne pas pouvoir être plus proche de la Valkyrie, mais la consécration d'une chapelle ne se prêtait peu à l'intimité parfois recherchée. Ainsi, le sourire fût-il retourné sans aucun autre mot.

Tous pénètrèrent plus avant dans la chapelle et prirent place. Le couple baronnial et Ellesya sur le premier banc devant l'autel et les officiants du jour, -pas moins de trois !- derrières l'autel.
Il ne manquait plus que la confirmation de Catherine pour débuter...

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Catherine.louveterie
Le jeune protégé de Charles était présent. Il devait être occupé à une autre tâche pour qu'elle ne puisse pas l'avoir vu en pénétrant dans l'église. Ou bien étais-ce la fatigue qui gagnait de plus en plus Catherine. Au choix. Sa main se trouvait toujours sur l'avant-bras du vicomte.

Sieur Urbain. Je ne devrais pas être surprise de vous voir en ce jour. Vous êtes souvent en compagnie de Frère Charles-Antoine.

Sa cousine arriva à son tour. Il était vrai que Ellesya séjournait en Lorraine depuis quelques semaines maintenant. Et c'était assez plaisant de la voir.

Ma cousine.

De sourire en disant cela. Et puis, de faire glisser ses yeux vers Estevan, puis Charles-Antoine.

Je n'attends plus personne.

La jeune femme n'aimait pas forcément la foule. Aussi, elle préférait l'intimité lorsque cela lui était possible.
Ses jambes commençaient à devenir lourdes. Parfois d'un jour à l'autre, elle avait mal à la tête, ou bien une fatigue intense, ou bien les jambes lourdes. Il y avait souvent un truc qui n'allait pas. Autant dire que les grossesses ne s'étaient pas la joie. Encore un truc qui était de la faute d'Albin. Pourquoi était-ce les femmes qui devaient porter l'enfant à venir ? Pff. Ainsi lorsqu'ils pénètrent plus en avant de la chapelle, elle accepta volontiers de s'asseoir au premier banc devant. A trois, ils tiendraient tous dessus et serait au première loge.
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Bannière et blason provisoire. HRP.
Estevan_
Les choses suivaient leurs cours les fidèles concernés commençaient à arriver au fur et à mesure vers la chapelle. Un sacré travail avait été réalisé. Elle était à la fois imposante mais assez modeste. Des vitraux ornais les fenêtre de la chapelle laissant entrer la lumière du soleil. En cet hiver bien commencé cela donnait une belle luminosité. Les vitraux racontait quelques scènes du livre des vertus. Ainsi chacun pourrait comprendre sans nécessairement savoir lire.

Une chose des plus utile en ses années de fin du moyen âge.

Alors qu'il était encore en train d'admirer les vitraux il fut salué par Catherine. Il lui rendit son salut avec gentillesse.

Celle-ci était avec un autre homme. Un noble Vicomte si l'on en croyait ses attribue de nobles. Marié pas marié Estevan n'en savait rien jusqu'à ce qu'elle le présente à lui tout simplement.

Et paf encore une une petite erreur dans les présentations. Il fallait dire que l'étiquette Romaine était des plus compliqué. Le primat laissa tomber en cette instant le fait de réexpliquer que Charles Antoine en plus d'être Diacre était Grand Maitre d'un Ordre religieux militaire. Chacun devait lui dire Monseigneur.


Enchanté Monseigneur.

Ils ne furent pas seule trop longtemps puisque qu'il reconnu une des nobles Pontificale à ses armoiries sur ses attribue nobles. Ceci bien qu'elle porta un habit plutôt sombre à cause du décès de la Reine de France. Une duchesse. Son blasons ne lui était pas inconnu mais il n'arrivait pas à mettre la main dessus. Ce n'était pas grave. Il verrait cela bien plus tard. Il lui dit juste.

Duchesse.


Le primat reconnu Urbain qui venait d'arriver alors que Charles Antoine le présentait

Le Grand Maitre de l'ordre Teutonique semblait avoir prit son aile le jeune homme. Peut être voulait il l'aider à se destiner vers la voie de la prêtrise. Et qui sait devenir évêque. Estevan aimerait en effet. En Lorraine peu de monde se destinait à cette voie malgré les nombreux diacres et diaconesses que comptait le Diocèse.

Le blond sourit à Urbain lorsqu'il le salua le remerciant d'avoir fait en sorte de faire chauffer la chapelle. Cela était une excellente idée en cet hiver assez froid.


Estevan sourit à Charles Antoine lui dit amusé.


Je vous rappel Monseigneur que j'ai fais son baptême* alors que vous étiez son parrain.

Je n'en doute pas j'ai eut de très bon écho le concernant. Et puisqu'il a votre soutien il n'y aura aucun soucis afin qu'il vous succède.


Le blond nota que le visage de Charles Antoine s'était modifié en dédain laissant de côté le sourire au nom du promis de Catherine. Étrange se dit l'inquisiteur. Enfin cela ne le concernait pas il avait bien autre chose à faire que chercher la raison de cela.

Il attendit donc que la Baronne dise à Charles Antoine si elle voulait commencer la cérémonie.

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Primat of Church of Holy Empire
Charles_antoine
Charles-Antoine acquiesca aux propos de l'évêque. Il connaissait déjà Urbain. Mais il était toujours bon de rappeler l'existence de son formidable padawan.


Et puisque l'on n'attendait plus personne et que tout le monde était installé. La cérémonie pouvait débuter.
Les hommes d'église était alignés. Charles-Antoine en tant que futur chapelain était au centre, puisqu'il prendrait la parole en premier. A sa gauche, était Monseigneur l'évêque, puisque Charles-Antoine serait son bras droit pour cette fois-ci avant de voler complètement de ses propres ailes et de n'être le seul responsable de la vertu de Catherine. Charles-Antoine tâcha de chasser cette image de son esprit et se reconcentra sur la cérémonie.
A la droite de Charles-Antoine : Urbain, son propre bras droit. Ce dernier officierait ce jour en tant que bras droit du bras droit, ce qui ne devrait pas être trop compliqué. Mais il fallait bien commencer quelque part.

Les yeux de Charles-Antoine quittèrent la Valkyrie sur laquelle il s'était attardé quelques longues secondes sans qu'il n'y prenne garde. Ils passèrent une demi-seconde sur Albin, avant de se poser sur Catherine. Un sourire sincère sur le visage - il n'était pas question ce jour de taquiner le bailli - il s'exprima d'une voix claire et forte.



Mes biens chèrs Frères, mes biens chères Soeurs... Nous sommes réunis en ce jour pour consacrer cette chapelle, sise sur les terres de la baronnie de Coussey. Dans sa grande piété, la baronne de Coussey désire dédié ce lieu au Très-Haut et créé un lien qui unira notre monde terrestre au monde céleste et supralunaire...

Oui, il avait lu Aristote et connaissait l'organisation du monde et des éléments. Et puisque la cérémonie d'aujourd'hui y ferait appel, autant expliquer un peu comment fonctionnait tout ce bazar. Cela viendrait.

Et précisemment, nous allons dédier cette chapelle, selon la volonté de la propriétaire des lieux, à Saint Martin. Et c'est là un choix des plus pertinents.

Un certain nombre de noms avaient été proposés à Catherine, et Charles-Antoine appréciait beaucoup Saint Martin. Cela lui rappelait ses très jeunes années lorsqu'il avait failli se rendre à Tours pour y rejoindre un ordre dédié à ce saint. Mais finalement, cela ne s'était pas fait.
Il passa sous silence la proposition qu'il avait faite de dédier la chapelle à Sainte Dwywai, dite la Frénétique, eut égard à la personnalité de Catherine.


La vie de Saint Martin me touche, bien évidemment, car il est un soldat. Un soldat bien entendu, mais qui n'en a pas oublié la compassion. Car la force sans compassion ne peut être que mauvaise conseillère.
Et c'est cela que j'attendrai de vous Catherine. Que vous alliez votre force de caractère à la plus grande compassion. C'est ainsi que vous trouverez le chemin du Paradis Solaire et c'est sur cette voie que je voudrais guider puisque vous me faites l'honneur d'avoir choisi mon humble personne pour vous servir de chapelain.


Pas une once d'ironie dans ces derniers mots.

Saint Martin est également un saint originaire de Touraine, tout comme vous. Au moins pour la partie tourangelle... Pour la partie sainteté, je m'y emploierai, mais ne vous promets rien.

Un sourire en coin apparut sur le visage de l'officiant. Chassez le naturel, il revient au galop...

Je vois dans le manteau déchiré et partagé en deux parties, une allégorie à la fois de votre dualité, Catherine, entre la force et la compassion ; de la dualité de vos origines, partagées entre Touraine et Lorraine. C'est là un excellent choix.

Il se retourna à présent vers Monseigneur l'évêque.

Monseigneur, nous allons pouvoir procéder...

Et tandis que l'évêque préparait les éléments, aidé d'Urbain, Charles-Antoine entreprit d'expliquer simplement ce qui allait se passer.

Notre monde est composé de quatre éléments : La terre, l'air, l'eau et le feu. Monseigneur va donc convoquer ici ces éléments. Puis, dans sa grande maîtrise des rites aristotéliciens, par sa grande érudition et sa fervente prêtrise, Monseigneur Estevan convoquera l'éther, élément supralunaire, qui liera ce lieu devenu saint au Très-Haut.
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Estevan_
Estevan écouta alors Charles Antoine parler. Celui-ci donna la raison du pourquoi du comment cette chapelle allait être consacré, et pourquoi elle s'appellerait Saint Martin.

L'évêque fut tenter de couper Charles Antoine pour dire que Tour devenait un nid à excommunié depuis qu'il avait appris que Castelreng allait briquer la mandature de Duc de Tourraine. Ceci avec l'appuis de la classe politique présente là bas.

Comme quoi la religion en France c'est comme un menue c'est à la carte. Quand cela nous arrange.

Le primat ne pipa mot et quand ce fut son tour souriant à l'assemblée il fit ce qu'il devait faire.


Merci Monseigneur Charles Antoine. Je gage que notre baronne vient de s'offrir un des meilleurs chapelain de Lorraine.


Le prélat commença donc par répandre de la terre bénite sur le sol de la chapelle avant d'allumer une bougie symbolisant le soleil. Un peu d'encens pour représenter le lien entre l'air et l'éther .

Puis en récitant la prière il se mit à bénir avec de l'eau bénite la chapelle un peu partout.





Que le Très Haut protège ce lieu des impures et en fasse un lieu qui Lui est consacré !
Que le très saint Aristote, insuffle la Raison dans les pensées tourmentées qui visiteront ce lieu,
Que Notre Créateur bénisse ce lieu dédié à la diffusion de Sa parole !
Que le très saint Christos insuffle la paix dans le cœur de ceux qui visiteront ce lieu !
Que ce lieu devienne le nœud principal de notre voyage vers la paix, l’amour et le paradis solaire.
Par Titus qui consacra la première cathédrale, et par le pouvoir qu’il nous a transmis de perpétuer ce geste,
Moi Estevan de Mortelane, je consacre ce lieu pour qu’il soit un point d’entrée dans la communauté des fidèles.
Ce lieu est désormais un lieu consacré interdit à ceux qui n’ont pas la foi ou qui sont exclus de la communauté des fidèles. Tout acte de blasphème fait en ses lieux serra une injure envers le Très Haut lui-même.

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Primat of Church of Holy Empire
Charles_antoine
Un sourire alla à l'évêque à la suite de son compliment. Néanmoins, Charles-Antoine ne put s'empêcher de penser que vu la faible population de la Lorraine, dès que l'on avait la volonté de servir comme chapelain, on se retrouvait vite dans les meilleurs...

Il suivit en silence la consécration proprement dite, son regard s'attardant tour à tour sur la terre versée, la bougie, Ellesya, la fumée de l'encens montant vers le ciel, Ellesya à nouveau, avant de revenir vers la personne de l'évêque.

Au moment où l'évêque prononçait les derniers mots, la pluie s'interrompit, cessant de battre les vitraux du flanc est, là où donnait le vent. Charles-Antoine tâcha d'y voir un présage heureux.

Il s'agissait à présent de conclure. Et cela se ferait en proclamant leur foi. Charles-Antoine repris donc la parole.


Mes biens chères, mes biens chères soeurs, Monseigneur, je vous propose qu'à présent que nous sommes dans la maison du Très-Haut, nous proclamions ensemble la foi qui nous anime et animera ce lieu.



Et le futur chapelain entonna le credo, à l'unisson avec les personnes présentes.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen.


Une fois le credo récité, il ne restait plus qu'à clôturer la cérémonie.

Voilà la chapelle consacrée, et je vous remercie de nous avoir accompagné pour consolider l'oeuvre du Très-Haut.
J'espère vous revoir tous très bientôt pour les célébrations qui auront lieu ici, à présent.


Tous, non. Catherine, évidemment ; Ellesya, assurément ; mais pas Albin.



La cérémonie était terminée, et Charles-Antoine quitta l'autel pour rejoindre la baronne afin d'échanger quelques mots, avec le sourire amusé.


Madame, voici votre chapelle consacrée. La voilà liée au Très-Haut, et me voilà lié à vous...
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Albin.
Tout le monde étant présent selon les dires de Catherine alors tout pouvait commencer. Albin profitait du moment pour admirer l'édifice qui servira plus tard à l'occasion de l'union à venir avec Catherine.

La consécration débutait et visiblement le choix de Saint Martin était plus que bon. Un doute émergeait tout de même dans l'esprit du brun, à savoir la force de caractère. Tout allait dépendre de quelle force l'on parle car l'Ar Sparfel voyait plutôt en Catherine une femme d'une forte sensibilité, parfois fragile mais une femme restant une femme, il y a toujours un dragon qui sommeille en elle dont il ne faudrait pas attisé la colère.

Après les premiers mots puis une prière avec la chapelle bénite, s'en suivait le Credo que l'Ar Sparfel reprit avec les autres.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen.


La chapelle était ainsi consacrée.
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en refonte
ellesya
Le salut fut rendu à Urbain qu’elle apprendrait à mieux connaître quelques jours plus tard.
La réaction de l’Ar Sparfel lui tira un sourire discret quand il eut l’attention ailleurs. Occupée à glisser un regard discret à l’Appérault, elle remarqua son geste avorté et son regard. Perplexe, elle se demanda lequel des deux, elle cuisinerait prochainement. Les deux, sûrement, en fait.

Sagement (si si) assise, sur son banc avec sa cousine et son futur cousin, elle écouta et observa. Elle aurait préféré se trouver sur le banc juste derrière mais elle n’avait apparemment pas eu le choix !
La consécration d’une chapelle lui semblait toujours un événement magnifique qui se heurtait à d’autres réflexions à ne pas partager. Elle appréciait le choix de St Martin. Celui de St Bynarr, étrange qu’il puisse paraître en Touraine, était du, quant à lui, au fait que ses parents l’avaient connus. Mais St Martin lui parlait également pour les mêmes raisons que l’officiant, d’ailleurs.
Certains regards se croisèrent parfois mais toujours la Tourangelle tâcha de se raccrocher à la cérémonie en cours. Mais vint le moment essentiel, l’affirmation du credo qui ne soufra aucun écart.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen.


La cérémonie achevée, elle chopa son frère d’armes pour discuter de la suite des réjouissances.
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Catherine.louveterie
La main dans le creux de l'avant-bras du vicomte, la baronne demeurait assise à ses côtés, avec sa cousine de l'autre. Trois fidèles, pour trois officiants. Egalité partout. Elle écoutait attentivement Charles sur le fait d'avoir choisi Saint Martin. Cela lui semblait un choix judicieux et elle aimait beaucoup. La Touraine, elle aimait beaucoup et rêvait déjà de s'y retrouver pour un temps qui durerait plus d'une semaine. Depuis que son séjour en Lorraine avait été prolongé à cause de la politique, Catherine voulait revenir en Touraine. La Lorraine c'était bien à petite dose. Surtout lorsqu'on mêlait politique et Lorraine en même temps, un combo qui pouvait être mortel. Quant à la force de caractère évoquée par le von Frayner, elle aurait pu en rire. Mais, c'était simplement qu'il ne fallait pas lui chercher des noises, sinon Catherine demeurait en tout temps adorable.
Puis, Estevan parla du fait que son chapelain serait le meilleur de la Lorraine. Elle n'en doutait pas et son choix lui paraissait très bien également.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen.


En coeur avec Albin et Ellesya. C'était une bonne chose de fait. Inutile de dire, que cela enlevait un poids sur les épaules de la jeune femme de savoir que la chapelle de Coussey était à nouveau consacrée. Parce qu'elle en était certaine, la chapelle avait déjà du l'être dans le temps puisque son père avait été marié ici à une baronne de Champagne il semblait-elle. Enfin, maintenant ce serait la Chapelle Saint-Martin, pour le meilleur et pour le pire. Son coeur accéléra à la pensée que prochainement elle s'unirait à Albin ici-même. Et à l'enfant qu'elle portait, d'une main qui s'en alla caresser son ventre rond. Enfin, elle se leva lorsque son chapelain vient à elle.

Madame, voici votre chapelle consacrée. La voilà liée au Très-Haut, et me voilà lié à vous...


Assurons-nous Monseigneur...ses yeux glissèrent vers Estevan qui avait ainsi nommé Charles-Antoine juste avant. Assurons-nous d'être chacun digne du Très haut. Puisse notre nouveau lien perdurer dans le temps aussi longtemps que possible pour le salut de mon âme.

Un sourire sur ses lèvres lorsqu'elle prononça ses mots. C'était limite comme une promesse de mariage ça, à la vie et à la mort. Mais, il serait le guide et le gardien de son âme. Tandis qu'Albin, serait le guide et le gardien de son corps et de son coeur. Quant à Ellesya, elle chapeauterait le tout.
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