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Info:
Premier jour de voyage. Une petite promenade au marché s'impose.

Le marché

Lohan
Samedi matin ... Lohan s’était levé de bonne heure pour aller sur la place qui, désormais accueillerait les marchands, déja, il entendit les clameurs des marchands haranguant la foule ... il y avait là de tout, légumes, pains, viandes, cuirs, vêtements,, porcelaines, fromages, jouets en bois, ustensiles de cuisines, herbes et potions diverses, on pouvaient y trouver de tout ... il salua de part et d'autre... reconnu certains marchands et entama la conversation chaleureusement



Certains avaient de la voix un tisserand vendant bourses, sacs et vêtements faisait ...

Allez mesdames messieurs regardez ! fouillez ! cherchez c'est fait pour ça n’hésitez pas



Un boucher faisait une démonstration de cuisson devant des dames intéressées tout en parlant fort pour que tous le monde entende et voila dame tenez fit il en découpant un morceau de bonne viande et en tendant un petit morceau sur une spatule, celle ci ouvrit la bouche avec amusement..
Goutez moi ça M'dame vous allez m'en dire des nouvelles ... hein ? haaa je voit que madame est connaisseuse, n'est ce pas que c'est bon ! et ça madame, vous me le faite comme je l'ai fait ça va être absolument délicieux vous allez voir ! cela ravira tous vos invités... je vous en met un beau morceau ? oui ? alors allons y !! un bon morceau pour la dame un !
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Rose_de_vissac
Vendredi 20 juin 1462

Le soleil était présent sur Péronne, à croire qu'il était content de son retour en ville . L'esprit ailleurs, elle marchait sans regarder où elle allait . Elle n'avait toujours pas prit de décision pour son futur . Elle pensait que son petit voyage l'aiderais mais au final, c'est tout le contraire .

Ce qui devait arrivée, arriva . A force de ne pas regarder où elle met les pieds, la voici allongée de tout son long sur le dos . Sonnée, elle reste quelques secondes ainsi sans bouger . Elle fait bouger ses pieds, ses mains, ses jambes et ses bras . Horreur, celui de gauche lui fait horriblement mal . De sa main droite, elle essaie de se relever . Après pas mal d'effort, elle réussit enfin à s'asseoir . Sa tête lui tourne . Il faut dire qu'elle a bien frapper le sol quand elle est tombée .

Tisha se cale contre le mur d'une maison et passe une main dans ses cheveux . Un peu de sang, mais pas de quoi s'affolée ! La seule chose qui l'inquiète est son coude qui lui fait mal et qui l'empêche de bouger son bras . Décidément, elle est toujours aussi maladroite ...

Elle prit appuis de sa main droite sur le sol et essaya de se relever . Les yeux encore remplie d'étoiles et de flou, elle sentit une main lui attrapait le bras pour l'aider à se remettre debout . Elle essaya de reconnaître la personne, mais tout ce qu'elle put, c'est dire merci ....

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Vitali_
A surveiller trente fois par jour le marché, il était souvent parmi les étals.

Il tomba sur sa petite soeur, amochée et ne semblant pas bien du tout.

Il la soutint et la fit s'asseoir avant d'aller chercher un verre d'eau ainsi de quoi nettoyer ses plaies.

Ce qu'il fit.


Et bien, Tisha... tu as un coup de chaud ?

Le Slave ôta son chapeau de paille et le posa sur la tête de sa petite soeur en lui souriant.

On ne part pas courir les étals à la recherche de jolies parures sans se protéger un minimum.

Il lui fit un clin d'oeil.
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Rose_de_vissac
La vue lui revenait doucement et elle reconnut enfin celui qui l'aida à s'asseoir sur le bord d'une fenêtre . Il lui avait nettoyé ses éraflures mais son coude lui faisait toujours aussi mal .

Heu ... coup de chaud je sais pas ! Mais ce qui est sûr c'est que sa brûle maintenant !

Tisha sourit quand il posa son propre chapeau sur sa petite tête de linotte .

Merci Vitalounet !!!

Elle se mit à rire et s'arrêta aussitôt . Elle avait l'impression qu'on lui donnait des coups de marteau dans la tête . Elle allait lever le bras gauche par réflexe et retint un petit cri .

Bah j'allais plutôt me chercher à manger ! Maintenant je crois que c'est foutu ...
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Lohan
Il faisait beau ce matin et les marchands avaient installés leurs étals, déjà des voix s'élevaient pour vanter leurs produits, une bonne odeur de poulet rôti se faisait sentir, en cette belle matinée, il y avait déjà foule et les gens aimaient faire le marché ... on pouvaient y trouver de tout, poteries, nourritures, objets diverses, outils, vêtements, les badauds s'y pressaient, touchaient, goûtaient même a l'occasion

Celui qui le faisait rôtir était un cuisinier gros et rougeaud qui hurlait a qui voulait l'entendre ...
Le poulet rôti venez faire une dégustation il est bon il est savoureux approoochez n'ayez pas peur !



Lohan installa son étal de légume après avoir discuté et plaisanté longuement avec des marchands voisins ..l'un deux lui montra une bonne bouteille de Bourgogne et lui fit en murmurant .. çà ce sera entre nous deux, après le travail fit il, d'un clin d’œil complice... il ramassa soigneusement la bouteille en la dissimulant .

Héhé je voit que certains pensent à tout hein ? !! répondit Lohan ...ils en rirent joyeusement ..

Allons mesdames pensez à agrémenter votre cuisine, comblez votre mari en lui offrant le meilleur, venez voir mes légumes ils sont beaux ils sont beaux !!



Diverses articles de toutes sortent étaient mis en évidence !



D'autres Marchands hélaient les passants d’une voix forte sur le marché, tout y était vendu et l'on pouvaient y trouver à peu prés n'importe quoi




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Williamss
Après une courte pause par Péronne, l'heure était venue, pour la compagnie du goulot, de mettre définitivement les voiles, laissant derrière eux, Normandie et Artois, qu'ils venaient de visiter.
Leur prochaine escale serait en terre bourguignonne, lieux où ils s'étaient formés et vivaient pour la plupart.

La route allait être longue, mais leurs montures les aideraient à parcourir ses lieux, les séparant de leur destination, bien plus rapidement que le commun des voyageurs.

toute fois, comme pour tous voyages un minimum organisé, ils avaient besoin de vivres, assurant un minimum leurs rations quotidiennes.
Ainsi, Gilly s'était levé assez tôt pour se rendre au marché local, les bonnes affaires étant généralement les premières à partir.

Les étales étaient nombreuses et déjà les couloirs qu'elles formaient, commençaient à se remplir d'une foule bruyante.

Après quelques négociations peu virulentes avec un boucher et un boulanger, lui ayant procuré ce qu'il était venu chercher, et le temps ne lui manquant pas avant leur départ, il s'autorisa un tour de la foire, bien plus détendu.

Les stands étaient vraiment bien fournis, permettant de trouver quasi de tout. Abordable niveau tarif, enfin pour la majorité, d'autres prix le faisant doucement sourire... le notable habitué à vivre dans le luxe n'en était pas pour autant un pigeon.

Devant les étoffes d'un tisserand, il s’arrêta, se rappelant une promesse. Des doigts, il tata la qualité, puis chercha parmi les confections.
Malheureusement, rien ne correspondant à ce qu'il cherchait, il dû oublier l'idée, persuadé qu'il trouverait chez eux son besoin et dans des soieries de la plus haute qualité.

l'heure avancée et il devait penser à rapporter ses marchandises afin de les emballer comme il se doit pour qu'elles ne se perdent pas.
Ainsi s'en reparti donc, un peu plus chargé qu'à son arrivée, satisfait de ses quelques emplettes.

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Arylis
[Bientôt midi à présent]


En sortant de l'Auberge Bleue, qui n'avait rien à voire avec la Lune Bleue si ce n'était l'adjectif qualificatif de couleur qui ornait les deux noms, Arylis tomba sur le marché. Où c'est le marché qui lui tomba dessus puisqu'elle percuta en un jeune vendeur de fruits dont la cargaison roula au sol. Immédiatement, la blonde se fit houspiller, et son sourire s'agrandit encore. Elle s'empressa d'aider le petit travailleur à ramasser sa récolte et lui donna quelques sous pour sa peine.

Excuse-moi.

Elle le regardait avec une telle douceur et la joie qui irradiait de chacun de ses pores était tellement contagieuse, que le jeune homme lui rendit son sourire et lui tendit une pêche.

Y a pas d'mal. Faîtes gaffe à vous m'am'zelle.

La saintaise le remercia d'un petit signe de tête avant de poursuivre son chemin de sa démarche dansante. Elle adorait les marchés ! Elle croqua dans le fruit dont le jus lui dégoulina sur le menton, lui tirant un petit rire de satisfaction.
Une ville, un marché, l'homme-oiseau qui l'attendait pour traire les vaches et Nadjka qui l'avait cherchée. Le monde était beau, lumineux, un endroit merveilleux dans lequel elle n'aurait pas cédé sa place, même pour le trésor d'un roi.
L'Esprit-Papillon aussi se sentait comblé. Par le liquide sucré et fruité, par la douceur de se savoir aimé, par la sécurité d'une ville grouillante. Il songea quand même qu'il faudrait écrire à Nadjka pour la rassurer. Qu'il faudrait aussi trouver la maison de Gezekell. Mais à l'heure actuelle, tout allait bien. Il suffisait de laisser couler et d'apprécier.



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Theolinde
Le marché. Un lieu vivant dans bien des villes, puis on n'y trouve de tout, on peut faire de bonnes affaires... Quand on a assez d'argent pour ça !

Mais voilà : Theolinde avait déjà tout dépensé à Compiègne et ne pouvait pas se permettre d'acheter grand chose à Péronne. Elle avait abîmé ses vieux vêtements dans la mare aux canards et avait dû en racheter une grande partie : des braies vertes, une chemise bleue qui lui faisait penser à la mer qu'elle verrait bientôt en remontant plus au Nord. Et puis de nouvelles chausses car les anciennes avaient le cuir usé par le temps et la marche à pied que la propriétaire s'imposait tous les jours. Bah oui, faut marcher trente minutes pour rester en forme qu'il a dit le médecin !

Alors Theolinde marche au milieu des étals en regardant toutes ces jolies choses qu'elle ne peut pas s'acheter pour le moment. Elle fait quand même quelques essayages une fois arrivée devant la boutique d'un tisserand. Différents cols, de différentes nuances de vert ornent son cou quelques instants. Elle veut voir ce qui lui va bien, scrute son reflet dans la vitre de la fenêtre avant de reposer le tout et de marcher un peu plus loin.
Frangipane

Extrait du journal de Frangipane, le Vendredi 30 juin 1465 :




De très bon matin, je suis partie en direction du marché. Je n'y vais que très, très rarement. Mais tandis que je me promenais dans l'air frais du matin, et que j'eus rapidement fait le tour du village, j'ai décidé d'y aller. Par chance, il y avait très peu de monde. J'ai suivi les étals, en questionnant chaque vendeur sur la marchandise, évitant ces imbéciles qui braillaient à s'en casser la voix (et à risquer de me faire perdre l'audition, qui m'est je l'avoue plus que nécessaire) dans le but de vendre leurs produits. Comme s'ils allaient attirer qui que ce soit en hurlant comme ça! Ils étaient déjà en train de ruiner l'humeur légère que j'avais avant d'entrer au marché. Heureusement que je ne m'y rend pas souvent. Je me suis arrêtée devant un étalage de vêtements. J'ai questionné le vendeur sur le prix de chacun d'eux, tout était trop cher sauf les chapeaux. Zut. Après tout, quand j'étais toute petite, j'avais un petit chapeau de paille. On me disait qu'il m'allait bien. Je l'ai perdu, depuis tout ce temps. J'ai goûté la texture de chacun d'eux, et puis je les ai tous essayés un par un, en demandant à chaque fois si la couleur m'allait bien. Il tentait de me décrire l'effet qu'elle avaient, bien que je n'avais pas la moindre idée de comment cela pouvait bien se faire, sans pouvoir y toucher. Le marron donnait un côté sobre, le cyan, original, le mauve, un peu plus doux, le rouge, un peu plus pétillant. Au bout d'un moment, il m'a claqué ce dernier dans les mains, quelque-peu en colère (je l'imaginais bien rouge, lui aussi), s'est emparé de mes 50 écus (qui constituaient tout de même les deux tiers de ce que j'avais) en me disant que celui-ci m'allait très bien, et j'ai déguerpi sans plus attendre, laissant derrière moi un vendeur d'humeur quelque peu ternie par l'interminable interrogatoire que je venais de lui faire subir. Bon, ben va pour le pétillant, que je marmonnais, l'air un peu renfrogné à la sortie du marché. Z'ont qu'à les manger, leurs chapeaux, s'ils sont pas contents. C'est ainsi que je suis ressortie du lieu, l'humeur joyeuse en moins, mais un joli chapeau rouge en plus.

Louise m'a dit que cela me donnait soi disant un air élégant, car assorti avec le noir de mes cheveux. Bon, ben je vais me contenter de la croire, puisque je n'ai pas vraiment idée de ce que cela peut bien donner, hé!

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Je ne suis peut-être pas voyante, mais je suis réceptive au présent, hé !
Demosthene
Ce matin Demosthene peinait à se lever de sa paillasse après avoir passé la majeure partie de la journée passée à L’œil du Faucon. En dépit du mal de tête il se leva avec quelques difficulté mais parvint finalement à atteindre la porte pour se diriger vers le marché afin de trouver du bon lait restaurateur d'humeur.

-Rah..... Quel sacrée mauvaise idée que d'avoir autant bu.. Sainte Boulasse m'a bien pris sous son aile. *hips* Mais si je suis dans cet état je n'imagine pas celui de la danseuse d'hier.
Demosthene arrivait au marché lorsqu'il s’aperçut que quelque chose avait changé...
*Mais..... Pourquoi autant d'animation ici?*
Intrigué, il demanda à un passant transportant des sacs biens pleins sur son épaule droite:
-Pourquoi autant de bruit, de passage et d'agitation dans ce marché aujourd'hui? D'où viennent tous ces sacs?
L'homme visiblement dérangé d'être interrompu s'efforça de formuler la réponse la plus courte possible:
-Bah le blé envahit les étales! Réveillez-vous!
Ces quelques mots énoncé le porteur continua son chemin à pas soutenu
*Il n'a pas tout à fait tort, j'ai déjà été plus frai que ça... Mais ce n'est pas une raison.*
Partout autour de lui les étales se remplissaient de sacs de blé, côtoyant les sacs de farine fraichement moulus. Les vendeurs se bousculaient pour aborder les clients matinaux.
Quelque peu ravi, Demosthene se rappela de la raison de sa venue et continua calmement jusqu'à trouver l'étalage de lait auquel il se rendait régulièrement.
C'est tout heureux de la vitalité du marché que Demosthene le quitta...... Pour le moment du moins
Stromboli


A VENDRE plusieurs objets :


- Un bouclier viking (400 écus)

- Un casque de garde (400 écus)

- Un hachoir de boucher (400 écus)

- Un masque de brigand (400 écus)


- Un décor au bateau pirate (400 écus)

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