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Info:
Nos voyageurs poursuivent leur route, et en profitent pour visiter la charmante et paisible abbaye de Tastevin. Alors que tout le monde dort, Frangipane entreprend une petite visite solitaire de la crypte.

[RP] La Crypte de la Chapelle

Rougepassion
Rouge avait finalement trouvé la crypte de l'abbaye. Vu que personne n'avait daigné lui répondre elle avait cherché par elle même. Elle avança d'un pas lent dans ce lieu, à l'air lourd. Elle regarda à droite puis à gauche. Il y avait là des gens dont les corps étaient exposés, comme celui de son père.

Elle avait conservé son voile noir sur ses cheveux, et était habillé de sombre, jour de deuil. C'est alors qu'elle vit le corps de son père. Elle s'approcha lentement, la tristesse l'envahit. Elle s'agenouilla devant le corps et joint les mains afin de prier.

Rouge se mit à repenser à tout les bons moments, les lettres de son père qui lui remontaient tant le moral. Lorqu'il demandait de ses nouvelles, lorsqu'il lui racontait un peu se qu'il devenait... Elle rouvrit les yeux, se releva et regarda le corps de son père. Elle laissa couler quelques larmes et resta là, à penser...
Dzimitri
Dzimitri entra une nouvelle fois dans la crypte et vit sa soeur Rougepassion devant le corps de son père. Il alla vite la prendre dans ses bras.
[/b]Dzimitri se mit debout à côté du corps de son défunt père et pria pour lui.

Repose en paix papa, nous t'aimions, nous t'aimons, nous t'aimerons !
Dzimitri
Un grand merci à messire Pouss31, pour les funérailles
Rougepassion
Rouge se blotti dans les bras de son frère pour se consoler. Elle se sentait si mal, mais elle savait qu'elle devait s'en remettre et avancer. Elle regarda alors le corps, le regard vide et pensive.
Walkaxia
Walkaxia arriva pour la première fois à l'Abbaye.
Elle vint se recueillir sur la tombe de son grand père, Dimanset.
Frangipane
Extrait du journal de Frang, le 01/07/1465 :



Nous sommes arrivés aujourd'hui à l'Abbaye du Tastevin. Le groupe s'est séparé, je suis à présent en compagnie de Dav, Isaiis, Louise, Gabrien et Pierre. Tandis que nous venions à peine d'arriver, mes compagnons sont partis se reposer de cette longue marche. Ne trouvant pas le sommeil, je me suis mise à faire le tour du village, agréablement surprise par son air paisible. Il faisait encore nuit, il semble donc que j'étais seule à errer en ces lieux. J'ai marché longtemps avant d'arriver par hasard devant ce qui me semblait être la chapelle. Je suis entrée sans bruit, et c'est en longeant les murs que je découvris des escaliers qui me menèrent à la crypte. J'ai aussitôt été saisie par la grandeur des lieux. Chaque son, allant du bruit de mes pas jusqu'à mon propre souffle, se propageait avec une amplitude impressionnante. Le tunnel me semblait, au vu du bruit, ne pas avoir de fin... J'imagine d'ailleurs que je devais être dans un noir total. J'avais l'impression, au fur et à mesure que j’avançais, que personne n'était venu ici depuis des années... Depuis même ceux qui y étaient enterrés, car mes doigts qui effleuraient la pierre froide m'informèrent vite du nombre très élevé de sarcophages qui y reposaient. Ce sont des lieux froids et figés, que les hommes choisissent pour leurs morts, me disais-je. Pour qu'ils règnent sur l'éternité... J'ai ainsi marché longtemps dans l'air frais et humide de la crypte, suivant les couloirs qui s'enchaînaient et qui se déviaient, sans même prêter attention au chemin que j'empruntais. A aucun moment je ne me suis arrêtée, pour prier ou me recueillir, comme devaient probablement le faire les personnes qui y entraient, si tant est que cela arrivait. J'avais simplement à l'esprit de m'imprégner des lieux, d'y errer pour goûter au silence des morts qui dormaient là depuis des siècles... J'avais le sentiment de passer ici tel un fantôme de plus au milieu de leur repos, qui ne s'entêtait plus à se compter en années. J'étais une ombre plus qu'éphémère, qui garda en elle un peu de ce silence qui s'imposait, tel un murmure, aussi insaisissable qu'intemporel... Lorsque j'ai quitté ces murs épais et froids, qui semblaient maintenir ce dit silence tel quel depuis toujours, l'aube pointait à peine. Le chant des oiseaux se faisait entendre, encore ensommeillé de cette courte nuit. J'étais heureuse de retrouver la vivacité de l'instant, dans la brise du matin qui commençait à émerger du calme nocturne.

_________________

Je ne suis peut-être pas voyante, mais je suis réceptive au présent, hé !
Rougepassion
Rouge avait finalement trouvé la crypte de l'abbaye. Vu que personne n'avait daigné lui répondre elle avait cherché par elle même. Elle avança d'un pas lent dans ce lieu, à l'air lourd. Elle regarda à droite puis à gauche. Il y avait là des gens dont les corps étaient exposés, comme celui de son père.

Elle avait conservé son voile noir sur ses cheveux, et était habillé de sombre, jour de deuil. C'est alors qu'elle vit le corps de son père. Elle s'approcha lentement, la tristesse l'envahit. Elle s'agenouilla devant le corps et joint les mains afin de prier.

Rouge se mit à repenser à tout les bons moments, les lettres de son père qui lui remontaient tant le moral. Lorqu'il demandait de ses nouvelles, lorsqu'il lui racontait un peu se qu'il devenait... Elle rouvrit les yeux, se releva et regarda le corps de son père. Elle laissa couler quelques larmes et resta là, à penser...
Dzimitri
Dzimitri entra une nouvelle fois dans la crypte et vit sa soeur Rougepassion devant le corps de son père. Il alla vite la prendre dans ses bras.
[/b]Dzimitri se mit debout à côté du corps de son défunt père et pria pour lui.

Repose en paix papa, nous t'aimions, nous t'aimons, nous t'aimerons !
Dzimitri
Un grand merci à messire Pouss31, pour les funérailles
Rougepassion
Rouge se blotti dans les bras de son frère pour se consoler. Elle se sentait si mal, mais elle savait qu'elle devait s'en remettre et avancer. Elle regarda alors le corps, le regard vide et pensive.
Walkaxia
Walkaxia arriva pour la première fois à l'Abbaye.
Elle vint se recueillir sur la tombe de son grand père, Dimanset.
Frangipane
Extrait du journal de Frang, le 01/07/1465 :



Nous sommes arrivés aujourd'hui à l'Abbaye du Tastevin. Le groupe s'est séparé, je suis à présent en compagnie de Dav, Isaiis, Louise, Gabrien et Pierre. Tandis que nous venions à peine d'arriver, mes compagnons sont partis se reposer de cette longue marche. Ne trouvant pas le sommeil, je me suis mise à faire le tour du village, agréablement surprise par son air paisible. Il faisait encore nuit, il semble donc que j'étais seule à errer en ces lieux. J'ai marché longtemps avant d'arriver par hasard devant ce qui me semblait être la chapelle. Je suis entrée sans bruit, et c'est en longeant les murs que je découvris des escaliers qui me menèrent à la crypte. J'ai aussitôt été saisie par la grandeur des lieux. Chaque son, allant du bruit de mes pas jusqu'à mon propre souffle, se propageait avec une amplitude impressionnante. Le tunnel me semblait, au vu du bruit, ne pas avoir de fin... J'imagine d'ailleurs que je devais être dans un noir total. J'avais l'impression, au fur et à mesure que j’avançais, que personne n'était venu ici depuis des années... Depuis même ceux qui y étaient enterrés, car mes doigts qui effleuraient la pierre froide m'informèrent vite du nombre très élevé de sarcophages qui y reposaient. Ce sont des lieux froids et figés, que les hommes choisissent pour leurs morts, me disais-je. Pour qu'ils règnent sur l'éternité... J'ai ainsi marché longtemps dans l'air frais et humide de la crypte, suivant les couloirs qui s'enchaînaient et qui se déviaient, sans même prêter attention au chemin que j'empruntais. A aucun moment je ne me suis arrêtée, pour prier ou me recueillir, comme devaient probablement le faire les personnes qui y entraient, si tant est que cela arrivait. J'avais simplement à l'esprit de m'imprégner des lieux, d'y errer pour goûter au silence des morts qui dormaient là depuis des siècles... J'avais le sentiment de passer ici tel un fantôme de plus au milieu de leur repos, qui ne s'entêtait plus à se compter en années. J'étais une ombre plus qu'éphémère, qui garda en elle un peu de ce silence qui s'imposait, tel un murmure, aussi insaisissable qu'intemporel... Lorsque j'ai quitté ces murs épais et froids, qui semblaient maintenir ce dit silence tel quel depuis toujours, l'aube pointait à peine. Le chant des oiseaux se faisait entendre, encore ensommeillé de cette courte nuit. J'étais heureuse de retrouver la vivacité de l'instant, dans la brise du matin qui commençait à émerger du calme nocturne.

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Je ne suis peut-être pas voyante, mais je suis réceptive au présent, hé !
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