Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >>

[RP]Mariage d'Asdrubal & Jenifaël"

Marta296
[ES]

Citation:


Salió apresurada al grito de

Miladyyyyyyy

que sonaba desde el pórtico. Soltó un bufido de resignación. Aquél bruto sin educación iba a acompañarla y no tenía más remedio que asimilarlo deprisa.

Esperaba que al menos le abriera la puerta del carruaje, mas el mozo la abrió, sí, solo para subirse de un salto y acomodarse en el asiento. Segundo bufido. Secre la ayudó a subir y sentarse mientras recriminaba a su hermano con la mirada. El carruaje se puso en movimiento al fin y Marta se dedicó a mirar por el ventanuco, tratando de ignorar a su acompañante. Algo que, por descontado, fue casi imposible. El muchacho no se estaba quieto y mucho menos callado. Preguntaba, se asomaba, y se tomaba unas confianzas que, desde luego, la Condesa no estaba acostumbrada a tolerar. Empezaba ya a pensar en dejarle tirado en la primera fonda cuando, sin darse cuenta, habían llegado a la puerta del templo. Al menos la había mantenido entretenida.


Llegamos tarde, le espetó, al entrar y darse cuenta de que tanto los invitados como los novios estaban ya dentro y en silencio.


[FR]

Citation:


Elle a quitté précipitamment quand il a entendu le cri de

Miladyyyyyyy

qui sonnait depuis le portique. Elle a lâché un mugissement de résignation. Celui-là bête sans éducation allait l'accompagner et assimiler vite n'avait de plus remède qu'il.

Elle espérait qu'au moins il ouvrait la porte de la voiture, plus le garçon l'a ouverte, oui, seulement pour monter d'un saut et s'installer dans le siège. Le deuxième mugissement. Secre a aidé à la monter et à s'asseoir tandis que, elle récriminait son frère avec le regard. La voiture s'est mise dans un mouvement à la fin et la Marta s'est occupée d'un regard par le ventanuco, en essayant d'ignorer son accompagnateur. Quelque chose qui, par déduit, a été presque impossible. On n'était pas le garçon tranquille et beaucoup moins silencieux. Il demandait, se montrait, et quelque confiance était prise que, bien sûr, la Comtesse n'était pas habituée à tolérer. Elle commençait déjà à penser lui laisser un tirage dans la première pension quand, sans se rendre compte, ils étaient arrivés au seuil du temple. Au moins il elle avait maintenu amusé.


Nous arrivons tard, elle l'a embronché, après être entré et après s'être rendu compte que invités et les fiancés étaient déjà à l'intérieur et en silence.

_________________
Temperance
[FR]

C'était la première fois de sa vie que Tempérance allait à une cérémonie accompagnée, et c'était par son futur époux. Sur son visage, on ne pouvait lire que la crainte de faire un faux pas. Cette première sortie officielle du couple princier pour les noces de Jenifael était chaotique. De tout le voyage, ils ne s'étaient pas dit un mot. D'ailleurs, ils avaient fait carrosses séparés, et la jeune princesse s'était retrouvée seule, avec des dames de la cour de son époux qu'elle ne connaissait pas et n'appréciait pas beaucoup.
C'était bien difficile d'être mariée à un si étrange homme que Charlemagne de Castelmaure. Depuis peu de jours qu'ils avaient convolé, elle pleurait chaque nuit, sans craindre toutefois que le prince vienne l'honorer : même le soir de leurs noces, elle était restée seule.

Elle tâchait de sourire en priant pour que le mariage de son amie très chère soit plus heureux que le sien.
En remontant la nef jusqu'à la place qui lui était dévolue, le couple hocha le tête en guise de salut, vers des visages exotiques et inconnus.


[ES]

Fue la primera vez en su vida que la templanza fue acompañado de una ceremonia, y fue por su futuro esposo. En su cara, se podía leer que el temor de un paso en falso. Esta primera pareja real oficial de la boda Jenifael era caótica. Todo el viaje, que no había dicho una palabra. Además, tenían carros separados, y la princesa se encontró sola con las damas de la corte de su marido que no sabía y no le gustó mucho.
Era difícil estar casada con un hombre extraño Carlomagno Castelmaure. Desde hace algunos días que tenían convolé, lloraba todas las noches, sin miedo, sin embargo, que el príncipe vienen a honrarlo: incluso la noche de bodas, la dejaron sola.

Ella trató de sonreír rezando para que la boda de su mejor amiga es más feliz que la de él.
Subiendo por el pasillo hasta el lugar que le fue asignado a la misma, la pareja negó con la cabeza, como una salvación, exóticas y caras desconocidas.

_________________
Mes RP itinérants – Parle un mélange de français malpropre, lyonnais et vivaro-alpin
Melissandre_malemort
Bien qu'un peu en retard et fort génée d'avoir mis tant de temps à faire la route, Mélissandre se présentait ce jour là discrètement. Elle ignorait si dans le protocole Castillans les princesses Françaises devaient se rendre sur les bancs du devant, aussi posa t'elle ses fesses sur le premier siège libre à sa porté, les joues un rien roses.

Voici que son amie contractait un mariage fort préstigieux, liant par là même deux nations par la voie ... De l'amour? Elle l'ignorait. Mais ils avaient bien belle allure et elle ne pu s'empécher de sentir les larmes lui monter aux yeux en la voyant ainsi, si belle dans sa robe de mariée et si fière au bras de son bel époux.




Citation:
Aunque un poco tarde y muy avergonzado de haber tomado tanto tiempo para hacer el viaje, Mélissandre surgió ese día en silencio. No sabía si el protocolo castellanos las princesas francesas iban a ir en los bancos en frente de, como usted dice en su culo el primer asiento libre en sus mejillas desgastadas un nada de color rosa.

Aquí su novia contrajo una carpeta de la boda de gran prestigio tanto a través de dos naciones. . . ¿Del amor? Ella no lo sabía. Pero tenían buena apariencia hermosa y ella no podía dejar de sentir las lágrimas en los ojos cuando el pozo, tan hermosa en su vestido de novia y orgulloso en los brazos de su marido hermosa.

_________________
Axel_baccard
[FR] Amère, la duchesse était amère.
Et elle avait décidé de râler. C'était puéril et inconvenant peut-être mais rien n'allait pouvoir lui arracher un sourire en ce jour -ci. Son visage d'albâtre demeurait donc de marbre (on a dit d'albâtre faudrait savoir... ) , et nul ne pourrait y lire quoi que ce soit sauf l'épousée elle-même probablement, puisqu'elle connaissait sa tante mieux que sa propre fille, Jénifael reconnaîtrait même éventuellement ses propres traits de boudeuse sur le visage fermé de celle qui si elle ne l'avait pas enfantée l'avait élevée comme son fruit.

Axel Baccard d'Irissarri pénétra donc dans l'édifice qu'elle refusait de nommer église ou cathédrale arborant une somptueuse toilette que Thibérian aurait sûrement trouvé trop bleue , mais puisqu'il n'était pas là le côté basque de la blonde reprenait le dessus et elle arborait ses propres couleurs. Jéni lui avait expressément demandé de ne pas porter sa luxueuse croix de Christos , alors elle avait accepté de mauvaise grâce certes mais elle avait accepté réservant toutefois un petite surprise à sa Réformée de nièce.





La dauphinoise s'était installée dans les travées et priait en son fort intérieur le Trés-Haut de lui pardonner d'assister à pareille chose et de bien sûr pardonner à Jéni de s'être égarée. Un haut le cœur lui vint quand elle aperçut le couple princier que formait Charlemagne et Tempérance, pauvre petite pensa-t-elle, elle ne méritait pas d'être sacrifiée sur l 'autel des mariages de façade. Ah si seulement Béatrice avait pu élever son fils...
Puis les futurs époux entrèrent, chacun y allant de son petit commentaire plus ou moins discret, de sa larme à l'oeil ou de son ébahissement. Axel quant à elle rumina qu'elle ne comprenait pas comment l'on pouvait se marier en chainse avec un homme portant robe de prélat. Bien sûr si ce jour-là , elle avait été plus objective , elle se serait extasiée elle aussi , sur la magnifique robe de Jénifael , sur la richesse des tissus et surtout sur la couronne d'Asdrubal. Mais son humeur étant à la bouderie et bien qu'elle eut reconnu la couronne comtale, elle ne put s'empêcher de maugréer que sa douce méritait mieux qu'un bourgeois réformé de Catalogne tout juste seigneur de bas étage.

La cérémonie commença enfin et la Précieuse se concentra pour tenter de comprendre les paroles de l'officiant, car son castillan était quelque peu rouillé.





[ESP] Acerbo era la duquesa.
Y se decidió a quejarse. Era pueril y quizá impropia pero nada le iba a romper una sonrisa en este día. El rostro de alabastro se mantuvo mármol (nos dijeron alabastro debe saber ...), y nadie podía leer nada, excepto la propia novia, probablemente, ya que su tía sabían mejor que su propia hija, Jénifael posiblemente incluso reconocer sus propias características de pucheros en la cara cerrada de la que, de no haber dado a luz había planteado como su fruta.

Por lo tanto, Axel Baccard de Irissarri entró en el edificio se negó a nombrar a la iglesia o catedral cuenta con un aseo suntuosa que Thibérian seguramente habría encontrado demasiado azul, pero ya que no era el lado Vasco de la rubia se llevó el superior y ella lucía sus propios colores. Jeni le había pedido expresamente que no use su lujosa Cruz de Christos, por lo que acordó de mala gana, pero sin duda ella había aceptado, pero reservada una pequeña sorpresa a su sobrina reformada.

La Dauphinoise se instaló en los pasillos y rezó en su fuerte dentro de la más alta a perdonar su asistencia a tal cosa y, por supuesto, Jeni perdona por haber perdido. El corazón de un alto nivel lo golpeó cuando vio a la pareja real que se formó Carlomagno y Tempérance, la pobre pensaba que no merecía ser sacrificado en el altar de bodas delanteros. Ah, si Beatrice podría criar a su hijo ...
A continuación, los novios entraron, cada uno de su pequeño comentario más o menos discreta, su lágrima en sus ojos o de su asombro. Axel por su parte reflexionó que no entendía cómo podríamos casarnos en camiseta bianca con un hombre con un vestido de un Padre. Por supuesto, si ese día hubiera sido más objetivo, que sería demasiado estático, en el hermoso vestido de Jénifael, en la riqueza de los tejidos y, especialmente, en la corona de Asdrúbal. Sin embargo, su estado de ánimo de ser de mal humor y, aunque había reconocido la corona, no pudo evitar quejarse su suave merecía algo mejor que un burgués catalán reformado acaba señor de piso bajo.

La ceremonia comenzó finalmente y el precioso concentrado en tratar de entender las palabras del oficiante, porque su español era un poco oxidado.

_________________

Béanours forever!
Francisca.


Había dudado durante mucho tiempo, pero finalmente se había decidido a asistir a la ceremonia. Por supuesto, la invitación no había llegado a su nombre, sino ligada a su cargo, cosa que le pareció de mal gusto pero muy propio del feliz novio. Vestida con sus mejores galas hizo entrada en el templo. Todos estaban en silencio, la ceremonia ya había comenzado, y la flamante pareja estaba prácticamente lista para unir sus vidas para siempre.

Para siempre no siempre es mucho tiempo, pensó la de Fortuna. Sonrió mirando a la novia, no había tenido la oportunidad de conocerla, apenas si había oído hablar de ella, pero había dejado su casa, su vida, para unirse a ese hombre. Miró al novio y recordó la última vez que sus caminos se cruzaron, en un campo de batalla. El odio visceral que había sentido por el conde poco a poco iba remitiendo, pues había demostrado ser tan rastrero y ladino como ella. Sin duda tenían mucho en común, quizá sería interesante hacer de él un buen aliado. O asestarle un último y pequeño golpe, el definitivo.

Aún de pie miró a su alrededor esperando ver en los últimos bancos a alguien conocido. La condesa de Medinaceli parecía ser de las últimas en llegar a juzgar por el sofoco aún latente en su rostro. Sonrió acercándose a ella y sentándose a su lado.

-Condesa, un placer. Hace mucho que no nos veíamos. -sonrió mirando de reojo a su acompañante con curiosidad -Eso me lo tenéis que explicar luego con detalle.




Il avait longtemps hésité, mais finalement il a été décidé d'assister à la cérémonie. Bien sûr, l'invitation n'a pas atteint son nom mais lié à son bureau, qui semblait de mauvais goût, mais très propre petit ami heureux. Vêtus de leurs plus beaux atours fait l'entrée dans le temple. Tous étaient silencieux, la cérémonie avait déjà commencé, et le tout nouveau couple était presque prêt à se joindre à leur vie à jamais.

Forever est pas toujours beaucoup de temps, il pensait à Fortuna. Il sourit à la mariée, je ne l'avais pas eu la chance de la rencontrer, avait à peine entendu parler d'elle, mais il avait quitté son domicile, sa vie, à se joindre à cet homme. Il regarda le marié et a rappelé la dernière fois que leurs chemins se sont croisés sur un champ de bataille. La haine viscérale qu'il avait ressenti pour le comte était disparaît peu à peu, il avait été si rampants et ladino comme elle. Certainement eu beaucoup en commun, il pourrait être intéressant de lui un bon allié faire. Ou frapper un petit coup dernière et la dernière.

il est toujours debout, il regarda autour attendant de voir dans les dernières banques à quelqu'un que vous connaissez. La comtesse de Medinaceli semblait être le dernier à arriver à en juger par le reste latent dans son rinçage du visage. Il sourit de son approche et était assis à côté d'elle.

-Comtesse, un plaisir. Longtemps pas voir. sourit en regardant son compagnon curieusement -Que je dois expliquer ensuite en détail.

_________________
Lazare_
Disculpad la tardanza



Lazare asintió.

La comunidad se regocija en vuestro amor, pues está escrito en las suras novena, décima y undécima del cuarto libro del Kitab al-Noor:

Es cierto que una cebolla basta para hacer llorar a la gente y que el Único no creó verdura alguna para hacer reír. En verdad os digo, la risa es propia del hombre y bien reirá el que muera riendo, ya que tendrá de alegría al Creador. Y a ti fiel que gustas de otro fiel a través de la pasión carnal. No olvides esto: los placeres del amor hacen olvidar el amor del placer. Y el Único así lo decidió: El placer es el soberano bien. Nos ayudará a huir del dolor. Y el Hombre a partir de su nacimiento estará en búsqueda del placer. Así lo quiso ya que es sabio y omnisciente.


Lazare hizo una breve pausa. Había dudado acerca de aquella cita concreta, pero finalmente se había decidido. Resultaba en cierto modo primaria, pero reconfortante.

Así, hermanos, dijo el Altísimo, a través del tercero de sus mensajeros, que los hombres están hechos para regocijarse en el placer que Él mismo creó, en el amor que el Todopoderoso hizo nacer entre esta pareja. Es este amor puro como sólo puede serlo la obra de Dios, y debéis, hermanos, disfrutarlo de hoy en adelante, pues esa es Su voluntad. Y, porque tenéis Fe y porque así disponéis, no temáis al entregaros: proceded.

Tocaba la ceremonia del vino, la capa y los votos, símbolos de fecundidad, prosperidad y mutua entrega ante el Todopoderoso y la Comunidad.

_________________
Asdrubal1
[ES]



Asdrubal escuchó las palabras de Lazare, evitando pensar demasiado en sus palabras, el matrimonio y el contacto carnal eran algo íntimamente relacionado, aquello no podía ser ignorado, sin embargo el de Olite había obviado aquello durante todo aquel tiempo, hasta que el buen gascón había decidido escoger aquella lectura, sólo en una cosa estaba de acuerdo, ninguna verdura había sido creada para hacer reir.

El momento más importante de la ceremonia había llegado, en él eran los contrayentes quienes adquirían el protagonismo en detrimento del oficiante, Jenifael tomó una copa que le fue ofrecida por Lazare, en la cual vertió vino, aquello era un símbolo, la copa representaba la fecundidad y la riqueza, ambas virtudes colmaban un matrimonio de alegría y felicidad y su ausencia causaba desdicha y desgracia. La francesa se aproximó al castellano a quien entregó la copa diciendo.-Yo, Jenifaël Luna de Castelnau-Montmiral, por el amor y el respeto que hacia vos siento, tomad de esta copa que os sirvo y de la cual yo también bebo, pues de ella nace la vida y con ella os hago promesa de servicio. Pido a los Tres su bendición.-Asdrubal bebió de la copa después de que Jenifael hiciera lo mismo, tras lo cual se volvió hacia Ivanne, quien había tomado en sus manos una capa con el blasón del de la Barca.

-Yo, Asdrubal de la Barca, por el amor y el respeto que os profeso, vestíos con la capa que os ofrezco y que una vez a mí me vistió, pues con ella fui protegido del desamparo del que ahora os quiero proteger yo. Pido a los Tres su bendición.-Cuando él terminó de hablar, puso la capa sobre los hombros de la Castelnau, y permaneció en silencio, era el turno de que intervinieran los testigos de ambos.


[FR]



Asdrubal a écouté les mots de Lazare, en évitant de penser trop en ses mots, le mariage et le contact charnel étaient quelque chose intimement en rapport, cela ne pouvait pas être ignoré, celui d'Olite avait obvié pendant tout ce temps, toutefois cela , jusqu'à ce que le bon gascón ait décidé de choisir cette lecture, seulement une chose il était d'accord, aucun légume avait été créé pour faire rire.

Le moment plus important que la cérémonie était arrivé, en lui étaient les contractants ceux qui acquéraient le protagonisme au détriment de l'officiant, Jenifael a pris une coupe lui on que a offerté par Lazare, dans lesquel elle a versé du vin, cela était un symbole, le coupe représentait la fécondité et la richesse, les deux vertus comblaient un mariage avec joie et bonheur et son absence causait la malheur. La française s'est approchée à castillan à auquel a livré la coupe en disant. - Moi, Jenifaël Luna de Castelnau-Montmiral, par l'amour et le respect qui vers vos conviens, prenez de ce coupe qui vous sers et de lequel je bois aussi, parce que d'elle naît la vie et avec elle vous je fais promesse de service. Demande aux Trois sa bénédiction. -Asdrubal a bu du coupe après que Jenifael ferait la même chose, après lequel il s'est retourné vers Ivanne, celui qui avait pris dans ses mains une cape avec le blason de celui de la Barca.

- Moi, Asdrubal de la Barca, par l'amour et le respect qui je vous professe, vestíos avec la cape qui je vous offre et qu'une fois que m'a habillée, parce qu'avec elle j'ai été protégé de l'abandon que maintenant je vos veux protéger. Demande aux Trois sa bénédiction. -Quand il a terminé de parler son mauvais français, il a mis la cape sur les épaules de la Castelnau, et est resté en silence, c'était le tour dont interviendraient les témoins.


Escrito por JD Jenifael y JD Asdrubal
Écrit par JD Jenifael et JD Asdrubal

_________________
Divlak



Tras un viaje de saltos dentro del carruaje, preguntas y más preguntas, el muchacho, que tenía a la condesa hecha una furia por dentro, bajó de un salto nada más notar que se detenían. Lejos de estar aburrido, se sentía bastante curioso, no solo por la ceremonia, sino por la gente que asistiría a la misma. Se imaginaba que las vestimentas serían igual de ridículas que las que él llevaba, o más. Ofreció su brazo a la condesa, que lo tomó a regañadientes, e inmediatamente entraron. Llegaban tarde.

No paró de echarle miraditas a su acompañante, por el puro placer que le daba verla resoplar y negar con la cabeza mientras iban a su sitio. Contenerse la risa le era casi misión imposible, los trajes de algunas personas parecían los de un buhonero bien aseado. Tras varios acercamientos peligrosos a la condesa para irritarla y darle algo de emoción al asunto, optó por sentarse a su lado, en silencio. Su mirada, lejos de clavarse en los novios, viajaba por los zapatos (los que se dejaban ver) de los asistentes -¿Esto es en serio?- pensó por la extravagancia de algunos calzados.

Dándole un par de codazos a la condesa -Pssss... oye ¿estos e han casad...? - Interrumpió su pregunta al ver a otra señora, con uno de los vestidos mas... ¿vistosos? ¿chistosos? de entre los asistentes, sentarse al otro lado de su acompañante. Viendo que intercambiaban palabras que no alcanzaba a oír, volvió a ensimismarse en los ropajes de la gente.


Lo que había que ver...
Ivanne


De una forma u otra, la tensión se palpaba en el ambiente. La de Nájera, como testigo por la parte del de Haro, se había mantenido en todo momento próxima a él, guardándole las espaldas y procurando asistirle en cuanto requiriese. Aquella era la primera vez, se podría decir, en que la Josselinière se hallaría en tales circunstancias, y lo más importante, sin rechistar.
Se mantuvo queda, añorando en cierta forma a su marido que se encontraba entre los invitados del novio, sentado en los bancos del templo; seguramente en actitud orante, se dijo, rogando por que el de la Barca tuviera más suerte que él. Pfff. Bufó, poniendo los ojos en blanco, lo que para el resto podría haberse relacionado con el discurso de Lazare d'Astarac acerca del amor de Dios y bla, bla, bla.

Por una vez, por una sola vez en toda su vida, había hecho oídos sordos a una ceremonia aristotélica reformada. Hacía un calor sofocante y apenas podía concentrarse en abanicarse sin pausas, haciendo que las joyas que llevaba por pendientes se balanceasen.
Cuando llegó el momento en que le preguntaron si había oído y entendido cuanto acontecía, como testigo del novio, la francesa simplemente recitó su frase, en la forma exacta en que tiempo atrás se la había aprendido.


Il est chaud, et c'est pour quoi l'attention d'Ivanne n'est pas là, avec les fiancés, donc elle n'écouta pas les mots de Lazare, mais lorsqu'il lui demande si elle a ecouté, comme témoin du marié, elle acquiesque, de façon que le mariage continue.

FRP: on sait déjà que personne a demandé en vrai à Ivanne, mais le fiancé m'a demandé de poster sinon je suis en risque imminent

_________________
Charlemagne_vf
Peu de temps après son propre mariage, célébré dans une pieuse discrétion, parce qu'il ne s'agissait pas d'une alliance proprement avantageuse, l'Aiglon dut subir son épouse jusqu'en Castille, pour assister à l'union de sa cousine et de l'un des meilleurs partis de la cour espagnole.
Charlemagne était satisfait de voir Jenifael mariée : en tant que chef de famille, il était normal de souhaiter à ses parentes de bonnes alliances, qui viendrait grossir le prestige du nom, la puissance de la maison. Du reste, comme la reine Béatrice en son temps avait voulu attacher la France avec la Castille, il semblait que la Maison de Castelmaure devait perpétuer cette entente. Ainsi accomplissaient-ils un devoir envers le royaume, encore que confidentiel, mais dont in petto, il pouvait s'enorgueillir.
Quoi qu'il n'aimât guère la jeune mariée, qui pourtant persistait à lui faire la chronique des affaires de la famille et de ses diverses branches, à lui envoyer des présents farfelus à chaque occasion, le prince avait été généreux avec elle. Il avait élevé sa dot, avait contracté quelque chose qui lui laissait une certaine liberté. En somme, il assurait pour elle un train digne du rang auquel elle allait pouvoir prétendre. De même qu'il avait assuré sa présentation à la cour de la reine Laure, il tenait à ce qu'elle fût en Castille parmi les grandes dames.
Pour cela, il avait consenti à se faire témoin du mariage. C'était étrange, cette union réformée, mais il n'en avait cure parce que depuis bien longtemps, la religion n'était pour lui qu'un apparat de plus.

Quand son tour vint de parler, il prit sa place, et énonça quelques mots en français, qu'on lui avait soufflé.


Je témoigne de ceci, que j'ai vu et entendu. Qu'il n'en soit jamais douté. Jugez, usez de mon témoignage pour que l'on ne s'oppose pas à cette union. Il a parlé. Elle l'a accepté.




Poco después de su propia boda, celebrada en la discreción piadosa, porque no era una alianza ventajosa en sí, el Aiglon tuvo que someterse a su esposa hasta Castilla para asistir a la unión de su primo y uno de los mejores partidos de la corte española.
Carlomagno se ha mostrado satisfecho de ver Jenifael novia: como cabeza de la familia, era natural para desear a sus buenas alianzas de padres que se hinchaba el prestigio del nombre, el poder de la casa. Por otra parte, como la reina Beatriz en su tiempo había querido amarrar Francia con Castilla, parecía que la casa era Castelmaure perpetuar este acuerdo. De este modo se logra un deber hacia el reino, aunque confidencial, pero en petto, se jactó.
De todos modos apenas amado la novia, que, sin embargo, persistió en hacer que la crónica de la empresa familiar y sus diversas ramas, para enviar lo presenta loco en cada oportunidad, el príncipe había sido generosa con ella. Se había levantado su dote, había contraído algo que le permitió cierta libertad. En resumen, se aseguró de que una parada de tren digna a la que tendría derecho. Tal como había asegurado a su presentación ante la corte de la reina Laura, que sostuvo que era en Castilla entre las grandes damas.
Para esto, él había dado su consentimiento para ser testigo de la boda. Era extraño, esta unión reformada, pero que no le importaba porque durante mucho tiempo, la religión era para él más que un ceremonial más.

Cuando llegó su turno para hablar, tomó su lugar, y se propuso algunas palabras en francés, que se había echado a perder.


que dan testimonio de esto, he visto y oído. Que no sea nunca puesta en duda. Juez prefiriendo mi testimonio de que no se opone a esta unión. Hablaba. Ella aceptó.

_________________
Asdrubal1
[ES]



El papel de los testigos en una boda era, cuanto menos, curioso, ellos daban fe de que lo que los futuros esposos decían era cierto... Es decir, como si la mera palabra de aquellos no bastara, o no fuera de fiar, ahora bien, teniendo en cuenta que los testigos solían ser amigos de los novios... No era probable que fueran a contradecirles. Claro que... Aquello bien podía ser un símbolo, una aceptación por parte de la sociedad del compromiso que se hacía público. Poco tiempo pudo Asdrubal seguir pensando en aquello, pues pronto hablaron tanto Charlemagne como Ivanne, los respectivos testigos de Jenifael y de él.

Una vez terminaron de hablar los dos testigos, los novios habían de representar la unión de sus respectivas propiedades.

- Por mi honor, os hago entrega de todos mis bienes, muebles e inmuebles, y las riquezas que lleven aparejadas.

Tras terminar de hablar, Asdrubal tomó una de las arras y se la entregó a Jenifael, aquella simple moneda abarcaba todo el patrimonio del castellano, sus títulos y posesiones


[FR]



Le papier des témoins dans la ceremonie du mariage était, tout au moins, curieux, ils faisaient foi que ce que les futurs conjoints disaient était certain… C'est-à-dire, comme si le simple mot de ceux-là ne suffisait pas, ou non hors d'avoir confiance, or, en en tenant compte du fait que les témoins étaient généralement amies des fiancés… Ce n'était pas probable qu'ils allaient contredire leur. C'est évident. Cela pouvait bien être un symbole, une acceptation par la société du compromis qui était rendu public. Peu de temps a pu Asdrubal continuer à penser cela, parce qu'ont parlé tôt tant Charlemagne comme Ivanne, les respectifs témoins de Jenifael et de lui.

Une fois ils ont terminé de parler les deux témoins, les fiancés devaient représenter l'union de leurs propriétés respectives.

- Par mon honneur, je vous fais livraison de tous mes biens, meubles et immeubles, et les richesses qu'ont unies.

Après avoir terminé de parler, Asdrubal il a pris une des arrhes et il l'a livrée à Jenifael, cette simple monnaie comprenait tout le patrimoine de le castillan, ses titres et possessions.

_________________
Jenifael..luna
    [FR]

    A son tour, la jeune fille fit de même. Prenant une pièce, la donnant à Asdrubal et récitant :

    "- Par mon honneur, je vous livre tous mes biens, meubles et propriété, et la richesse, que nous unissons. "

    Voilà, c'était fait et la Castelnau soupira.

    [ES]

    A su vuelta, la joven chica hizo lo mismo. Tomando una pieza(cuarto), consagrándosela a Asdrubal y recitador(solista):

    " - por mi honor, le entrego todos mis bienes, muebles y propiedad, y la riqueza, que unimos. "

    He aquí, fue hecho y Castelnau suspiró.

_________________
Lazare_


A Lazare aquella ceremonia se le estaba haciendo eterna, como si llevara meses oficiándola. Pero era una muestra de confianza y estima, y aquello le animaba.

Hermanos, Dios os ha bendecido con Su don más preciado, el Amor. Os pido que lo demostréis ante la Comunidad y que selléis con un beso vuestro amor ante los ojos de los hombres.

_________________
Jenifael..luna
    [FR]

    La cérémonie toucher à sa fin, restait toutefois, une dernière chose pour faire, le sceau de cette union, comme symbole de cela. Asdrubal s'approché vers lequel était déjà son conjoint et a déposé un baiser sur ses lèvres, après lequel il a été séparé, C'était fait.

    Elle soupira. Dans son oreille, la domestique avait traduit les propos, et alors, elle inspira, prenant son courage à deux mains, la moue boudeuse, alla trouver le lèvres du Castillan, pour le baiser, qui scellerais l'union.


    [ES]

    La ceremonia había concluido, quedaba sin embargo, una última cosa por hacer, el sello de aquella unión, como un símbolo de ella. Asdrubal se acercó hacia la que ya era su esposa y depositó un beso sobre sus labios, tras lo cual se separó, estaba hecho.

    Suspiró. En su oreja, la doméstica había traducido las intenciones(declaraciones), y entonces, inspiró, sacando fuerzas de flaqueza, el mohín picón, fue a encontrar labios del Castellano, para el beso, que sellaría la unión.


    écrit à deux mains avec JD Asdru !

_________________
Lazare_


Lazare alzó las manos.

¡Hermanos, aquí tenemos a dos buenos hijos de Dios que aceptan unirse! Y como esto a Dios le agrada, yo os bendigo en su nombre. Podéis marchar, con una nueva misión a vuestro recaudo, pues ahora de vosotros se requiere la creación de la vida, razón del consentimiento de esta unión. Consagráos así a los Tres y a Dios.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)