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[RP CULTE] Eglise Sainte-Epvres

Yameto
il vit du coin de l'œil Esmira qui lui fessait signe et qui sortie ,il finissait de répéter sa prier , puis il ce lève fit un geste de croix avec la main , puis il sortie


il s'approchât d'Esmira qui l'attendait

merci de m'avoir attendue , j'espert je n'ai pas été trop long . ca me ferait mal de t'avoir fait trop attendre .
que veux tu faire maintenant taverne , ou veux-tu que je te raccompagne chez toi?

il regarda Esmira en souriant
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Dem Besten verpflichtet : Le devoir d'excellence

Esmira
Comme on se sent bien et serein une fois son cœur et sa tête apaisés par la confession et les prières. Son acolyte se pointe dehors et demande s’il avait été trop long…

Trop long! Pas du tout mon ami! J’étais moi-même perdu dans mes pensées. Il est encore tôt! Et fais-moi plaisir… Ne t’excuse pas pour rien! Si je suis là à t’attendre, c’est que ça me fait plaisir…

Lui sourit et regarde vers l’horizon…
Que dirais-tu d’une balade au grand air dans le verger? Ça nous changerait des tavernes. Et puis il est sous-estimé ce verger! On peut y faire tellement de chose! Je suis certaine que tu ignore que l’on y trouve des balançoires accrochées aux arbres!

Le nargue du regard et sourit en coin
Le savais-tu brigadier?
Yameto
Yameto regarda Esmira d'un air étonner

des balançoire ? , non je ne pense pas en avoir vue , il faut dire que je travaille plutôt a la ville ,que au verger .


il regarda au loin

ba , ma foi ce serait quand même une bonne idée

il regard Esmira et lui sourit

mais attention a ne pas vous salir , Madames la tribun .
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Dem Besten verpflichtet : Le devoir d'excellence

Syndel
Fraichement arrivée depuis l'aube, Syndel se rendit à l'église afin de remercier le Seigneur pour son voayge sans encombre.

Elle mit un cierge davant la statue d'Aristote et resta un instant en prière.

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Sacré mélange de chouchen et de mirabelle !!
Servante du Trés Haut, Archidiacre de Toul.
Abondance.
Zahra venait de recevoir une missive, deux missives , tellement de missives, elle avait sombré dans la paperasse , esclave de ses fonctions, oubliant certaines choses plus importantes, plus vitale.

De tristes nouvelles, la mort de son chevalier, qu'elle avait abandonné et qu'il l'avait abandonné de manière définitif, la nouvelle plus que déprimante, dieu était en train de flirtait avec la vie de sa Sainte Vomitout, l'archidiacre Uriel venait de l'en informer, elle espérait que se soit une mauvaise plaisanterie du sort, la foudre ne frappe jamais la même cible pourtant des fois ça pouvait arriver.

Elle entre dans l'église, un noeud à l'estomac, trouvant soudain que Nancy lui était étroite, qu'elle aurait aimé volé au chevet de celle qui lui avait insuffler les paroles divines, celle qui avait été patiente lorsqu'elle était encore rempli d'hérésie, païenne à un point, de vouloir bruler les églises pour en faire des grandes tavernes dans les Royaumes, l'époque, où lorsqu'elle voyait un curé elle s'amusait à lui sauté dessus en haillons tenu légère juste pour voir s'il allait tenir le choque et rester "vertueux" jusqu'à la fin de ses tentatives de séductions, c'était celle avec qui elle partageait la même douleur : les maux d'estomac, la seule qui avait assez de classe pour vomir en pleine cérémonie quand les situations la dépassait, la seule avec qui elle pouvait faire des messes basses rempli de vacherie, puis aussi prendre de la graine de la noblesse, car avant d'avoir une couronne seigneuriale et le devoir de gérer un fief, la Zahra était une des gueuse des plus pathétique de Lorraine, celle qui cherchait toujours des noises aux nobliaux, celle qui disait "qu'ils sont laids avec leur couronnes ils nous sucent nos écus et notre bouffe", bref, la dame de Beaulieu avait changé avec le temps, son amitié pour la cardinale était inqualifiable, elle était fanatique, elle rêvait de faire d'elle "une sainte", faire de chaque partie de son corps des reliques à dispatcher dans tous les Royaumes afin que tout le monde reconnaissent sa grandeur à la Sainte Vomitout, la sainte Rousse; le seul hic, c'était que si elle voulait faire d'elle une sainte mais aussi faire de son corps des reliques, bien il fallait que son âme à la Cardinale Rousse passe de l'autre côté, rejoigne le bon dieu et les saints au Soleil paradisiaque, et ça, la Zahra elle se le refusait, namého le bon il pouvait se réconforter d'avoir Christos et Aristote avec lui, elle la Zahra se réconfortait en sachant qu'elle en avait une de sainte dans la Terre qui semblait être l'éclipse , un juste milieu entre l'enfer lunaire et ce soleil paradisiaque.

Le coeur rempli de tristesse, l'esprit embrumé par l'ivresse, elle s'agenouilla devant l'autel, puis se mit à penser à Son éminence Ecaterina, au chevalier Amyr une âme soeur qui s'en est allée.

Incapable de dire une prière, tellement elle n'arrivait pas à croire à ces nouvelles.

Elle baissa la tête songeuse, en mode méditation tranquille.

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Yameto
yameto entra dans l'église et s'agenouillât ,et joint ses main , et fit une long prier pour sa douce


une fois fini , il se leva et prit la direction de la porte
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Dem Besten verpflichtet : Le devoir d'excellence

Alba1
Alba sous un dimanche pluvieux, traversa le bourg, mais sans courir, un petit coucou de la main par ci un autre par là, en train de manger des mirabelles, la pluie les lavaient automatiquement.
elle s'approchait de l'église, elle vit ces marche, elle eu un moment d'hésitation devant, un petit frisson la parcourue.
étrange pensa t'elle, pourvu que je sois pas malade.
elle s’engouffra dans le bâtiment. se sécha rapidement, puis alla tirer les fameuses cloches



une fois l’appelle des paroissiens fait il fallait bien s'occuper de l'accueil de ces derniers.
elle couru à la sacristie, faillis bien tomber, car avec les chaussure mouillée, le sol était quelque peu glissant, enfila vite vite, l'habit qui semblait adéquat, puis vins enfin a sa place pour accueillir ces amis.





Bienvenue mes chers frères et sœurs en cette messe d'octobre, un mois magnifique ou les feuille commence a changer de couleur, ou la nature nous montre sa magnificence, ou la vie nous rappel le temporelle des choses matérielles.
Votre église, celle du très haut vous accueille les bras ouvert, en nous protégeant sous l'œil bienveillant de notre Seigneur, qui rappelons le :
Nous aime.
Alba1
en ces temps difficile point de pèlerins, non Nancy n'était pas une ville de passage, et les âmes tourmentés de ces habitants, du a cette alerte et aussi à la misère de cette ville, rendait le cœur d'Allba bien triste.
oui bien triste, mais elle avait du courage, il fallait qu'elle trouve des idées afin de venir en aide a ces concitoyens.

alors confessons nous, déjà moi, car nous sommes des pêcheurs.



et récitons maintenant la prière venu du très haut, symbole de notre croyance.


Alba1
comme dit nous allons ensemble commencer le livre des vertus.

Citation:
Livre de la Création
Chapitre I - « L’univers »



1 Au commencement, il n’y avait que Dieu.

2 Il n’y avait encore ni matière, ni énergie, ni mouvement. Il n’y avait même pas le vide, comme celui qui aujourd’hui sépare le monde des étoiles, car même le vide est quelque chose. Non, ce qui Le composait alors, c’était le Néant. Cela ne se définit pas comme l’absence de toute chose car, lorsque l’on dit de quelque chose qu’il est absent, nous avons conscience de la possibilité de son existence. Le Néant, c’est lorsque même l’idée de l’existence est impossible. Sauf pour Dieu.

3 Mais Dieu est supérieur à tout, y compris au Néant. Il n’a pas de commencement ni de fin. Il est donc l’Infini et l’Eternel. Il est l’Être Parfait, sur qui rien n’a de prise, rien ne peut agir, rien ne peut interférer. Il Lui suffit d’une simple pensée pour que quelque chose passe du Néant à l’Existence et d’une autre simple pensée pour que cela retourne de l’Existence au Néant. Tout Lui est donc possible et tout Lui doit donc son existence.

4 Dieu est la Matière Première à partir de laquelle tout est créé. La matière, l’énergie, le mouvement et le temps sont eux-mêmes composés de Lui. Ceci fait que tout ce qui existe, ainsi que le Néant lui-même, fait partie de Lui. Il est aussi le Créateur de toute chose. C’est Lui qui crée tout ce qui existe et lui donne sa forme et son contenu. Il est enfin le Très Haut, car Il est la cause même de l’existence de toute chose, y compris du Néant.

5 De ce fait, Dieu sait tout, car le savoir même fait partie de Lui, est créé par Lui et trouve sa cause en Lui. On dit ainsi qu’Il est omniscient. De plus, Il est partout car, aussi loin que l’on aille, on se trouve toujours en Lui. On le qualifie donc d’omniprésent. Enfin, Il peut agir partout car, étant partout et sachant tout, rien ne peut entraver Son action.

6 Dieu pensa et un point minuscule apparut. Ainsi, par la création de cet unique minuscule point, Il venait de faire disparaître le Néant. Dorénavant, Il serait composé de l’Existence et du vide, mais plus du Néant. Il décida de nommer ce point minuscule “univers” et le fit exploser en une myriade d’étoiles, qui vinrent peupler le vide. Jamais plus, elles ne cessèrent de resplendir au firmament céleste.

7 Alors Dieu créa les deux mouvements : les choses lourdes iraient vers le bas et les choses légères vers le haut. Il créa également les quatre éléments. Le plus lourd était la terre. Puis venaient l’eau, le vent et le feu. Il les disposa dans l’ordre hiérarchique de leur pesanteur. La terre se trouvait donc au centre. Elle fut recouverte par l’eau, elle-même recouverte par l’air. Enfin, le plus léger des éléments, le feu, vint couvrir le tout.

8 Cette boule de matière, Dieu la nomma Monde. Afin que mouvement se fasse, Il entreprit de défaire l’ordre hiérarchique des éléments. Il plaça le feu au centre de la terre et l’eau dans le ciel, au-dessus de l’air. Les éléments bougeaient, alternant ordre et désordre, retournant systématiquement du désordre à l’ordre. Dieu se plaisait à voir comment Sa création se mouvait pour correspondre à l’ordre hiérarchique de leur pesanteur.


Spyosu



Oui ne l'oublions pas tout vient du Très Haut.
Retenons qu'au debut il n'y avait rien, a part évidement notre Seigneur.
Qu'il a crée le Néant, puis l'existence ce qi a donné La matière, l’énergie, le mouvement et le temps.jusqu’à nous créer car dieu est omniscient, omniprésent, omnipotent , il est parfait.
Nous nous le sommes pas et devons tendre vers cette perfection en temps qu’aristotélicien.
Alba1
et maintenant partageons le pain et le vin dans l'amitié parfaite aristotélicienne.
Communion avec notre Seigneur, et disons lui merci de ce qu'il fait pour nous, et pour nos proches.


Uriel
"Fraîchement" - c'était de saison - arrivé aux abords de Nancy, Uriel contempla une fois de plus les cheminées fumantes de la capitale. Celles-ci laissaient échapper quelques volutes qui semblaient danser pour s'étirer et disparaître dans le ciel.
Il pénétrait lentement dans la ville encore toute endormie, mais déjà des flammes de bougies s'allumaient, ça et là, à la faveur du réveil des habitants.

Il n'était pas encore l'heure de se restaurer, bien que l'Archidiacre eût grand faim, mais l'on verrait cela plus tard.
Arrivé face à l'Eglise Saint-Epvre, il n'y entra pas de suite, contemplant le bâtiment ... que de souvenirs, quelques messes données ça et là, des baptêmes, faits avec ArtManiak, les rencontres avec Amazonne, les messes d'Alba, ... tous aujourd'hui, étaient partis, ils avaient rejoint le Très-Haut.
Quelle misère ...

    ... le vent de la mort, celui qui vous enlève les êtres chers un a un, éclaircissant autour de vous le cercle des vivants au fur et a mesure que la vieillesse attaque votre corps et affaiblit vos membres.


... cette pensée était bien souvent présente en son esprit, voyant ses amis tomber peu à peu ...
Dieu seul savait combien il devrait encore en perdre ...

Mais l'heure n'était pas à l'apitoiement, il se décida à entrer dans la vieille église, tout d'abord il se signa, récita une silencieuse prière et s'affaira afin d'y mettre un peu d'ordre, de ranger les bancs, de balayer, de remettre des cierges et de les allumer.
Puis il se posa quelques instants sur un banc, regardant à travers les vitraux le jour qui naissait.
Il ferait d'une pierre plusieurs coups : une messe pour les habitants, une ode pour son "Ama" et une touche plus joyeuse, le baptême d'Esmira.

Après bien des instants de contemplation, un rai de soleil vint enfin frapper le vitrail et il se décida à aller sonner les cloches.




Ding !! Dong !!! Ding ... Dong ... Dong !!!
Esmira
Levée tôt pour l’occasion, elle s’était préparée avec soin. Une robe toute simple de couleur écrue rehaussé à la taille d’une large bande azurée, compose l’essentiel de sa tenue. Ne pas s’attarder sur le contenant aujourd’hui mais bien sur le contenu…

La jeune femme, la semaine durant avait été en proie à bien des questionnements. La mort, les trahisons et les déceptions avaient engendré des pensées obscures, venues tutoyer son âme… Une lettre à Fiha, écrite d’une main qui tremble et scellée par les larmes, avait été envoyée. Il était arrivé aussitôt, venant désarmer la tristesse profonde qui planait tel un vautour autour de sa belle. La jeune femme avait maintenant retrouvé la joie et la sérénité qui d’ordinaire habitent son être… Un sourire tendre illumine son visage en pensant à son passionné et c'est dans un soupire de béatitude qu'elle murmure... Fiha, gardien de mon coeur et de ma raison... Comme je t'aime!


Ding !! Dong !!! Ding ... Dong ... Dong !!!

Les cloches de l’Église restées trop longtemps silencieuse font entendre leurs voix. On ajuste la cape, sous le menton, replace une mèche rebelle et hop! Direction l’Église St-Epvre.

Le soleil est bien présent et la fraicheur automnale vient rougir ses joues. Comme pour l’aider à avancer plus vite, une bourrasque de vent vient la pousser dans le dos défaisant par la même occasion, sa tignasse indomptable qui retrouve alors toute sa liberté sous les sourires d’abdications de la belle…

Devant ses yeux se dresse enfin le bâtiment…Longue et profonde inspiration, la jeune femme pousse les portes et y entre. L’odeur des cierges qui brulent invite au calme et au recueillement. Se signe et cherche du regard le frère Uriel…
Uriel
Debout dans le clocher, il s'amusa comme un petit fou à faire sonner la cloche, mettant au passage à mal ses tympans.
Les laissant finir leur mouvement et leur bruit, il se tourna pour contempler Nancy la belle, la capitale presque déserte de la Lorraine. Cela ne changeait pas. Il se rappela son premier voyage en la ville, plus d'un an et demi plus tôt et c'était toujours le même constat, sauf qu'il il y avait encore moins de monde ... comme dans les autres villes de Lorraine, d'ailleurs.

Un soupir, à nouveau, en mémoire des disparus.

Descendant l'escalier pour rejoindre l'intérieur de l'édifice, il arriva en bas de ceux-ci et découvrit une damoiselle : Esmira. Forcément, il l'avait vu à Trèves donc il n'eut pas de mal à l'identifier, d'autant plus qu'elle ressemblait très fortement à "son Ama". Un pincement de tristesse naquit dans son coeur, mais il n'en montra rien, accordant un sourire à la jeune fille.


Le bon jour, damoiselle. Vous voici donc première arrivée ?
Esmira
Un sourire en amène un autre, petite inclinaison de la tête pour le saluer. Les mirettes curieuses observent le visage d’Uriel… On peut lire la bonté, la patience et le calme. Les trois ingrédients nécessaires pour mettre en confiance la jeune femme qui cesse dare-dare de froisser nerveusement les tissus de sa robe pour aller lui faire une bise chaleureuse, sans se soucier des convenances…
"Déjà que la froidure est au portes, on ne va pas la laisser gagner les cœurs!" Disait sœur Eugénie qui avait la réputation d’étouffer de baisers tout le monde! Notre damoiselle quand à elle, était bien maladroite pour ce genre de chose et ne récoltait pas qui veut, les dites marques d’affection!


Bienvenue mon frère et merci de votre déplacement!
Lui sourit doucement, regarde autour d’eux, hausse les épaules et lui fait un clin d’œil amusé…
Je suis effectivement la première. Espérons toutefois que je ne sois pas la seule! Ce serait là fort embêtant… Nous faut au moins le parrain!

Tant qu’à attendre…Aussi bien de papoter et d’apprendre à connaitre celui qui tire des sourires malicieux et tendres à la fois du visage de Fiha…
Vous avez fait bonne route j’espère?
Uriel
Uriel fut un peu surpris de recevoir une marque d'affection de cette jeune fille qu'il connaissait à peine ; il y répondit bien entendu, mais lui-même ne s'occupait pas trop des convenances, tout Duc, Ambassadeur ou "Monseigneur" qu'il était, de toutes façons, il était bien souvent le premier à les briser, hurlant des les réceptions, dansant ou riant à tue-tête.

Je vous remercie et suis ravi de revoir la ville de Nancy. Il y a quelque temps que je n'étais plus venu.
Il n'y a pas à me remercier, cele me permet de faire un petit tour du diocèse, pour une fois.

Oui ... espérons que mon excellent ami ne se fera point trop désirer, mais bon personnellement je ne suis pas pressé et peut rester quelques jours en la capitale.


Et bien, papotons, pourquoi pas, de toutes façons c'était bien là la meilleure manière pour connaître les paroissiens et être à leur service.

Oui de fait, mon voyage s'est très bien passé, je vous remercie. J'avais pris la peine de contacter Prom' - le Colonel Promether - afin de lui signaler ma venue et éviter qu'un de ses soldats ne me colle une baffe à la faveur de la nuit.
J'étais à Vaudemont hier, ainsi la route ne fut pas trop longue ...

Et vous ? Prête pour l'entrée dans la Foi ?
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