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[RP CULTE] Eglise Sainte-Epvres

Uriel
Dernier jour à Nancy pour l'Archidiacre. Celui-ci était tout bronzé du fait d'avoir travaillé comme maçon chez Hathor puis chez Loverboys. Évidemment, il ne s'était pas privé de taquiner Yarwelh sur ses biceps - n'osant parler à vrai dire de ses pectoraux.
Il était maintenant temps de regagner Epinal ...

Pénétrant dans l’Église, il profita un peu de la fraîcheur du lieu, et dit quelques prières silencieuses pour son épouse, ses soeurs et ses amis, mais aussi pour Spectralya, une grande dame qui avait quitté cette terre pour un royaume meilleur ...

Il récita alors une prière pour les voyageurs :


Vobis viatoribus benedico ut nihil malum vobis fiat atque Summus qui omnia potest rebus adversis vos tueatur. Res sine nomine qui homines excruciat alio oculos vertat. Homines quibus occurristis generosi bonique in vos sint atque quae habent vobiscum communicant ad itineris beneficium. Aristoteles vobis auxiliat, Christus vos ducat, Summus omnia cui necesse sit provideat. Amen

... et en latin, s'il vous plait !
Bettine


Selenice venait de quitter la taverne en trombe les larmes glissaient sur ses joues rosies et c'est une petite fille bien triste qui rejoignit l'Église pour s'agenouiller devant l'autel.

- Maman !! Maman !! t'es là dis !! Maman z'ai besoin de toi !! tu me manques ma maman ! ze veux que tu me fasses un calin et puis qu'on zou à zat perssé ! ze veux qu'on aille à la pesse nous aussi, oh ma maman ze veux que tu 'eviennes.

La petite suppliait sa mère mais elle était persuadée que si elle ne demandait pas à Dieu, elle n'aurait rien alors elle continua

- Zeigneur tout puissant que z'aime..tu pou'ais donner à maman l'auto'isation de viend'e un peu vers moi ?

Elle regarda l'autel comme si Il était là

- Ze te p'omets qu'on ze'a bien zazes et qu'elle reviend'a fai'e dodo ve's toi quand la nuit elle se'a tombée, hein dis tu veux bien ?

La tête posée contre la marche, les mains en avant comme si elle attendait que sa mère les lui prenne, Sélénice ferma les yeux, une profonde entaille dans son cœur d'enfant venait de s'ouvrir..ce ne serait pas la dernière.
Elina
C'est une Selenice vexé qui claqua bruyamment la porte de la taverne. Voyant la petite au bord des larmes, Hellina ne put la laisser partir comme cela, elle s'en voudrait trop. Elle s'excusa donc auprès de sa soeur et Duke, et partit à la suite de la jeune enfant.
Elle suivit la petite mais fut surprise de la voir prendre le chemin inverse que celui de leur maison. Elle pressa le pas inquiète elle voyez au tremblement ses petites épaules, qu'elle étaient en larme.
Elle n'eut pas le temps de la rattraper qu'elle la vit se stopper devant l'église avant d'y pénétrer. Marquant un temps d’arrêt sur le perron de l'église la brune prit une grande inspiration, depuis l'enterrement de Méliadus, elle avait bien du mal à entrer dans une église.... Mais elle devait le faire c'était pour Selenice....
Entrant, elle aperçut directement une petite silhouette agenouille devant l'autel, secoué par de long sanglot. Elle en eut le coeur serré, elle avança sans bruit, entendent les paroles suppliantes de l'enfants.
Devant ses paroles enfantines elle en eut les larmes aux yeux. Si sélenice était dans cet état c'était sa faute à elle, elle avait voulue gentiment taquiner la fillette, mais elle avait prit la mouche, ce qui est normal lorsque l'on à cinq ans! A la seule pensée qu'elle avait rendue cet enfant qu'elle aimé tant si malheureuse, ses larmes coula le long de ses joues sans qu'elle cherche à les essuyer, elle s'en voulut terriblement.
Elle s'agenouilla derrière elle, et la prit tendrement dans ses bras, la forçant à rester contre elle, la serrant tellement qu'elle aurait put l'étouffer, mais il fallait qu'elle console la petite, lui montrer qu'elle l'aimait et qu'elle s'en voulait. Elle resta un moment silencieuse berçant la fillette dans ses bras lui caressant doucement les cheveux, pleurant avec elle.


Selenice, ma petite puce, mon rayon de soleil, pardonne moi, je t'ai blessé je le sais, je m'en veux terriblement. Ta maman te manque je le comprends tu sais, mais j'essaie de faire de mon mieux, pour te changer les idées, te protéger, te faire garder ton si beau sourire et aujourd'hui j'ai échoué, et je ne me le pardonne pas. Car vois tu je me suis promis de tout faire pour te rendre heureuse, ton bonheur passe avant tout maintenant. Je t'aime beaucoup Sélenice tu sais et je ne supporte pas de te voir si malheureuse....

Après ses paroles qui lui venait du font du coeur, elle relâcha son étreinte, et se mit à son tour à genoux devant l'autel. Fermant les yeux, elle se mit à prier, demande en premier pardon au très haut pour toute les fautes qu'elle avait commise. Elle pria ensuite pour tous les gens qu'elle aimait, lui demandant de veiller sur eux.
Sa dernière pensée fut pour la douce Mary, la maman de Sélenice, et son cher Méliadus, deux personnes si cherre qui lui manquait terriblement. Tous les deux de façon différente avaient remplit son coeur de joie et d'amour. Penser à eux lui donnait à chaque fois assez de force pour continuer à se battre contre les coups du sort....


Une fois sa sérénité revenue, elle se releva caressant la joue de Selenice.

Tu veux rentrer avec moi ma puce? où tu préfère rester encore prier pour ta maman?
Bettine


Perdue dans ses sanglots, elle n'entendit pas sa tante puis, lorsque celle-ci la prit dans ses bras, elle tenta de se débattre pour finalement se laisser faire.

Elle n'avait plus sa maman, mais elle avait sa tatie qui prenait soin d'elle et qui l'aimait.

Elle se tourna et prit sa tante par le cou. Il n'y avait pas besoin de mots, juste des sentiments qui pouvaient se lire dans ses yeux.

Elle regarda sa tante prier, s'agenouillant à ses cotés, joignant ses mains puis lorsque celle-ci lui demanda si elle voulait prier elle glissa sa main dans sienne sans rien dire de plus. Se relevant elle aida sa tante à faire de même.

- on 'entre à la maison tatie ? je vas te fai'e à manzer pou' toi et bébé


Et la petite afficha un large et magnifique sourire.

Les larmes avaient quitté ses yeux mais en partant elle glissa son regard sur la croix, espérant de tout coeur qu'Il entendrait sa prière.
Ellebasi
[06 Novembre 1459, Nancy]

Profitant des lueur du matin et se rendit pour ca premiere messe à l'église un peu anxieuse .

Enfin, l'Abbesse ouvrir les portes de la l'église, se signa, remonta l'allée centrale dans le plus grand silence et s'agenouilla face à l'autel, priant pour ses enfants et pour ses fidèles. .
Puis, me rendit dans la sacristie pour revêtir ses atours d'abbesse .




Dong ... ! Dong ... ! Dong ... !

La diaconesse alla à la rencontre de ses fidèles et amie et les inviter à entrer dans l'Église.
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Majoie
Ça faisait un bail qu'on avait entendu les cloches raisonner à Nancy et c'est avec joie que je me présentais à l'Église pour y écouter la première messe de son amie Ellebasi.

Elle entra et se signa puis repéra une place où elle entendrait bien et serait à l'aise puis attendit le début de la célébration...
Satineduval
La vagabonde entendit les cloches sonner dans le village, la messe était annoncée... Satine laissa tomber sa bêche, remis un peu d'ordre dans ses vêtements puis se dirigea d'un pas rapide vers l'église.

Sa marraine allait conduire sa première messe et la noiraude ne voulait pas manquer cet événement qui tenait tant à coeur à Ella. Assurément, celle-ci devait être bien anxieuse devant la tâche qui l'attendait, mais Satine ne doutait pas un seul instant des capacités de sa marraine à maîtriser ses émotions et accomplir son office avec calme et sérénité, du moins en apparence ! Ella possédait le don de l'écoute et du conseil, elle rassurait les gens par ses mots réconfortants et ses encouragements, mais elle savait aussi secouer le prunier quand il fallait... Satine était convaincue que les paroissiens gagnaient une personne de qualité pour les aider dans leurs vies quotidiennes.

Satine entra dans l'église et se glissa sur un banc non loin de la sortie comme à son habitude. Elle joignit les mains tranquillement sur ses genoux et fit un petit signe de tête à Majoie qui se trouvait quelques bancs plus loin.
Lavania
Lavania se mets à courir.

Voilà un moment que les cloches ont sonné! Et elle avait promis à Ellebasi de se rendre à la messe, et là elle était en retard.

C'est donc un tantinet essoufflée que la jeune femme se présenta à l'église, saluant les gens présent.

Bonjour Ellebasi, pardon de mon retard, dit-elle en entrant, prenant place.
Ellebasi
Ella fut heureuse de voir venir ses amies et la famille venir pour ma premiere messe

Bienvenu à vous mes Frères et mes Soeurs, dans la maison du Très-Haut.
C'est toujours avec un plaisir que je vous accueillerais ici, pour partager cette instant tous ensemble.[/b[b]]Commençons par réciter le Credo tous ensemble, dans l'amour de tous et de Dieu
.



La diaconesse commença à réciter le credo émue comme à chaque fois mais aujourd'huit plus que les autre jour puisse ce que pour la premiere fois d'officier
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Rosana45
Rosana avait reprit le beau sourire quui lui réchauffait le coeur depuis qu elle avait posé le pied en Lorraine. La Lorraine , duché de sa naissance , ou elle avait retrouvé son frère et ses soeurs ..... ou elle avait tant d amis , ou elle avait connu son époux et ou elle avait eu son fils ainsi ou elle avait adopté ses autres enfants de coeur....... et ou elle avait connu les plus beau jours et les pires de sa vie .....comme la mort de sa famille , la rupture avec son mari et l annulation de mariage . Elle soupira en repensant a tout cela .
D'un pas alerte elle se dirigea à l'église . Quand elle franchi la lourde porte, la sereinité vint la saisir, tout était calme .

Rosa vint se placer face à l'autel, s'agenouilla et récita le Credo en fermant les yeux


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Rosa continua a prier pour tout ceux qu elle aimait , ainsi que pour tous les innocents .........

Elle se signa , puis ouvrit les yeux et se releva pour aller s assoir au fond de la grande salle .

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Signature trop haute.
Une admin forum
Martin_tamarre
Monseigneur Martin_Tamarre avait décidé de faire un messe dans l'église de Nancy en l'absence de la Soeur Ellebasi. Après avoir tout préparé correctement, il ouvrit en grand les portes de l'église pour faire entrer la lumière du jour.

Il se plaça sur le parvis pour accueillir les fidèles et faire rententir les cloches dans tout Nancy.





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Martin Tamarre
Temudjin_cardofer
Plus par curiosité que par convictionnTem saluant l'eclesiastique devant la porte et entra se receuillir un insttant dans la maison de tous
pour ce faire il s'installa sur un banc et contempla l'envirronement lui qui n'avait plus salué le tout puissant lui en voulant toujours de ses deboires avec ses representants terrestre
mais bon c'est une autre histoire pour l'instant il se receuilli et demanda la paix interieure au tout puissant
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Martin_tamarre
Monseigneur Martin_Tamarre remarqua ne pas attirer les foules mais un fidèle avait fait le déplacement et il était heureux de ne pas être seul pour cet office.

Il le salua donc à son entrée et ferma derrière lui les portes de l'église, pour commencer. Il traversa ensuite l'allée pour rejoindre l'autel.

Bonjour et bienvenue en l'Eglise Sainte-Epvres de Nancy. Je me présente, si vous ne me connaissez pas encore. Je suis Monseigneur Martin_Tamarre de Nivellus, votre nouvel Evêque de Toul.
Je viens d'arriver, il y a quelques jours, dans votre Diocèse et je vais faire le tour des paroisses de l'Evêché régulièrement. Donc vous me verrez souvent parcourir le sol de cette église.


Pour commencer cette messe, je vous invite à prier et à demander pardon pour nos péchés.

Il leva les bras vers les fidèles pour leur indiquer de se lever pour prier ensemble.





Maintenant que nos âmes sont plus légères, récitons ensemble le Credo.


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Martin Tamarre
Martin_tamarre
Les messes dans les paroisses se succédaient mais ne se ressemblaient pas. Il pouvait passer d'une église avec de nombreux fidèles à une autre avec quasiment personne.
Après le Credo, il décida de lire un passage bien précis du Livre des Vertus qui était de circonstance.




Mes enfants, je vais vous lire maintenant un extrait du Livre des Vertus. Plus précisément, le chapitre 3 de la Pré-Histoire.

Citation:
Livre des Vertus --- Livre 1 : Le mythe Aristotélicien --- La Pré-Histoire --- Chapitre III --- « L'acédie ».

La société des hommes et des femmes était belle et raffinée.

Ainsi, ils apprirent à produire du vin à partir du raisin, après de longues années passées à tenter de saisir les subtilités de l’affinement d’une telle boisson. Ils découvrirent également comment brasser la bière à partir de l’orge et du houblon. Pour cela, ils inventèrent des fours à la taille impressionnante. Ils durent apprendre à travailler de concert afin d’arriver à de tels résultats. Mais aucun ne doutait que le jeu en valait la chandelle.

De plus, les arts et les sciences furent alors conçues pour les élever encore plus vers Dieu. Ils apprirent à composer de la musique, les chants devenant de plus en plus beaux et les instruments qui les accompagnaient de mieux en mieux conçus. Ils découvrirent les plantes qui soignaient les plaies et les maladies, afin que leur santé serve à glorifier le Très Haut plus longtemps. Ils inventèrent l’écriture, qui leur permit de conserver tout leur savoir pour les générations à venir.

Dieu était satisfait. Ses enfants se sublimaient dans la place qu’Il leur avait donnée. Mais Il savait que ce beau printemps allait voir les fleurs de la vertu se faner. Car la Créature Sans Nom ruminait encore et toujours sa rage et sa colère. Tapie dans l’ombre, elle attendait le moment propice pour prouver au Très Haut que la réponse qu’avait donnée Oane n’était pas la bonne. Elle persistait dans l’erreur, niant la force de l’amour et s’entêtant à concevoir la domination du faible par le fort comme le sens de la vie.

Mais toutes les inventions que les humains avaient créées rendaient leur labeur moins dur. Ils avaient de moins en moins de travail à faire et de plus en plus de fruits à récolter. Là où auparavant, il leur fallait un mois pour récolter du blé, il ne leur en fallait plus désormais que le tiers. Alors qu’ils ne pêchaient auparavant qu’un poisson tous les deux jours, ils en avaient dorénavant un par jour, parfois deux. Là où ils leur fallait jadis travailler chaque jour pour cultiver des légumes, il ne leur restait plus désormais qu’à récolter.

Et la principale des sciences n’existait pas encore. La théologie était inconnue de ces humains. N’ayant pas de clercs, il n’y avait encore personne pour se consacrer entièrement à Dieu. N’ayant pas de texte sacré, il n’y avait rien à étudier. La foi humaine était brute, en cela qu’elle n’avait pas encore d’intermédiaire. Mais cette apparente pureté de leur amour pour Dieu était justement ce qui allait les conduire à leur perte.

Les humains se laissèrent griser par la douceur de leur vie. Elle leur semblait si douce et si agréable qu’ils ne comprenaient plus l’intérêt de consacrer leur vie au travail. Chaque plaisir leur donnait l’occasion de négliger leur labeur. Ils aimaient le monde, mais ils l’aimaient pour lui-même, pas parce que Dieu leur avait donné, par amour pour eux. Ils se détournaient peu à peu de l’amour de Dieu.

Le premier péché fut ainsi involontairement découvert par les humains. Elle porta plus tard le nom d’acédie. Celle-ci consistait à se détourner de l’amour divin, de s’abandonner à la vie matérielle en négligeant la vie spirituelle, de se préoccuper de l’instant sans garder à l’esprit ce pour quoi Dieu nous avait conçus. Elle allait amener aux autres péchés, conduisant ainsi les humains à leur perte. Elle atteignit son comble lorsque le dimanche ne fut plus occupé à la prière, mais à la paresse.


Cette dernière phrase prend tout son sens ici. "Elle atteignit son comble lorsque le dimanche ne fut plus occupé à la prière, mais à la paresse." Je vois bien que c'est quelque part le cas ici. J'espère que cette église sera très vite remplie dans les prochains offices et que c'est le froid de l'hiver qui a empêché les fidèles de se déplacer aujourd'hui. Bien que moi et vous, avons réussi à venir.

Maintenant, je vous invite à venir partager ensemble le pain et le vin, symbole de l’amitié Aristotélicienne.
Prions ensemble au moment de ce partage, prions le Seigneur pour ses biens faits, pour son amour et sa grande générosité.


Il prit alors la corbeille de pain, en arracha un morceau qu'il mangea et prit également une gorgée de vin.
Il s'avança ensuite devant l'autel pour que les fidèles puissent venir communier à leur tour.



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Martin Tamarre
Martin_tamarre
Monseigneur Martin_Tamarre soupira de ne voir que quelques rares fidèles venir communier avec lui. Il se demanda alors s'il y avait réellement des fidèles dans cette paroisse... Chose qu'il faudra qu'il vérifie dans les registres du Diocèse.
Pour terminer l'office, il se plaça derrière l'autel, face à l'assemblée.


Mes enfants, je suis très déçu d'avoir vu si peu de monde à ma première messe ici. Je vais parcourir les quatres paroisses du Diocèse et je serai très vite de retour ici. En espérant, qu'à mon prochain passage, vous serez plus nombreux pour prier dans la maison du Très-Haut.

Il leva alors les bras en direction des fidèles.

Que les paroles de Christos et Aristote vous accompagnent et vous guident.

Que le Très-Haut vous protège ! Allez en paix !


Il passa ensuite dans l'allée et se plaça sur le parvis de l'église pour sonner la fin de l'office et saluer les fidèles qui étaient présents à ce dernier.
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Martin Tamarre
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