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[RP CULTE] Eglise Sainte-Epvres

Reki_de_grimaud
Il avait repris sa place pour suivre l reste de la messe quand il entendit dans le fond de l'Eglise le fameux Scapin qu'on voyait partout.
Il se dirigea vers lui.


Vous ne respectez donc rien et nulle part. Laissez votre arme à l'extérieur si vous voulez prier, sinon attendez dehors, c'est pas la foire ici.

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Scapin
Surpris de voir le Père arriver.

Heureux de vous voir mon Père il semble que la Romanitude se soit développée depuis quelques temps.
Baissant doucement la tête en respect
Respecter dîtes vous, ... heu oui j'ai frappé avant d'entrer

Quand à laisser mon arme ?
Cela est certainement une rigolade je me suis pas déplacé jusque en la capitale que pour la laisser.

Secouant doucement la tête
Puis regardant derrière comme pour voir si personne ne l'écoutait
Savez vous mon Père que la ville est menacée ?
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Reki_de_grimaud
L'écoutant l'air surpris

Appelez moi Frère, je ne suis que diacre et vous me dites?

Savez vous mon Père que la ville est menacée ?

Ha bon, non je ne savais pas, mais vous me semblez outillé pour défendre déjà notre chère Eglise, en ce cas gardez votre arme, elle vous sera utile si jamais le clergé était menacé.

Nous allons prier pour les nancéens en ce cas, car savez-vous que le clergé à moins d'être dans une garde épiscopale n'a pas le droit de se battre. Mais ne vous en faites pas, je suis de tout coeur avec vous, il me serait désagréable que notre bonne ville tombasse.

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Scapin
Frère Père Sœur Mère pour lui cela était le même mais bon il semblait que la convenance que Frère soit de rigueur. Les paroles amis étant bien dépassé depuis longtemps

Frère alors comme vous dîtes.
Léger froncement du front.
Les représentant de Rome peuvent maintenant batailler quand ils sont dans la garde Episcopale ?
Il me semblait que cela n'était nullement possible. Mais juste accompagner que pour apporter aide aux malheureux de la bataille.

Enfin soit le Droit Canon à certainement évolué tout comme la Lorraine.
Des prêtres qui peuvent frapper .. étrange


Puis posant son postérieur sur les marches
Au moins voilà un accord qui me semble correcte. Vous priez pour les Nancéens et moi j'empêche les inconnus de rentrer.
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Reki_de_grimaud
Rhola il avait encore mélangé le Reki,

Je parlais d'un ordre au service de l'Eglise, désolé de vous avoir induit en erreur.

Puis comme il faisait une chameur atroce à l'extérieur, il préférait de loin retourner parmi les fidèles, néanmoins

Je puis vous offrir de l'eau mon frère pendant cette attente?
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Scapin
Baissant doucement la tête en entendant les paroles du Frère

Oui volontiers pour un gobelet d'eau
Puis sortant une bouteille de sa besace
De l'absinthe que pour diluer l'eau
Cela vous dit il avant de retourner à l'office?

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Reki_de_grimaud
Ce dimanche n'était pas commun, la bataille avait fait rage, Nancy était bien agitée depuis quelques jours. De nombreux lorrains de toutes villes étaient arrivés et les armées impériales aussi.
Malgré toute cette agitation il fit sonner les cloches, la messe aurait lieu et elle serait ouverte à tous.


Dong... Dong.... Dong.... Dong....

Soldats, civils y seraient les bienvenus. Les portes grandes ouvertes, il attendit pour accueillir les premiers fidèles désireux de confier leur âme et leur destin à Dieu
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Dacien_de_chenot
Une fois encore la mort n'avait pas voulu de lui. Non pas qu'il l'espérait de ses vœux, mais ayant choisi le métier des armes, il se savait plus exposé qu'un autre et la regardait la tête haute, un léger sourire aux lèvres comme pour la provoquer à accepter une union macabre.
La camarde avait-elle décidé de jouer avec lui ? Avait-elle compris qu'elle n'aurait qu'un doigt à tendre pour que le jeu cesse définitivement car il n'était pas de ceux qui se relèvent en hurlant 'même pas mal' quand une armée leur est passée dessus. Ceux-là simulent la peur mais n'ont plus même leur vie à perdre.
Ainsi donc ce ne serait pas pour ce jour d'hui.
Le Ténébreux n'avait pas dormi. Lorsque la bataille s'était calmée et qu'ordre de repli avait sonné, il s'était alors inquiété de ses frères, retournant chaque cadavre le cœur serré d'y reconnaitre un visage. Arès avait été grièvement blessé mais il ignorait encore où il avait été conduit afin d'y être soigné.
Les cloches de la cathédrale mirent fin à ses macabres recherches. Le temps d'une toilette sommaire à même un abreuvoir, sa lame dissimulée sous le mantel d'or à l'aigle de sable, il traversa le parvis.
Et, lui qui n'entrait plus dans une église depuis longtemps, en ce triste dimanche, ploya le genou au centre de la nef. Humble parmi les humbles, la dernière barrière protectrice tomba.

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Audric
Sans armure, sans colère, sans arme, le Chevalier s'était déplacé aux premiers sons des imposantes cloches de fonte. S'était dimanche, s'était le temps des annonces où on libérait son fiel et sa rage. Pourtant, ce jour était celui du repos qu'offrait la trêve, s'était le temps de la messe et de la réunion des Aristotéliciens et des autres s'ils le souhaitaient. Tout guerrier que nous sommes, nous observons le respect du Tout-Haut et recherchons dans les églises la tranquillité de la communion.

Ici, il n'y a pas d'ennemi, pas d’adversaire, il n'y a de forme de combat, que celles livrés contre son mal intérieur, introspection poussant à la réflexion. Entrant dans l'église, il se signa d'une croix après avoir lavé ses mains. Purgé toutes formes de violence pour redevenir le plus simple des hommes, sans gloire, ni bravoure, juste ce qu'il faut d'honneur pour respecter le silence, jusqu'aux derniers sons des cloches. Il prit place, quelque part dans l'édifice, un banc sur lequel il vînt se poser, joignant ses mains, dans l'attente que débute la messe.

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Alenya
Alenya s'engouffra dans l'église par cette journée sombre mais pourtant sa joie était visible.
Elle avait survécu à la nuit, elle n'avait rien aussi il était normal de venir se recueillir dans ce lieu saint et de remercier pour cette journée ou elle avait pu voir encore le soleil se lever.


Elle resta debout en arrière mais son regard se perdit dans le calme du lieu; il était étrange d'entrer un tel lieu de paix après cette nuit ou chacun avait eu le désir de tuer l'autre... Cela la troublait, mais son âme avait besoin d'un endroit paisible comme celui-ci.

Elle se mit a observer quelques personnes et elle put lire sur leur visage la même joie qui l'habitait; la vie continuait pour plusieurs et ils tenaient à rendre grâce pour cet état. Oui elle pouvait l'affirmer sans crainte elle se sentait bien , une partie d'elle revenait vers la vie. Les siens en haut attendraient encore quelques temps, ce n'était pas son heure.
Jean_quiquengrogne
Wilhelmina est près de son frère en cet instant. C'est étrange, mais la mort d'Ada, sa jument, la rapproche de lui. Elle est donc là, a attendre que la messe commence. Elle regarde tous ceux de l'Ordre qui sont venus en paix à cette messe.

En attendant, elle prie pour tous ceux qui sont en guerre, pour les paysans, les artisans, les autres et pour les combattants... Elle prie pour qu'un jour, les obstinés écoutent, que les ennemis se parlent, que les conflits cessent, que les frères retrouvent un jour leurs repères communs, leurs familles...
Scapin
Essuyant son armure tout en se dirigeant vers l'édifice.
Regardant les quelques marchands encore présent .
La ville avait bien changée depuis sa dernière venue.
Ne portant nul jugement mais juste là que pour assurer l'ordre après les combats de cette nuit ou par chance il en était sorti sans égratignure.

Combats qui ne pourraient que reprendre certainement dans quelques heures.

Se posant droit comme un cierge sur les marches regardant les Nancéiens arriver.
La main posée sur le haut de son épée et prêt en en découdre avec tous ceux qui viendraient de manière belliqueuse.
la faim le tiraillait aussi de puis cette nuit, il n'avait pas encore mangé.

N'ayant pas eu le temps celui-ci ayant été consacrée à rassembler les morts

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Idril_de_sparte
Cela faisait bizarre à la rondouillarde de se retrouver à Nancy.
Quoi qu'il puisse se passer, à ses yeux la Lorraine restait attaché à une partie de sa vie.

Pénétrant dans l'église, elle fit une génuflexion et se signa avant de prendre place sur un banc et de s'accorder quelques instant de prière avant le début de la messe.

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E_d_acoma_de_chenot
Le frère Reki avait demandé s'il était judicieux de faire une messe ce dimanche, juste après la première bataille. Il en allait de soi et les chevaliers présents à ce moment avaient tous approuvé.

Le Grand Maitre suivait de peu ses Lames. A l’entrée de l’édifice, elle tiqua sur la physionomie d'un homme. Après quelques secondes, elle le reconnu : c’était cet être un peu simplet qu'elle avait croisé un jour dans les couloirs du château de Nancy où il passait la serpillère. Elle hésita à lui jeter quelques pièces, mais elle le ferait plutôt à la fin de la messe si il était encore dans les parages. Le don aux pauvres était toujours une bonne action.

Elle alla se placer près des autres, les saluant d'un petit signe à chacun et sourit en voyant Alenya en un seul morceau. Retirant ses gants, elle les déposa sur le banc près d'elle et attendit que la messe commence.

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Liamkorrigan

Liam pénétra dans l'édifice, le soleil levant traversait les vitraux pour venir éclairer l'autel, d'une lumière qu'on pourrait croire divine .
De nombreuses personnes étaient déjà présentes dont bon nombre de ses frères et sœurs.
Il était harassé d'avoir du courir après certains défenseurs sans pouvoir les rattraper et d'une humeur d'ours.
Mais il était soulagé de n'avoir pas eu à combattre contre une certaine personne. Le destin lui avait sourit cette nuit.
Ces pas résonnèrent sur le pavé et certaines têtes se tournèrent vers lui.
Il les salua d'un sourire et fit un signe discret à Alenya signifiant qu'il était heureux de la savoir indemne.
Il prit place à proximité de ses frères et sœurs d'armes et médita sur les voies offertes par le destin.

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