Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 53, 54, 55, ..., 63, 64, 65   >   >>

[RP CULTE] Eglise Sainte-Epvres

Simeon.charles
Les cloches sonnantes et non trébuchantes attirèrent l'huguenot pétulant et chevauchant l'équin fringant. Ni une ni deux, il fit faire trois pas à sa monture voire ce que traficotaient les hommes en bures.
Bien que le sabot venait de fouler le sol de l'église, il ne vit pas de bure, mais des B.U.R.N.E.S de Bouillon,
[Pas du bouillon de burnes] à savoir des membres du parti politique le plus couillu de Toulouse dont les membres venaient à grand flux de Bouillon ou des prisons.
Cette crème de la crème n'était pas la seule à s'agiter puisque routiers aristotéliciens, huguenots gascons et hommes d'arme de France étaient en train de célébrer une bien drôle de messe.


Bonjorn ! Dit-il mettant pied à terre avant de rentrer pleinement le cheval dans l'édifice.
Puis au Banneret à la moustache :


Messire chevalier, vous vous occupez de la lecture ?

Oui il n'avait pas remarqué les protestations.
_________________
Waldemar.
Salut aux joueurs réformés qui ont un peu connu Waldemar !





Combien de temps cela faisait-il pour Waldemar de ne pas s'être rendu dans une contrée francophone ? Lui-même l'ignorait, il venait de perdre la notion du temps depuis qu'il avait quitté la diaspora des réformés en employant le ton de l'imprécation, en prophétisant la consomption future de la Réforme à ne pas vouloir s'ériger en Eglise... Il avait échoué, à plus d'un titre d'ailleurs, à son édification, même si l'un de ses rares hauts faits fut d'organiser le premier Synode des réformés à Nîmes, bien que manifestement il ait s'agit du premier et de l'unique en son genre.

Il avait l'orgueil de croire d'avoir tenté de réunifier la Réforme jusqu'à son faîte, lorsqu'il parvint à faire se rencontrer les réformés français et helvétiques. Mais hélas les choses ne s'étaient pas passées comme il l'avait espéré, la Réforme ne voulait pas se réformer et Waldemar ne le tolérait pas. Il avait donc décidé de partir, de renouer avec ses lointaines origines danoises à défaut de vouloir rentrer à Sion, sa patrie natale.

Comment avait-il occupé ses instants au cours de sa renonciation et de son exil? Il s'était employé à la méditation, à l'ermitage, mais il avait continué à répandre les préceptes de la Réforme au Septentrion, jusqu'à Hjørring où il fut arrêté par les flots du vaste détroit du Skagerrak. Depuis lors il marchait jusqu'au sud, en contrées germanophones, où plus d'une fois il fut chassé à coup de savate si ce n'est à coup de "au bûcher !", par chance le valaisan n'avait pas perdu son instinct de survie en sachant fuir quand il fallait fuir.

Il filait au sud, sa barbe commençait à lui gratter affreusement tant elle devenait imposante, ses vêtements qu'il n'avait pas changés depuis son départ de la Diaspora commençaient à se déchirer, le seul objet de valeur qu'il conservait précieusement c'était sa croix de réformée. Et alors qu'il continuait à errer, il se rendit compte soudain que les bonnes gens ne parlaient plus allemand, mais français.


- Holà gaillard, où sommes nó? Quelle nation?

Dit Waldemar à un paysan occupé, ce dernier étant quelque peu surpris par le drôle accent du Suisse.

- Lorraine. Ejecta-t-il avec la suspicion que nourrit l'autochtone à l'égard de l'étranger.

Vint alors la cité de Nancy. Le seul souvenir qu'avait Waldemar de la Lorraine fut le moment où il dut s'y rendre pour d'éparses raisons et où il fit la rencontre de l'empereur en devenir Ludwig von Frayner, l'ennemi juré de tout suisse qui se respecte. Alors qu'il se remémorait cet instant, il entendit les cloches de l'église sonner. Le devoir divin le rappela alors, les papistes faisaient légion dans les environs, aussi il se hâta sur le parvis de l'église avant d'y entrer, se préparant à déclamer la vérité universelle de la Réforme et de l'hérésie romaine, en pensant bien entendu au coup de latte qu'il se prendrait une fois ses propos énoncés.

Entrant avec fracas dans l'édifice, il se mit à hurler:


- Honte ! Honte à Rome qui...

Il cessa net, l'office n'était pas célébré par un romain mais c'était le sieur Volkmar qui se trouvait derrière le lutrin, il ne le connaissait pas autant que d'autres réformés comme Maleus, mais ils avaient déjà échangés à la Diaspora.

Waldemar, totalement éberlué par la présence d'autres croix aux Ichtus fit quelques pas, pantois, avant de constater que l'église était bien remplie... de réformés. Quoi ? En Lorraine ? Terre ennemie ? Waldemar était vraiment resté bien longtemps hors du monde.

Se rendant compte de sa bourde, il balbutia.


- Oh... je... Bondzô mes frères, je... Je suis désolé... J'ai perturbé la lecture... Je... vais m'asseoir.

Aussitôt dit, aussitôt fait, il préféra s'asseoir rapidement, Waldemar avait beaucoup prêché, à lui d'entendre un prêche.
Basile
A l'arrivé de deux autres réformés, ce fut de trop pour le romain. Continuant à obstruer l'entré de son corps avec l'aide du combattant au sandwich de porc, il avançait derechef repoussant quiconque tentait de pénétrer dans l'église sans devoir passer sur son corps. Nénamoins quand un cheval – un cheval ! - se mis à entrer à son tour, il ne pu retenir un coup violent lancé en direction du réformé le plus proche pour le faire reculer hors du lieu.

    «  Des chevaux, après des ânes de la Réforme, vous voilà à amener vos compères. Hors d'ici, où Nancy s'abreuvera de votre immonde sang d'impie créature démoniaques. »


Il avançait a grande enjambé, poussant et forçant à reculer, de tel manière que si on ne l'en empêchait pas il aurait mis sur le parvis les derniers réformés. Une fois hors de l'enceinte sacré, ce serait avec épées et haches qu'il mènerait la suite de l'affaire.

    « Boutons les hors d'ici, et s'ils rechignent nous tuerons tout ceux dehors. Je crois que les réformés ont pris de trop grande liberté ces dernières années à trop de tolérance française, il est grand temps de leur rappeler que nous ne faisons que tolérer leur immonde présence et certainement pas dans nos églises. »
Reki_de_grimaud
Une fois de plus ces gens n'avaient aucun respect et s'appropriaient ce qu'il ne leur appartenait pas mais soit, traversant l'église il s'en fut lire une déclaration de notre évêque.

Citation:



A TOUS LES LORRAINS


      L’Église a perdu une bataille !
      Mais l’Église n'a pas perdu la guerre !


    Des gouvernants de rencontre ont pu capituler, cédant à la panique, oubliant la Sainte Foi, livrant le Duché à l'hérésie. Des armées hérétiques étrangères ont actuellement prit le chemin de la Lorraine à l'appel de réformés au pouvoir. Ces dernières sont en route pour profaner la cathédrale de Toul en y plaçant à sa tête un de leurs suppôts prétendument réformés. Ce sont les fondements de notre Foy, qui après la profanation de Nancy, sont jetés à bas si ces derniers parviennent à leur vil objectif.

    Cependant rien n'est perdu !

    Rien n'est perdu parce que c'est Dieu qui est partout avec nous, et Sa Sainte Église est mondiale. Dans l'univers aristotélicien, des forces immenses n'ont pas encore donné.
    Un jour, ces forces écraseront l'ennemi hérétique. Il faut que la Lorraine, ce jours-là soit présente à la victoire ! Alors, elle retrouvera sa liberté, sa grandeur et sa Foi. Tel est mon but, mon seul but !

    Voilà pourquoi je convie tous les fidèles lorrains, où qu'ils se trouvent, à s'unir à moi dans l'action, dans le sacrifice et dans l’espérance ! Que tous les lorrains aristotéliciens, fidèles à leur conviction et à leur Foi, attachés à la sauvegarde de l'Institution de Dieu sur Terre me contactent et prennent ce jour la route de Toul pour venir défendre les remparts et la Maison du Seigneur

    Nous ne sommes pas isolés ! Nous ne sommes pas seuls ! Déjà des renforts ont prit la route pour nous rejoindre, acceptant de se détourner de leur but initial pour nous soutenir contre ces noirs desseins.

    Quoi qu'il arrive, la flamme de la Résistance aristotélicienne ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas. Nous ne laisserons pas fouler aux pieds la terre de Lorraine et les lieux saints de ses habitants dont nous avons la charge devant Dieu et devant vous seuls. Nous serons toujours le rempart protecteur de votre Foy et tous ensemble nous préserverons l’Église lorraine de nos ancêtres et de nos générations à venir.

    Demain, comme aujourd'hui, je célébrerai la Messe à Toul et vous accueillerait pour qu'ensemble nous ne laissions point l'hérésie distiller les paroles de la créature Sans-Nom aux oreilles de notre peuple.


    L’Église en Lorraine est en péril de mort.
    Luttons tous pour la sauver !


VIVE LA LORRAINE ARISTOTELICIENNE !


Arnarion de Valyria
Aristotélicien lorrain, Evêque de Lorraine


_________________
Elisabeth_stilton
Et les choses s'enchainent ... D'abord un valet ...

Vous venez d'où vous ? Je ne reconnais pas vos couleurs.

Puis le Pelamourgue.

Ah ba quand on parle du loup. Vous laissez n'importe qui porter vos armes vous ? Quand à ma présence elle est simple je reviens du palais de justice et j'habite à Nancy c'est donc tout à faire logique que je passe là. Par contre vous.

Forcément le Saint Just ... La blonde n'avait pas vu ceux qui étaient à l'intérieur ni tout ce qui s'était passé avant mais elle entendit parler de lecture dans un lieu papiste et ça ... Bah elle n'eut pas le temps de réagir qu'elle vit un des romains traites, toutou couard de l'évêque de Toul rentrer dans le lieu saint. La blonde le suivit pour savoir ce qu'il allait dire et par la même occasion vit Volkmar dans l'église en compagnie d'autres. Elle secoua la tête assez fâchée et finie complètement étonnée à la lecture de l'annonce.

Ah on a demandé à prendre l'évêché. Je suis membre du conseil et je l'apprends à l'instant. Décidément il devient sénile l'évêque de Toul.

Balayant cette ineptie de la main.

Sinon je peux savoir comment vous osez faire une lecture dans une église papiste ? C'est une honte ? Depuis quand la réforme fait comme cela ?
Une lecture ça se fait en plein ciel, sous une tente éventuellement si les conditions climatiques ne le permette pas.
En tout cas je ne participerais pas à cette mascarade et merci de venir semé le bazar dans une ville où il n'y avait pas de soucis avec la réforme.
Merci messieurs, vous allez repartir mais c'est nous qui allons devoir gérer les pots cassés et les horreurs qu'on peut entendre dans des annonces romaines.
Bientôt on va entendre que les reformés mangent les enfants. Vous êtes fiers de vous j'espère !
Sur ce j'ai un délinquant héraldique à sermonner moi.

_________________
Reki_de_grimaud
Se faufilant à l'arrière, il fit sonner les cloches à toutes volées, saluant les impériaux entrés en ville tôt ce matin.
Il était temps que son église retrouve son berger et que la réforme aille voirs ailleurs si un autre batiment lui conviendrait mieux.


S'accrochant à la corde il les fit sonner à toutes volées.

Dong... Dong.... Dong.... Dong....
_________________
Elisabeth_stilton
Hein mais c'est quoi ce bazar ?

La blonde se demandait qui faisait sonner les cloches ainsi alors qu'ils n'avaient même pas fini de régler les choses. Comme si ça allait faire avancer l'histoire.
_________________
Adalbert

Ce matin, bien qu'il fasse froid et qu'il ait du boulot par dessus la tête, Adalbert sort de chez lui bien emmitouflé pour se rendre à la chapelle de la ville. L'évêque ne va pas tarder à venir dire la messe, il faut qu'il prépare les lieux. Les portes grandes ouvertes malgré le froid pour aérer, il dispose des cierge autour de l'autel pour donner un peu de lumière et tenter de combattre les nuages gris qui peuplent le ciel de Nancy. Après avoir passé un coup de balai rapide, il rabat les battants de la porte et aménage un braséro au milieu de l'allée pour que les fidèles n'attrapent pas froid.


Voilà, tout est prêt.
_________________
Arnarion
Il faisait froid ce matin. L'Evêque, déjà levé à son habitude depuis fort longtemps, avait célébré ses heures canoniques. L'heure était désormais venue de se préparer pour aller officier la messe dominicale.

Une église vide était toujours triste. Une église sans son pasteur était encore plus triste. Le diacre de Nancy étant indisponible ce jour, aussi il prit à coeur de le remplacer lui-même. Tout en chemin, il se dit qu'il aurait ainsi le plaisir de rencontrer les habitants de la capitale lorraine, lui qui voulait venir y célébrer la messe depuis quelques temps déjà.

Il arriva sur le parvis de cette église de Saint-Epvres, et ne pu s'empêcher de songer aux souffrances qu'elle avait pu subir par la profanation honteuse d'une bande de réformés ... Il se maudit intérieurement de n'avoir pu être là à temps pour les empêcher d'entrer. Mais enfin, aujourd'hui, la messe est célébrée de nouveau. L'office sera enfin rempli.

Il monta les marches quatre à quatre et tomba sur Adalbert. Il lui sourit.
Bonjour, mon frère, comment vas-tu ? ...oh, je vois que tout est prêt. Bien, bien, nous allons pouvoir commencer. Tu peux sonner les cloches, le temps que je me vêtisse ?

Il alla se débarasser de son cape de laine qu'il mettait depuis peu par-dessus sa soutane noire et revêti sa paramentique. C'est ainsi vêtu, mitre sur la tête et crosse en main, qu'il sortit sur le parvis afin d'accueillir les fidèles.
_________________
Adalbert
Bonjour Monseigneur, merci de vous êtes déplacé pour la messe.

Il se dirige vers le clocher.

Je vais aller
sonner les cloches pour appeler les nancéiens.
_________________
Victoriabella
Installée dans sa barque depuis le petit matin perdue dans ses pensées de ce qu'elle avait vu le jour d'avant à Toul, un marché des plu triste, qu'on lui a vendu 6 petits stères de bois en prétextant qu'il y avait plu de stock en maire ou presque plu. Un long soupir en pensant à tout ça et Bella entendit les cloches sonnées à toute volées. Elle en réfléchit pas si elle devait ou pas se rendre à l'office chez Victoria 'est naturel d'assister à la messe du dimanche qu'elle soit à Toul ou à Nancy.
Elle ramène sa barque sur la berge du lac, en descend et l'attache à un pieux et se dirige vers l' Eglise de Nancy tout en défroissant sa robe et un petit coup de main pour remettre ses cheveux en place, replace bien son Hermine sur son épaule cette petite bestiole ne la quitte plus jamais. En quelque minutes elle était prête à franchir les marches du lieu, elle vit Monseigneur sur le parvis a accueillir les fidèles, elle se demandait si elle ne passerait pas par la petite porte sur le coté mais il était trop tard, alors elle monte les marches et le salue.


Bonjour Monseigneur.

Elle continue d'avancer, entre dans le lieu saint, un sourire à Adalbert, elle le salue Bonjour Adalbert Puis, s'avance dans l'allée, se signe un genoux à terre et va prendre place prés d'un pilier un peu à l'écart de tous ceux qui arriverait et prie seule le temps que l'office commence.
Rosealine
C'est chaudement vêtue que Rose Abigail se rendit à l'église de Nancy.
Elle se dirigea discrètement jusqu'à un banc, adressant au passage un sourire à ceux qu'elle connaissait.

_________________
Arnarion
Il sourit tour à tour aux deux paroissiennes qui venaient à l'office dominical malgré le froid du matin lorrain. Il connaissait la première, il l'avait croisé beaucoup de fois à Toul et elle était venue de nombreuses fois lorsqu'il avait appellé au rassemblement aristotélicien.

Bonjour, ma fille. Comment vous sentez-vous ? Entrez vite avant d'attraper froid.

Il fit un discret signe du chef à celle qu'il ne connaissait pas encore. Bonjour, enchanté de vous connaître. Entrez, entrez.

Puis il resta là à attendre un peu encore.
_________________
Maevha

Maevha s'était préparée afin d'assister à la messe dominicale.


Mamour, tu es prêt? On y va


Ils partent tous les 2 et arrivent sur le devant de la cathédrale


Bonjour Monseigneur

Puis ils entrent et vont s'assoir attendant le debut de l'office

_________________
Mael_de_grimaud
Mamour était toujours prête à suivre sa douce, en plus pour la messe dominicale qu'il ne raterait pour rien au monde. Tout deux avaient été baptisé sous le regard du Très-Haut puis mariés dans l'été et ce qui ne gâchait rien un tout petit eux grandissait en Maevha. Il prend sa douce par la main et prennent tout deux et demi la direction de l'église. Monseigneur était déjà là, Ada aussi.

Bonjour Monseigneur, comment allez vous?

Maevha et Maël entent dans l'église, se signe et vont prendre place sur un banc. Le jeune homme remonte bien la cape de son épouse et cachant son ventre en dessous, faudrait pas qu'elle prenne froid.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 53, 54, 55, ..., 63, 64, 65   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)