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[RP CULTE] Eglise Sainte-Epvres

La.resquille
Du coin de l’œil il s'assure de ne pas faire le voyage seul vers la sacristie et affiche un sourire satisfait lorqu'elle lui emboite le pas. Sourire qu'il effacera prudemment avant qu'elle ne puisse le voir car, même s'il ne la connait pas, il a déjà évalué son sale caractère. Et s'il s'en fiche de cette fille, étant raide dingue de la Suzel, il doit bien s'avouer qu'elle lui plait bien avec son air de celui à qui on a becqué le repas et même celui de la veille ! Aimable comme une grille de geôle et pourtant elle l'intrigue.
La porte de la sacristie s'ouvre sans le moindre grincement.
Sur une table les restes d'un repas.

- Faut croire qu'il avait faim l'curé ! L'a rien laissé ! Qui donne aux pauvres prête à Christos qu'il disait, tu parles ! Charité bien coordonnée commence par soit même oui !


Coordonnée, ordonnée... Il n'était pas à ça près, plus préoccupé qu'il était à tenter d'ouvrir une armoire d'Aubazine à pentures et clous de fer forgé dont les serrures les séparaient du Saint-Graal.

- Tu vois c'est là qu'il planqu'sa piquette.

Il tira une lime fine de sa poche et commença à travailler la serrure.

- Pi... pourquoi qu'tu dis des menteries ? J'les connais les soldats et t'en es pas. Allez, dis voir un nom ? Et j'suis pas un malhardi ! J'ai b'soin d'personne pour botter l'cul des malfaisants même quand c'est l'duc barbot !

Bon là il en faisait un peu trop car même s'il n'hésitait jamais à ramener sa gouaille face au duc félon du Bar, il n'avait jamais envisagé de botter son séant. Non pas qu'il eut peur mais son grand-père l'aurait pendu au premier porte-mantel jusqu'à sa majorité,et ça, il n'y tenait pas.
Sa main était moite tandis qu'il taquinait la serrure qui lui résistait. Pas question d'échouer devant une fille ! Surtout celle-là. Enfin, un petit claquement sec lui apprit que l'armoire était ouverte. Il glissa la fine lime dans la seule poche de ses braies à n'être pas trouées et il ouvrit le battant pour se saisir d'une bouteille passablement entamées qu'il tendit à la mouflette.

- Les fill' d'abord.

Discrétement, il s'assura que le curé ne ramène pas son aube.

- Fais vite.
Ava_lafiole
La petiote glissa le nom avec défi. Qu’elle était une menteuse, qu’il croyait l’avorton. Ben, il allait voir que… ben que oui, elle en était une. Mais pas sur ça, nom de diou non !

Dacien de Chenot !

Bon, s’il creusait, elle devrait lui avouer qu’elle fait la popotte aux gars du camp. Et que son seul état de gloire était d’avoir pu se protéger lors d’une attaque en se cachant sous une énorme marmite renversée, comme le ferait une tortue. Elle avait gardé des jours durant une odeur de soupe de poisson peu frais dans sa tignasse.

Son nez lui grattait, elle s’en essuya le bout crasseux à l’aide de son coude tout autant recouvert d’une croute épaisse de terre et de poussière. Puis, toujours avec son revêche, elle s’accouda contre le mur à côté d’une armoire que le gamin s’escrimait à vouloir crocheter. Pas mal. Pas mal du tout. Elle aurait voulu ouvrir la bouche pour se moquer de cet apprenti voleur, mais elle n’en eut pas l’occasion. La porte s’ouvrit dans un silence quasi complet. La bouille un peu déçue, elle se décida à faire un peu confiance à ce débrouillard qui valait peut être bien une LaFiole.


Ava.

Même l’inculte qu’elle était n’avait eut aucun mal à savoir épeler et écrire ce prénom minuscule.

A…. V…………(grosse hésitation)….A

Voilà elle lui montrait qu’elle en avait dans la cervelle. Le nom poserait plus de problème :

Ava LaFiole…. L…..A…….G………I………O ……. T…..non D.... non euh L…….A…… Lafiole

Oui, bon, à faire la fanfaronne on finit souvent par tomber le bec par terre. Heureusement, le vin tomba à pic pour étouffer sa honte naissante et le rouge naissant sur ses joues. Deux goulées d’un vin capiteux et elle tendit vivement la bouteille à La Resquille. La gosse baissa la voix de crainte qu’un écho ne parvienne aux oreilles cléricales.

J’vends des fioles. Enfin, j’vendais avant d’rjoindre la bataillon.

L’explication était simple et honnête. Fille d’un gitan et d’une guérisseuse, elle avait pris la meilleure part des deux : sa tendance à la roublardise et sa passion des potions, sans toutefois être bonne ni dans l’une, ni dans l’autre. C’était en fait une réelle calamité : ses tentatives de chapardage et de charlatanisme lui avaient attiré des ennuis, des ennemis et peu d’argent ; et ses essais de potions donnaient au mieux des maux de ventre et au pire une calvitie précoce à ceux qui les goutaient. Mais ça ne l’empêchait pas de vanter ses mérites, aussi faux soient-ils :

Grâce à mes fiolettes, les armées de Chenot, ben ils gagnent à tous les coups. M’en a même commandé une ’tite centaine.

En réalité, c’est depuis que LaFiole avait arrêté de faire la tambouille à l’armée de Dacien que celle-ci quittait les latrines, proie aux crampes gastriques, et reprenait du terrain sur les armées adverses. Mais LaFiole aurait pu s’appeler LaGloriole, tant elle se vantait sur du vent.

La brune renifla – c’est qu’il ne faisait pas chaud à l’intérieur de la piaule du bon dieu - et fixa la porte crochetée.


Faut pas être d’vin pour piger ce qu’tu fais de ton temps. Et vu ta trogne de tire la misère, tu dois pas être bien dégourdi.

Et sans lui demander, elle lui chipa à nouveau le vin. C’est que la causette, ça assèche le gosier.
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La.resquille
Le minot la regarde descendre la fiole. Ben oui ! Disons-le, pour une fille elle l'impressionne. Sentiment étrange fait de... il sait pas trop pardi puisqu'il vit seul avec son grand-père et qu'il n'a pas d'autre famille, mais pour le lecteur averti, on pourrait dire qu'il ressent de la tendresse fraternelle. Cette mioche c'est lui en fille, à quelques exceptions près. Sauf que lui, il est aimable.... fin... oui d'accord, pas avec tout le monde.
Dos et pied appuyé au mur, bras croisé sur sa poitrine maigrichonne, il la regarde boire.

- Ben toi alors ! T'as la descente facile. Va pas te pochtronner non plus ça f'rait désordre si tu t'endormais là. Le père Reki l'est plutôt du genre gentil mais va savoir c'qu'il ferait s'il te trouvait à téter son vin d'messe.

A son tour il s'enfile une rasade et se torche d'un coup de manche en la reluquant. Ava c'est un joli nom.

- Toi tu connais l'chevalier ?

Là il ne sait plus si c'est du lard ou du cochon. D'un côté comment qu'elle saurait son nom si c'était une menterie. D'un autre c'est pas l'genre du chevalier d'se trainer une mendigote tout'crasseuse. Il mettra ça au clair mais pour le moment il a autre chose à préciser.

- Chui pas un tirelaine. Bon oui parfois j'me débrouille pour améliorer l'ordinaire mais chui pas un voleur... plutôt un chapardeur. Tu vois ?

Pas sûr qu'elle fasse la différence. Après tout c'est quand même qu'un'fille. Faut pas non plus l'en demander trop même si visiblement elle sait lire et écrire... un peu. Là il peut pas être en reste mais il faut pas non plus qu'elle croye qu'il fait son mariole. Alors, affichant l'assurance dont il ne manque pas, il balaie la sacristie d'un regard et attrape un livre des Vertus qu'il ouvre à la recherche d'une page sans écriture qu'il déchire très proprement avant de le poser respectueusement à sa place. Faut pas plaisanter avec la religion, que des fois le très Haut t'envoie ses foudres. ça il sait pas ce que ça veut dire exactement mais il a vu un jour la foudre tomber sur un arbre et le partager en deux alors il préfère prendre quelques précautions des fois que le Christos déciderait de le couper en deux.
De la poche de ses braies il tire un bout de charbon taillé qu'il humidifie de salive et trace laborieusement sur le feuillet :

KI DONNO POV, PRETA DIEU.

Il recule pour juger de l'effet, zieutant du côté d'Ava en quête d'un regard admiratif puis il ajoute :

MERCI.

Ca mange pas d'pain. Enfin, reprenant la bouteille qui a eu mal, il en avale une dernière longue rasade et la pose bien en évidence sur le feuillet.

- Bon mieux vaut qu'on s'targe maintenant. Faut pas rester là.

Il hésite à lui prendre la main et renonce : il tient à ses doigts et il a bien vu qu'il restait quelques ratiches à la gamine. Une idée lui est venue quand elle a prétendu connaitre de Chenot. Lui ne le connait pas mais il connait quelqu'un qui connait quelqu'un qui le connait. Suzel. La Suzel qui fait des biscuits dans la boulangerie de la femme du chevalier.

- Viens, suis-moi. T'aimes les biscuits ?

Et d'un pas décidé, il sort de la sacristie et se dirige vers la sortie. Il vient de trouver le prétexte non seulement d'aller parler à la Suzel mais qui sait ! peut être de se gaver de biscuits pour pas un denier.
Ava_lafiole
Impressionnée, Ava le cacha pourtant bien alors qu'il écrivait sans hésitation apparente un petit mot au curé. Celui-ci allait certainement avaler de travers en découvrant leur petite descente de bouteille, mais tant pis, Ava LaFiole se sentait d'humeur plus légère - sentiment facilité par l'alcool - et elle ne broncha pas (trop) quand La Resquille montra quelques doutes sur son appartenance à l'armée.

J't'en enfoncerais dans l'gosier, des biscuits, La Resquille!
ronchonna t'elle en le suivant tout de même, parce que l'idée de rester seule à attendre l'arrivée du clerc lui plaisait pas tellement et parce que des biscuits, elle n'en avait jamais goûté. Mais ça, elle n'allait pas non plus l'avouer, parce qu'il ... parce qu'il quoi?? et puis qu'est-ce qu'elle en avait à faire, LaFiole, de ce que pensait le garçon des rues?

L'air lorrain piquait ses joues alors qu'ils déambulaient dans les ruelles sentant la pisse et les relents de détritus en décomposition. Quelques épluchures de navets et des feuilles de laitues venaient lui chatouiller les doigts de pieds à travers les trous de ses galoches. Un charretier passa avec sa marchandise et les bouscula sans ménagement. Ici, c'était comme ailleurs, chacun pour sa poire. La Resquille semblait avoir perdu cette notion égoïste en partageant le vin avec Ava et en la guidant dans Nancy. Trop de générosité, faut tout de même s'méfier commença t'elle à cogiter. Mais son intellect affaibli par le vin de messe atténuait singulièrement son instinct de défiance et elle lui collait aux chausses comme un veau se colle à l'arrière train d'une vache.


Pas idée d'cuire des biscuits dans un trou à rats...


A tiens, en parlant de rat, deux grosses queues leur filèrent entre les jambes. Par réflèxe, elle poussa La Resquille contre le mur pour les éviter. Danger hors de vue, elle justifia son élan protécteur, le menton fière (faudrait pas qu'il croit qu'elle prend soin de lui, c'est pas sa môman!):


Fais gaffe à ces crevures, ça transporte la poisse et des bestioles qui donnent des boutons sur la langue, d'la fièvre, et il te pousse un deuxième nez, et par ces trous là, y a pas d'la morve qui qu'en sort, c'est de la pisse de brebis. Et tu finis dans la fosse commune à part quand tu disparais (elle claque des doigts) comme ça, t'existes plus. Reste plus qu'tes boyaux par terre et tes yeux.

Elle disait ça, la môme, comme un médicastre, puits de sciences et de vérité logique.

Tu m'dois deux biscuits pour la peine, j'sauve pas les mouflets dans ton genre pour rien, moi. T'entends? LaFiole, elle file un coup de main, mais pas gratos.

Et surtout pas par amitié. Quoique, l'amitié ça peut bien se nourrir de deux biscuits non?
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La.resquille
Suite du RP ICI
Xhena
Messe du 3 Avril 1464

Après Vaudemont l'évêque avait reprit la route vers Nancy en compagnie de la Duchesse Constance un voyage en Lorraine afin de faire connaissance avec les fidèles, après une nuit de repos à l'hôtel elle prit un petit déjeuner rapide, un bon bain puis enfila sa robe et se coiffa le ciel était gris, le soleil était encore absent mais il l'était dans le coeur de Xhena glissant sa cape sur ces épaules et relevant sa capuche elle prit la direction de l'église s'arrêtant devant les marches elle admira l'édifice puis monta les marches poussant la lourde porte entra et se signa et se dirigea vers l'Autel ou elle se mit à genoux pour se recueillir en silence.

Après un moment de prière elle se releva et se dirigea vers la sacritie ou elle enfila sa robe d'évêque puis s'adressa à l'enfant de coeur en souriant...


Il faut faire sonnée la cloche il est l'heure les fidèles seront bientôt là moi je vais me mettre sur le parvis et attendre..



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Constance_vf
Après quelques jours à Vaudemont pour accueillir l’Empereur, Constance avait regagné la capitale où de nombreux dossiers l’attendaient. Mais aujourd’hui dimanche, elle assisterait en premier à la messe qu’avait organisée l’évêque Xhena, une belle journée pour prier pour sa famille et le duché.
Sur le parvis, la duchesse reconnu l’évêque qu’elle salua


« Bonjour Monseigneur, comment allez-vous ?
J’espère que vous n’êtes point trop fatigué après le voyage de cette nuit. »

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Reki_de_grimaud
Après avoir amené le groupe à nancy, Reki avait pris quelques heures de repos.

Déjà les cloches sonnaient, annonçant l'office du dimanche.
Il se fit violence, s'extirpa de son lit, laissant son épouse se reposer encore. Il enfila une tenue correcte et se rendit à l'église.

Il salua les présentes.


Bonjour Monseigneur, vôtre Grâce, belle journée que voilà.
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Xhena
« Bonjour Monseigneur, comment allez-vous ?
J’espère que vous n’êtes point trop fatigué après le voyage de cette nuit.
»

Bonjour vôtre Grâce, je vais bien merci je suis reposée après une bonne nuit de sommeil je me sens très bien et vous même comment allez vous?

Bonjour Monseigneur, vôtre Grâce, belle journée que voilà.

Bonjour Frère Reki, une belle journée qui s'annonce le soleil et au rendez vous cela fait chaud au coeur, j'espère que les fidèles viendront a la messe en ce Dimanche...
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Xhena
Xhena remonta l'allée centrale et passa derrière l'Autel, deux fidèles étaient présent ! La Duchesse Constance et le Frère Reki

L'évêque prit la parole simplement.

Bonjour à vous et merci d'être présent !

Nous sommes réunis ce dimanche pour la messe !

Je vous remercie c'est une grande joie pour moi de vous retrouver dans la maison du Très Haut !

Je vous en prie, demandons pardon.


Citation:
Je confesse à Dieu Tout-Puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j’ai beaucoup péché,
En pensée en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
Et vous, mes Amis,
De prier de Créateur pour moi,
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L’absolution et la rémission de tous nos péchés.

_________________
Fionnah.von.spessen
Oh là là!
Oh là là!
Fio était en retard,
elle arriva, toute rouge et soufflante...
pfff
pffffff!


reprit son souffle et ses esprits et répéta :

Je confesse à Dieu Tout-Puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j’ai beaucoup péché,
En pensée en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
Et vous, mes Amis,
De prier de Créateur pour moi,
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L’absolution et la rémission de tous nos péchés.


Elle sourit à maman Xhena...
Xhena
Aujourd'hui je vais vous lire un passage du Livre des Vertus qui renferme un message très important. Veuillez bien écouter mes frères, mes sœurs.

Citation:
Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n'y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.
De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous as créées alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.
Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.



Chers fidèles, mes frères, mes sœurs
L'amour est le seul sens de la vie. La chose dont le sens est inépuisable est évidemment l'amour. C’est l'amour qui nous porte vers notre prochain. C'est là une chose merveilleuse. Respecter la vie, si riche de sens et enrichissons-la encore de l'amour. Voilà notre mission. Si nous faisons cela, nous serons à même de comprendre le message divin.
La créature sans nom elle, répand un message contradictoire : celui de la domination du fort sur le faible. C’est justement pour cette raison que la créature sans nom est ainsi rejetée par Dieu. Elle ne pourra jamais comprendre le vrai sens de la vie, celui qui nous unis tous. Le sens de Dieu est beaucoup plus profond, beaucoup plus beau, et c'est celui qui nous pousse à nous réunir. La sociabilité ne dépend pas et ne doit pas dépendre d'abord d'un besoin de domination, si cela arrive et bien l’équilibre de notre monde entre le bien et le mal pourrait bien basculer, mais elle doit dépendre d'un besoin d'amour.


Venant d’achever son sermon, Xhena commença à préparer la communion.

Elle partagea le pain et versa du vin dans une coupe.

Venez, je vous invite à la communion afin de célébrer l'amitié Aristotélicienne.


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Fionnah.von.spessen
Fionnah s'approcha de Xhena, tout sourire.
Partager avec celle qui est si bonne avec elle, une messe lui faisait chaud au cœur...

Maman Xhena, le sens que je désire donner à ma vie est bien l'Amour...
Et ce fut encore avec un grand sourire, qu'elle s'approcha pour communier...
Xhena
Maman Xhena, le sens que je désire donner à ma vie est bien l'Amour...

Xhena regarda celle qui dans son coeur allait devenir sa fille adoptive lui sourit puis se pencha et lui donna une bise sur la joue et lui offrit le partage du pain et lui dit: j'en suis heureuse pour toi ma fille et je t'aiderais en te guidant dans cette voie .

Le repas finit, chacun retourna à sa place.

Je vous remercie d’être venu partager avec moi ce temps de prières.
Je vous invite à faire votre les paroles du Très Haut.
Que la paix du Dieu soit avec vous.
Et avec votre esprit
Louons Dieu et ses prophètes Aristote et Christos


Et maintenant allez toutes et tous dans la paix


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Xhena
Mercredi 13 Avril 1464

La ville était calme, Xhena se dirigea vers l'église, saluant un mendiant à la porte lui donna une miche de pain en souriant,puis entra dans l'église, alluma quelques bougies et déposa un bouquet de fleurs sur l'autel



et se dirigea vers la sacristie enfila sa robe puis n'ayant pas d'enfant de coeur sous la main s'accrocha à la corde tira de toute ces forces la cloche et la fit sonnée, puis se dirigea vers le parvis et attendit les fidèles

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