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[RP CULTE] Eglise Sainte-Epvres

Reki_de_grimaud
Après qu'il se fut préparé, Reki fila à l'église. ce serait sa première messe depuis son retour.
Tout semblait bien en place, il fit donc sonner les cloches.


[/quote]

Puis se changeant rapidement, il se mit à la porte et attendit que les premiers fidèles arrivent.
_________________
Naurestel_de_grimaud
Naurestel avait suivi son père. Sa première messe, elle n'allait pas râté l'occasion. Et puis, elle n'avait plus mis les pieds dans une chapelle depuis qu'elle avait accouché, Il était grand temps qu'elle y retourne prier le Très Haut. Elle salua donc son père d'un sourire, Arthur emmitouflé dans ses bras.
_________________
Reki_de_grimaud
Y'avait pas foule pour l'office, mais il se devait de continuer. Sa fille Naur l'avait accompagné avec son petit.
Il l'invita à prier avec lui.

Citation:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.



Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Reumonjoie
Joie était une fidèle régulière... A l'aube de son baptême, elle aimait se recueillir et prier.
C'est donc avec assiduité qu'elle aimait se rendre à la messe.

Les nancéiens avaient été trop longtemps privés de messe et le retour de Reki en l'Eglise de Nancy était une très bonne chose pour tous les aristotéliciens locaux.

Assise aux côtés de Naurestel et de son fils, Joie joignit donc les mains et pria...
Mael_de_grimaud
Maël était dans son moulin depuis leur retour de voyage avec son papa, Maevha et le petit Aubin. Il entendit le son des cloches , le jeune homme se demandait bien quel jour on était. Un moment de réflexion et misère c'est bien sur dimanche..... la Messe... son papa qui officiait... ni une ni deux il laissa son moulin terminé tout seul, un coup de main dans les cheveux pour épousseter la farine, même sur ses braies et c'est presque en courant que Maël arrive devant l'église, montant les marches quatre à quarte. Il pousse la lourde porte s'en trop faire de bruit, la messe avait débuter c'est discrètement qu'il se signe et s'avance jusque vers sa sœur Naur là avec son petit dans les bras. Il prie avec eux.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Suivit du Credo


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________
Reki_de_grimaud
Aujourd'hui, je ne fais pas de sermon.
Prenez le temps de réfléchir à votre Foy, Priez pour les âmes égarés.


Leur laissant quelques minutes, il distribua ensuite la communion.

Mes chers frères et soeurs, je vous attends dimanche prochain pour une autre messe.
Allez en paix.

_________________
Kennocha37
Le temps sur Nancy se faisait d’autant plus froid en cette soirée de novembre. Comme seul lit, Kennocha possédait une paillasse qu’on lui avait remise à son arrivée. Une liste de tâche accompagnait le couvre sol. Elle s’était afféré toute la journée à tenter n’en remplir le plus possible. Il lui incombait de bien faire les choses mais d’être accepté par les autres dans cette nouvelle naissance.

Quittant L’Antre des Lames où elle avait rencontrer de formidables personnes, elle se dirigea à l’Église où elle trouverait certainement refuge sous un toit pour la nuit. Ce serait certainement mieux que la commune où tous les nouveaux arrivants dormaient. L’Église sera sans doute un lieu plus calme et plus intime pour qu’elle puisse rassembler ses idées. Ayant déjà travailler un jour à l’Église, elle savait qu’on ne lui en tiendrait pas rigueur si pour une nuit elle s’y réfugiait. Elle sera sans doute déjà parti avant l’aube. Après tout, il s’agissait d’une Église, d’un lieu où tous sommes égaux aux yeux du Très-- Haut.


Devant la porte, Kennocha soupira frissonnante puis poussa lentement la porte. La jeune femme jeta un regard apeuré à l’intérieur avant de prononcer quelques faibles mots tremblants:

Il y a quelqu’un ... ?

Après ce qui lui sembla une attente interminable, la frêle silhouette s’engagea à l’intérieur des lieux saints. Gravissant dans le noir à pas feutrés, elle referma soigneusement la porte derrière elle. Puis vint enfin un sentiment de sécurité. Clignotant ses paupières dans le noirs, tâchant de s’acclimater à l’obscurité, Kennocha pu enfin apercevoir quelques cierges restés allumés tout au fond vers lesquels elle se dirigea en se guidant de sa main libre.

Face à la lumière des petites flammes elle se dit que si elle savait comment faire, comment prononcer une prière, sans hésiter elle le ferait afin de remercier le Tout- Puissant de lui accorder tant d’abondance, de sécurité et de chaleur. Tendre les mains vers ces éclatantes sources de chaleurs était un véritable bonheur.

Après quelques instants, Kennocha offrit un regard circulaire sur la salle pour s’assurer une dernière fois qu’il n’y avait pas âme qui vive dans les environs autre qu’elle et le Supérieur Omniprésent- Omniscient. Rassurée, elle entreprit d’installer sa paillasse à la lumière oscillante, de s’y étendre confortablement à plat ventre puis d’étendre devant elle la carte que lui avait remis Messire Coligny. Elle était vraiment préoccupé par ces courbes vertes que représentait l’Empire.

Puis une autre pensée lui vint en tête la faisant abandonner son obsession de l’heure: avoir un chien tel que Messire Coligny le lui avait promis. Pendant un long moment elle y rêvassa avant de trouvé sommeil.

Pendant son sommeil, elle rêva à plein de petites boules de poiles charmantes. À certaines elle demandait de lui donner la patte ou encore de s’asseoir. Puis elle faisait quelques pas et toutes les petites bêtes poilues la suivaient à la file indienne.

En résumé, lorsqu’elle s’éveilla avant même le premier de rayon de soleil, il était clairement établie qu’elle désirait avoir un chien. Pourquoi ? Nul ne le sait. Ce qui importait davantage, était de quitté cette endroit avant d’être prise à y dormir. Rapidement elle remballa ses maigres biens pour quérir refuge devant la mairie pour postuler à une offre d’emploi.
Kennocha37


C’était au tour des jumeaux à peine âgés de dix ans de venir livrer une tarte aux pommes à l’Église du village pour le Frère Reki tel que leur mère le leur avait permis imitant ainsi leur grand frère. Ils avaient tous deux tant insister que la mère céda non sans proscrire quelques tentations. «N’ouvrez pas le paquet surtout !» avait-elle dit. «Ne perdez pas la missive !! Et ne mangez pas la tarte ! Si non Dieu le saura et vous enverra en Enfer avec le Sans Nom !» voulant être certaine qu’ils ne firent pas de bêtise. Les deux frères s’étaient mis en route par ce sombre soir du dix décembre mille quatre cent soixante quatre en traînant les pieds et en se chamaillant ce fameux paquet de forme ronde ne sachant plus lequel des deux jumeaux le porterait. L’un d’eux torturait la boucle formée de lanière de tissu bleu azur alors que l’autre tirait par le dessous du paquet avant qu’ils ne se mirent à rire et courir jusqu’à l’église. Sur le parvis, un vélin tomba puis le plus petit des jumeaux le ramassa pour tenter d’en faire la lecture:

Citation:
Cher Frère Reki,

Voici un petit dernier quelque chose pour vous remercier de votre patience envers moi ainsi que pour l’office de ce jour. Une tarte aux pommes est bien meilleur chaude alors placez-en une part près du feu avant de la déguster. Je suis certaine qu’elle vous plaira.

Amitié,
Kennocha37


Perplexe les deux enfants se regardaient puis le lecteur dit:

Mais enfin c’est pas comme ça qu’on écrit ! C’est bourré de faute ! Elle sait pas écrire la Dame j’te dis !

L’autre se pencha pour mieux voir le parchemin et en inspecta le contenu.

Bah y a qu’à entrer, poser se fichu paquet qu’on a pas droit de manger pis gratouiller les lettres en trop !

Ouais t’as raison ! dit l’autre en poussant la porte de l’Église pour y pénétrer en courant jusqu’à l’avant où il déposa le vélin pour en corriger les mots qui donnèrent à peu prêt ceci:

Citation:
C er Fr re Reki,

Voici un petit denier que que chose pour vous remerci de votre pi t ence envers moi a si que pour l’o ice de ce jour. Une tarte a pom est bien m illeur c au e a or place -en une part pr s du feu avant de la d guster. Je suis cer aine qu e le vous plaira.

Ami ,
Ken ocha


Pendant que les deux garnements étaient occupés à se salit le dessous des ongles de leurs petits doigts avec l’ancre du vélin, l’un d’eux donna accidentellement un coup de coude sur l’assiette de la dite tarte qu’il projeta au sol. Plus un geste ne se fit l’espace d’un tiers de seconde avant qu’ils ne se regardèrent.

Bah y a qu’à la mettre comme ça sur la grande table et si on nous demande, on sait pas, elle était peut-être déjà comme ça !

D’un regard entendu les jumeaux avaient un accord tel un pacte que seul eux connaissaient. Ils prirent à deux l’assiette à l’envers et la projeta à l’endroit par dessus le vélin sur la table et s’enfuirent en courant jusqu’à chez eux. C’était bien là la dernière fois qu’ils voudraient faire comme leur grand frère. C’était trop de responsabilité et bien peu amusant.



















Orlanne.

Combien d'heures était elle restée prostrée devant la chaumière de son Septim ? Elle n'aurait pu le dire quand poussée par le nez de Neige, gelée, frissonnante, elle prit conscience que ses petites compagnes avaient besoin d'elle .
Jo, en vols circulaires, criait au dessus d'elle . Quand à son oursonne, elle avait du chercher dans la charrette s'il y avait du lait, car une partie du chargement était rependu sur la neige .
Au même instant, lui parvint le son des cloches appelant les fidèles à venir assister à la messe dominicale .


Venez ... on va retourner en ville ... vous avez faim, mes pauvres amies

Se levant lourdement, laissant sa charrette, prenant juste sa besace et après un dernier regard vers le paturage et le champs abandonnés, elle regagna la route vers Nancy .

Sur la grand place devant l'église, une fermière lui avait vendu deux litres de lait qui avaient fait le bonheur de Neige . Jo avait dégusté ses boulettes de pain et avait repris son envol .

Les villageois se pressaient, familles entières gourmandant les enfants un peu trop turbulents, les salutations s'échangeaient .
Quelques personnes, la reconnaissant, lui adressèrent des sourires gênés .

Neige s'était collée à elle et gémissait doucement . Orlanne ne pouvait pas entrer dans le lieu saint avec son oursonne . Mais, elle ne pouvait pas non plus la laisser seule sur le parvis . Elle monta les marches et s'adossa contre une colonne, celle qui était la plus proche du grand portail de l'église . De là, elle pourrait suivre l'office et mêler ses prières à celles de la communauté des fidèles .

Une dame, vêtue élégamment, la prit pour une mendiante et lui donna un denier avec un petit sourire pincé .


Merci Dame ... le Très Haut vous protège

Avait elle l'air si misérable ? oui, elle l'était, mais de coeur seulement ! Cet office, c'était auprès de son ami qu'elle avait rêvé y assister . Comme ces amoureux qui gravissaient les marches, main dans la main, pensant certainement à leurs épousailles ...


Yris
Et c'est en l'eglise de Nancy qu'elle arriva après avoir été jetée de dessous du mirabellier .
Elle entra et prit le livre des méditations de Barnabé. Elle s'installa près dans une des chapelles et commença à lire



Citation:
Neuvième Méditation

C’était un beau jour d’été, ou de printemps,…qu’importe de toute façon. Barnabé, pour ne pas changer, était encore sur les chemins, parcourant la France. Il devait être entre Saumur et Angers, très belle région d’ailleurs sur laquelle il a beaucoup écrit. Le long du chemin, il y avait des fermettes entourées de vergers et de champs, juste avant d’arrivée en vue de la ville. Devant l’une d’elle, sur un banc, assise, une femme pleurait dans les bras de son mari. Barnabé, ému par cette scène, s’approcha et réconforta le couple en lui demandant ce qu’il lui arrivait. Leur fille, à peine âgée de seize ans était partie durant la nuit avec un jeune garçon dont elle était passionnément amoureuse. Les parents trouvaient ce comportement inconsidéré à son âge, avec un homme, ou plutôt un garçon à peine âgé d’un an de plus, perdu dans la campagne angevine. Alors, pour les réconforter, Barnabé pensa à une histoire un peu hors normes et formidable, car tellement révélatrice… Il commença :

Un beau jour de printemps, la Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un verre chez elle. Tous les invités y allèrent. Après le goûter, la Folie proposa :
- On joue à cache-cache ?
- Cache-cache ? Qu'est-ce que c'est ? demanda la Curiosité.
- Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez. Quand j'ai fini de compter, je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter.
Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.
La Folie commença à compter : 1, 2, 3...

L'Empressement se cacha le premier, n'importe où. La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre. La Joie courut au milieu du jardin. La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher. L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher.
La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient. Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie en était déjà à 99...
- CENT ! cria la Folie. Je vais commencer à chercher...

La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait le mieux caché. Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité... Quand ils furent tous réunis, la Curiosité demanda :
- Où est l'Amour ?

Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour. Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, prit un bout de bois et commença à chercher parmi les branches lorsqu'elle entendit soudain un cri. C'était l'Amour, qui hurlait parce que les épines lui avaient crevés les yeux. La Folie ne sachant pas quoi faire, elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours. Et l'Amour accepta.

Aujourd'hui encore, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours...

Un large sourit s’afficha sur le visage de la mère. Le père se mit à rire aux éclats. Ils rentrèrent tous trois dans la maison, et Barnabé fut invité à dîner.


Elle médita sur ces bonnes paroles, resta pour l'office et repartit chez elle.
Charles_antoine
L'évêque venait de confirmer Charles-Antoine dans son rôle de diacre. Aussitôt, le jeune homme alla afficher un court placard sur la porte de l'église afin d'inviter les paroissiens au prochain office qui se tiendrait pas plus tard que le soir même.


Citation:
Mes biens chers Frères, mes biens chères Soeurs,
Vos prières m'ont confirmé dans mon rôle de diacre de Nancy ; soyez-en remerciés.
Sachez donc que j'officierai dès ce soir une messe en notre église. Ce sera l'occasion pour la communauté aristotélicienne de se réunir et de parler un peu du fonctionnement de la paroisse.

Charles-Antoine Von Frayner.




Messe IG entre 20h et 22h heure de France
Messe RP en halle de Nancy débuté dans la soirée (le RP se jouera sur plusieurs jours évidemment)
Venez participer, les RP de messes sont faciles à jouer

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Charles_antoine
Un nouveau placart fût déposé sur la porte de l'église.


Citation:
Chers Frères, chères soeurs, je serai disponible pour vous entendre en confession vendredi 8 septembre 1465 à partir de 10h du matin et ce, pour toute la journée.
Cette confession vous permettra de laver en totalité deux de vos plus importants péchés.
Une obole, laissée à votre libre appréciation, sera la bienvenue pour financer les bonnes oeuvres de la paroisse.

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Naurestel_de_grimaud
La jeune Neuling et mairesse de Nancy passait régulièrement à l'église pour y lire les annonces, ainsi, elle appris que le confessionnal serait ouvert le jour suivant. Cela tombait bien, elle devait, comme beaucoup, se confesser de ses péchés.
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Charles_antoine
De plus en plus fort, ce n'est pas une, mais deux annonces qui furent affichées.

Citation:
Recherche de confesseurs

La paroisse de Nancy cherche des confesseurs afin de seconder le diacre dans sa tâche.
Vous êtes érudit de la voie de l'Eglise et avez à coeur de servir votre prochain ? Contactez Charles-Antoine Von Frayner !



Citation:
Prochaine confession : mercredi 20 septembre
Le confessional sera ouvert le mercredi 20 septembre prochain. Le diacre Charles-Antoine Von Frayner vous y recevra pour entendre et absoudre vos péchés.

_________________
Naurestel_de_grimaud
La mairesse passait sur le parvis de l'Église, comme toutes les semaines, elle venait voir les nouvelles que le diacre affichait sur le panneau tout près. Lorsqu'elle vit ce dernier, elle eut une idée. Elle repartie presque aussitôt, filant doucement vers la Mairie.
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