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[RP CULTE] Eglise Sainte-Epvres

Longcouteau
LOng avait tout vu, assisté à tout et n'avait rien dit......
C'était la volonté de marie chérie. Il était farouchement opposé à toute forme de religion mais il se faisait un point d'honneur à respecter les volontés des autres
Il resta derrière son pilier, se faisant invisible aux yeux de tous. De toute façon, il ne voulait pas être vu.
Il reconnaissait nombre de leurs amis, mais préférait rester seul en cet instant. Il était venu pour marie et rien que pour elle ...
Cependant, à son corps défendant, il reconnaissait avoir apprécié un moment de la cérémonie.. celui où marie était sortie de l'eau, le linge humide se plaquant contre son corps superbe, la moulant telle une seconde peau. Et après tout, LOng n'était qu'un homme et marie une femme délicieuse ......
Le reste pour lui n'était que pantomime et superstition .... mais il se rendait compte que nombre de ses amis franchissaient ces limites et rejoignaient les croyants.
Lui se considérait comme libre penseur ... mais baste .... chacun faisait ce qu'ils voulaient .. mais il ne fallait rien ... jamais .. lui imposer ....
Il se retira dans l'ombre, admirant au passage le visage radieux de marie ...
"""pfffffff .... gamineries...""" marmonna t il dans sa barbe ....
Tout à coup, une sensation particulière le fit sourire ....""" Ahhhhh il y a longtemps ...""" LOng pensa qu'il allait pas tarder à "honorer" les murs de l'église ... à sa façon !!!
Ithylic
Ithylic qui venait d'arriver dans la capitale se précipita en direction de l'église. Il entra discrètement, conscient du retard qu'il avait, à son habitude...

Il salua Marie d'un mouvement de la tête, ainsi que Long et le père Uriel. Lorsqu'il aperçut sa douce Moomin, il ne put s'empêcher de détourner les yeux, encore honteux de la façon dont ils s'étaient quittés.

Il prit place dans le fond de l'église, et s'assit sans un bruit.
....marie....
Marie avait apperçu Thyl entré tout éssoufflé...
Elle se dirigea vers lui pour lui déposer un énorme bisou sur la joue voyant bien à sa mine qu'il ne s'était toujours pas rémis du départ de Moom.
Elle marmonait tout en avançant vers lui...


Bontée divine faudrait tout de même réussire a les rabibocher ces deux là...ça créve les eyux qu'ils s'aiment encore...

Bonjour Thyl heureuse que tu soit là!
Bourrike
L'hiver commençait à laisser place à des températures plus clémentes, aussi c'est un rayon de soleil qui invita la curette à quitter la cure pour traverser la rue et se tenter d'ouvrir la lourde porte de l'église et prendre la direction de la sacristie. Elle trouva le lieu plein de poussière, aussi se contenta-t-elle d'enfiler prestement ses vêtements sacerdotaux avant d'aller allumer les cierges qui réchaufferaient le lieu encore frais en ce dimanche matin, tout en illuminant l'autel.


D'un sourire elle envoya Petit-Jules tirer la corde qui mit en branle la grosse cloche afin d'appeler les fidèles à l'office. Prenant alors la direction de l'entrée de l'église, elle regretta que le froid l'empêche encore de se placer sur le parvis, mais se plaça à l'entrée, y attendant que les paroissiens affluent pour ce jour de célébration.


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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Alba1
chouette me dis je une messe.
C'est avec plaisir que soeur Alba se rendis à cette messe, l'abbesse était la visiblement, bien la templière se dis ca me soulage encore plus.
après une longue absence, enfin un curé parmi nous quel bonheur.

Alba salua de la tête celle qui présidait cette messe. puis s'installa dans les premiers rangs pour mieux profiter de cette cérémonie dominical que l'on nomme messe.
Eowynn_de_galway1ere
Amazone était prête à partir pour son long voyage, sa quête, sa destiné. Elle partait avec ses amis mais surtout son tendre amour. Elle ne savait pas ce que le voyage lui réservait. Peu lui importait, Léo était avec elle.
Elle décida d'entrer dans l'église afin de prier pour le voyage.

Elle s'assit sur un banc puis s'ageunouilla et pria :


Seigneur donnez moi la force de faire ce que je dois faire et protègez mes amis et mon amour.

Sa prière et sa méditation fut longue, très longue. Puis elle se leva, regarda l'église qu'elle avait aidé avec des villageois et Torniel à nettoyer, et eut un pincement au coeur.

*Je ne pars pas pour toujours mais cette église va me manquer*!
Bourrike
La messe pouvait commencer, les fidèles étant arrivés. La curette remonta l'allée centrale. Souriant aux enfants, saluant leurs parents, elle prit place devant l'autel afin de s'exprimer devant les paroissiens.

"mes frères, mes soeurs, nous sommes réunis en ce jour afin de célébrer la parole de nos prophètes. Je pense que votre dernière confession remonte à loin, et je vous propose dont de réciter ensemble, tout en confiant intérieurement nos misères, nos états d'âme et nos pêchés au Très-Haut, ceci."



Le temps que chacun récite, puis le texte de l'église Aristotélicienne.

"à présent, récitons ensemble le texte fédérateur de notre église"

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** L'intelligence est une invention solitaire,la connerie ,c'est une création collective **
Eowynn_de_galway1ere
Amazone récita les prières.



Uriel
Petit passage par Nancy, visite de l'Eglise et des Tavernes bien sûr.
Uriel pouvait-il escompter se poser un peu ? Non pas encore, mais il voyait approcher lentement Epinal.

Dans quelques jours, il pourrait y reposer les pieds pour un temps.
Mais il avait entendu les cloches et il était temps de venir assister à la messe de Soeur Bourrike.

D'un pas décidé, il traversa les petites rues pour arriver en face de l'Eglise et y pénétra.

Discrètement, il rejoignit les premiers rangs, salua les personnes présentes et récita le Crédo.
Tiberias.



"Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, miserere nobis..."

Qui était donc cet homme qui, tôt dans la matinée marchait à vive allure vers le clocher qui s'élevait au dessus des pauvres toits Nancéens ? C'était pour l'instant un mystère... On savait juste qu'il venait du cercle germanique. La première ville francophone qu'il trouva fut celle-ci et il s'y installa le plus vite possible. Il voulait oublier... ses actes, quoique pardonnés puisque légitimes, étaient atroces... Comment pourrait-il un jour les effacer de sa mémoire ? Capuchon sur la tête, il murmurait du latin...

"Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, miserere nobis..."

Le parvis était à vue ! Il allait enfin pouvoir entrer dans l'église et y rester tant qu'il voudrait... Poussant les portes :

"Agnus Dei qui tollis peccata mundi dona nobis PACEM ! PACEM !"

Le capuchon tomba, la cape virvolta... il était à l'intérieur et ne demandait plus que la paix... Il n'y avait personne... A moins que ses yeux, traumatisés, n'eurent rien vu... S'installant au premier rang, dévoilant aux lueurs des bougies une balaffre sur le côté droit du visage, il pria, tenant dans ses mains tremblantes sa petite croix d'Aristotélicien...

"Pacem..."
Eowynn_de_galway1ere
Eowynn dicte Amazone entra dans sa chère église. Elle regarda autour d'elle. Elle remarqua qu'elle était un peu poussièreuse.

Je me demande si il y a un curé à Nancy. Je devrais me renseigner.

Puis elle s'agenouilla encore saoule de la veille et pria

Seigneur donnez moi la force de l'oublier. Je l'aime tant que je ne sais plus quoi faire. Je souffre trop. Aidez moi je vous en supplie.
Eowynn_de_galway1ere
C'était un dimanche parmi tant d'autres mais un dimanche sans messe. Elle avait pourtant appris qu'il y avait un curé. Où est-il donc?
Elle alla s'asseoir sur un banc près de l'autel et commença à prier en espérant y voir le curé avant de partir voir son parrain.


Seigneur, je ne suis pas digne de toi. Je m'enfonce dans l'obscurité. Apporte moi ta lumière afin que je ne sombre pas dans un abyssal trou noir.
Abondance.
Bien jolie de faire la starlette de l'église en Lorraine, pis s'éclater à nommer des curetons à tire larigot, par contre bien laid de se lever un dimanche très tard , en espérant venir à l'Église de la capitale, pis songer à avoir une messe pis le vin et tout ce qui va avec, pis se retrouver bredouille, l'air niais face à un autel vide, pis des bancs tout aussi vide que l'église , la Zahra c'était pas des cloches qu'elle entendait sonner mais plutôt le vent souffler!

Toujours aussi motivée et pleine d'espoirs, la Zahra s'assoit tout de même sur le premier banc qu'elle repère, pis se met à psalmodier son credot dans le désordre, elle ne l'avait toujours pas retenu, mais bon, personne n'était là pour l'entendre écorcher sa petite prière du dimanche.

Les bras croisés, attendant que l'église se remplisse comme par magie, la Zahra espère surement boire quelques gouttes , pis pourquoi pas avoir un bon prêche, pis un cadeau de la Sainte Boulasse du genre le remplacement de son échelle qui avait éclaté en plein vol.

Mais malheureusement Nancy comme Vaudémont était abandonnée, du moins son église, pis la Sainte boulasse leur tourné le dos.

A la fin de ses méditations et de sa récitation imparfaite du credo , la dame, se releva , pis sortit l'air désespéré, loin de l'air qu'avait chaque croyant quand il sortait d'une église, la conscience apaisée, pis l'air harmonieux et comblé par les pensées optimistes aristotéliciennes.

C'était chaud, la Zahra devait se mettre à travailler à fond sa spiritualité ou bien un autre domaine qui lui permettrait surement d'avoir des écus facilement pour pouvoir se prendre des cuites et peut-être obtenir les grâces de Dieu et de sa sainte Boulasse tout simplement.

Depuis la perte de son échelle, quelques bourgeois et gueux de la capitale l'avait aperçu en train de balayer et faire briller les lustres de l'Église, parait qu'elle était rémunérée en conséquence ( moyennant quelques coups de balais pis le vidage de bouteilles de vin de messe, elle chopait 5 écus, pas cher payé le service mais bon, on ne peut pas tout avoir, la réputation, la foy ...).

Notez que être noble et récurer les latrines d'une église c'est cohérent, ça faisait pardonner les péchés qu'il parait , d'après le livre de la Vertu pour les Nuls.

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Uriel
Arrivé depuis plusieurs jours à Nancy, le Premier Archidiacre de Trèves avait longuement observé les traces du Sans-Nom rapportées par Alba.
A moins qu'il ne fût aveugle, il n'en trouva que bien peu de traces.
Des péchés, certes il y en avait, comme partout, car l'humain était faible et prompt à se laisser séduire par les villes tentatives de l'Ombre.

Quoiqu'il en fût, cela faisait un moment que les cloches n'avaient plus sonné à Saint Epvres ...

Dong ... Dong ... Dong ... Dong ...

D'ailleurs, en parlant d'Eglise, celle-ci semblait briller de mille feux, ce qui était sans doute une relation de cause à effet avec le manque de vin de messe. Rien ne se gagne, rien ne se perd, tout se transforme. Et bien si un peu de vin servait à nettoyer les églises, il allait mettre un fût en perce dans chacune d'entre elles ...

Mais il faudrait bien une messe pour contenter celles et ceux qui étaient venus en pèlerinage religieux, ou encore en promenade de santé.
Puis il y avait eu cette attaque de maire, une de plus ... et les procès aussi inadaptés qu'insultants. A croire que le Duché n'en avait pas encore assez, il fallait aussi que les villes tombent.

Bref, Son Excellence se tint sur le parvis, prêt à accueillir fidèles et croyants ...
Ladina
Ladina entendit les cloches sonnés. Elle sursauta tellement ce bruit était devenu inhabituel ici. Elle lâcha donc son sceaux et ses vache.

Bougez pas les filles, maman reviens

Elle couru donc jusque chez elle, retira le tablier plein de lait et ses chausses pleines de bouses, et s'habilla en vitesse. Elle avait beau s'être attaché à ses vaches, elle espérait, un jour, ne plus avoir à mettre les mains dans la terre ... Enfin, fallait ce dépêché ... Et c'est tout essoufflée qu'elle arriva devant le parvis de l'Église. Et elle se rendit compte qu'elle était la seule à être arrivée. La prochaine fois, se dit elle, je courrais pas et puis c'est tout. C'était son désormais ancien professeur qui donnait la messe apparemment .

Bonjour Votre Excellence.
Comment allez vous ?


Elle avait cru comprendre que c'était son titre, même si elle ne l'avais jamais appelé comme ça. En fait, elle ne l'avais jamais appelé du tout. Puis elle commença à se dirigé vers les bancs.
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