Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 10, 11, 12, 13   >   >>

[RP] Eglise de Ventadour

The_undertaker
C'est à ce moment que Tak transmet les alliances benies ....
_________________
L..
L prend l'alliance de la blonde tendu par le prêtre et la glisse à l'annulaire de Laeti tout en prononçant les mots suivants :

Laeti, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Le brun laisse un léger sourire se dessiner sur ses lèvres en direction de celle qui devient petit à petit sa Femme.
Laeti89250
C'est à ce moment que Tak transmet les alliances bénies.... L prend l'alliance Laeti...

Laeti, reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Le brun passe l'alliance au doigt de la blonde... Elle lui sourit, saisit l'autre alliance et reproduit le même geste...

L , reçois cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

La blonde glisse l'alliance sur le doigt de son fiancé...
_________________
Lucifaire
Toujours là.... yeux rivés sur le couple... je ne peux contenir mon émotion qui rougit mon regard heureux. Il me tarde à présent de festoyer, de danser.... de les féliciter surtout.
The_undertaker
Une fois qu'ils eurent terminé de s'échanger leurs alliances :

Je vous déclare maintenant unis par les liens sacrés du mariage. Vous êtes Mari et Femme! Ce que Dieu a uni, nul ne pourra le désunir.

L... vous pouvez embrasser la mariée !

La joie se lisait sur les visages, ainsi que les applaudissements des invités et fidèles.
Pour restaurer le calme, Alderan reprit son serieux et d'une voix puissante, invita au partage du pain et du vin... de suite le silence regna de nouveau :



Citation:
Chers fidèles, ensemble, partageons le pain et le vin comme le fit Christos. Partageons ainsi dans l'amitié et la fraternité, dans l'unité, symbole de notre Eglise.
Venez celebrer l'amitié Aristotelicienne en partageant ce repas
Rompons le pain, buvons le vin, unis amicalement
Sous le regard aimant de notre Père
Amen.



Mes chers amis, allez en paix dans la joie et la paix du Très-Haut


Il tendit le bras aux mariès ainsi qu'aux temoins pour les inviter à signer les registres de l'Eglise Aristotelicienne
_________________
Lucifaire
Après avoir applaudi comme une malade les deux tourtereaux, je pris place prés du registre à signer afin d'y déposer ma signature de témoin. Petit regard malicieux envers le Curé lui soufflant "Qu'est ce que vous êtes sexy quand vous élevez la voix.... pfiou...."
L..
Enfin le meilleur moment! Le brun regard sa femme avec tendresse et tout en glissant une main contre sa joue L'embrasse avec amour...le baiser se prolonge encore un peu, ben oui il en profite!
Les voilà enfin Mari et femme...un sourire vers le curé avant d'aller signer.
Un regard vers Lucie en entendant ce qu'elle ose souffler au curé...on la changera pas la diablesse !
L se retourne à nouveau vers sa blonde et dépose un baiser sur sa joue tout en lui soufflant

Tu es vraiment sublime... j'ai déjà envie de te croquer...mais bon une soirée nous attend...je t'aime
Un baiser sur le front de sa femme avant de se tourner vers les invités

Merci à tous pour votre présence... maintenant la fête continue! On va aller trinquer!
The_undertaker
sourit à la dame

alors je tacherai de parler doucement desormais ...
_________________
Laeti89250
Ils étaient enfin mariés!! Lorsque le diacre indiqua au nouveau marié qu'il pouvait embrasser sa femme, il ne s'en priva pas. La blonde les joues rosissantes, répond au baiser de son mari... Baiser terminé la blonde met quelques secondes à reprendre ses esprits... L'a un peu chaud d'un coup... Ne pas penser, ne pas penser... Elle rejoint L, Thally et lucie pour la signature du registre.

Encore à essayer de se calmer, voilà que L.. en remet une couche en lui soufflant des bêtises à l'oreille.. Froncement de sourcils comme pour lui dire "mais t'as fini oui!!! on est pas seul!" mais sourire entendu ensuite... "vivement...!!!!"

Voilà comme annoncé la fête pouvait commencer!!!!





_________________
The_undertaker
Talk attend que l'église se vide puis refermé les portes jusqu'à la prochaine cérémonie...
_________________
The_undertaker
Obsèques de Black [Black07]

En ce matin, c'est à la demande d'une Soeur qu'il ouvrit les portes de Notre Dame pour les obsèques d'un ancien du Limousin....

Il fit sonner les cloches pour prevenir les fidèles, puis se placa sur le parvis de l'Eglise ....

_________________
Mortsubite
Arrivé au beau milieu de la nuit dans la bourgade que je n'apprécie pourtant pas bien, pour tout un tas de raisons, ma gorge reste nouée.
Le regard hagard, accompagné de la seule personne sur cette terre sur qui je peux désormais compter, je tente malgré mon sens de l'orientation pourri et mon déboussolage certain de retrouver la route du domaine de Pommiers sur Couze.

Je n'y avais que trop rarement mis les pieds, moi qui ne me découvre que sur le tard, voyageur de grands chemins. Au grand dam de mon meilleur ami qui aurait sans doute voulu voir rappliquer ma trogne plus souvent. Ce qu'il en était fier de ses vergers, de son négoce, de ses terres, de ses engagements envers sa suzeraine.
Une nouvelle amie aurait dit de lui qu'il était beau Black dans tout ce qu'il y a de plus noble dans le terme et dieu ce que ce mot a été inventé pour lui en fait.
Regret de fausse pudeur masculine, je ne lui aurais finalement jamais écrit ou dit. J'espère juste que ce grand bêta mort avant même d'arriver sur le champ de bataille, avait un minimum idée de tout l'amour que je pouvais lui porter.

Je rumine encore contre cette injustice de la vie, la mort...
Mais Noellie la bienveillante, me guide, me soutient, pousse les grilles, les lourdes portes...
Cette femme m'aime comme aucune autre ne l'a jamais fait, sans demie mesure, sans contre partie, sans raison, sans ambages et c'est elle qui me permet de rester debout aujourd'hui.
Sa constance m'honore, me rassure, me fait me sentir dans un cocon, dans le sien si soyeux, si chaleureux. La femme en face de moi et une grande dame, elle me le prouve tous les jours. Je l'admire.
Elle m'apprend à aimer après tant de déceptions. Elle a cette patience, mon essence, ma tempérance.

Dans son antre, tout est lui, tout le transpire et pourtant nous ne le verrons pas débouler, sa gueule suffisante affichée.
Point de Black à l'horizon, point d'oreilles attentives, point de générosité débordante, point de rires francs et sonores, plus de complice, plus d'amis, plus de grand frère protecteur.

Le gros connard a tiré sa révérence, sans un au revoir, sans un dernier verre, en me laissant hériter de sa fortune. Pour ce que j'en ai à foutre, moi, de son poignon!

Ereinté par notre chevauchée, on s'affale dans un de ses larges et confortables fauteuils, une bouteille de sa prune du limousin nous fait de l'oeil. Imbibé que je suis depuis l'annonce, je la tend à ma chataigne.
Je relis le pli qui a déchiré mon âme encore et encore, ne pouvant m'y résoudre, ne voulant m'y résoudre. Et pourtant...





Montpellier le 01 Avril 1466

Sub...

Je viens t'apprendre une très mauvaise nouvelle... Je n'arrive pas à y croire moi-même...

Black n'est plus... Oui tu as bien lu... Il nous a quittés.

J'ai reçu ce matin une missive m'informant de la chose et m'indiquant ses dernières volontés.. Il m'a nommée exécutrice testamentaire... Quelle idée il a eue...

Je pense que tu dois être en partance pour Marseille...

Bises



Au petit matin, nous irons à l'église tenter de lui rendre un dernier hommage.
Fidèle à lui jusqu'au bout, je l'accompagnerais dans sa dernière demeure mon Ami...


Quel connard bordel!!!!!! Quel connard!!!!!!!!! Qu'il brûle en enfer!

Me redressant d'un bond pour fracasser la bouteille sur le premier mur venu:
Dis moi que tu veilleras sur Nicolas, dis le moi bordel!!!!
Eleonore.
Eleo, quelques jours plus tôt versait ses larmes de rage sur un parchemin annonçant la mort de son Double. Black mort.. Jamais elle n'aurait pensé cela possible. Tout être peut mourir mais ... lui... Non. Depuis toutes ces années, depuis toutes leurs missives ... depuis...
Le chagrin pesait sur tout son être, la brûlait de l'intérieur.
Plus rien n'avait de saveur. Elle avait appris la nouvelle le jour de son départ de Dié. Presque ivre elle avait pris les chemins, sans parler à personne, sans écrire à personne. Elle voulait taire cette souffrance qui la faisait tituber.
Jamais elle n'avait aimé de cette manière, il était comme son miroir, il savait interpréter ce qu'elle ressentait, il savait la rendre folle et la faire rire aux éclats, il savait lui faire perdre le nord, il était son hiver en été et bordel combien elle l'aimait! Tellement! Son jumeau, sa seconde peau..
Combien de lettres où les entre lignes parlaient et dansaient, où les blancs se faisaient soupirs et gémissements..
Ils s'aimaient de cet Amour particulier, de celui qui ne s'épouse pas, et que tant de gens ne comprenaient pas.
Elle adorait le rendre chèvre, il lui rendait au centuple, elle en redemandait.
Son esprit joueur, son franc parler.. personne.. Aucun homme ne lui arrivait à la cheville.
Et les obsèques déjà. Nooon! Le refus était tellement catégorique. Il ne pouvait pas quitter sa vie comme ça, aussi banalement, aussi soudainement, aussi... Non! Elle ne lu avait pas tout dit, elle avait le temps et elle était en
colère après lui, elle avait bien senti combien il s'était détourné depuis un moment..
- Mais bordel à chaque fois qu'on se croise t'es en main!
Il râlait quand elle était accompagnée mais ça ne changeait rien entre eux. Elle râlait aussi, ils s'aimaient à leur façon, pleine et entière, de cette fougue de vie.. De ces mots passionnés.
Mais là elle souffrait.. Elle n'avait jamais pu le balayer d'un revers de main, le chasser de son âme.. il avait toujours été dans sa vie. Et aujourd'hui ..
Les yeux noyés de larmes se levaient vers le ciel. Aucun son ne quittaient ses lèvres alors qu'elle franchissait le lieu où sa dépouille reposerait à jamais.

_________________
Eudoxie_
La mort est un mal commun à tous (JW.Von Goethe)

Impensable ? Admettre ? Ventadour...

Conflans-Lès-Sens avait vu l'annonce d'un non-sens, de l'impensable couché sur le parchemin par une inconnue et l'effondrement d'une brune béarnaise au milieu d'une roulotte sous le regard surpris de son compagnon.
Parjurer le sort, injurier la vie, cette "salope" comme elle l'avait nommé dans une rage sourde en laissant l'infamie se frayer un chemin au plus profond de son être, comment se pouvait-il... comment ne serait-ce que l'admettre...

"La force tranquille" comme certains aimaient à l'appeler, pour elle il resterait à jamais son sorcier... lui qui d'une folie post-tournoi helvète avait réussi à lui redonner confiance en la gente masculine au cours de quelques mois où leur quotidien n'avait été qu'un.
Montargis avait vu la suite des nouvelles sur son départ fleurir au gré des vélins, le Limousin, Pommiers-sur-Couze, Ventadour... Symbolique douloureuse, de devoir retourner là-bas pour dire "au revoir".

Déjà une fin entre Eud et Black avait été convenu dans ce village qu'il chérissait, mais celle que la jeune femme venait vivre aujourd'hui n'avait aucunement son accord... Elle avait écrit, elle avait tenté de l'empêcher de se rendre sur le champ de bataille quand Sub lui avait appris la nouvelle à Genève.
Mais allez tenter d'arrêter Black de Wurmstein quand il avait décidé d'entreprendre quelque chose vous... Peine perdue... Et cette fois pourtant il aurait dût...

Quelques jours que la roulotte avait rejoint le bord du lac, le regard noir d'Eudoxie se perdant vers une maison en particulier chaque matin, sur des souvenirs aux saveurs sucrés, de pâtisseries, de pommes, de baignades et de tant d'autres choses.
Sans le vouloir les larmes filtraient d'elles-mêmes dans le silence du petit matin embrumé en repensant à tous ces bons moments et à tout ce qui ne serait plus jamais, son regard d'argent bienveillant et intransigeant, son sourire, ses leçons moralisatrices, son rire... simplement... lui...

Ne nourrir aucun regret hein... Tu nous en laisse pourtant tellement en héritage Black...

Bientôt il faudrait prendre la route pour l'adieu... L'église et tout ceux qui tenaient à lui... Tout allait devenir tangible... Et les bras de Soren qui l'enveloppait de son affection ne pouvait rien changer à ça.
Tout juste eut-il le temps de retenir la chevelure sombre quand un haut le coeur matérialisa tout ce que pouvait lui inspirer cette amère réalité, le peu qui avait réussi à être mangé par l'orthézienne depuis quelques jours allant nourrir les poissons du lac.

_________________
Nikkita
L'église, elle sait où elle se trouve.
Elle n'oublie pas... Jamais.

Coeur fidèle et secret d'une vagabonde qui n'en ouvre les portes qu'avec parcimonie... Détestant bien trop l'interchangeabilité propre à la survie d'une espèce à laquelle elle se sent étrangère. Ceux y pénètrent, jamais n'en ressortent. Puissance taiseuse mais indéfectible.

La vagabonde imprime. Avant l'heure, elle a le coeur Gutemberg plutôt que le coeur courant d'air.

L'heure... Elle est à l'heure, à ce rendez-vous. A l'heure, par le hasard de la vie, de la route... De la mort. A l'heure depuis l'aube qui l'a vue émerger dans les brumes matinales de Ventadour, emmitouflée de sa cape de voyage. A l'heure de ce jour pressenti depuis le premier vélin d'Ali, ce jour dont elle a pris soin d'écarter son fils des griffes grises du deuil.

C'est un autre vélin qu'elle tient, chiffonne, enserre dans sa main. Rempart de papier qui empêche à son détriment, ses ongles de venir mettre à sang sa paume. Témoignage d'un homme qu'elle connaît si peu, qu'elle a croisé plus souvent que n'a réellement discuté, et qui pourtant, l'assure d'une présence amie. Témoignage d'affection aussi, pour celui qui part, qu'elle a promis d'aller porter, pour lui. Et c'est peut-être cela, le plus dangereux pour cette gangue de verre qu'elle s'est façonnée, et dans laquelle elle se tient droite.

Croiser et affronter la douleur des regards.
Les épaules d'Ali, si jeune, et sur laquelle repose le poids de l'organisation funèbre.
Combien de pas encore jusqu'à l'église dont le clocher se dessine ?
Combien de pas encore, avant de prononcer cet Adieu refusé à Montpellier ?
Comment... Comment...


Comment te dire Adieu ?


Pas après pas, elle marche vers l'église, les yeux étincelants, habillée de sa carapace de verre.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 10, 11, 12, 13   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)