Maewenn
[Mise en place J-2, où avant, enfin la cérémonie est le 15 quoi !]
Jour de liesse à Guérande. Enfin partons plutôt pour une semaine complète, voire deux ! C'est que c'est pas souvent la fiesta dans le coin. Depuis la décision qu'avait pris la Brune d'anoblir ses deux couturières, Guérande était en effervescence.
C'était le grand ménage de printemps, avant le printemps. Le château fut nettoyé de fond en comble et décoré. Les jardins étaient magnifiquement entretenus. Guérande revêtait ses habits de fête ! Et cette joie tranchait légèrement avec l'état de la Brune. Etat qu'elle masquait comme toujours. Sourire, en toutes circonstances !
La Guérande déambulant dans les salles, vérifiant que tout était parfait pour accueillir les invités dont finalement elle ne connaissait pas le nombre. Après tout, la BAMie avait toujours voulu en faire une terre accueillante. Et qu'importe qui en franchirait les portes, il serait accueilli de la meilleure des façons tant que ses intentions étaient bonnes. Elle donnait des ordres par ci par la. Un peu plus de fleurs, de couronnes. Un peu moins de blanc, plus de noir. Ou non, plutôt l'inverse. Une tapisserie qu'il fallait remettre droite. Un portrait qui n'avait pas encore trouvé la place qui lui convenait. Elle qui n'avait pourtant jamais vraiment aimé organiser ce genre d'évènement se surprenait à s'y amuser.
Puis vint le tour des jardins. Et le temps étant propice, c'est avec plaisir qu'elle y erra, humant quelques fleurs. Une jonquille fut cueilli et mise dans sa coiffure, comme lorsqu'elle était enfant. Et puis, voila une Brune qui réfléchit à ses invitations. Bah quoi ? Elle aussi à le droit d'inviter du monde oh ! Et puis, il allait aussi falloir réfléchir à la tenue. Parce que vu les vassales, va falloir être sacrément classe ! Ou sinon, toute pouilleuse pour qu'elles prennent pitié d'elle et lui fassent une garde robe qui rendrait jalouse toutes les femmes des Royaumes ?
Mais ! Le plus gros point noir de la cérémonie ? Elle n'y connait fichtrement rien, que dalle, niet, nada, nothing, en anoblissement. Et ça, ça craint !
_________________
Jour de liesse à Guérande. Enfin partons plutôt pour une semaine complète, voire deux ! C'est que c'est pas souvent la fiesta dans le coin. Depuis la décision qu'avait pris la Brune d'anoblir ses deux couturières, Guérande était en effervescence.
C'était le grand ménage de printemps, avant le printemps. Le château fut nettoyé de fond en comble et décoré. Les jardins étaient magnifiquement entretenus. Guérande revêtait ses habits de fête ! Et cette joie tranchait légèrement avec l'état de la Brune. Etat qu'elle masquait comme toujours. Sourire, en toutes circonstances !
La Guérande déambulant dans les salles, vérifiant que tout était parfait pour accueillir les invités dont finalement elle ne connaissait pas le nombre. Après tout, la BAMie avait toujours voulu en faire une terre accueillante. Et qu'importe qui en franchirait les portes, il serait accueilli de la meilleure des façons tant que ses intentions étaient bonnes. Elle donnait des ordres par ci par la. Un peu plus de fleurs, de couronnes. Un peu moins de blanc, plus de noir. Ou non, plutôt l'inverse. Une tapisserie qu'il fallait remettre droite. Un portrait qui n'avait pas encore trouvé la place qui lui convenait. Elle qui n'avait pourtant jamais vraiment aimé organiser ce genre d'évènement se surprenait à s'y amuser.
Puis vint le tour des jardins. Et le temps étant propice, c'est avec plaisir qu'elle y erra, humant quelques fleurs. Une jonquille fut cueilli et mise dans sa coiffure, comme lorsqu'elle était enfant. Et puis, voila une Brune qui réfléchit à ses invitations. Bah quoi ? Elle aussi à le droit d'inviter du monde oh ! Et puis, il allait aussi falloir réfléchir à la tenue. Parce que vu les vassales, va falloir être sacrément classe ! Ou sinon, toute pouilleuse pour qu'elles prennent pitié d'elle et lui fassent une garde robe qui rendrait jalouse toutes les femmes des Royaumes ?
Mais ! Le plus gros point noir de la cérémonie ? Elle n'y connait fichtrement rien, que dalle, niet, nada, nothing, en anoblissement. Et ça, ça craint !
_________________