Fra_salvonarole
Un moine s'était installé dans la ville, il avait acheté une parcelle de terre afin de s'y nourrir de maïs, il ne comptait guère sur la charité.
Certes on le traitait de gros paysan, mais l n'avait guère d'écus et les vêtements coûtaient fort cher.
Lorsqu'il en était de disponible.
Il s'en vint en ville.
Arrivé place du marché il monta sur ce qu'il trouva et se mit a prêcher.
Mes frères, mes surs,
Je me nomme Salvonarole, je suis moine et espère être prètre un jour.
Comment être simple ?
Je vais essayer, d'être simple. Pas facile.
Il y a dans notre société trois ordres, trois grands ensembles d'hommes et de femmes sur lesquels repose nos royaumes.
Il y a la noblesse
La noblesse ce définie par cette phrase.
Il faut qu'en voyant un noble, les gens du commun disent : « remercions Dieu de l'avoir fait noble car s'il nous avait fallu en choisir un ce serait lui qu'on aurait choisi ».
Car la noblesse se reconnaît à cela qu'elle se doit dêtre meilleur que le vulgum.
Plus forte,
Plus grande,
Avec plus de foi et plus de ferveur,
Plus de présence à la messe
Plus de choses au service des peuples
C'est elle qui donne les généraux, les clercs, les régnants etc.
Bref la noblesse se doit dêtre la meilleur partie d'un peuple.
Je vous laisse faire la différence entre les titres et la noblesse.
Il y a aussi les clercs
Un clerc est quelqu'un qui a une charge, qui lui est confiée par l'Eglise. C'est Aristote lui-même qui confia à l'église primitive la mission de guider les hommes sur le chemin de la vertu. Les clercs sont les descendants des premiers bergers.
Un curé doit être par exemple, dans sa paroisse.
Partager le pain , avec ses ouailles les mercredis et Dimanches.
Les écouter, être présents, les baptiser dans leur village, les marier, les conseiller,
Être là pour eux.
Un évêque, doit nommer de bons curés, et donner les cérémonies en cathédrales.
Faire vivre le diocèse
Etc...
Là aussi je vous laisse juger. Il semble que le Très Haut ne fut pas clément avec vous.
Il y a le peuple
Lui seul peut être fait son travail.
Les éleveur élèvent
Les bouchers, bouchent
Les tailleurs taillent
Et ensuite ?
Est-ce cela vivre?
Vivre serait donc pour un cultivateur, « cultiver, manger, dormir, et avoir des enfants en espérant qu'ils soient vifs ». ?
Nenni mes enfant, les gens du peuple plus que les autres encore ont besoin de se souvenir que leur père créateur les recevra un jour.
Que seule la promesse d'un paradis peut aider à supporter leur passage en cette vallée de larmes.
Qu'aujourd'hui, il faut croire pour vivre. Car lon ne peut vivre sans croire.
Que seule la foi permet de supporter les guerres, la soldatesque, les impôts, les injures des nobles, la famine, le froid, la maladie, les impôts, la taille, la gabelle, la dime, l'injustice,
La mort des nouveaux nés.
La peste
Les putes affaires
Oui c'est tout cela que la vie
Y ajoutant, la corvée, le travail au champs, au bois, la conscription, les brigands,, les pillards...
Alors oui parfois la mort vous est délivrance car vous savez que votre père créateur, vous attend. Qu'il vous aime autant que vous l'avez aimé. Qu'il vous réserve une place à la hauteur de ce que vous avez été.
Alors soyez, tous autant que vous êtes dignes dêtre des hommes et des femmes de notre siécle.
Considérez les faux nobles et les faux curés, comme ils le méritent, mais ne les jugez pas, votre père, le Très Haut les jugera tels qu'ils le mériteront.
Elle est là votre gloire future.
Vous serez accueillis où eux ne le seront pas forcément.
Je vous laisse méditer.
Puis il attendit les réactions, peut étre les gens l'écouteraient, poseraient des questions...
Il répondrait
Certes on le traitait de gros paysan, mais l n'avait guère d'écus et les vêtements coûtaient fort cher.
Lorsqu'il en était de disponible.
Il s'en vint en ville.
Arrivé place du marché il monta sur ce qu'il trouva et se mit a prêcher.
Mes frères, mes surs,
Je me nomme Salvonarole, je suis moine et espère être prètre un jour.
Comment être simple ?
Je vais essayer, d'être simple. Pas facile.
Il y a dans notre société trois ordres, trois grands ensembles d'hommes et de femmes sur lesquels repose nos royaumes.
Il y a la noblesse
La noblesse ce définie par cette phrase.
Il faut qu'en voyant un noble, les gens du commun disent : « remercions Dieu de l'avoir fait noble car s'il nous avait fallu en choisir un ce serait lui qu'on aurait choisi ».
Car la noblesse se reconnaît à cela qu'elle se doit dêtre meilleur que le vulgum.
Plus forte,
Plus grande,
Avec plus de foi et plus de ferveur,
Plus de présence à la messe
Plus de choses au service des peuples
C'est elle qui donne les généraux, les clercs, les régnants etc.
Bref la noblesse se doit dêtre la meilleur partie d'un peuple.
Je vous laisse faire la différence entre les titres et la noblesse.
Il y a aussi les clercs
Un clerc est quelqu'un qui a une charge, qui lui est confiée par l'Eglise. C'est Aristote lui-même qui confia à l'église primitive la mission de guider les hommes sur le chemin de la vertu. Les clercs sont les descendants des premiers bergers.
Un curé doit être par exemple, dans sa paroisse.
Partager le pain , avec ses ouailles les mercredis et Dimanches.
Les écouter, être présents, les baptiser dans leur village, les marier, les conseiller,
Être là pour eux.
Un évêque, doit nommer de bons curés, et donner les cérémonies en cathédrales.
Faire vivre le diocèse
Etc...
Là aussi je vous laisse juger. Il semble que le Très Haut ne fut pas clément avec vous.
Il y a le peuple
Lui seul peut être fait son travail.
Les éleveur élèvent
Les bouchers, bouchent
Les tailleurs taillent
Et ensuite ?
Est-ce cela vivre?
Vivre serait donc pour un cultivateur, « cultiver, manger, dormir, et avoir des enfants en espérant qu'ils soient vifs ». ?
Nenni mes enfant, les gens du peuple plus que les autres encore ont besoin de se souvenir que leur père créateur les recevra un jour.
Que seule la promesse d'un paradis peut aider à supporter leur passage en cette vallée de larmes.
Qu'aujourd'hui, il faut croire pour vivre. Car lon ne peut vivre sans croire.
Que seule la foi permet de supporter les guerres, la soldatesque, les impôts, les injures des nobles, la famine, le froid, la maladie, les impôts, la taille, la gabelle, la dime, l'injustice,
La mort des nouveaux nés.
La peste
Les putes affaires
Oui c'est tout cela que la vie
Y ajoutant, la corvée, le travail au champs, au bois, la conscription, les brigands,, les pillards...
Alors oui parfois la mort vous est délivrance car vous savez que votre père créateur, vous attend. Qu'il vous aime autant que vous l'avez aimé. Qu'il vous réserve une place à la hauteur de ce que vous avez été.
Alors soyez, tous autant que vous êtes dignes dêtre des hommes et des femmes de notre siécle.
Considérez les faux nobles et les faux curés, comme ils le méritent, mais ne les jugez pas, votre père, le Très Haut les jugera tels qu'ils le mériteront.
Elle est là votre gloire future.
Vous serez accueillis où eux ne le seront pas forcément.
Je vous laisse méditer.
Puis il attendit les réactions, peut étre les gens l'écouteraient, poseraient des questions...
Il répondrait