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Croix de bois, croix de fer

Arystote
Branle bas de combaaaaaaaaaaaaaaaaaat dans le personnel du Castel d'Ais. Une remise de médaille signifiait qu'il fallait une belle salle de cérémonie toute décorée des premières fleurs du printemps. Cela signifiait aussi qu'il fallait un buffet avec des mets aux saveurs épicées, sucrées, des viandes et poissons savoureux etc. Cela signifiait qu'il fallait laver, nettoyer, préparer... Bref cela courrait dans tous les sens.

Aussi Arystote attendait-il Hersende et Eavan dans l'antichambre de la Salle de Cérémonie afin de ne pas gêner le personnel du Château. Il n'avait guère laissé le choix du castel à sa suzeraine étant parti du principe qu'Avignon devait être en pleins préparatifs du couronnement mais aussi parce que ça lui évitait de faire la route jusqu'au siège du Marquisat, avouons-le.

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Eavan
Le Maitre d'Armes avait eu à faire lors de son retour de mission. Compiler des votes pour l'OCP entre autres. Et bien entendu dans la dynamique s'inscrivait la fameuse cérémonie. Et c'est ainsi qu'Eavan rejoignit l'Illustre dans l'antichambre de la Salle de Cérémonie et le salua respectueusement, un coffret de bois sous le bras.
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Antonnagisa
Nagisa, laissa son cheval à l’écurie du castel. Il salua le palefreinier chaleureusement, profitant de la relative chaleur dégagée par les litières et les animaux. Le trajet, sous le soleil qui darde timidement ses rayons de printemps, s’était passé sans heurts. Il avait talonné sa monture dès qu’il pu gagner l’arrière pays, et avait croisé moulte paysans affairés, les saluant comme à l’accoutumée, leur adressant un mot sur la récolte à venir, soucieux des affaires de la terre. Son père lui avait appris que le métier des armes n’était rien si on ne pouvait se nourrir, et il vouait un énorme respect aux gens de pays qui assuraient la provende, se rappelant des pactes anciens entre les chasseurs ceuilleurs et les sédentaires.. Bref, c’était tout à ces réflexions que le cadet de famille avait ruminées, emballé dans une épaisse cape de lin qui s’étandait jusque sur la croupe de son alezan, pour garder sa chaleur interne et isoler du froid mordant encore aux petites heures des matines. Il songeait à tout cela, car il était naturellement flatté par l’honneur qui lui était fait, mais ne savait pas si sa vêture était correcte, n’ayant plus sa famille pour l’aider en guise de protocole. Etant cadet, il avait du trouver cheminement seul son avenir n'étant pas tracé. Son frère aîné, lui, se moquait du protocole comme d’une première braie, mais il avait disparu depuis tant d’années, aujourd’hui. Il l'aurait bien rassuré dans de telles circonstances car Nagisa était tout sauf un courtisan et il était flatté par l'honneur qu'on lui faisait et en même temps il ne savait pas comment se comporter. Son frère semblait toujours adéquat dans n'importe quelle circonstance , il faut dire que la devise de son frangin était de s'imposer aux événements et non l'inverse, toujours tenir la draguée haute, c'était aussi pour cette raison qu'il avait eu tant d'amis mais aussi tant d'ennemis. Nagisa était différent, volontaire mais réfléchi, et parfois cette satanée réflexion était un frein à l'action, mais parfois elle lui avait sauvé la vie. Sans doute que Nagisa avait adopté le métier des armes en hommage au colosse qu’il ne pouvait guère concurencer qu’ne souplesse, mais son esprit fuyait souvent dans les récits épiques car il s'était voué également au métier des trobadors. Il avait lu la lettre du comte, et n’ignorait pas que la marquise serait sans doute présente, elle qu’il n’avait plus vu depuis qu’il n’était plus dans la garde marquisale. Le comte l'avait fait mander, et il ne l'avait aperçu que de loin, pourtant il se rappelait de lui. Il avait souvenance de sa jeunesse comme page à la cours d'Alénor et puis de Guilaume dit le troubadour qui lui avait donné le goût des lettres, et tentait de se souvenir des attitudes à avoir en de telles circonstances.Il savait aussi que dans l'action il avait toujours eu des bonnes relations avec ces hauts personnages, relation meme cordiales lorsqu'ils menaient mission commune. Il vérifia ses habits et confia quelques effets à un personnage de la maisonnée qui le précédaitlui indiquant le chemin. Bon certes il remit ses idées en place et para à ce qu'il devait faire. Comment narrer une geste de tout cela? C’etait ces pensées qu’il ruminait, mais il savait qu'il remettrait ces songes à plus tard. Il était encore tout aux brumes du matin, lorsque le contact avec le concret le rappela à l’ordre.Le castel de pierre aux hauts murs se dressait devant lui, comme un géant à la gueule ouverte. Il devait rentrer dans cette bouche. Il franchit le pont, se présenta sous la herse, on le conduit vers l’écurie et le voici à bavarder amicalement avec le palefrenier, lui demandant de bien traiter son cheval, et de lui donner bon foin et mélange approprié, pas trop d’avoine pour éviter d’avoir à retenir l’animal au retour. Il se demandait aussi quel protocole devrait il suivre pour éviter de faire une quelconque bévue, tout à ces élucubrations, il hésitait à rentrer dans le corps de logis près du donjon, des gardes en faction se tenaient à l’entrée.Il quittait donc l’écuyer et se dirigea de l’autre côté de la cour d’un pas qui se voulait décidé. Ne laissant rien paraître de ses questions.
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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Hersende
Hersende avait quitté Avignon qu'elle trouvait un peu sens dessus-dessous ces derniers temps.

Non pas qu'elle eût l'intention de remettre en cause les façons de faire de la précédente Marquise mais depuis le temps, elle aimait travailler dans un certain cadre et avait fait venir quelques meubles auxquels elle était attachée, particulièrement cet immense secrétaire aux multiples tiroirs qui la suivait depuis qu'elle avait été présidente de la Cour d'Appel et sans lequel elle se serait sentie très désemparée, ayant pris l'habitude d'y classer les documents à traiter par ordre d'urgence.
Son jeune secrétaire Yvain avait repris possession du bureau marquisal et de son bureau attenant, comme s'il ne l'avait jamais quitté... et était en train de donner des ordres pour que tout soit organisé de la façon qu'il savait convenir à Hersende.

De plus la date du couronnement ayant été fixée, l'intendant avait commencé à préparer des appartements et des chambres, lui proposait chaque jour des menus, s'angoissait sur le nombre d'invités...

Trouver un peu de calme à Aix n'était donc pas pour déplaire à Hersende! En plus, il s'agissait d'une remise de croix et d'autres récompenses. Elle se présenterait ce jour avec une double fonction : celle de Maréchal de l'Ordre de la Croix provençale qu'elle arborait fièrement autour du cou, pour accueillir de nouveaux récipiendaires, et celle de Marquise pour la remise avec le Comte de récompenses maritimes.

Son carrosse la déposa devant le château d'Aix dont elle franchit le poste de gardes et traversa la cour où elle aperçut Nagisa qui avançait d'un pas décidé se dirigeant vers la salle de cérémonie. Leur chemin se croisèrent et Hersende appela son ancien garde :


Oh Nagisa! Je suis contente de vous voir. Vous allez être à l'honneur aujourd'hui, honneur tout à fait mérité. Si vous avez un petit moment après la cérémonie, j'aimerais m'entretenir avec vous d'un projet.

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Hersende de Brotel, Marquise de Provence, Comtesse de Valréas, de Mazan et de Narni, Baronne d'Istres, Dame de Céreste

Antonnagisa
Nagisa, n'avait pas vu ni entendu venir La marquise. Il se figea. Sourit. Bon jour ma dame

dit il en s'inclinant ,et agitant son chapeau qui racla le sol. Caramba, ces plumets sont décidément démesurés pouffat- il intérieurement, mais un peu gêné par sa maladresse. Par chance la poussière voleta jusque sur les bottes d'un garde mais épargna la robe de la Marquise, c'était un tenue de voyage mais tout de même

Pardon Marquise, ces plumets sur nos chapeaux sont de véritables pièges à poussières. .


Il se redressa, et lui pria d'entrer.


Je vous verrai avec plaisir après la cérémonie, qu'il en soit ainsi, vous me direz donc où me rendre. ou me ferez mander


Il laissa ensuite La marquise pénétrer dans le bâtiment ainsi que sa suite et s'y engagea à son tour. Quelque peu curieux. La marquise avait touché juste en éveillant sa curiosité. Il observait le lieu, le hall était sobrement décoré mais le va et vient des personnes en charges des préparatifs mettait de la gaité et de l'entrain, et les bruits de course, les déplacements des corps formant comme un balai, tout cela enchantait Nagisa qui se sentait comme un gosse dès qu'il y avait une humeur de fête aux alentours. Il humait l'air qui montait des cuisines et ce qu'il perçu l'étonnait, il savait que le comte était un gastronome ou du moins attachait de l'importance à la bonne chair, mais cela aiguisait d'autan tplus sa curiosité. pour l'heur il préférait se restaurer de manière frugale car la cérémonie lui nouait quelque peu l'estomac. Il craingait davantage la soie des salons que le fil d'une épée, et un beau combat, bien chorégraphié, un bel échange d'estocades données avec honneur, une esthétique de la vie et de la mort sans crainte ni espoir . Il connaissoit par sa mère quelques menues règles de savoir -vivre et de tenure en ses circonstances, mais il n'en avait vraiment plus l'accoutumée. Bah. il parait que c'est comme le poney, cela ne s'oublie pas. Ouf, il se rasséréna à cette pensée loufoque
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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Albert1
Al, de retour en Provence avait eu vent d'une remise de médaille et son ami Nagisa lui avait fait parvenir un billet...

C'est que lors de ses nombreux mandats en tant que Prévôt de Provence, il avait eu plaisir à travailler avec lui... Jamais un mot plus haut que l'autre, toujours présent, toujours volontaire, un Provençal comme il aimait en croiser...

Et c'est tout naturellement qui'il entra dans la salle de cérémonie...

Il se dirigea vers lui


Nagisa, comme je suis content pour toi, qu'enfin ton dévouement soit reconnu et toutes et tous. Tu le mérites tellement.

Il aperçu enfin Ary et son sbire ainsi que la toute nouvelle, pas si nouvelle que cela, Marquise... il se dirigea d'abord vers Ary and co

Comte, Vicomtesse, cela sonnait très faux dans sa bouche, mais étiquette oblige... je suis de retour après un petit mois de voyage, mais heureux de rentrer tout de même. j'espère qu'ici tout va bien !

Puis, sans vraiment attendre de réponse, il part rejoindre Hersende... Comment va-t-il l'aborder ?

Humm, Ma très chère Marquise, votre Majesté, je suis content de vous revoir, qui plus est en tant que Marquise. A chacune de mes arrivées, vous êtes Marquise... J'espère partir souvent pour revenir souvent...

il lui avait parlé tout naturellement tout en faisant une révérence dont l'étiquette Provençale aurait bannis pour sûr...
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Antonnagisa
Nagisa, souria en regardant Alejandro pénétrer dans le château, d'un air encore plus décidé qiu'il n'affichait tout à l'heure, Cela dans un cliquetis d'armes dissimulées par un long manteau qui feutrait à pein le bruit métallique. Quelle fougue. Il était déjà dans une autre pièce que lui attendait encore dans le Hall, ayant laissé la Marquise et sa suite pénétrer dans les salons, plus avant,tandis que lui attendait patiemment dans le hall qu'on vienne le mander. Le devinait toutefois le trajet de pièce en pièce vers la salle de cérémonie, les bureaux adjacents, les antichambres, la salle des pas perdus et celles des complétement égarés. Il espérait tout de même pouvoir bavarder avec quelques personnes, et se demandait qui participerait au buffet. Une fête ça se fête diiantre. Y aurait il des troubadors, des jongleurs, des danseurs, de la musique où bien serait ce une cérémonie plus formelle? Impossible pour lui de répondre à cela. Quoiqu'il en soit, en voyant Alejandro arriver, cela lui remit les idées en place et il songea qu'il fallait qu'il consultasse les ordres du jour de la garde pour connaitre ses activités des prochains jours. Avec le printemps qui s'annonce il espérait un peu de calme, mais savait aussi que l'été venant, les temps de relâche, c' était le moment préféré pour que survienne l'air de rien les dangers. Il en avait la mémoire et l'expertise. II fallait donc toujours être vigilant. Tranquille mais vigilant. Il ne connaissait le comte que de réputation, même s'il l'avait crorsé à moultes occasions, sa fonction exigeait qu'il se maintienne en retrait, mais il avait hâte de le rencontrer, curieux qu'il ait songé à lui pour cette récompense qui bien qu'il soit modeste, le touchait par ailleurs. Son action trouvait un sens pour d'autres que lui. Depuis de nombreux mois il avait entrainé son esprit à être sur le qui-vive. Mais ici dans l'écrin du castel, il se sentait hors du temps. iI pouvait sans doute relacher quelque peu son attention. Il regardait autour de lui, le castel était gardé par des hommes et des femmes consciencieux, tout semblait en ordre de ce côté. Déformation professionnelle, se dit il après avoir embrassé l'espace d'un coup d'oeil circulaire.

Après avoir salué son compagnon coup de vent, il commençait à murmurer une canson entendue en toulousain : il s'éclaircit la voix. Le trobador en lui revient au galop. Il faut dire que lors des veiulles dans le froid des tours de guet les chants égaient. Cette chanson est tirste cependant, mais émouvante... la version à plusieurs voix qu'il avait ouïe lui enchantait encore les tympans.

Il murmurait tranquillement jouant avec la reverberation du hall, qui lui renvoyait le chant de plusieurs côtés à fois. Ah Guillaume quel talent songea t-il en ayant le chant à l'esprit.

https://www.youtube.com/watch?v=9ti59NdbG1c&ebc=ANyPxKoWHP6fpCxxhhgMBJmAA0Uz46yw7F0Cn8PvIHs8SDKNdHjPHh0PPX8WXCRMPQ-VVgqk1vz-xwiMxHIPSPRP-aliXY9OWg

Derrière la porte provenait un son, caratéristique d'instruments que l'on accorde, et ensuite de musiciens eaccordés qui déclinent la voix des anges, la concorde, en faisant vibrer cordes et vent... Frappant le tambourin pour ajouter une touche terrestre à l'ensemble. Son coeur se serra lorsque désorienté il entendit plus oriental une musique qui lui évoqua sa période à la cour de Barcelone, et le départ de son père en qualité d'amabssadeur dans la nef qui cingalit vers Constantinople. Chant qui évoquait pour lui la joie et la tristesse. ce n'était pas le moment de se laisser aller au vague à l'âme. Il y avait donc de bosn musiciens céans et il ignorait leur présence, il attendit patiemment mais bouillait d'imaptience de les entendre et de pouvoir parler avec eux.


https://www.youtube.com/watch?v=1hQNM9Pj6iU
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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Hersende
Protocole oblige, Hersende était entrée dans l'antichambre en premier, espérant qu'Antonnagisa n'hésiterait pas à la suivre, lui qui était à l'honneur ce jour.

Elle y trouva Eavan et Arystote, bien silencieux, et s'interrogea sur le fait qu'ils ne fussent pas déjà dans la salle.


Votre Grandeur, Vicomtesse, le bonjour. La cérémonie a-t-elle lieu ici? dit-elle d'un ton amusé, désignant l'antichambre.

Mais au lieu d'Antonnagisa, ce fut Alejandro qui entra d'un pas décidé, salua brièvement le Comte et le Maître d'Armes et s'arrêta pour la féliciter.


Alejandro, ravie de vous voir de retour! dit-elle en riant à sa réflexion.
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Hersende de Brotel, Marquise de Provence, Comtesse de Valréas, de Mazan et de Narni, Baronne d'Istres, Dame de Céreste

Arystote
Après avoir salué la Maître d'Armes, Arystote accueillit Antonnagisa avec le sourire. Il avait apprécié le chemin prit par Diane de récompenser les défenseurs provençaux et c'est donc en toute logique qu'il avait prit la suite en choisissant le Sabran et le brignolais.

Hersende arriva ensuite et s'ensuit un échange entre les deux. Arystote attendit un peu avant de s'avancer vers eux.


Bienvenue à tous les deux... tous les trois, se reprit-il puisque Alejandro avait fait son entrée à son tour.

Avant qu'il n'ait pu continuer un valet vint lui murmurer quelque chose.


Ah parfait !

On me dit que la salle est prête entrons donc ! Antonnagisa pas trop nerveux j'espère ?


Pour avoir vécu la même chose quelques mois auparavant, il savait que de prime abord la cérémonie pouvait impressionner.
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Daisy64
Daisy n'avait pas participé aux préparatifs de la cérémonie, le Comte ayant pris les rênes de l'organisation au château d'Aix.
Quand elle arriva dans la salle de cérémonie tout y était prest, les décorations, les sièges qui attendaient les membres titulaires sur l'estrade, Le Comté avait pensé à plus de festivités avec des banquets pleins de victuailles et de boissons qui se trouvaient dans la salle adjacente avec déjà moulte animations le temps que tous se réunissent après la cérémonie.

Elle vit Nagisa suivre Alejandro dans l'antichambre. Au lieu de rentrer à son tour, elle alla directement s'installer sur l'estrade ne voulant s'imposer. Elle se rappelait encore de la divergence d'opinion qu'elle avait opposée au chef maréchal, situation qui la rongeait jusqu'à présent car elle n'avait jamais pu s'expliquer avec lui. Elle le respectait et l'apréciait, c'est lui qui d'une certaine façon l'avait amené à rentrer dans la Maréchaussée.
Al, lui était encore plus impulsif et elle craignait qu'il ne subisse un jour un mauvais coup du sort. Lui ausi elle l'apréciait malgrè ses réactions intempestives. Son esprit était volontaire mais quelque peu rebelle.
Elle attendit l'arrivée de ses pairs, arrangeant sa houpelande et sortant la médaille sur sa poitrine de sorte qu'elle fut visible à tous. Usage oblige même si d'habitude elle n'en aurait jamais fait étalage.

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Albert1
Ayant saluer les personnes présentes dans l'antichambre, Al ressorti dans la salle de cérémonie et aperçu Daisy qui était assise médaille bien en vue...

Il s'approcha d'elle afin de la saluer !


Bonjour Daisy, ou devrais-je dire Mon Amirale ? ou mon Vice-Amirale ? Je suis content pour vous...

Il faudra que l'on discute de notre échange par courrier, j'ai des informations quand au destinataire final de la caraque en question...

Puis-je prendre place à vos côtés ?


Al n'attendant pas la réponse de Daisy, se posa à ses côtés... et attendit en sa compagnie le début de la cérémonie.
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Antonnagisa
Comme l'un des suivants de la Marquise toussota, le sortant de sa rêverie et lui indiquant ainsi qu'il pouvait emboîter le pas de la Marquise dans l'antichambre..Nagisa , hocha de la tête, et presque à regret quitta la pièce d'où provenait cette musique. Bah, il l'entendrait plus tard se dit il. Il se retrouva donc dans la salle où s'était réuni tout ce monde, et salua le Comte qu'il découvrit enfin.

Votre Excellence

Il se dirigea également vers l'autre personne... Maitre d'armes. Une combattante se dit il il aimerait sans doute un jour croiser le fer, s'entraîner avec elle, mais il verrai cela plus tard. -il s'inclina

Vicomtesse

Il salua ôtant le couvre chef et faisant virevolter celui ci comme s'il faisait un tour de passe passe, puis croisant légèrment les jambes comme on lui avait enseignait s'inclina légèrement en ce demandant si toutefois la mode n'avait pas changé, car ce salut datait bien d'une dizaine d'années..Il était intrigué par la cassete de bois se demandant quelle arme secrète elle contenait.





Il s'inclina en tenant son épée légèrement surelevée afin qu'elle ne racle point le sol et ne crisse aux oreilles, brisant l'harmonie du lieu.


Oui, je suis bien ému, avoua t-il, d'autant que mon action était discrète jusqu'alors et qu'elle vous parvint aux oreilles par le truchement des voiix amies sans doute.


Il se redressa ensuite et laissa le comte et la marquise deviser ensemble, respectant ainsi le protocole, et il s'apprichère de la porte de l'antichambre qu'un valet avait entrouverte pour jeter un oeil dans la salle. Au loin il vit son ancienne compagne d'armes de la garde actuellement Amirale assise sur l'estrade, Il la salua du chef et d'un petit signe lui fit comprendre qu'ils parleraient ensuite. Il posa sa main sur l'épuale d'Alejandro et le remercia de sa présence.


Alors ce voyage? Pouvez vous en parler ou est ce mission secrète? Si vous pouvez parler ne fus ce que de choses ordinaires, des lieux traversés, des gens rencontrés des mets goûtés, vous savez qu'en sus d'êtreun guerrier je suis aussi un torunbadour qui aime à narrer moulte histoires et les agrmente parfois de faits vécus, transformé pour l'occasion. Si vous avez des anectodes, des récits, des brèves je suis preneur. Mais je ne monaye pas , je ne suis pas marchand, je suis pour l'échange brut d'informations, il rit... C'est ainsi que nos histoires se transforment et évoluent d'un troubadour à l'autre, d'une cours à l'autre, ...


Il écoutait le murmure de la salle où pénétrait le public. Il tendait l'oreille pour ouîr la réponse d'Alejandro, et en même temps observait le tableau réuni dans l'antichambre. Alejandro lui narra quelques événements et ensuite se rendit aux côtés de Daisy, avec laquelle il se mit à bavarder

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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran ; artiste peintre et troubadour
Joel51
Joel avait reçu une missive du comte Illustre et il arriva au bras de son épouse, il était toujours un peu perdu dans ce genre de cérémonies et la présence de Mielle était pour lui d'un grand réconfort.

Il était fier et tellement heureux d'être maintenant baron "qu'on sort" et c'était aujourd'hui la première fois qu'on le sortait dans ce genre de cérémonie.

De nombreuses personnes se trouvaient déjà dans la salle...
Il alla les saluer l'une après l'autre accompagné par son épouse

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Senhor d'Ollioules
Guirre
Guilhem entra à son tour, en saluant les personnes qu'il rencontrait, puis se mit un peu à l'écart pour suivre le déroulement de la cérémonie.
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Fred1003
Fred était lui aussi sur place maintenant, ravi pour son ami Nagisa qui allait recevoir sa médaille, médaille bien méritée.
C'était un homme qui possédait d'énormes qualités, quelqu'un sur qui on pouvait compter et de confiance ce qui se faisait de plus en plus rare, il était donc normal de le voir à l'honneur aujourd'hui .
Fred était arrivé certes un peu en retard, c'est pour cela qu'il se mit un peu en retrait pour suivre la cérémonie après avoir salué furtivement les quelques personnes qu'il avait déjà pu croiser avant de prendre place.
Les félicitations et salutations viendraient un peu plus tard et n'en seraient que plus chaleureuse encore ...

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