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Malgré vous, j'irai à votre couronnement

Hersende
A l'appel du Cardinal, Hersende s'avança dans la cathédrale, pendant que la musique commençait à s'élever vers la nef, faisant taire les bavardages.

Très concentrée sur l'instant, elle ne pouvait regarder à droite et à gauche les visages connus ou moins. Elle pourrait saluer les visiteurs et les amis après la cérémonie.

Elle remonta d'un pas lent l'allée centrale, les mains jointes, et s'arrêta devant l'estrade située à la croisée du transept où l'attendait le Cardinal. Elle gravit les quelques marches et resta debout face au choeur et au prélat.

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Lavava
Lavande avait acquiescé. Elle connaissait de trop les préoccupations des gens d'armes et la capitaine, en cette cérémonie, devait en avoir tout son lot.
C'est donc en compagnie du Commandeur qu'elle alla s'installer en la cathédrale et papota gentiment avec lui, en attendant que les festivités commencent.

Il était difficile de couper le sifflet de la Maréchale, mais un seul y arrivait toujours ; elle ne savait pas comment il s'y prenait pour arriver à la surprendre à chaque fois mais là encore il avait eu sa petite victoire. Le Grand Maitre avait fait le déplacement. L'essence de l'Ordo Sancti Georgii était là, à leurs côtés...

Un sourire, ravi ; elle appréciait sa présence d'autant qu'il n'aimait pas souvent se montrer. Et puis fierté, soulignée par un imperceptible redressement du buste, ses mirettes bleues brillantes, n'osant se planter dans le noir profond de son oeil unique.

Elle ne dit rien, un simple petit salut de la tête. Pas besoin de longs discours avec lui, il connaissait déjà ses pensées avant qu'elle ne sorte mot, de toute façon.

Lavande se concentra sur la cérémonie...

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Vous ne m'aurez pas, car mon combat est juste ! **OSG**
Antonnagisa
Après avoir enfin trouvé une chambre sous des combles, basse à souhaits, dont la pente de toit s'affaisait vers l'endroit où trouait une fenêtre, il ne pouvait donc s'y déplacer debout que sur un tiers environ. Aîe, Ouille....Tudieu....Il hésita, et se dit ensuite, que c'était juste pour y passer une nuit , deux à la rigueur. Il se frotta la tignasse en doutant de son choix. Mais c'était bien la dernière chambre qu'il put trouver aussi près de la cathédrale, en tout cas. Et ma foi ( c'est à dire sa foi) se dit il, au lit grand et agréable et propre. Nagisa se saisi de son luth, laissa à regret son épée dans le creux d'une poutre de la chambrée et ferma l'huis, et près de l'aubergiste engloutissant quelques victuailles pour se caler l'estomac, il vit une illustre personne qui l'avait, il y peu, décoré comme un sapin de Noel. iI eut un mot qui lui plut à cette occasion d'ailleurs. Il songea qu'il ne pourrait le reconnaitre dans ses vêtements de troubadour, et sans ses attributs militaires. II vit la belle aussi..... Il adorait être le specateur de tant de complicité. Cela le ravissait, dans le sens lui faisait échapper à tout principe de réalité. Ce qui ne le mettait pas hors de lui pour autant, mais au contraire le reconnectait avec l'essence de l'être là. .L'homme imagina: paille, foin, faire un foin, toute la paille, ... moissons... foison ... toison... serpe... suite... sainte..suinte.... saison.... des vers champêtres donc, le Rhin ensuite....un rocher.... Tenta en souriant de composer quelques vers, gratta son luth, et fit sonner une corde, dont le timbre heureusement se noya dans le tumulte des voyageurs qui entraient et sortaient...ouf s'était la dernière chamre qu'il avait pu avoir. Il avait une cérémonie,à laquelle se rendre, songeant que les romances n'étaient point facile à narrer pour qu'elle ne fusse point mièvre, et que ce qu'il voyait là lui semblait digne d'intérêt , mais s'il ne se grouillassait pas il louperait le début de la cérémonie. Il fila donc à l'anglaise, et de toute manière tout le monde semblait affluer dans la même direction, un peu comme les vaches regardent toujours dans le même sens lorsqu'elles broutillent un prè. Il s'engouffra dans la cathédrale lorsqu'il entendit l'annonce du cardinal et, grâce à son sauf- conduit, qu'il montra prestement aux gardes, se faufila comme on lui avait proposé en première ligne. Il cherchait à s'adosser à une colonne ou trouver un siège car sa taille pourrait bien empêcher un quidam de jouir du spectacle. Il s'adossa donc et placa le luth à ses pieds, le stabilisant afin d'éviter qu'il ne choie, et ne tinte à l'un de ses moments de silence où tout le monde retient son souffle. Il avait un peu chaud, et n'avait pas vu sa belle. mais il se dit qu'elle la rejoindrait bien plus tard, il était reconnaissable de toute manière là où il se trouvait. Il vit la marquise qui s'avançait à présent, digne et joliment vêtue.
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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran

Troubadour à la Confrérie_ Officier_de_la C.P.

Arystote
Arystote devait l'admettre, il ne s'était pas attendu à cette réaction. Il attendait qu'elle s'insurge pas qu'elle abandonne le combat aussi vite... Résultat elle avait l'air triste. Elle était belle aussi avec ce brin de mélancolie dans le regard pourtant bien qu'il se faisait la réflexion sur cette beauté, il cherchait à faire naître un sourire sur ce visage.

L'Illustre de Provence n'a que faire de sa réputation ou de choquer croyez-moi, n'importe quel provençal vous le confirmera.

Quant à votre nom... si vous saviez ce qui se dit du mien...


Il lui sourit

Toutes ces histoires autour de votre nom c'est des histoires de vieux !

Parce que bon il fallait le dire, aux yeux d'Arystote, il n'y avait que les vieux pour ressasser les vieilles histoires de guerre... Il avait entendu parler de Namay mais pour lui cela évoquait plus le mainate de son cousin Guilhem, qu'un chef de guerre.

Il l'invita d'un geste à monter dans la voiture qui les conduirait jusqu'à la Cathédrale.


C'est avec vous que je veux être aujourd'hui. C'est ce que vous souhaitez aussi ?

Poser la question l'amenait d'un coup à douter et à se poser lui-même la question. Il jeta un regard inquiet notant en passant qu'il aimait le dessins de ses boucles brunes retombant sur ses épaules.
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Nerval
Une invitation qui provenait d'une discussion entre personnes courtoises. Au delà des négociations qui s'afféraient et bien assez pompeuse à son goût la Marquise l'avait honoré en lui faisant parvenir une invitation pour la cérémonie d'intronisation. Il n'y aurait eu aucune raison qui puisse l’empêcher de faire le bien court chemin entre Beuil et la Provence. Ses pas l'avaient rarement mené dans ces terres et au vu de la réputation le voyage serait fort distrayant. Le paysage était aussi beau que ce qu'on avait pu lui compter.

Beuil s'éloigna lentement derrière lui. Il oscilla régulièrement entre regarder le paysage qui défilait et les doux songes de son âme. Pour cette dernière activité son arbre était bien plus adapté mais il tentait d'occulter du mieux possible les trous de la chaussée et la pénible odeur des chevaux tirant son carrosse. Il ne pu voir le temps passer que le moche le conduisant vint de sa voix nasillarde le prévenir que l'arrivée était imminente. Utilisant ces quelques instants le séparant de la cérémonie, il remit en place une bonne vingtaine de fois son col ainsi que ses manches.

Alors que la porte s'ouvrit il se fit annoncer au petit page expliquant l'invitation qu'il avait reçu de la part de Sa magnificence Hersende. Saluant de la tête poliment les gens qu'il croisait il s'immobilisa dans la cathédrale un peu loin du cœur de la cérémonie. Il n'était ni présent en tant qu'ambassadeur ni en tant que Duc Savoyard ni même en temps que haut noble impérial. Le Palatin était là pour répondre avec respect à l'invitation.

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Lorelei_
Docilement, la voila qui monte dans la voiture. Une fois installée, elle se penche légèrement vers lui. Il allait maintenant falloir qu'ils s'occupent pendant le trajet. Et pour tout dire, elle n'avait aucune idée de combien de temps il fallait pour rejoindre la cathédrale. Un léger sourire se dessine, un murmure.

Bien sur que c'est ce que je souhaite. Même si ...

Un léger silence s'installe avant qu'elle ne reprenne.

Cela me fait peur. Un peu.

Et voila que ses joues s'empourprent légèrement. Il est temps de changer de sujet.

Que se dit il de votre nom ?

Autant profiter du trajet pour en apprendre un peu plus sur lui. Au risque de s'y attacher encore plus également. La Salmo Salar joue avec le feu. Un peu trop.
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Leg_dicesarini
Le Commandeur de l'Osg , après l'échange courtois avec le Capitaine , se dirigea donc avec Lavande a l'intérieur de la cathédrale et pris place ...

il posa son séant avec une élégance gracieuse , qui pour certain devait en estre estonné , du fait de sa grande carcasse et de son poids ...plume .... Il jeta un œil en coin a la Maréchale, se disant en lui-mesme qu'il lui faudrait bienstot arrester de consommer les friandises locales , car son baudrier commençait a le gesné au tantinet aux entournures...

Adonc il pose séant , séance tenante , tourne son visage aperçoit une connaissance , Nerval , qu'il salue de la teste ...et soudain sent comme une présence derrière lui ....

se retourne et voit avec surprise le Grand Maistre de l'ordo Sancti Georgii ... toujours aussi discret et surprenant .... le salue d'un lesger signe de teste , estant content de sa présence ...

Puis Leg se cale sur son siège , prest a savourer cette cesresmonnie .....

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Mielle64c
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après avoir fait sonner les cloches, Elle alla s'asseoir discrètement, suivant attentivement le début de la cérémonie écoutant la musique.
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Ava_francesca
Quelques jours qu'elles étaient revenues en Provence. De vaines tentatives en espoirs déçus, Ava et Sashah étaient revenues là où elles s’étaient rejointes la première fois. La jeune fille avait été au verger chaque matin, elle s’était promenée dans la capitale, refaisant sa garde robe pour la saison estivale qui approchait, et elle commençait déjà à trouver le temps long.
Sa mère, légèrement souffrante, n'avait guère l'entrain pour s'amuser avec elle à l’extérieur.


Maman, j'ai entendu une annonce d'un crieur public. Il annonçait le couronnement de la marquise de Provence. Je vais y aller ... Puis il y a longtemps que je n'ai pas vu la cathédrale d'Aix.

Sa mère acquiesça, ne refusant jamais rien à sa fille tant qu'elle la savait en sécurité. Ainsi donc, le matin du grand jour, Ava prit soin de s’apprêter comme une jeune fille bien élevée, camouflant pour quelques heures le petit chat sauvage qu'elle était.

Une nouvelle robe, d'un bleu qui faisait ressortir l’éclat de ses prunelles océan, agrémenté d'une collier emprunté à Sashah, fut du plus bel effet sur sa silhouette élancée. Puis elle passa un long moment à enrouler et dérouler ses boucles pour leur donner une forme parfaite.
En voyant son reflet dans le miroir, elle esquissa un sourire. Ses pensées filèrent vers Bastian, son cavalier au long masque, un souvenir qu'elle chérissait en secret car il n'y avait aucun mal à se faire de doux souvenirs à aimer.




Il lui fallut plusieurs minutes pour rejoindre la cathédrale depuis leur appartement. Une fois sur le parvis, elle posa une main sur sa gorge, tentant de calmer son pouls qui battait comme un fou et de reprendre son souffle.

Ava défroissa machinalement le devant de sa robe, en attrapa le bord pour ne pas marcher dessus, et commença à s'avancer le long de l’allée centrale. Musique. Tous les chuchotements se taisent. Les têtes se tournent toutes dans la même direction. La sienne .... Diantre ... Mais pourquoi ils la regardent tous ?
Dans un réflexe, la jeune fille tourne la tête et voit une dame qui remonte à son tour l’allée centrale. Évidemment, c'est elle que tout le monde regarde !

Le rouge aux joues, Ava se faufile rapidement entre deux rangées de bancs,se faisant encore plus petite qu'elle n'est. Pour quelqu'un qui n'aime pas se faire remarquer, c'est gagné là .... Quelques "pardon", une poignée de "excusez moi", une bonne dose de "je suis désolée", et la voila presque tout devant en ayant remonté une allée secondaire.
Elle se signa, récita une petite prière personnelle pour sa mère, à voix basse, puis patienta en regardant un peu partout.

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Antonnagisa
Le troubadour, confortablement adossé à sa colonne, le luth aux pieds, rit sous cape, mais de bon coeur. Le trouble de la jeunette ne lui avait point échappé, il en avait compris la raison en remarquant le synchronisme des entrées. Il regardait à présent la marquise qui s'avançait lentement, prenant la peine, à moins que ce ne fut la joie, de sentir les regards posés sur ses épaules. Des regards à combler les courants d'air. Il vit le commandeur accompagné d'une dame auréolée d'une forte présence. Le page annonçait discrétement à un haut dignitaire le chemin à prendre, et il s'avança à la suite de la Marquise empruntant un chemin parallèle entre deux rangées de haut personnages dont l'oeil était rivé sur la marquise en mouvement. Le cardinal ouvrait les bras en signe d'acceuil.. La salle s'emplit de chuchotements, la clarté du jour parvenait dans l'allée centrale mais au dessus de l'hotel se supendaient tous les cierges qu'il faudrait moucher tout à l'heure. Ces murmures ressemblaient à des vagues. Allaient -ils se tranvestir en viva où serait ce commentaires discrets? Derrière sa colonne, il pouvait se tenir à l'abri des regards véhéments qui pourraient railler sa haute taille, augmentée par la plume de son chapeau. Dissimulé par la masse portante, il devenait minéral, colonne de pierre vivante, et, ne prenant pas de siège, il voyait tout en espérant cependant que la cérémonie ne soit trop longuette pour ses gambettes. Seule cependant, la plume blanche de son chapeau dépassait d'un côté de la masse de pierre, et bougeait imperceptiblement lorsqu'il hochait la tête. Ce qui donnait un mouvement aérien à ce qui aurait pu être l'aile d'un ange. Il dodelinait justement de la tête au son de la musique qui retombait sur ses épaules, et l'enchantait, comme il regardait vers l'allée, se déplaçant légèrement vers la droite de la colonne, afin de mieux voir, il constata que les clameurs c'étaient tues. Le prélat, acceuillit la Marquise et suivan tle mouvement Nagisa, retourna à sa place de départ tandis que sa plume qui avait disparu, réapparu d'un côté de la colonne, mais cette fois restant coite, l'homme étant rivé à ce qu'il voyait
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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran

Troubadour à la Confrérie_ Officier_de_la C.P.

Frim
Frim était là, dans les premiers rangs et dans un espace dégagé, enfoncée sur son siège.

Décontractée, elle sentait la marque dans son dos d'une lame courbe et mortelle, souvenir de Turquie. Comme si la Frim se promenait sans arme. Fallait pas rêver non plus, ou très mal la connaitre. Comme partout dans ces cérémonies, elle s'était démunie de toutes ses armes. Presque toutes... Il en restait une, peu conventionnelle, invisible, et qu'elle ne sortait jamais, sauf pour tuer. Mais elle en était encore à se poser la sempiternelle question au sujet de son arme. Du bas vers le haut ou le contraire ? Ah oui, ça dépendait de la configuration. Pour un thorax ou un estomac, ça se posait pas, mais pour autre chose .... Elle se mit à imaginer les gestes suivant les points d'impacts visés.

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Petrus.gallus
Il avait fait la route sur une mauvaise haridelle , louée à prix d'or chez quelque mécréant dont regorgeait sa ville .

les cloches sonnaient ... Il s'enveloppa de sa couverture grise , n'ayant pas eu les moyens de s'acheter beau mantel ou pectoral luisant .

Comme tous les siens , sa vue était faible et il jeta un regard appuyé sur l'assistance : il ne connaissait personne , mais il avait tenu à être là .

Drapé dans sa couverture de gueux qui couvrait jusque son front , il resta près de la porte , comme sont les mendiants et les infirmes . Il voulait juste apprécier ce moment , qui n''était qu'un juste retour à l'équilibre de ce qui est juste et bon .
Diane...
Regardant son époux, une main posée sur son ventre, la blondinette fit une moue à sa réponse.

Moui... Il y a l'office et toute la cérémonie avant le buffet...

Elle fit un petit sourire, l'autre main sur sa besace où elle avait pris soin d'amener une boite de calissons au cas où, tout en admirant les lieux.
La décoration avait été choisie avec un goût certain et la cathédrale n'avait guère eu cette allure depuis bien longtemps.


Arrivés aux places de devant, son beau blond s'installa. Diane devait être le plus près possible du chœur selon Hersende.
La jeune femme devait intervenir durant la cérémonie, mais ne savait ni quand, ni si elle pourrait s'asseoir.



Je t'attends là ma belle, si jamais tu veux saluer ceux que tu connais. Moi j'ai besoin de m'asseoir, mon dos tire la gueule...


D'accord mon ange, alors je fais vite... Je vais aussi avoir besoin de me reposer un peu de toute manière.

Elle embrassa son mari, une main effleurant sa joue et fit donc le tour, le sourire aux lèvres. Elle salua les personnes qu'elle connaissait, souriant à Mielle, inclina la teste devant les personnes encore étrangères et écarquilla les yeux en voyant Eavan.

En cinq années, c'était la première fois qu'elle la voyait ainsi et la blondinette la trouva magnifique.
Diane alla à sa rencontre en souriant, ne voulant guère trop non plus la déranger et lui souffla juste à l'oreille
"Vicomtessà, vous êtes vraiment belle!"

Elle imaginait aisément que pour cette dernière, cela devait être un calvaire. Aussi, elle ne s'attarda point sur la question et continua son petit tour d'horizon.

L'office allait bientôt débuter, alors elle salua d'un sourire ses amis de l'OSG et le reste des personnes qui arrivaient encore en déambulant dans les allées adjacentes à la nef principale. Puis retourna s'asseoir un moment près de son époux, après avoir humé un bouquet de lavande tout près d'elle.


Les minutes glissaient comme le vent et à l'annonce de l'arrivée de la Marquise, la blondinette se releva et alla se placer tout près du chœur comme convenu, souriant et inclinant la teste en voyant le Cardinal et la Marquise.
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Antonnagisa
Nagisa; voyant que les premiers rangs s'emplissaient, reconnu son amie et souria en remarquant la rondeur, mais était elle encore blessée? Puis il vérifia que tout était en ordre avec son luth aux vertus spéciales. Toujours adossé, sa position dominante lui permettait de voir au dessus des têtes, tandis qu'il était proche de l'allée et du choeur. Il pourrait donc se mouvoir avec célérité si besoin en était
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Antonagisa de Sabran et Roccabruna señor de Monhargues y llorona del Lo Mas d'Asilh y Las Encantadas
petit fils d'Elzear de Sabran

Troubadour à la Confrérie_ Officier_de_la C.P.

Richelieu1
Le ton musical accompagné des chœurs donnait à l'entrée d'Hersende un aspect triomphal. Le Cardinal quand à lui était posté dans le chœur de la cathédrale et attendait souriant l'arrivée de son ex et à la fois future souveraine.

Lorsqu'elle fut arrivée, le Cardinal s'inclina d'abord devant le Maître Autel puis devant Hersende avant d’interpeller d'une voix forte l'assemblée.


Mes frères, Mes sœurs,

Soyez les bienvenus en la Cathédrale d'Avignon, Cathédrale vous le savez sise au sein des terres du Marquisat de Provence.


Le Cardinal fit asseoir l'assemblée, et la souveraine sur un beau fauteuil de velours.

Nous sommes donc réunis ce jour d' Avril pour le couronnement d'Hersende de Brotel en tant que Marquise de Provence par la volonté du Très Haut et du Peuple de Provence. Son sacre inscrit la Provence une nouvelle fois dans l'ordre des choses, comme nous le verrons plus tard.

Laissant la foule absorber ses paroles, le Cardinal tendit le bras vers Mielle qui concélébrerait la cérémonie. Pendant que celle ci s'approchait, lui gagna une stalle.
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